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Voici les prévisions météo de la semaine

Voici les prévisions météo de la semaine

24 Heures4 days ago
La Suisse romande s'est réveillée avec les orages ce lundi matin. On pourra toutefois compter sur un temps dégagé (et pas trop chaud) le reste de la semaine. Publié aujourd'hui à 12h49
Les thermomètres afficheront de 24 à 28 °C en Suisse romande, entre mardi et vendredi (image d'illustration).
KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi
Une belle semaine estivale – mais pas caniculaire – s'annonce en Suisse romande, après des pluies orageuses qui ont maintenu éveillés certains malchanceux dans la nuit de dimanche à lundi. Les courageux qui ont dû se rendre au travail en début de matinée ce lundi ont assisté à de belles éclaircies dans les régions ouest. Des orages isolés pourraient encore éclater, avertit MétéoSuisse .
En plaine, le mercure grimpera jusqu'à 28 °C à Lausanne en cours de journée, 31 °C à Genève et 30 °C à Sion. Les nuits resteront fraîches tout au long de la semaine.
À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Averses possibles en montagne
Mardi, le pire sera passé mais quelques instabilités résistent. Les prévisions indiquent un temps ensoleillé et sec en plaine, tandis que les nuages s'agripperont aux régions montagneuses. Des averses pourraient arroser les Préalpes dans l'après-midi. Côté températures, jusqu'à 27 °C en plaine.
Le ciel bleu sera un poil plus timide mercredi, avec de «faibles averses possibles le long des Préalpes et au nord du Jura», précise MétéoSuisse. Le thermomètre indiquera un maximum de 24 °C en plaine et jusqu'à 27 °C en Valais.
Jeudi et vendredi, le soleil devrait asseoir son règne en plaine et réchauffer légèrement la Suisse romande, tandis que le ciel sera encore couvert le long des reliefs. Il pourrait faire jusqu'à 25 °C à Lausanne , 26 °C à Genève et Sion jeudi. Le lendemain, les températures s'élèveront à 28 °C maximum. Possible nouvelle vague de chaleur et alertes incendie
Les prévisions du week-end semblent s'aligner pour l'heure avec la journée de vendredi: un temps généralement ensoleillé et sec, avec quelques orages possibles et 28 °C maximum affichés au thermomètre.
Pour la suite, l'évolution reste incertaine: sur son blog, MétéoSuisse fait état d'une mystérieuse rumeur autour d'une possible vague de chaleur, portée par «un anticyclone sur la Méditerranée et une zone dépressionnaire sur le nord-ouest de l'Europe». L'épisode pourrait survenir en tout début de semaine prochaine et marquer le retour des températures extrêmes.
À noter que les régions de Genève et de Sion-Sierre sont concernées par un risque d' incendie de forêt , annonce MétéoSuisse , respectivement de degré 3 et de degré 4.
À lire aussi sur la météo en Suisse romande Newsletter
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Laurène Ischi est journaliste au sein de l'équipe digitale de Tamedia. Après un bachelor en lettres à Lausanne, elle a obtenu son master à l'Académie du journalisme et des médias de l'Université de Neuchâtel en 2021. Elle se passionne pour les sujets de société et a travaillé pour «Femina» pendant 4 ans.­ Plus d'infos
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Covid, rhume ou grippe? Ce qu'il faut savoir sur les virus de l'été
Covid, rhume ou grippe? Ce qu'il faut savoir sur les virus de l'été

24 Heures

time13 hours ago

  • 24 Heures

Covid, rhume ou grippe? Ce qu'il faut savoir sur les virus de l'été

L'OMS surveille de près deux nouveaux variants du Sars-CoV-2 qui gagnent du terrain. Faut-il s'en inquiéter et quels gestes adopter? Publié aujourd'hui à 18h06 Les virus du rhume et les coronavirus circulent également en été. GETTY IMAGES En bref: Quelques joueuses de l'équipe nationale suisse participant à l' Euro féminin présentent des symptômes de rhume. Elles ont été isolées. Comme elles, d'autres personnes se trouvent dans cette situation. Le coronavirus est-il en train de frapper à nouveau? Quels sont les variants en circulation? Le virus est-il dangereux? Réponses à quelques questions. Quel est le variant du Sars-CoV-2 qui circule actuellement? Tandis que le variant surnommé Flirt se propageait parmi la population l'été dernier, le Sars-CoV-2 a poursuivi son chemin de manière continue. Actuellement, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) surveille particulièrement deux variants. Ils s'appellent Nimbus et Stratus. Le variant XFG, surnommé Stratus, est désormais classé «sous surveillance» par l'OMS et talonne Nimbus, nom scientifique NB.1.8.1. «Ces deux variants sont devenus plus fréquents au cours des derniers mois et sont donc sous surveillance», explique Richard Neher du Biocentre de l'Université de Bâle. Comment se propagent les deux nouveaux variants? Les analyses des eaux usées révèlent qu'en juin, le variant Stratus représentait environ 50% des virus détectés en Suisse, tandis que Nimbus en constituait environ 25%. «Ces chiffres sont toutefois entachés d'une grande incertitude», indique le spécialiste. Depuis janvier, les divers variants du Sars-CoV-2 sont analysés systématiquement dans seulement dix stations d'épuration des eaux usées en Suisse. Des tests plus précis, incluant les nouveaux variants Nimbus et Stratus, sont réalisés dans six de ces stations. «Le variant NB.1.8.1 est probablement en train d'être supplanté par le variant XFG», précise l'expert. Les détections du variant Stratus connaissent la croissance la plus rapide. «Il est fort possible que XFG devienne ou soit déjà la variante dominante», affirme Richard Neher. Les deux variants sont-ils des descendants d'Omicron? «Oui», selon l'analyste. Depuis un certain temps, tous les variants du virus en circulation sont des descendants d' Omicron . La souche originale du virus, découvert en 2021, n'existe plus aujourd'hui sous sa forme initiale. Les nombreux variants ont évolué pour échapper plus facilement à la détection par le système immunitaire, ce qui leur permet d'infecter à nouveau des personnes ayant déjà été atteintes. C'est également le cas des derniers variants. À quel point Nimbus et Stratus sont-ils dangereux? L'OMS estime que ces deux variants ne provoqueront pas de formes plus graves de la maladie que les souches précédentes. Certes, les données disponibles sont encore limitées. Mais selon l'OMS, rien n'indique une hausse mondiale des hospitalisations liées aux formes graves du Covid . De même, les médicaments antiviraux, qui empêchent les virus de se développer, semblent conserver toute leur efficacité. Les personnes restent bien protégées contre les formes graves de la maladie, que ce soit grâce à la vaccination ou à l'immunité développée lors d'infections antérieures. Comment le niveau de danger du coronavirus se compare-t-il à celui des autres virus respiratoires? Aujourd'hui, le Sars-CoV-2 présente de grandes similarités avec les virus grippaux. Tous entraînent des symptômes respiratoires qui peuvent être légers à sévères: rhume, toux, maux de gorge ou encore fièvre. Selon l'Office fédéral de la santé publique (OFSP), la maladie peut, dans de rares cas, s'aggraver et parfois même être fatale. Les mesures préventives contre les virus respiratoires sont les mêmes. Si vous présentez des symptômes de la maladie, il est conseillé de rester chez vous, de maintenir une distance avec les autres et de porter un masque. D'après l'OFSP, la vaccination est disponible comme mesure préventive. La vaccination est recommandée pour les personnes de 65 ans et plus, les adultes de 16 ans et plus ayant des antécédents médicaux, ainsi que les femmes enceintes. Il est recommandé de se faire vacciner entre mi-octobre et décembre. «Presque tout le monde dispose d'une immunité solide contre le coronavirus, ce qui rend les cas graves beaucoup plus rares», précise Richard Neher. «Cependant, le Sars-CoV-2 poursuit sa mutation à un rythme très rapide et peut infecter à nouveau les personnes peu de temps après qu'elles ont été infectées ou vaccinées.» Si je présente des symptômes de rhume ou de grippe, quelle est la probabilité que je souffre d'une maladie coronarienne? En juin, une augmentation des consultations médicales pour maladies respiratoires a été constatée. Selon les données extrapolées, 62 personnes sur 100'000 étaient touchées dans le pays. Le niveau est faible comparé au pic observé en hiver. Au début du mois de février, 400 personnes sur 100'000 étaient atteintes de maladies respiratoires. Actuellement, peu de virus grippaux circulent, contrairement au virus respiratoire syncytial (VRS) qui, lui, est bien présent dans les statistiques. Les chiffres déjà relativement bas de juin continuent de diminuer et atteignent aujourd'hui 50 personnes infectées pour 100'000. Il est donc plus probable que les personnes touchées aient actuellement un simple rhume plutôt qu'une infection liée au coronavirus. Lors de l'analyse récente des eaux usées pour détecter des virus respiratoires, les rhinovirus, les virus responsables du rhume, étaient les plus fréquemment identifiés, représentant près de 30% des cas. Les coronavirus Sars-CoV-2 ne représentent que 6%. Dois-je faire un autotest si j'ai des symptômes? Les tests vendus en pharmacie détectent encore le Sars-CoV-2, incluant ses différents variants, selon l'OFSP. Les autotests antigéniques disponibles aujourd'hui détectent, comme c'était déjà le cas, la protéine N présente à la surface des cellules. Celle-ci est demeurée stable malgré les mutations du virus. Pour l'OFSP, adopter un «comportement responsable» s'avère plus important qu'un simple test. Restez à la maison si vous avez des symptômes et consultez un médecin si votre état s'aggrave. Traduit de l'allemand par Emmanuelle Stevan À propos du Covid Anke Fossgreen dirige la rubrique scientifique de Tamedia à Zurich depuis 2022. Elle y travaille depuis plus de vingt ans. Biologiste, elle a effectué des recherches sur la maladie d'Alzheimer pendant sa thèse de doctorat. Elle s'intéresse aux thèmes liés à la biologie, à la santé, à l'alimentation, à la médecine et à l'activité physique. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Comment l'ampleur des laves torrentielles pourrait être mieux anticipée
Comment l'ampleur des laves torrentielles pourrait être mieux anticipée

24 Heures

time14 hours ago

  • 24 Heures

Comment l'ampleur des laves torrentielles pourrait être mieux anticipée

Des chercheurs de l'EPFZ ont identifié de nouveaux facteurs qui rendent les coulées de boue destructrices. Cette découverte ouvre la voie à une meilleure prévention. Publié aujourd'hui à 17h24 Une récente étude de l'EPFZ a révélé des facteurs «jusqu'ici inexpliqués», qui «déterminent la force destructrice des laves torrentielles». Blatten , Brienz , Lourtier ou encore Bondo, tous ces villages suisses ont fait face à des éboulements et des laves torrentielles qui ont marqué les esprits. Une récente étude de l'EPFZ publiée dans «Communications Earth & Environment» et relayée par la RTS , a révélé des facteurs «jusqu'ici inexpliqués», qui «déterminent la force destructrice des laves torrentielles». Les chercheurs se sont particulièrement penchés sur la lave torrentielle qui s'était déclenchée en juin 2022 dans l'Illgraben, au-dessus de Loèche. Grâce à plusieurs stations de mesures, les scientifiques ont pu observer la coulée de boue et ont particulièrement remarqué que «des vagues puissantes et rapides se produisaient régulièrement à la surface», rapporte le communiqué de l'EPFZ. Selon Jordan Aaron, professeur de géologie de l'ingénieur à l'EPFZ, «on sait depuis longtemps que ces poussées jouent un rôle central dans la force destructrice des coulées de boue. Car elles rendent les coulées particulièrement puissantes et rapides». Mieux prévoir l'ampleur des laves torrentielles L'observation du phénomène de 2022 vers Loèche a donc permis d'en apprendre plus sur ces vagues. Une avancée importante: «La dangerosité d'une coulée de boue est en effet définie en grande partie par la force destructrice des poussées», détaille le communiqué. Ces mesures pourraient donc permettre «d'estimer à l'avenir si des poussées sont à attendre lors d'une lave torrentielle et quelle est leur force destructrice. On pourrait ainsi en déduire les forces auxquelles les murs des maisons ou les piliers des ponts doivent résister dans une zone de danger». Cela permettra également de mettre en place des mesures de prévention, telles que des filets ou des digues. La Suisse a connu beaucoup de laves torrentielles Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Laure Schmidt est journaliste stagiaire au sein de la rubrique Suisse-Monde-Economie de la rédaction Tamedia depuis septembre 2023. Elle a étudié les sciences sociales et la psychologie à l'Université de Lausanne. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Pourquoi la canicule a soudainement disparu en Suisse
Pourquoi la canicule a soudainement disparu en Suisse

24 Heures

time14 hours ago

  • 24 Heures

Pourquoi la canicule a soudainement disparu en Suisse

Après un mois de juin caniculaire, les températures sont redescendues. On demeure pourtant au-dessus des normes saisonnières. La canicule pourrait-elle revenir en août? Publié aujourd'hui à 17h04 Les baigneurs partent parfois tôt le matin pour trouver de l'eau pour se rafraîchir dans le lac Léman lors des canicules, avant que les températures ne grimpent. Magali Girardin En bref: Elle est où cette canicule? On a bien transpiré fin juin et les organismes ont été mis à rude épreuve pendant une dizaine de jours lorsque la chaleur était suffocante en Suisse romande. On redoutait même que cela ne dure tout l'été mais le temps est (heureusement) depuis passé au frais . Il semble que nous nous sommes habitués à la chaleur. «Il fait 28 degrés ces jours et nous n'avons pas l'impression qu'il fait très chaud, alors que nous sommes pourtant au-dessus de la moyenne historique en termes de températures», rappelle Mikhaël Schwander, météorologue à MétéoSuisse. Chaud en juillet Car la fraîcheur de juillet est toute relative. «Pour l'instant, nous connaissons depuis le début du mois des températures légèrement supérieures aux normales saisonnières, soit plus hautes de 1 à 3 degrés à la moyenne selon les endroits», confie-t-il. Calculées sur une période s'étendant de 1991 à 2020, ces températures moyennes sont situées entre 25 et 27 degrés en Suisse romande. Nombreux sont pourtant ceux qui craignaient une canicule prolongée. «Il n'a jamais été dit que l'entier de l'été 2025 serait caniculaire», réplique le météorologue Pierre Eckert. Les prévisions saisonnières mettaient simplement en exergue le fait que la température moyenne de l'été «serait probablement supérieure à la normale». Tranquille pour l'instant À court terme, les craintes de canicule se sont clairement éloignées. «Il devrait plutôt faire entre 22 et 25 degrés la semaine prochaine, avec un courant d'ouest qui va amener de l'air de l'Atlantique relativement frais et humide pour la saison», prévoit Mikhaël Schwander. Dès lors, le professionnel ne redoute guère des températures s'embrasant d'ici à la fin du mois. Car ce courant d'ouest devrait se maintenir. «Les modèles n'indiquent pas de risque de canicule pour les prochaines semaines, mais une alternance de journées ensoleillées avec des périodes de précipitations», détaille-t-il. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Effets sur la santé Pourtant, le réchauffement planétaire est bien là. «Nous avons gagné près de 3 degrés en Suisse par rapport à la période préindustrielle avec le réchauffement climatique», rappelle le météorologue Pierre Eckert. Et cela porte à conséquence. Entre la mi-juin et début juillet, des conditions caniculaires ont été mesurées pendant neuf jours à Genève et huit jours à Neuchâtel, par exemple. «Il s'agit du deuxième mois de juin le plus chaud depuis qu'ont commencé les mesures en 1864», relève Mikhaël Schwander. Ces «dômes de chaleur» ont des effets multiples. Sur la santé (problèmes circulatoires, maladies cardiaques, réduction des performances mentales et physiques), mais aussi sur le matériel électrique. Des pannes subites de télévisions ou de machines à laver peuvent survenir. Le réparateur Jeanfavre à Lausanne a ainsi noté une hausse de 30% des pannes sur les installations électriques pendant la période caniculaire de fin juin, par rapport à début juillet. Canicule augmentée Les températures moyennes supérieures à la normale font grimper le risque que surviennent des vagues caniculaires, soit trois jours de suite où la chaleur maximale dépasse les 33 degrés. «Le réchauffement climatique crée des périodes de canicule plus longues et plus intenses», rappelait d'ailleurs récemment dans ces colonnes Isabelle Fath, prévisionniste à MétéoSuisse. Et la canicule n'a d'ailleurs peut-être pas dit son dernier mot cet été. «Les masses d'air très chaudes sont très réactives avec le réchauffement climatique», souligne Mikhaël Schwander. Situées sur l'Afrique du Nord, ces dernières peuvent facilement nous atteindre si le courant venait à s'orienter «au sud-ouest ou au sud». Attention, donc. Cela ne signifierait pourtant pas forcément une période caniculaire prolongée. «Pour qu'une canicule soit intense et longue, des conditions particulières doivent se mettre en place, à savoir un courant du sud-ouest sec et persistant ou des conditions anticycloniques sur l'Europe de l'Ouest qui bloquent l'air frais de l'Atlantique», ajoute-t-il. Une chose est sûre cependant: les pics de chaleur ont de beaux jours devant eux. Davantage sur la météo Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Nicolas Pinguely est journaliste à la rubrique économique depuis 2018. Spécialiste en finance, il a travaillé par le passé pour le magazine Bilan, à l'Agefi et au Temps. Il a aussi occupé différents postes dans des banques et sociétés financières, notamment dans la microfinance. 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