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Rugby: les Bleus «ont de quoi être fiers», affirme le sélectionneur des All Blacks

Rugby: les Bleus «ont de quoi être fiers», affirme le sélectionneur des All Blacks

Le Figaro3 days ago
Scott Robertson et son capitaine Ardie Savea ont rendu hommage au XV de France, vaincu trois fois par eux mais qui s'est bien accroché à Hamilton samedi (29-19).
«Je tiens à les féliciter après leur longue saison de onze mois. Ils sont venus ici, ont quitté l'été pour notre bel hiver et faire une telle performance, ils ont de quoi être fiers», a commencé Scott Robertson en conférence de presse après le match. «Il y a beaucoup de débutants» au niveau international «mais ils ont fait preuve de beaucoup d'entrain. On était menés de dix points à un moment, et on a trouvé un moyen de revenir, de développer un très bon rugby. On ressortira grandi» ce la série de trois matches a-t-il salué.
«Les Français nous ont mis beaucoup de pression. Nous leur avons donné opportunités des miettes, à cause de leur pression. Ils ont choisi de nombreuses fois les trois points, et ils ont pris une bonne avance», a renchéri Savea. «Ils sont fougueux et nous poussent physiquement à la rupture. En tant que leaders, il a fallu prendre une grande inspiration et utiliser les outils dont nous disposions pour aller de l'avant», a dit le meilleur joueur du monde en 2023, qui a été replacé en dernière minute troisième ligne centre après le forfait de Luke Jacobson.
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Il s'en est fallu de peu, comme en quarts de finale contre la Suède (2-2, 3 tab à 2), pour que l'Angleterre prenne la porte. Mais longtemps menée ce mardi face à une étonnante Italie, la tenant du titre a encore réussi à se sortir d'un sacré pétrin pour arracher sa qualification en finale (2-1, a.p.). Dans un match tactique fermé pendant un bon moment, les Anglaises ont eu beau dominer la rencontre, elles ont mis un temps fou à trouver la solution, alors que plus personne ne s'y attendait. Le film du match Les Italiennes avaient ouvert le score par Barbara Bonansea depuis une éternité (33e) et rien ne semblait alors perturber le solide bloc défensif transalpin. Mais comme au tour précédent, Michelle Agyemang est entrée en jeu pour égaliser dans le temps additionnel (90e+ 6). Avant que son équipe bénéfice d'un nouveau coup de pouce du destin dans la prolongation. La séance de tirs au but se dessinait quand Emma Severini a accroché Beth Mead pour offrir un penalty inespéré aux Lionnes. Chloé Kelly l'a transformé en deux temps, après un arrêt héroïque mais inutile de Laura Giuliani (119e). Pour la troisième fois consécutive, l'Angleterre disputera la finale d'un tournoi majeur. Cruel dénouement pour des joueuses transalpines qui avaient, jusque dans les derniers instants, pratiquement tout réussi. À l'exception d'un arrêt de Giuliani sur une frappe de James (38e) puis trois tentatives britanniques peu dangereuses (40e, 51e et 81e), la Nazionale a rarement été inquiétée dans le temps réglementaire. Il n'a suffi que d'un ballon repoussé dans les pieds d'Agyemang, au terme d'une seconde période beaucoup plus consistante des Anglaises, pour que la forteresse craque. Le scénario s'est ensuite reproduit au pire moment pour les partenaires de Cristiana Girelli, admirable de courage mais sortie trop tôt sur blessure (63e). Après une merveille de ballon piquée d'Agyemang repoussé par la transversale (117e), Madame Martincic n'a pas hésité à prendre une décision grave de conséquences, mais logique et confirmée par le VAR. Les joueuses d'Andrea Soncin, qui touchaient du doigt une troisième finale dans l'histoire du pays (après celles de 1993 et 1997), n'avaient que leurs yeux pour pleurer au coup de sifflet final. Avec le recul, elles se diront peut-être qu'elles ont chuté face aux finalistes de la dernière Coupe du monde et aux championnes d'Europe en titre, qui défendront leur couronne, dimanche (21 heures) face à l'Espagne ou l'Allemagne.

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