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Loi Duplomb : la pétition contre le texte franchit la barre des deux millions de signatures

Loi Duplomb : la pétition contre le texte franchit la barre des deux millions de signatures

Le Figaro28-07-2025
La pétition avait atteint les 500.000 signatures le week-end dernier, une première sur le portail de l'Assemblée, un seuil qui ouvre la voie à l'organisation d'un débat dans l'hémicycle.
La pétition contre la loi Duplomb, qui permet notamment sous conditions la réintroduction d'un pesticide interdit en France depuis 2018, poursuit son incroyable chemin. Le texte vient en effet de franchir la barre des deux millions de signatures.
La pétition demande l'abrogation «immédiate» du texte du sénateur LR Laurent Duplomb. Le texte avait atteint les 500.000 signatures le week-end dernier, une première sur le portail de l'Assemblée, un seuil qui ouvre la voie à l'organisation d'un débat dans l'hémicycle qui ne permettra toutefois pas, seul, de revenir sur les dispositions déjà adoptées.
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« C'était génial ! » Sylvie, Montargoise de 49 ans, débarque conquise de la croisière de deux heures qu'elle s'est offerte. « Je voyais passer le bateau depuis mon domicile. Et, je me suis dit pourquoi pas faire la croisière ! Je ne regrette pas car, du bateau, on voit vraiment la ville autrement », assure-t-elle. Une réaction qui donne le sourire à Doriane Robert, chargée de communication de l'Office de tourisme de Montargis (Loiret). « Depuis le 5 avril, le succès ne se dément pas ! L'an dernier, nous avions testé la formule. Cette année, nous proposons une saison complète jusqu'à la fin du mois d'octobre. Plus de 5 000 billets ont déjà été vendus » annonce-t-elle. À lire aussi Montargis : un nouveau port de plaisance pour dynamiser le tourisme fluvial Le public est varié : des groupes venus de toute la France, mais aussi des étrangers, pour lesquels les commentaires du guide remis avant le départ ont été traduits. « Un sacré patrimoine » « Depuis juin 2023, pour mon mari et moi, Montargis était synonyme de commerces pillés et de ville meurtrie. Mais grâce à cette croisière, on a découvert une ville très touristique et un sacré patrimoine », commente Annick, venue avec son mari du Morbihan. Le Zia (prénom de la petite fille des anciens propriétaires), vedette panoramique qui appartient à l'agglomération montargoise, peut transporter lors de chaque trajet une cinquantaine de passagers. Si la croisière le long du canal de Briare dure deux heures, il est aussi possible de privatiser le bateau (pas plus de 40 personnes) jusqu'à six heures. Il faut compter pour cela entre 450 et 1 050 euros. « La Venise du Gâtinais sans bateau, c'était quand même dommage. Désormais, cela reprend tout son sens, avec nos 132 ponts et passerelles sur toute l'agglomération », argumente Doriane Robert. Durant la balade, une guide présente les différents ponts et écluses, et raconte l'histoire du canal et de la ville.

Incendie dans l'Aude : «La progression du feu s'est ralentie» après une nuit plus fraîche
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LE POINT SUR LA SITUATION - Alors qu'une enquête a été ouverte pour déterminer l'origine de l'incendie qui s'est déclenché mardi dans le massif des Corbières, l'origine du feu «a été déterminée», a annoncé François-Noël Buffet, ministre délégué au ministère de l'Intérieur. Le massif des Corbières continue de brûler ce jeudi 7 août même si «la progression du feu s'est ralentie» grâce aux «conditions favorables» de la nuit, a indiqué jeudi dans la matinée la préfecture de l'Aude dans un communiqué. Plus de 2100 sapeurs-pompiers sont encore mobilisés sur le terrain où 16.000 hectares ont été parcourus par les flammes et les largages se multiplient pour tenter de fixer le feu. Une femme de 65 ans est décédée mardi soir et 13 personnes ont été blessées, pompiers et civils confondus. Le Figaro fait le point sur la situation dans l'Aude, au troisième jour de l'incendie qui s'est déclaré mardi vers 16 heures. «La progression du feu s'est ralentie», indique la préfecture «La progression du feu s'est ralentie», a annoncé la préfecture de l'Aude dans un point publié ce jeudi matin, grâce aux «conditions favorables» de la nuit : «absence de vent et abaissement des températures». Il est toutefois toujours demandé à la population de rester confinée, sauf ordre d'évacuation. Les personnes ayant déjà quitté leur domicile ne sont toujours pas invitées à le regagner. Publicité Les pompiers espèrent «fixer le feu dans la journée» Le colonel Christophe Magny, chef de corps des pompiers de l'Aude, a déclaré espérer fixer le feu dans la journée. «On va tout mettre en œuvre pour fixer le feu aujourd'hui avant que le vent ne tourne cet après-midi», a-t-il avancé jeudi matin sur BFMTV. Ce jeudi, le vent a en effet changé de sens : il souffle désormais du sud-est vers le nord-ouest. Une entrée d'air maritime apporte donc de l'humidité dans l'atmosphère. «C'est une chance pour nos sapeurs-pompiers», a salué François-Noël Buffet, ministre délégué auprès du ministre de l'Intérieur auprès de BFMTV. Toutefois, le colonel Christophe Magny a précisé que «90 km de lisière sont toujours actifs» et «souvent inaccessibles dans des zones avec une végétation dense et un relief important». «On est dans un feu d'ampleur, 90 km de lisière ce n'est pas rien», a-t-il insisté. «L'origine du sinistre a été déterminée» Alors qu'une enquête a été ouverte mercredi pour déterminer l'origine de l'incendie qui s'est déclenché mardi dans le massif des Corbières, l'origine du feu «a été déterminée», a annoncé François-Noël Buffet, ministre délégué au ministère de l'Intérieur, au micro de BFMTV. «Les professionnels sont en train d'analyser ce qu'il s'est passé. Il reste à déterminer si cela a été de caractère volontaire ou involontaire», a-t-il développé, sans donner plus de détails. Le ministre délégué a par ailleurs dénoncé «des comportements négligents», sous-entendant la piste d'un départ de feu d'origine humaine. Pour rappel, 9 départs de feux sur 10 sont d'origine humaine. Publicité Plus de 2100 pompiers encore mobilisés Plus de 2100 sapeurs-pompiers sont toujours mobilisés dans l'Aude pour lutter contre les flammes, équipés de 500 véhicules et avec le soutien de la gendarmerie et l'armée, indique la préfecture. 130 largages ont été réalisés mercredi, dont 55 par canadairs, 35 par Dash et 40 par hélicoptère. De nouveaux largages sont prévus ce jeudi. À lire aussi L'incendie de l'Aude est-il le plus important de l'histoire en France ? Une personne décédée, 13 blessés, 36 habitations impactées Le bilan humain s'élève toujours à un décès - une femme de 65 ans qui a refusé de quitter son domicile menacé par les flammes -, 2 blessés civils dont un en urgence absolue et 11 blessés parmi les pompiers, dont un en urgence absolue. Trois personnes sont par ailleurs signalées absentes par leurs proches. Et sur le plan matériel, 36 habitations ont été brûlées ou impactées par les flammes, une quarantaine de véhicules calcinés. «1900 foyers sont toujours sans électricité», a précisé François-Noël Buffet. Pour venir en aide à la population déplacée, 17 centres d'hébergement provisoire ont été mis en place sur 17 communes dans la nuit de mercredi à jeudi, atteignant une capacité d'accueil de 1759 personnes. Une cellule d'urgence médico-psychologique (CUMP) comptant 15 professionnels a également été mise en place à l'Arena de Narbonne pour accueillir et prendre en charge les victimes choquées ou traumatisées en raison de l'événement.

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L'homme de 27 ans arrêté mardi par la police judiciaire d'Amiens, dans le cadre de l'enquête sur le meurtre d'un homme de 32 ans retrouvé égorgé et éviscéré dans un parc de la périphérie d'Amiens, lundi 4 août, a été présenté ce jeudi matin à un juge d'instruction, en vue d'une probable mise en examen. VidéoUn cadavre égorgé et éviscéré découvert dans la Somme Le suspect, au cours d'une garde à vue qui a duré 48 heures, avait d'abord gardé le silence, avant de passer aux aveux. Il est soupçonné d'être l'auteur du déchaînement de violence à l'arme blanche, qui a coûté la vie à Steeven G., 32 ans, dans le parc du Pré du Moulin, à Pont-de-Metz, dans la périphérie d'Amiens (Somme). La victime et le suspect vivaient dans le même quartier Selon un communiqué du parquet d'Amiens diffusé mercredi, le suspect a précisé « ne pas connaître la victime ». Tous les deux vivaient cependant dans le même quartier du Petit-Saint-Jean, qui jouxte le parc en bordure d'un ruisseau envahi de végétation. Selon nos informations, Steeven G. fréquentait régulièrement ces sentiers noyés dans la verdure, le soir, comme d'autres habitués qui viennent s'y promener ou passer le temps aux beaux jours, sur les bancs et tables de pique-nique aménagés près de deux terrains de tennis. Une rencontre fortuite est-elle à l'origine de ce déchaînement de violence ? [2/4] Cécile Vallin, les secrets d'une disparition Crime story raconte chaque semaine les grandes affaires criminelles. Écouter Le corps de la victime, atrocement supplicié, avait été retrouvé lundi matin vers 7 heures par une femme qui promenait son chien au Pré du Moulin. Le corps, éviscéré et égorgé, gisait à terre près d'une table de pique-nique et d'une aire de jeux pour les tout-petits. Les policiers primo-intervenants ont d'abord cru à une possible mise en scène du corps, retrouvé dans une position étonnante, les bras levés au-dessus de la tête. Une hypothèse ensuite infirmée par le parquet d'Amiens. Rien ne laisse penser à un règlement de compte Le mobile du crime reste encore mystérieux. Rien ne vient accréditer l'hypothèse d'un règlement de compte entre les deux hommes. La victime, un homme sans emploi connu, selon le voisinage, vivait au Petit-Saint-Jean avec sa famille sans faire parler de lui. Le suspect arrêté mardi matin par les enquêteurs de la Division de la criminalité organisée et spécialisée (DCOS) est « inconnu des services de police et de justice ». L'état psychique du mis en cause au moment des faits reste à éclaircir, de même que les circonstances de sa rencontre avec la victime.

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