
Nordahl Lelandais poursuivi pour violences conjugales devant son enfant lors d'un parloir
Nordhal Lelandais a comparu vendredi devant le tribunal correctionnel de Colmar, poursuivi pour des faits de violences conjugales commis le 9 juin devant son fils de 19 mois durant un parloir à la maison centrale d'Ensisheim où il est détenu à la suite des meurtres du caporal Noyer et de la petite Maëlys.
L'homme de 42 ans, qui a désormais pris le nom de jeune fille de sa mère, Périnet, et purge depuis 2022 une peine de réclusion à perpétuité, a sollicité un renvoi pour préparer sa défense. L'affaire sera examinée le 28 août. En attendant, le prévenu a interdiction d'entrer en contact avec sa compagne et son fils.
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Le Figaro
26 minutes ago
- Le Figaro
Le saviez-vous ? On ne compte que 5 villes dites «roses» dans le monde
Les «villes roses» se comptent sur les doigts d'une main, et trois sont françaises. Les avez-vous déjà visitées ? Nul besoin d'attendre de mots d'amour pour voir la vie en rose. N'en déplaise à Édith Piaf, il suffit d'un séjour dans certaines villes pour se sentir porté par la joie de cette couleur. Bien que quelques-unes se situent sur des continents différents, elles partagent en commun leur teinte, présente dans leur architecture, allant du saumon pâle à l'ocre profond. S'il n'existe pas de liste officielle de ces «villes roses», elles sont les seules à être décrites majoritairement de cette manière. Ce surnom n'est pas anodin et leur est attribué pour diverses raisons. Choix esthétique, traditions locales ou empreinte historique... Tour d'horizon des cinq communes du globe où la vie se regarde en fuchsia. Jaipur (Inde) Le palais Hawa Mawal, à Jaipur, en Inde. AlexAnton / AlexAnton - Publicité Un geste d'hospitalité. Voilà ce qui donna à la capitale du Rajasthan, au nord de l'Inde, son surnom de «ville rose». En 1876, la commune s'apprêtait à recevoir la visite de la famille royale britannique, avec l'arrivée du prince Albert Edward (futur Édouard VII). Le Maharaja Sawai Ram Singh, le roi de Jaipur, fit repeindre tous les bâtiments de la ville dans une teinte ocre-rosée, couleur symbolisant l'accueil. Le charme opéra. Le fils de la reine Victoria aurait lui-même baptisé Jaipur «Pink City». Depuis, cette couleur fut imposée par décret à toutes les nouvelles constructions du centre-ville, loi encore en vigueur aujourd'hui. Déclinée en nuances allant du pastel au rouge brun, on se sentirait presque dans un conte de fée en admirant ses bâtisses en grès, dont le spectaculaire Palais des vents, Hawa Mahal. Erevan (Arménie) La Place de la République, à Erevan, en Arménie. SergeyTimofeev / sergeytimofeev - Capitale de l'Arménie, Erevan se distingue par l'unité visuelle de son centre-ville, façonné dans une pierre locale : le tuf volcanique. Cette roche, extraite autour de ses monts, se décline en teintes rouges, mais c'est la nuance rosée qui domine les bâtiments publics et les habitations anciennes. On la contemple sur la Place de la République, surtout lorsque le soleil habille la roche d'une tendre lumière, tirant presque sur l'orange. Si Erevan est l'une des plus anciennes cités habitées au monde -fondée avant Rome en 782 av. J.-C.- , son surnom de «ville rose» est plus récent. Il s'impose au XXe siècle, lors de la reconstruction soviétique. L'architecte Alexandre Tamanian, chargé de repenser la ville dans les années 1920-1930, choisit d'en faire un symbole d'harmonie urbaine en valorisant largement l'usage de cette pierre dans les grandes avenues et les places centrales. Toulouse (France) La Chapelle Saint-Joseph, à Toulouse. Sergiy Nykonenko / SergiyN - Elle est sûrement la plus célèbre du classement, la ville rose favorite des Français. Dans le sud-ouest du pays, Toulouse doit son titre à la brique de ses façades utilisée depuis l'époque romaine. En terre cuite, celle qu'on appelle également « brique toulousaine », extraite et fabriquée à partir de l'argile sur le territoire, était exploitée massivement dès l'Antiquité. Délaissée un temps au profit du bois, elle revient à la Renaissance, les incendies ayant révélé les limites des matériaux plus légers. Publicité Au XIXe siècle, les frères Virebent relancent son usage grâce à un procédé industriel de découpe de l'argile. Couplée aux tuiles du même ton, cette brique confère un charme unique à la ville, à travers ses monuments emblématiques, comme le Capitole, la basilique Saint-Sernin ou les hôtels particuliers du centre historique, construits entre les XVIe et XVIIIe siècles, comme l'Hôtel de Clary. Albi (France) Le panorama sur la cathédrale d'Albi. Natalia Shilovskikh Loubet / natashilo - Petite sœur de Toulouse, Albi aussi se dessine en rose. Ici, la brique foraine et la tuile romaine façonnent également l'identité visuelle de la ville, du centre médiéval aux plus grands monuments. On l'aperçoit sur les maisons à colombages, les rues anciennes, mais surtout les édifices emblématiques. La cathédrale Sainte-Cécile - la plus grande cathédrale de briques au monde - et le palais de la Berbie, ancien siège de l'archevêque, en sont les plus beaux exemples. Le matériau fut utilisé dès le Moyen ge, en témoigne la collégiale Saint-Salvi. Peut-être ce patrimoine coloré inspira-t-il les peintures de Toulouse-Lautrec, dont le musée lui-même est bâti sur ces pierres locales. Montauban (France) La Place Nationale à Montauban. BENJAMIN PICCOLI / B. Piccoli - Si son nom signifie «mont blanc» en langue occitane, Montauban est souvent surnommée «la plus rose des villes roses». Cette description s'explique par l'abondance d'argile des berges du Tarn. Cette matière première issue des sols du département était traditionnellement utilisée pour fabriquer de la poterie ou des briques construction. Comme ses voisines, dès sa fondation en 1144 par le comte de Toulouse, la ville développe ce style distinctif, visible notamment sur la place Nationale, l'Ancien Collège, le Pont Vieux ou encore l'église Saint-Jacques. Le contraste entre ces façades et la verdure du fleuve renforce les couleurs. À l'image de Toulouse et Albi, celle qu'on surnomme aussi la cité d'Ingres incarne cette harmonie rose distinguant -au final- la France à l'international. Publicité En vidéo - Toulouse : la ville rose dépasse bientôt Lyon en population.


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Loi Duplomb : la pétition contre le texte franchit la barre des deux millions de signatures
La pétition avait atteint les 500.000 signatures le week-end dernier, une première sur le portail de l'Assemblée, un seuil qui ouvre la voie à l'organisation d'un débat dans l'hémicycle. La pétition contre la loi Duplomb, qui permet notamment sous conditions la réintroduction d'un pesticide interdit en France depuis 2018, poursuit son incroyable chemin. Le texte vient en effet de franchir la barre des deux millions de signatures. La pétition demande l'abrogation «immédiate» du texte du sénateur LR Laurent Duplomb. Le texte avait atteint les 500.000 signatures le week-end dernier, une première sur le portail de l'Assemblée, un seuil qui ouvre la voie à l'organisation d'un débat dans l'hémicycle qui ne permettra toutefois pas, seul, de revenir sur les dispositions déjà adoptées. Publicité Plus d'informations à suivre...


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La pétition contre la loi Duplomb franchit le cap des 2 millions de signatures
La pétition lancée par une étudiante contre la loi Duplomb continue ce lundi de battre tous les records sur le site de l'Assemblée : plus de 2 millions de personnes l'ont à ce stade signée, un mouvement de protestation citoyenne inédit qui relance le débat sur ce texte très contesté. Dix-huit jours après son dépôt, le rythme des nouvelles signatures, qui s'est considérablement accéléré ces derniers jours, ne faiblit pas pour demander l'abrogation de la loi. Il est possible de déposer des pétitions sur le site du Palais-Bourbon depuis 2019, mais jusqu'à présent la plupart n'avaient recueilli que quelques dizaines ou centaines de signatures, jamais plus de 260 000. Le texte d'Éléonore Pattery, 23 ans , a été abondamment relayé sur les réseaux sociaux par des ONG, des groupes politiques mais aussi des personnalités comme l'acteur Pierre Niney, le musicien Julien Doré ou l'influenceuse EnjoyPhoenix. La réintroduction à titre dérogatoire et sous conditions de l'acétamipride, pesticide de la famille des néonicotinoïdes, interdit en France depuis 2018, cristallise une grande partie du mécontentement. Des signataires mettent en garde, comme les apiculteurs, contre « un tueur d'abeilles » et s'inquiètent aussi des effets sur l'être humain. Mais ce produit est réclamé par les producteurs de betteraves ou de noisettes , qui estiment n'avoir aucune alternative contre les ravageurs et subir une concurrence déloyale, vu qu'il est autorisé, à l'échelle européenne, jusqu'en 2033. Le fait que la pétition ait franchi, samedi 19 juillet, le seuil des 500 000 signataires autorise la Conférence des présidents de l'Assemblée nationale, qui réunit les présidents des groupes parlementaires et des commissions, à organiser un débat dans l'hémicycle. Il ne permettra pas un réexamen du texte, ni son éventuelle abrogation. Mais, face à la mobilisation citoyenne, de plus en plus de voix le réclament, même parmi les partisans de la loi . La ministre de l'Agriculture, Annie Genevard, a assuré que le gouvernement était « pleinement disponible » pour y participer et la présidente de l'Assemblée, Yaël Braun-Pivet (Renaissance), s'est dite « favorable » à son organisation. Tout comme Marine Le Pen, qui a voté pour la loi, mais estime que « seul un débat démocratique » peut restaurer « la confiance » des citoyens face aux « mensonges » accompagnant, selon elle, la pétition. Le président de Renaissance Gabriel Attal et la ministre de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher préconisent, eux, que le gouvernement saisisse l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) afin qu'elle donne son avis. Enfin, plusieurs voix à gauche exhortent Emmanuel Macron à demander au Parlement une deuxième délibération sur la loi , ce qui retarderait sa promulgation. En parallèle, des députés et sénateurs de gauche ont saisi mi-juillet le Conseil constitutionnel, arguant que la loi, adoptée au Parlement le 8 juillet, est incompatible avec la préservation de l'environnement et le droit à la santé. Les Sages rendront « a priori » le 7 août leur décision sur le sujet.