
Jonas Vingegaard confirme qu'il sera au départ du Tour d'Espagne : « Hâte que la Vuelta commence »
Dauphin de Tadej Pogacar et sevré de victoire sur le Tour de France, Jonas Vingegaard aura l'occasion de garnir son palmarès lors du prochain Tour d'Espagne, qui partira d'Italie le 23 août prochain. « D'abord, je vais prendre une semaine de repos, mais j'ai hâte que la Vuelta commence », a-t-il confirmé en zone mixte avant le départ de la 20e étape de la Grande Boucle, à Nantua.
Le Danois, double vainqueur du Tour, confirme le planning qu'il avait dévoilé au mois de janvier. Le coureur de la Visma-Lease a bike jouera les deux Grands Tours, comme en 2023. Après sa victoire finale à Paris, il avait achevé le Tour d'Espagne à la deuxième position, derrière son équipier Sepp Kuss.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


L'Équipe
35 minutes ago
- L'Équipe
Toulon dévoile un nouveau maillot extérieur inspiré par le porte-avions Charles de Gaulle
Le Rugby club toulonnais a dévoilé, lundi, son maillot extérieur et il est original. Avec un design qui rend hommage au porte-avions Charles de Gaulle, qui fêtera ses 25 ans de mise en service l'année prochaine. Le Rugby club toulonnais a dévoilé, lundi, le maillot extérieur que porteront ses joueurs durant la saison 2025-2026 en Top 14 comme en Coupe des champions. Et il sort de l'ordinaire puisqu'il est inspiré du célèbre porte-avions Charles de Gaulle, qui fêtera ses 25 ans de mise en service en mai 2026. « C'est de cette image forte, celle du décollage depuis le pont du fleuron de la Marine nationale, le Charles de Gaulle, qu'est né le design du nouveau maillot extérieur du Rugby club toulonnais », précise le club sur son site. Le club de la Rade rend donc hommage à « ce symbole de fierté nationale » via le design de la tunique blanche. « Sur ce maillot, les traînées de décollage des avions s'élancent en formant un V, rappel à la fois de la vitesse et du scapulaire historique porté depuis des générations par les joueurs toulonnais. Le flocage des numéros reprend la typographie utilisée sur les coques des navires de la Marine nationale. Une police brute, sobre, militaire. À l'intérieur du col, les coordonnées GPS du Port de Toulon symbolisant les racines de cette collaboration unique entre deux bastions du territoire varois. » Les Toulonnais étrenneront ce nouveau maillot lors de la première journée de Championnat à Montpellier, le 6 septembre. La saison dernière, le RCT, 3e de Top 14, était allé jusqu'en demi-finales, éliminé (39-24) par l'UBB.

L'Équipe
39 minutes ago
- L'Équipe
Souvenir avec Léon Marchand, bob perdu à la cérémonie d'ouverture... un an après Paris 2024, les bénévoles racontent leur Jeux
Un an après Paris 2024, les 45 000 bénévoles, acteurs essentiels des Jeux, replongent dans leurs souvenirs. Entre rencontres inattendues, émotions et fierté d'avoir « fait » les Jeux, ils racontent leur compétition. On ne voyait qu'eux. Au milieu de la fourmilière olympique, les 45 000 bénévoles de Paris 2024 coloraient la capitale de petites touches bleues et lui donnaient des allures de colonie de vacances. Avec leur marinière bicolore bleu turquoise et indigo, on aurait juré qu'un village entier de Schtroumpfs avait pris d'assaut les rues de Paris. Toujours une vanne à partager, un sourire pour détendre l'ambiance, un coup de main qui arrive sans qu'on demande. Même dans le métro, un simple regard entre eux suffisait pour créer la complicité : la tunique faisait tribu. Un an après les Jeux, ces uniformes sont devenus des reliques pour ceux qui les ont portés. Mention spéciale pour le bob multicolore, devenu une véritable pièce de collection, jusqu'à s'arracher à 500 euros sur Vinted. Carolina Zambrano, 25 ans, elle, a tout gardé précieusement dans un tiroir de sa chambre. Tout... sauf ce bob. « Il est resté dans le fauteuil roulant de la porte-drapeau mexicaine des Jeux Paralympiques lors de la cérémonie d'ouverture (Amalia Perez, quadruple championne paralympique d'haltérophilie) ! lâche cette bénévole qui aidait la délégation paralympique mexicaine au village des athlètes. On est encore en contact, je dois bientôt le récupérer. » « C'est encore aujourd'hui le moment le plus incroyable de ma vie ! » Carolina Zambrano, bénévole au village des athlètes Quand cette étudiante en marketing stratégique avait postulé, deux ans plus tôt, derrière son écran, elle ne se doutait pas une seconde qu'elle vivrait un moment pareil. « Rien que les tests en ligne pour être sélectionnée, c'était mon épreuve à moi ! », sourit-elle. Et puis, le 28 août 2024, la voilà place de la Concorde, en pleine cérémonie d'ouverture des Jeux Paralympiques, à pousser la représentante du Mexique sous les projecteurs du monde entier. « C'est encore aujourd'hui le moment le plus incroyable de ma vie ! assure-t-elle. Je me revois à côté du drapeau, devant cette marée humaine qui nous acclamait. C'est fou quand j'y repense. » Comment devenir volontaire aux Jeux Et dire que la veille, elle s'était tordu la cheville et avait dû se gaver d'ibuprofènes pour supporter la douleur. « Mais quand tout commence, tu ne sens plus rien. Les lumières, la musique, les danseurs... c'était juste magique. J'avais l'impression d'être dans un film. » Ses mots défilent à toute vitesse, comme emportés par une vague de souvenirs qui ne demande qu'à ressurgir. Car il suffit d'un coup de fil pour que tout reparte chez les bénévoles de Paris 2024. On leur parle des Jeux et, aussitôt, la machine s'emballe. « Ah tiens, ça me revient... », lancent-ils presque tous, avant de dégainer une nouvelle anecdote. C'est un refrain qu'on a entendu mille fois en replongeant avec eux dans ce mois d'été pas comme les autres. « Il y a un an, on s'est croisés aux Jeux. Et aujourd'hui, on est en couple » Valentin Jacques, bénévole à Lyon en couple avec Margot « Sous le ciel de Paris, marche des amoureux... hmm-hmm » Le refrain d'Édith Piaf, revisité par Zaho de Sagazan lors de la cérémonie de clôture, résonne encore comme un écho parfait de leur histoire. Bon, OK, ce n'était pas vraiment à Paris, mais plutôt sous le ciel de Lyon, au Groupama Stadium, que Valentin et Margot ont croisé leurs chemins. Deux bénévoles parmi 45 000, qui, au coeur des Jeux, ont trouvé l'amour. Valentin, 21 ans, étudiant en journalisme et originaire de la région, avait postulé presque sans réfléchir, « pour voir les Jeux chez (lui) ». Margot, 21 ans, étudiante en médecine à Nice, elle, cherchait surtout « à vivre une expérience unique ». « Je crois que le 26 juillet prochain, on se regardera en se disant : "Il y a un an, on s'est rencontrés aux Jeux" », sourit Valentin. Tous les deux étaient affectés au secteur « Services / Spectateur » du Groupama Stadium pour le tournoi olympique de football. En clair, il fallait accueillir, orienter, placer les spectateurs, ouvrir les portes, répondre aux questions. « Pendant la compétition, on se croisait de temps en temps, comme avec beaucoup d'autres bénévoles, se souvient Margot. Mais, c'est seulement le dernier jour qu'on a échangé nos comptes Instagram. Et depuis, on ne s'est plus arrêtés de parler. » Alors, quand ils reparlent des Jeux, Valentin revoit d'abord cette demi-finale de l'équipe de France contre l'Égypte, ce match fou gagné 3-1 aux prolongations, avec le doublé de Jean-Philippe Mateta. « Le bruit, le scénario... j'ai encore des frissons rien qu'en y repensant ». Il s'apprête à enchaîner sur un autre souvenir, mais Margot le coupe aussitôt : « Ah non, celui-là, c'est mon moment ! » Comme si chacun gardait jalousement ses instants de Jeux. Pour elle, le plus fort reste le jour où Léon Marchand a décroché sa première médaille d'or. « Tout le stade a vibré en regardant à distance sa première finale sur les téléphones. Quand il a gagné, les gens se sont levés et ont crié comme s'il y avait eu un but ! » « J'étais là, à quelques centimètres de Léon (Marchand) à lui tenir le micro » Hugo Andrieux, bénévole dans la zone mixte de la Défense Arena Eh oui, on y revient encore. Comment parler de ces Jeux sans évoquer ce blondinet toulousain, star de l'été 2024 avec ses quatre médailles d'or ? Hugo Andrieux, lui, n'est pas près d'oublier le 28 juillet, soir de la première victoire de Léon Marchand sur le 400 m 4 nages. Chargé d'affaires à la Caisse d'Épargne de Saint-Brieuc, il était ce soir-là bénévole dans la zone mixte de La Défense Arena. « Il y avait un paquet de journalistes étrangers, tout le monde voulait lui poser des questions, détaille le bénévole qui au moment de la compétition tenait un carnet de bord régulier sur Linkedin et Polarsteps. Et moi, j'étais là, à quelques centimètres de Léon, à lui tenir le micro. Mon coeur battait à 10 000, j'essayais de rester calme. Je me répétais : "Allez Hugo, respire, reste droit, personne ne doit voir ta main trembler !"» Pour ce passionné des JO, qui se décrit lui-même comme « JO-stalgique », les deux semaines passées à la Défense Arena resteront gravées. À tel point qu'il n'a jamais rouvert son sac de bénévole. « C'est mon histoire avec les Jeux, c'est un souvenir unique. Je n'arrive pas à utiliser ces vêtements pour autre chose, ils ont une valeur sentimentale énorme. Il n'y a que quelques pin's que je porte encore de temps en temps », confie-t-il. De cette expérience, il en retient aussi une immense fierté : « Avant le début des Jeux, on sentait ce climat de doute en France, sur la sécurité avec la cérémonie d'ouverture, sur la baignade dans la Seine... Et à la fin des Jeux, entre bénévoles, on s'est dit : "On l'a fait !" » Alors quand on lui demande s'il serait prêt à reprendre des congés pour être de nouveau bénévole aux Jeux de Los Angeles en 2028, la réponse fuse. « Je ne vais pas dire que c'est comme une drogue, mais c'est tellement intense qu'on a envie de revivre ça. » Pour Xavier Brahim, 50 ans, bénévole sur le site de l'Aréna Champ de Mars pour le judo en tant que chaperon - il a même eu la chance d'accompagner le Japonais Sanshiro Murao, médaillé d'argent en -90 kg - il n'y a pas de doute : « rien ne surpassera Paris 2024. » Et pourtant, le Breton en a vu d'autres avec des expériences de bénévolat à l'Euro 2016 de foot, Mondial de handball sans oublier la Coupe du monde de rugby. « Mais là... les JO, c'était autre chose, une vraie saveur à part. On sentait qu'on vivait un moment historique. Et puis croiser des gens venus des quatre coins du monde dans les rues de Paris... c'était juste fabuleux. » Un an après, les milliers de petites histoires des bénévoles continuent de s'empiler. Et au fond, on se dit que ce n'est pas si mal, d'avoir été Schtroumpf pour un été.


L'Équipe
an hour ago
- L'Équipe
Mercato : Wesley quitte Flamengo pour l'AS Rome, situation débloquée pour Saud Abdulhamid à Toulouse ?
L'AS Rome a annoncé lundi la signature du jeune arrière droit Wesley (21 ans) jusqu'en 2030 en provenance de Flamengo. Cette transaction devrait permettre à Toulouse de finaliser le dossier Saud Abdulhamid, l'arrière droit saoudien du club romain. Jeu en triangle entre Flamengo, l'AS Rome et Toulouse autour du poste d'arrière droit. Dimanche, Emerson Royal s'engageait officiellement avec le club brésilien. Lundi, les Romains ont annoncé la signature du jeune Wesley (21 ans) en provenance de... Flamengo, son club formateur avec qui il a disputé 136 rencontres, toutes compétitions confondues. Il est international brésilien depuis fin mars et compte deux sélections. La transaction se situerait autour de 25 millions d'euros. Il vient notamment pour concurrencer l'ancien Lillois Zeki Çelik. L'arrivée de Wesley dans la capitale italienne devrait permettre au TFC d'officialiser prochainement celle de Saud Abdulhamid. L'AS Rome attendait la signature officielle du contrat du Brésilien pour libérer l'arrière droit international saoudien de 26 ans (44 sélections) et lui permettre de s'engager en Haute-Garonne via un prêt avec option d'achat. Abdulhamid n'avait disputé que huit matches toutes compétitions confondues la saison dernière.