
Euro 2025 : le tableau complet des demi-finales
l'Euro 2025
sont désormais connues, le dernier quart de finale opposant la France et l'Allemagne ayant livré son verdict samedi soir. Victorieuses aux tirs au but à Bâle (1-1, 6-5 t.a.b.), ce sont les Allemandes qui héritent de la demie face aux championnes du monde espagnoles à Zurich, le 23 juillet.
Les coéquipières d'
Aitana Bonmatí
(Ballon d'or 2023, 2024) avaient dû s'employer
pour écarter le pays hôte suisse (2-0)
et se hisser dans le dernier carré.
Du côté de Genève, le 22 juillet, l'Angleterre, tenante du titre, et l'Italie, équipe surprise de ce Championnat d'Europe, s'affronteront pour une place en finale.
Bien mal embarquées face à la Suède (menées 2-0 dès la 25e), les joueuses de Sarina Wiegman étaient revenues en toute fin de match (Bronze et Agyemang, 79e et 81e) avant de s'imposer au terme d'une incroyable séance de tirs au but.
Les Transalpines avaient, elles, surpris la Norvège d'Ada Hegerberg (2-1) grâce à la patte de Cristiana Girelli (50e, 9Oe).
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


L'Équipe
19 minutes ago
- L'Équipe
Mahieu, Grousset, Ndoye-Brouard... Les Français à suivre dans les bassins ce lundi aux Mondiaux
Maxime Grousset est la première chance d'or aux Mondiaux de Singapour, ce lundi en finale du 50 m papillon. Quatre autres Tricolores seront dans les bassins, pour les demi-finales du 100 m dos. Après les deux bronzes de Marc-Antoine Olivier en eau libre, la France peut rêver plus grand ce lundi, aux Mondiaux de Singapour. Maxime Grousset, qui a signé le meilleur temps en séries (22''74) et en demi-finales (22''61), dispute ce lundi la finale du 50 m papillon (13h45, heure française). Devenu le 5e nageur le plus rapide de tous les temps sur la distance, le Néo-Calédonien de 26 ans s'avance en favori après sa troisième place à Fukuoka en 2023. En l'absence du champion du monde en titre Thomas Ceccon, ses principaux rivaux sont le Suisse Noè Ponti et le Britannique Benjamin Proud, de part et d'autre de sa ligne d'eau numéro 4. Le papillon, la nage qui canalise Maxime Grousset Quatre Tricolores en demi-finales En revanche, Thomas Ceccon est bien présent en demi-finales du 100 m dos, dont il est champion olympique. Dans sa série (à 13h23) figure le Français Yohann Ndoye-Brouard (24 ans), meilleur temps des séries après son record personnel (52''30), et double médaillé de bronze européen sur la distance. Les places en finale seront chères avec le retour des Russes, qui sont au nombre de deux - Kliment Kolesnikov, Miron Lifintsev - dans la demi-finale de l'autre Tricolore en lice (à 13h18), Mewen Tomac (23 ans), qualifié avec le 10e chrono (53''07). Sur la même distance, Pauline Mahieu (26 ans) et Marie-Ambre Moluh (19 ans) disputent également les demi-finales. La première a souffert en séries mais est passée avec le 10e temps, en 1'00''48, et sera dans les bassins à 13h52. La seconde, vaillante 7e des séries en 59''47, nagera aux côtés de la quintuple championne olympique Kaylee McKeown (à 13h57). Plusieurs finales sans Tricolore se disputent également dans la journée : celles du 100 m brasse masculin (13h02), du 100 m papillon féminin (13h10) et du 200 m 4 nages féminin (14h19).


Le Figaro
19 minutes ago
- Le Figaro
Tour de France : «Notre rivalité est un privilège», estime Tadej Pogacar au sujet de Jonas Vingegaard
En conférence de presse à l'issue de son quatrième sacre sur la Grande Boucle, le Slovène a évoqué sa rivalité avec Jonas Vingegaard, son dauphin. Vainqueur de son quatrième Tour de France dimanche, Tadej Pogacar a «adoré» la dernière étape dans Paris, «la course à l'état pur», a expliqué le Slovène en conférence de presse où il s'est aussi confié sur la difficulté de son métier et sur sa rivalité avec Jonas Vingegaard. À découvrir Le classement du Tour de France Vous avez été très dominant au début du Tour, moins en troisième semaine. Parce que vous étiez fatigué ? Malade ? TADEJ POGACAR - «J'étais fatigué cette dernière semaine. Mais là je n'ai pas envie de parler de ce qui s'est mal passé mais plutôt savourer ma victoire ici à Paris avec le maillot jaune.» Publicité Est-ce que vous avez peur de faire un burn-out un jour ? «Si c'était le cas, je pourrais prendre ma retraite et être heureux de ce que j'ai accompli. On s'entraîne énormément, parfois trop. Je trouve que nous, les cyclistes, sommes trop obsédés par l'entraînement. C'est toujours plus. On voit de plus en plus de coureurs fatigués tôt dans la saison et les courses s'enchaînent. On arrive en octobre, enfin une pause, et en décembre ça repart déjà. Il y a beaucoup de burn-out. Je n'en suis pas là. Mais ça pourrait m'arriver aussi.» Est-ce que votre rivalité avec Jonas Vingegaard a évolué avec le temps ? «Il a commencé à s'ouvrir plus. Au Dauphiné, on a eu quelques discussions sympas sur des choses autres que le sport. J'aime bien ce gars et j'aime courir contre lui. Aujourd'hui, pendant le départ fictif, on s'est dit à quel point ces cinq dernières années ont été incroyables. On a repoussé nos limites. Notre rivalité est un privilège, elle nous fait grandir tous les deux.» À lire aussi «Il y a encore plus de monde que l'an dernier»: dans les pentes de la rue Lepic, un volcan en éruption pour la dernière étape du Tour de France Vous avez besoin que quelqu'un vous défie pour trouver une motivation, comme Wout Van Aert aujourd'hui ? « Je ne sais pas. Aujourd'hui c'est aussi dû à la physionomie de la course. C'était un gros combat à l'avant, tout le monde était à fond, c'était de la course à l'état pur. On avait aussi à l'esprit que c'était la dernière, qu'on n'aurait pas à refaire ça demain. On a mis tout ce qu'on avait sur la route. J'ai adoré.» Je ne veux pas déjà penser aux prochains objectifs. La Vuelta, le Giro, tout est possible. Mais là j'ai surtout envie de retrouver mes coéquipiers et de passer une bonne soirée ensemble Tadej Pogacar Vous êtes à une victoire d'égaler le record de cinq victoires dans le Tour de France, c'est l'objectif ? «Pour l'instant je n'ai pas de buts clairs, peut-être les Championnats du monde et le Tour de Lombardie cette année. Pour le reste je ne sais pas. Je ne veux pas déjà penser aux prochains objectifs. La Vuelta, le Giro, tout est possible. Mais là j'ai surtout envie de retrouver mes coéquipiers et de passer une bonne soirée ensemble.»


Le Figaro
19 minutes ago
- Le Figaro
Tennis : «Je suis sûre qu'on se recroisera», Naomi Osaka se sépare de son entraîneur Patrick Mouratoglou
Ce lundi, la Japonaise a annoncé la fin de sa collaboration avec son entraîneur Patrick Mouratoglou. La Japonaise Naomi Osaka, victorieuse de quatre tournois du Grand Chelem, a annoncé lundi qu'elle se séparait de son entraîneur Patrick Mouratoglou, après moins d'un an de collaboration. «Merci Patrick. Ça a été une expérience formidable d'apprendre à tes côtés. Je te souhaite le meilleur, tu es l'une des personnes les plus cool que j'aie rencontrées. Je suis sûre qu'on se recroisera», écrit sur ses réseaux sociaux l'ancienne numéro un mondiale. Publicité La joueuse de 27 ans s'était associée en septembre dernier au Français, longtemps entraîneur de Serena Williams, titrée 23 fois en Grand Chelem. Osaka n'avait pas joué en 2023 après la naissance de sa fille et a eu du mal à retrouver sa régularité après son retour sur le circuit professionnel il y a un an en raison notamment de blessures. Actuellement classée 49e, elle a été éliminée au premier tour de Roland-Garros et au troisième tour de Wimbledon cette année. Durant sa collaboration avec Mouratoglou, elle a disputé une finale à Auckland en janvier et remporté le tournoi WTA 125 de Saint-Malo en mai. Osaka est double gagnante de l'US Open (2018, 2020) et de l'Open d'Australie (2019, 2021).