
La Bourse de Toronto clôture en hausse, les marchés américains en ordre dispersé
(Toronto) La Bourse de Toronto a clôturé la séance de mardi sur un gain de 0,17 %, pendant que les grands indices américains ont fini en ordre dispersé, à l'approche de la plus récente échéance de droits de douane américains.
La Presse Canadienne
L'indice composé S&P/TSX du parquet torontois a avancé de 47,43 points pour terminer la séance avec 27 364,43 points.
À New York, la moyenne Dow Jones des valeurs industrielles a augmenté de 179,37 points, soit 0,40 %, à 44 502,44 points, tandis que l'indice élargi S&P 500 a pris 4,02 points, ou 0,06 %, à 6 309,62 points. L'indice composé du NASDAQ s'est pour sa part déprécié de 81,49 points, soit 0,39 %, à 20 892,69 points.
Sur le marché des devises, le dollar canadien s'est négocié au cours moyen de 73,34 cents US, en hausse par rapport à celui de 73,03 cents US de lundi.
À la Bourse des matières premières de New York, le cours du pétrole brut, pour livraison en septembre, a reculé de 64 cents US à 65,31 $ US le baril.
Le prix de l'or, pour livraison en août, a grimpé de 37,30 $ US à 3 443,70 $ US l'once.

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5 hours ago
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Trois acheteurs au CN
Le Canadien National a perdu au moins deux appuis cette semaine après que la direction eut abaissé ses prévisions pour la troisième fois en trois ans. Chaque dimanche, nous braquons les projecteurs sur des éléments de l'actualité financière et boursière qui peuvent être utiles à l'investisseur, mais qui pourraient être passés sous le radar Trois administrateurs du Canadien National ont profité de la faiblesse du titre du transporteur ferroviaire montréalais cette semaine pour acheter des actions de l'entreprise. La présidente du conseil d'administration Shauneen Bruder a déboursé 1 million jeudi pour acheter un lot de 7600 actions au prix unitaire de 131,40 $. C'est la troisième fois qu'elle achète des blocs d'actions du Canadien National cette année. Elle avait aussi acheté pour 1 million de dollars d'actions du CN en février l'an passé. Elle siège au conseil du CN depuis huit ans. Susan Jones a acheté jeudi pour 200 000 $ d'actions tandis que Michel Letellier en a acheté pour un peu plus de 160 000 $ lors de transactions effectuées au cours des deux dernières séances de la semaine. Le Canadien National a perdu au moins deux appuis cette semaine après que la direction eut abaissé ses prévisions pour la troisième fois en trois ans. J.P. Morgan et la Financière Banque Nationale ne recommandent désormais plus l'achat de l'action du transporteur ferroviaire montréalais. Cameron Doerksen, de la Financière Banque Nationale, dit voir peu de raisons pour que le titre progresse de manière significative à court ou moyen terme. Il ramène sa cible sur 12 mois à 150 $. Elle était auparavant de 170 $. Chez J.P. Morgan, Brian Ossenbeck, abaisse de son côté son cours cible à 154 $. Il était précédemment de 163 $. À la TD, Cherilyn Radbourne soutient qu'il ne faut pas s'attendre à ce que le titre suscite un vif intérêt tant que les volumes transportés ne renoueront pas avec la croissance. Elle dit qu'il lui apparaît toutefois difficile de retirer sa suggestion d'achat étant donné que le titre du CN se négocie avec un escompte déjà significatif par rapport aux pairs. Bombardier a perdu le soutien de l'analyste de la TD cette semaine. Tim James a retiré mardi sa recommandation d'achat sur le titre du constructeur montréalais de jets privés même s'il dit toujours apprécier les perspectives à long terme. Son choix de ne plus proposer l'achat repose essentiellement sur la récente poussée observée en Bourse qui a gonflé le multiple d'évaluation accordé au titre. PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, ARCHIVES LA PRESSE Les installations de Bombardier à Montréal Bombardier présentera jeudi prochain sa performance financière du deuxième trimestre. L'action de l'entreprise est en hausse de 66 % jusqu'ici depuis le début de l'année. « J'essaie toujours d'éviter de retirer une suggestion d'achat avant la publication des résultats », dit Tim James. « La décision de retirer ma suggestion d'achat n'est pas liée à ce que j'anticipe que le trimestre pourrait avoir été, ni liée aux perspectives commerciales ou au contexte sectoriel. » Tim James affirme que la récente appréciation de l'action est justifiée, mais qu'une expansion additionnelle du multiple d'évaluation nécessitera du temps et des résultats sur le plan financier. Il rappelle par ailleurs que l'action de Bombardier a reculé dans un passé récent après la publication de résultats trimestriels par l'entreprise, indépendamment des chiffres présentés par rapport aux attentes. Bien qu'il dise ne pas voir de raison pour un repli du titre cette fois-ci, il précise ne pas nécessairement avoir compris les réactions passées des investisseurs aux résultats présentés. La récente vigueur de l'action pourrait cependant, croit-il, freiner une nouvelle hausse du titre à court terme. Un administrateur chez Alimentation Couche-Tard a acheté en début de semaine pour près de 160 000 $ d'actions de la chaîne de dépanneurs de Laval. Eric Boyko a acheté lundi un bloc de 2000 actions au prix unitaire de 78,11 $. Eric Boyko est membre du conseil d'administration de Couche-Tard depuis huit ans. Un membre de l'équipe de direction chez Guru vient d'acheter pour plus de 60 000 $ d'actions de l'entreprise montréalaise de boissons énergisantes naturelles. Le vice-président exécutif aux ventes Patrick Charbonneau a acheté un total de 32 000 actions au cours des séances du 17 et du 21 juillet. Le grand patron de G Mining Ventures vient d'acheter un bloc d'actions supplémentaire du producteur d'or montréalais. Louis-Pierre Gignac a acheté le 16 juillet un lot de 1600 actions au prix unitaire de 16,22 $. Les titres québécois de Bombardier, Banque Nationale, 5N Plus, Power Corporation, Coveo, WSP Global, Groupe Dynamite et Redevances OR ont tous de nouveau atteint cette semaine un sommet des 52 dernières semaines à la Bourse de Toronto. En revanche, ceux du Groupe Colabor, du Canadien National et de PyroGenèse ont touché cette semaine leur plus bas niveau depuis un an à Toronto.


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6 hours ago
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Préparer ses finances pour travailler aux États-Unis
Partir travailler dans un autre pays pour quelques années est une expérience enrichissante, mais cela vient aussi avec plusieurs éléments de finances personnelles à gérer. L'idéal, c'est de prendre le temps de s'y préparer et de trouver une personne de confiance pour se faire accompagner. La situation Philippe*, 31 ans, travaille dans un laboratoire de recherche gouvernemental. Il est en couple avec Sévrine*, 27 ans, une Française qui réalise son doctorat au Québec. Elle se prépare à partir faire un postdoctorat de trois ans aux États-Unis qui lui rapportera 65 000 $ US par année. Philippe prévoit de quitter son poste et de partir avec elle. Il a l'intention de demander un permis de travail et de se trouver un emploi pour ces trois années. Le couple compte revenir s'installer au Québec par la suite et s'acheter une propriété dans cinq ans. Philippe, qui gagne 65 000 $ par année, a l'intention de transférer son régime de retraite à prestations déterminées dans un compte de retraite immobilisé (CRI). Il aurait ainsi 40 000 $ qu'il investirait à 80 % dans des actions et à 20 % dans des obligations. Il a également 50 000 $ dans son compte d'épargne libre d'impôt (CELI), avec la même répartition d'actifs, et continue d'y investir 10 000 $ par année. « Je me demande si je devrais continuer à cotiser à mon CELI pendant que je serai aux États-Unis, dit-il. Est-ce que je ferais mieux d'ouvrir un CELIAPP en prévision de l'achat de notre propriété ? » Philippe a aussi 10 000 $ dans son compte à opérations et comme il n'a pas déjà son emploi aux États-Unis, il prévoit de piger dedans au départ. Il s'inquiète toutefois des conséquences de ces trois ans aux États-Unis sur sa retraite. « Est-ce qu'il y aura un impact financier dû au fait que je cesserai de contribuer au Régime de rentes du Québec (RRQ) pendant cette période ? » Le portrait financier Philippe*, 31 ans Salaire annuel : 65 000 $ CELI : 50 000 $ Fonds de retraite : 40 000 $ qui pourront être déposés dans un CRI Les conseils C'est une très bonne chose que Philippe et Sévrine se posent ce genre de questions avant de partir, aux yeux de Léa Saadé, vice-présidente régionale, Montréal et Rive-Sud, IG Gestion de patrimoine. « Il y a plusieurs choses auxquelles il faut penser dans une situation comme la leur et il faut être bien accompagné pour s'assurer de faire les choses correctement », affirme-t-elle. PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE Léa Saadé, vice-présidente régionale, Montréal et Rive-Sud, IG Gestion de patrimoine Je leur conseille d'ailleurs de chercher tout de suite un comptable professionnel agréé (CPA) qui connaît bien les lois fiscales canadiennes et américaines et qui pourra réaliser leurs déclarations de revenus dans les deux pays. Léa Saadé, vice-présidente régionale, Montréal et Rive-Sud, IG Gestion de patrimoine Harmonisation fiscale et des rentes Le couple devra compter minutieusement les jours qu'il passera aux États-Unis dans l'année où il s'y installera. « Du moment où ils sont au moins 183 jours dans l'année aux États-Unis, ils sont considérés comme résidents fiscaux, donc ils devront produire une déclaration de revenus là-bas, précise Olivier Mercier, planificateur financier chez IG Gestion de patrimoine. S'ils s'y installent en septembre, ils ne les atteindront pas en 2025, mais en 2026. » « Une convention a été signée avec les États-Unis et plusieurs autres pays pour assurer une harmonisation fiscale, c'est-à-dire que si les déclarations de revenus sont bien faites et déposées à temps, ils éviteront la double imposition canadienne et américaine », explique Léa Saadé. Le Bureau des ententes de sécurité sociale de la RRQ permet aussi une harmonisation des régimes de retraite publics de plusieurs pays, dont les États-Unis. Donc, ce qui sera prélevé sur leur paye pour les régimes de retraite publics américains pourra être transféré ici. Léa Saadé, vice-présidente régionale, Montréal et Rive-Sud, IG Gestion de patrimoine Philippe doit aussi savoir que pour calculer sa rente à la retraite, le RRQ se base sur la moyenne des revenus admissibles depuis l'âge de 18 ans, mais exclut automatiquement du calcul 15 % des années les moins rémunératrices. PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE Olivier Mercier, planificateur financier chez IG Gestion de patrimoine Ainsi, s'il accumule peu ou rien du tout pour le RRQ pendant ces années, cela pourrait venir réduire légèrement le montant de sa rente. Par contre, s'il a plusieurs années avec des revenus stables, l'impact sera atténué. Olivier Mercier, planificateur financier chez IG Gestion de patrimoine Cotiser au maximum dans le CELI avant de partir Un élément important à savoir avant de quitter le Canada, c'est qu'on ne peut pas cotiser dans son CELI sans être résident canadien. « Considérant que Philippe ne pourra pas investir dans son CELI lorsqu'il sera aux États-Unis et qu'il n'aura pas non plus de droits de cotisation qui s'accumuleront, il devrait y investir ce qu'il peut d'ici à ce qu'il parte, affirme Olivier Mercier. S'il cotise quand même lorsqu'il est aux États-Unis, ces sommes deviendront des cotisations excédentaires et il devra payer 1 % d'impôt par mois sur la somme cotisée. » Ouvrir le CELIAPP avant de quitter le pays et cotiser plus tard Pour le CELIAPP, c'est le contraire ! « Pour l'ouvrir, il faut être résident canadien et ne pas avoir été propriétaire pour les quatre dernières années, mais une fois qu'il est ouvert, on peut cotiser dedans même si on quitte le pays, explique le planificateur financier. C'est donc très important qu'il l'ouvre avant de partir et il pourra cotiser pendant tout le temps où il sera aux États-Unis. » Pour retirer la somme de son CELIAPP et l'investir dans sa propriété, par contre, il faut être résident canadien. Transférer le fonds de retraite dans un CRI Pour le fonds de retraite, l'idée de prendre la somme offerte par l'employeur et de la placer dans un CRI semble être intéressante pour Philippe, aux yeux du planificateur financier. « Comme il a une tolérance au risque assez élevée et qu'il placera cette somme à 80 % dans des actions et à 20 % dans des obligations, il pourra s'attendre à un bon rendement et aussi, plus tard, il pourra contrôler ce qu'il sort comme revenu imposable », explique-t-il. Par contre, il lui conseille de réfléchir à ce qu'il voudra faire à son retour des États-Unis. « S'il est possible qu'il retourne travailler dans le public, ce serait probablement plus avantageux de garder son fonds de retraite et de continuer à y cotiser plus tard afin de recevoir une rente à sa retraite qui sera assurée pour le restant de sa vie. » Chercher un emploi avant de partir Léa Saadé conseille pour sa part à Philippe de commencer à chercher activement dès maintenant un emploi aux États-Unis. « Plusieurs entrevues d'embauche se font en ligne et s'il explique sa situation, les employeurs comprendront pourquoi il fait sa recherche d'emploi à partir du Canada, explique-t-elle. L'objectif est qu'il puisse travailler rapidement en arrivant pour toucher le moins possible à son fonds d'urgence. » * Bien que le cas mis en lumière dans cette rubrique soit réel, les prénoms utilisés sont fictifs.


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7 hours ago
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Une vingtaine d'influenceurs contactés par l'AMF
Une vingtaine d'influenceurs québécois dont le contenu est consacré à la finance ont été contactés, le mois dernier, par l'Autorité des marchés financiers (AMF). Le message est clair : il faut adopter une conduite responsable… ou en assumer les conséquences. Ce n'est pas un mythe : les influenceurs sont une source d'information de plus en plus crédible aux yeux des internautes. De fait, environ 28 % des Canadiens ont indiqué avoir recours aux réseaux sociaux, aux forums de discussion ou aux influenceurs financiers pour obtenir des renseignements et des conseils en finances personnelles, selon la plus récente enquête sur les investisseurs de l'Organisme canadien de réglementation des investissements (OCRI), réalisée en juin 2024. Ce chiffre ne surprend pas l'AMF. Un autre sondage plus récent, des Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM), évalue que 82 % des 18 à 24 ans ont déjà consulté un réseau social pour de l'information financière, et 75 % des 25 à 34 ans. Ce qui frappe l'AMF, c'est plutôt la multiplication des « finfluenceurs ». Mais qu'est-ce qu'un « finfluenceur » ? C'est un créateur de contenu qui tire parti de son audience sur les réseaux sociaux pour offrir des conseils, exprimer ses opinions sur divers placements ou promouvoir des produits d'investissement. Mais ils ne sont pas tous habilités à le faire. Préoccupée par ce constat, l'AMF a mené une vaste opération de conscientisation auprès d'une vingtaine de « finfluenceurs » québécois, dont les propos ou les comportements pourraient ne pas respecter la loi. En cas d'infraction, la Loi sur les valeurs mobilières impose des peines importantes, pouvant aller jusqu'à cinq ans moins un jour d'emprisonnement, pour une personne physique, et des amendes pouvant atteindre plusieurs millions de dollars pour une société. PHOTO OLIVIER JEAN, ARCHIVES LA PRESSE Les bureaux de l'Autorité des marchés financiers, à Montréal Où tracer la ligne ? En général, transmettre des informations factuelles qui décrivent les caractéristiques d'un produit financier est tout à fait acceptable. C'est quand l'opinion entre en jeu que cela se corse. Si les influenceurs financiers vont plus loin, c'est-à-dire s'ils incitent des gens à investir dans des produits ou des services financiers, ou qu'ils donnent des conseils personnalisés sur ces produits ou services financiers, c'est là qu'il y a des exigences. Hélène Guilbault, coordonnatrice experte en enquête sur les cryptoactifs à l'AMF En effet, il faut être enregistré auprès de l'AMF pour offrir ce genre de services… et le web ne fait pas exception. Qui est enregistré auprès de l'AMF ? Les professionnels en assurance, en courtage hypothécaire, en planification financière et en valeurs mobilières (épargne collective, placement de portefeuille) sont normalement enregistrés auprès de l'AMF, une fois leur certification officielle obtenue. Vérifiez si l'entreprise, la plateforme ou la personne avec qui vous faites affaire est enregistrée auprès de l'AMF Cadre réglementaire En général, les influenceurs contactés par l'AMF ont pris très au sérieux la démarche et certains s'en sont inquiétés, selon l'organisation. « Il y a [des finfluenceurs] à qui on s'est adressé simplement pour dire : 'Voici la réglementation, voici les articles de loi qui pourraient s'appliquer à ta situation. Alors, assure-toi de la respecter' », explique l'experte de l'AMF Hélène Guilbault, qui a piloté le dossier. « Il y en a d'autres où on a dit : 'Tu as franchi la ligne, tu dois retirer du contenu, il y a des éléments qui sont incorrects' », raconte-t-elle. Les détails concernant les influenceurs contactés ne peuvent être dévoilés, explique l'AMF, pour ne pas nuire aux dossiers d'enquête qu'elle a dû ouvrir dans certains cas. Chose certaine, même inscrit, le finfluenceur doit respecter un cadre réglementaire. « Il reste qu'en fin de compte, c'est l'investisseur qui a la décision finale », souligne Sylvain Théberge, directeur des relations médias, des affaires publiques et des communications externes à l'AMF. Selon l'OCRI, près de la moitié des internautes qui consultent les réseaux sociaux pour des conseils considèrent que l'information qu'ils obtiennent sur le web est aussi fiable que celle fournie par un conseiller traditionnel. « Allez chercher de l'information autant chez les institutions qu'auprès de ces influenceurs, il n'y a pas de problème avec ça, mais ultimement, il ne faut jamais prendre de décision sous pression, et ne jamais se précipiter en croyant qu'on a trouvé la formule de l'année pour se rendre riche », résume Sylvain Théberge. Certification en France En France, il existe depuis 2023 une certification facultative, mais vivement recommandée pour les influenceurs financiers, intitulée Certificat de l'influence responsable. « C'est certainement une initiative notable », estime Sylvain Théberge. « Il ne semble pas y avoir de projets en ce sens-là ici, mais c'est certainement quelque chose qui pourrait être réfléchi ou analysé », ajoute-t-il. Lancée conjointement par l'Autorité des marchés financiers française et l'Autorité de régulation professionnelle de la publicité, cette certification peut être obtenue au moyen d'une formation qui aborde les produits d'investissement – actions, obligations, fonds négociés en Bourse (FNB), produits dérivés –, ainsi que les différents services financiers : conseil en investissement, gestion de portefeuille, réception et transmission d'ordres.