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PSG : «On cherchait un profil de gardien différent», Luis Enrique se justifie pour Donnarumma

PSG : «On cherchait un profil de gardien différent», Luis Enrique se justifie pour Donnarumma

Le Figaro3 days ago
Interrogé en conférence de presse ce mardi, à Udine, le coach parisien a expliqué les raisons de la mise à l'écart du gardien international italien.
De héros à zéro, il n'y a qu'un pas… Brillant au cours de la deuxième partie de la saison écoulée en Ligue des champions, Gianluigi Donnarumma a été écarté avant la Supercoupe d'Europe, mercredi, à Udine, contre Tottenham. Légende déchue, d'un coup d'un seul... Sous contrat jusqu'en 2026, il n'a jamais trouvé d'accord avec le PSG pour prolonger. Et le club a misé sur Lucas Chevalier (23 ans, ex-Lille). Interrogé en conférence de presse ce mardi, Luis Enrique a livré ses vérités. «Ce sont toujours des décisions difficiles à prendre. Gigio Donnarumma est l'un des meilleurs joueurs à son poste, sans aucun doute, et il est encore mieux comme personne, mais on cherchait un profil de gardien différent», a-t-il simplement indiqué.
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Malgré ses qualités sur la ligne et ses progrès notables sur ses points faibles lors des six derniers mois, l'ancien Milanais ne sera en effet jamais aussi complet et doué au pied que Chevalier, c'est un fait. «C'est toujours difficile de trancher dans ce genre de situation», a tout de même admis le coach espagnol, relancé à plusieurs reprises sur le sujet, notamment par nos confrères de la presse italienne. «L'objectif est d'améliorer l'équipe. J'ai été clair dans ma réponse précédente», a-t-il résumé. Et d'ajouter, sur une nouvelle relance : «J'ai déjà répondu. Il n'y a rien de plus à dire. C'est ma décision, le club me soutient.» Point final. Recruté en 2021 et âgé de 26 ans, Gigio Donnarumma serait notamment dans le viseur de Manchester City.
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À quoi mesure-t-on la puissance d'un goût de reviens-y ? Peut-être à la manière qu'il a d'aimanter près de 13 613 âmes, venues de plus ou moins loin, un week-end du 15 août alors que la plupart des rues parisiennes convoquent une tranquillité qui rappelle les années Covid. Un an après l'épopée bleue aux Jeux de Paris, stoppée au bord du rêve par les Avengers américains et leur intraitable « chef Curry », de nombreux fans s'étaient donné rendez-vous à l'Accor Arena, avec l'envie de humer (à nouveau) le parfum délicieux de cette atmosphère qui avait accompagné l'équipe de France jusqu'à une magnifique médaille d'argent. Une perspective si séduisante que la salle a ouvert pour eux des portes qui restent traditionnellement fermées en cette période estivale. Ils étaient des centaines à patienter sur l'esplanade, plus de deux heures avant le coup d'envoi l'avant-dernier match de préparation à l'Euro basket (27 août – 14 septembre) face à l'Espagne hier soir, faisant se côtoyer les habits de vacances, les tuniques aux couleurs des Bleus (qu'ils s'agissent de foot, de basket ou de rugby), comme celles des supporters avec leur écusson de coq enflammé propres aux Jeux. On n'aura pas non plus loupé le tee-shirt patchwork de phryges, porté par une tête blonde haute comme trois pommes qui tentait sa chance sur le panier installé dans la zone. À voir aussi Pas question pour eux de manquer le retour des héros. À l'image d'Agnès, Anna et Claire, mère et filles venues de Lorraine, il s'agissait de prolonger la fête. « On était là pour les demies filles et garçons, c'était incroyable. On espère que ce sera aussi bien », se remémoraient-elles. Les forfaits en cascade, de la nouvelle coqueluche, Victor Wembanyama (flocage le plus présent dans les tribunes, qu'il se décline aux couleurs du coq ou de son club des San Antonio Spurs), ou de cadres expérimentés comme Rudy Gobert et Evan Fournier, n'a pas du tout douché leur enthousiasme. « Mon chouchou sur la prépa, c'est (Sylvain) Francisco », glisse la mère en experte. Bien vu : le meneur de Kaunas fut, avec Matthew Strazel, le grand artisan de la victoire française. « C'est chouette de voir les pépites émerger, de se battre pour leur place », complètent les deux autres. Un sentiment partagé par l'ensemble des curieux interrogés. Malheureux de ne pas avoir pu mettre la main sur un ticket pour la finale face aux USA l'été dernier, Romain et Mylène, habitants de Seine-et-Marne, profitaient de l'occasion pour observer Bilal Coulibaly de près, tandis que l'attention des Rennais Yassine et Andréa, se portaient plus vers son coéquipier à Washington, Alexandre Sarr. « La base est très bien pour continuer à nous faire rêver » Une curiosité et un amour pour une nouvelle génération qui a tout d'opportun. Cette rencontre était autant l'occasion de se rappeler aux bons souvenirs de Jeux, dont il ne restait que quatre visages connus (Yabusele, Strazel, Cordinier, Coulibaly), qu'un passage de témoin. Puisque le meneur aux doigts de fée Nando De Colo (38 ans, 209 sélections) et celui qui restera dans les mémoires de beaucoup comme un contreur et un défenseur d'exception Nicolas Batum (36 ans, 177 sél.), retraités internationaux après près de vingt ans de loyaux services, étaient honorés avant le lancement des hostilités. « C'est fini. C'est ça qui est dur à accepter. Ça clôt vraiment l'histoire. C'est une salle particulière, on a vécu un moment particulier ici pour finir, de voir Bercy rempli, de voir des images de nous jeunes, de retracer un peu tout. C'était un grand moment. C'est passé très très vite. Je leur dis d'en profiter », soulignait Batman les yeux rougis, avant de partager son regard sur le cycle suivant. « Nouveau coach, nouveaux leaders, nouveau capitaine, nouveau tout. Il en manque quelques-uns, mais on sent que ça veut jouer ensemble, défendre dur. La base est très bien pour continuer à nous faire rêver. » Tout aussi ému, Nando De Colo (6 médailles internationales) jugeait lui que les « confrontations toujours très intenses face aux Espagnols » avaient servi sa génération pour réaliser un parcours si prolifique. Au terme de cette double confrontation, leurs jeunes cadets menés par Frédéric Fauthoux, auront assurément aiguisé leur collectif et leur caractère. Menés 44-28 à la mi-temps, les Bleus ont vite recollé après la pause pour revenir à égalité à 5 minutes de la fin. Matthew Strazel, en patron, allait mener les siens à la victoire (78-73).

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Au bord du gouffre et même rétrogradé en Ligue 2 il y a un mois et demi, finalement sauvé en appel de la DNCG, Lyon a bien démarré son Championnat en gagnant à Lens grâce à sa cohérence et des valeurs nourries par les soubresauts estivaux. La dernière fois que les Lyonnais avaient commencé la Ligue 1 au stade Bollaert, ils étaient repartis avec une défaite (0-2, le 28 juillet 2001), puis ils avaient été champions de France pour la première fois de leur histoire au printemps suivant. Samedi, c'est une victoire à Lens qui a lancé leur saison (1-0), cela annonce peut-être qu'ils ne remporteront pas le titre en mai 2026, mais autant ne pas tourner en rond, on s'y attendait. Après avoir été rétrogradés en Ligue 2 par la DNCG à la fin du mois de juin, après avoir craint pour l'existence même du club et après avoir tant espéré et tant prié, terrorisés par les pires scénarios qui polluaient leurs nuits sans sommeil, les Lyonnais sont déjà bien contents d'être encore là, dans l'élite, et peu importe si le budget et le standing ont pris un sérieux coup de rabot au passage. « L'OL est un phénix, cette situation a créé de la solidarité et de la cohésion entre les joueurs, on voit qu'une force mentale collective est en train de s'installer dans ce groupe, remarque Pierre Sage. Ils ont été capables de mobiliser les ressources nécessaires pour sauvegarder le 1-0 quand ça a été très difficile pour eux à la fin, notamment sur le plan athlétique, et ils ont tenu. » « Maintenant, c'est à nous d'assumer sur le terrain » Moussa Niakhaté, défenseur de Lyon Le coach sang et or a longuement été ovationné avant le match par les supporters lyonnais en parcage, qui ont été applaudis en retour par le Bollaert, ce qui montre que les premiers ont de la mémoire et que le stade du RCL est un des plus beaux sanctuaires du football en France. C'est là que l'équipe de Paulo Fonseca a parfaitement lancé son Championnat, parfois en souffrant, mais en se procurant au moins autant de situations franches que son adversaire, ce qui n'est pas rien, car le score aurait pu être bien plus large. Les notes de Lens-OL : Fofana a mis Baidoo au supplice « C'est bien ce qu'on a fait aujourd'hui (samedi), même si ce n'était pas parfait, reconnaît Moussa Niakhaté. Ce qui était parfait, par contre, c'est le caractère qu'on a montré. Lens nous a mis le feu à certains moments, mais on est restés calmes. Les dirigeants ont fait leur travail en nous maintenant en L1, il y a eu beaucoup de choses qui ont été dites, et maintenant, c'est à nous d'assumer sur le terrain. » Le défenseur sénégalais et ses coéquipiers l'ont fait, samedi, en appliquant le plan tactique rodé de leur coach, encore perché en tribune pour plus de trois mois. Les sorties de balle ont été propres, le milieu de terrain complémentaire et Georges Mikautadze, l'avant-centre désormais titulaire, a marqué le premier but de la saison après un travail de l'intenable Malick Fofana (45e+ 1, lire aussi page 3). « Il y avait beaucoup de joie dans le vestiaire, a confié le jeune ailier belge. Moi, j'avais confiance dans le club cet été. On nous a dit de ne pas paniquer et de se focaliser sur le terrain. Vivre des trucs comme ça, c'est juste le foot. » « On s'en fout de ne plus faire partie des favoris » Georges Mikautadze, attaquant de Lyon Cela n'arrive pas tous les jours, quand même, et chacun respire mieux à l'OL depuis que John Textor a été contraint par ses créanciers de quitter la présidence, le 30 juin, avant l'appel salvateur et un maintien arraché contre la promesse de l'austérité, il y a un mois. « Avec tout ce qu'on a subi à l'intersaison... Tout le monde se demandait ce qu'allait devenir le club, souffle Jorge Maciel, l'adjoint de Fonseca. Mais on a montré que malgré cette situation, avec de la cohérence dans le travail, on peut faire les choses bien. On est moins bling-bling, on n'a pas de recrue avec un gros statut, mais on est une équipe. Les joueurs ont conscience que c'est le travail collectif qui nous fera avancer. » « S'il y a une bonne opportunité, on va voir » : Malick Fofana fait le bonheur de l'OL, tant qu'il est encore là Les axes d'amélioration sont connus : Lens a touché 49 ballons dans la surface lyonnaise, samedi, et c'est beaucoup trop de munitions concédées à l'adversaire pour espérer naviguer dans les hauteurs du Championnat. La saison sera longue et il faudra aussi que des talents se révèlent, à Lyon. L'Anglais Tyler Morton ressemble à une bonne pioche au milieu, où émerge le précoce Khalis Merah (18 ans), très bien entré en jeu à Bollaert, tandis que des renforts sont encore attendus. Mais la concurrence est rude en Ligue 1 et personne ne voit l'OL lutter avec l'OM ou Monaco pour le podium. « On s'en fout de ne plus faire partie des favoris, lance Mikautadze. Aujourd'hui, on est très soudés et on fera tout pour aller le plus haut possible. » Avec cet état d'esprit, rien ne leur est interdit.

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