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Corse : un impact de balle retrouvé sur la façade de la gendarmerie de Sartène

Corse : un impact de balle retrouvé sur la façade de la gendarmerie de Sartène

Le Parisiena day ago
La gendarmerie de Sartène (Corse-du-Sud) a été la cible de coups de feu dans la nuit de jeudi à vendredi, a appris l'AFP auprès du parquet d'Ajaccio qui a ouvert une enquête.
Un impact a été relevé sur la façade de l'édifice, alors que « 3 à 5 détonations ont été entendues dans la nuit », sans faire de victime, a précisé vendredi le parquet.
Les festivités du 15 août ?
Une enquête a été ouverte pour « dégradation ou détérioration d'un bien par un moyen dangereux avec mise en danger de personnes dépositaires de l'autorité publique », ainsi que pour « port et transport prohibé d'arme de catégorie B ».
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« Nous ne laisserons pas faire » : Jean-Luc Mélenchon et LFI soutiennent l'appel à « tout bloquer » le 10 septembre
« Nous ne laisserons pas faire » : Jean-Luc Mélenchon et LFI soutiennent l'appel à « tout bloquer » le 10 septembre

Le Parisien

time17 minutes ago

  • Le Parisien

« Nous ne laisserons pas faire » : Jean-Luc Mélenchon et LFI soutiennent l'appel à « tout bloquer » le 10 septembre

Voilà que les politiques s'en emparent. Jean-Luc Mélenchon et plusieurs responsables LFI ont appelé samedi à censurer le Premier ministre, François Bayrou, et apporté leur soutien à l'appel à « tout bloquer » le 10 septembre lancé par des internautes, dans un texte paru dans La Tribune Dimanche. « Nous appelons à une offensive déterminée pour faire tomber ce gouvernement. Sur le terrain par la mobilisation populaire tous azimuts et au Parlement par une motion de censure immédiate », écrit Jean-Luc Mélenchon, en estimant que « les deux doivent aller de pair, car faire l'un sans l'autre est vain ou bien incertain ». « Nous ne laisserons pas faire », insiste le leader des Insoumis, qui demande « que l'Assemblée nationale soit réunie au plus vite en session extraordinaire ». « L'actualité l'exige. Nous déposerons immédiatement une motion de censure pour faire tomber le gouvernement », préviennent les signataires de la tribune, dont la cheffe des députés LFI, Mathilde Panot, et le coordinateur du parti, Manuel Bompard, selon qui « ce gouvernement est incapable d'entendre raison » et « prépare la rentrée avec un projet de budget dévastateur ». « Il faut renvoyer François Bayrou et son gouvernement, tout de suite », écrivent-ils. Un appel à « tout bloquer » le 10 septembre Les responsables de La France insoumise ont par ailleurs « décidé de soutenir l'initiative populaire du 10 septembre ». Venus d'horizons divers, des appels à « tout bloquer » dans le pays à cette date se multiplient sur les réseaux sociaux, d'abord principalement par des comptes associés à l'extrême droite, mais aussi plus marginalement à l'extrême gauche, en se cristallisant autour des coupes budgétaires voulues par François Bayrou. Leur possible concrétisation dans la rue reste une inconnue. Sur de nombreux comptes déjà établis ou spécialement créés, les messages de ce mouvement à l'état gazeux peuvent mentionner le référendum d'initiative citoyenne, réclamer des hausses de salaires et des retraites ou appeler à la « résistance », au confinement volontaire ou la grève générale.

Jean-Luc Mélenchon appelle à la censure de François Bayrou et soutient le mouvement de blocage du 10 septembre
Jean-Luc Mélenchon appelle à la censure de François Bayrou et soutient le mouvement de blocage du 10 septembre

Le Figaro

timean hour ago

  • Le Figaro

Jean-Luc Mélenchon appelle à la censure de François Bayrou et soutient le mouvement de blocage du 10 septembre

«Nous déposerons immédiatement une motion de censure pour faire tomber le gouvernement», préviennent les signataires du texte paru dans La Tribune Dimanche, dont la cheffe des députés LFI, Mathilde Panot, et le coordinateur du parti, Manuel Bompard. Jean-Luc Mélenchon et plusieurs responsables LFI ont appelé samedi à censurer le premier ministre, François Bayrou, et apporté leur soutien à l'appel à «tout bloquer» le 10 septembre lancé par des internautes, dans un texte paru dans La Tribune Dimanche. «Nous appelons à une offensive déterminée pour faire tomber ce gouvernement. Sur le terrain par la mobilisation populaire tous azimuts et au Parlement par une motion de censure immédiate», écrit Jean-Luc Mélenchon, en estimant que «les deux doivent aller de pair, car faire l'un sans l'autre est vain ou bien incertain». «Nous ne laisserons pas faire», insiste le leader des Insoumis, qui demande «que l'Assemblée nationale soit réunie au plus vite en session extraordinaire». Publicité «L'actualité l'exige. Nous déposerons immédiatement une motion de censure pour faire tomber le gouvernement», préviennent les signataires de la tribune, dont la cheffe des députés LFI, Mathilde Panot, et le coordinateur du parti, Manuel Bompard, selon qui «ce gouvernement est incapable d'entendre raison» et «prépare la rentrée avec un projet de budget dévastateur». «Il faut renvoyer François Bayrou et son gouvernement, tout de suite», écrivent-ils. Soutien à l'initiative populaire du 10 septembre Les responsables de La France insoumise ont par ailleurs «décidé de soutenir l'initiative populaire du 10 septembre». Venus d'horizons divers, des appels à «tout bloquer» dans le pays à cette date se multiplient sur les réseaux sociaux, en se cristallisant autour des coupes budgétaires voulues par François Bayrou. Leur possible concrétisation dans la rue reste une inconnue. Sur de nombreux comptes déjà établis ou spécialement créés, les messages de ce mouvement à l'état gazeux peuvent mentionner le référendum d'initiative citoyenne, réclamer des hausses de salaires et des retraites ou appeler à la «résistance», au confinement volontaire ou la grève générale. «Nous demandons à tous ceux qui partagent nos principes et notre volonté d'action pour en finir avec le gouvernement Bayrou de se mettre immédiatement au service des collectifs locaux qui proposent cette mobilisation et à tout faire pour sa réussite», encouragent les Insoumis.

Brésil : Bolsonaro réalise des examens médicaux à quelques semaines d'une décision de justice
Brésil : Bolsonaro réalise des examens médicaux à quelques semaines d'une décision de justice

Le Figaro

timean hour ago

  • Le Figaro

Brésil : Bolsonaro réalise des examens médicaux à quelques semaines d'une décision de justice

L'ex-président brésilien Jair Bolsonaro a quitté sa résidence surveillée à Brasilia pour quelques heures samedi en vue d'effectuer des examens médicaux, à quelques semaines d'une décision de la Cour suprême dans son procès pour tentative de coup d'État en 2023. Autorisé par la Cour suprême, l'ancien président (2019-2023), âgé de 70 ans, a suivi plusieurs procédures médicales en raison de «récentes fièvres, toux, épisodes persistants de reflux (...) et hoquet», a informé l'Hôpital DF Star dans un communiqué. «Ce que les examens ont révélé, c'est qu'il a récemment eu deux pneumonies (...) mais qu'il est en nette récupération», a déclaré aux journalistes le docteur Leandro Echenique. Publicité Jair Bolsonaro avait subi une longue intervention chirurgicale en avril pour une blessure abdominale résultant d'un coup de couteau qu'il avait reçu en 2018, alors qu'il était candidat. Il était resté hospitalisé pendant trois semaines après l'opération. Avec sept de ses collaborateurs, il est accusé d'avoir tenté d'assurer son «maintien autoritaire au pouvoir» malgré sa défaite face à Luiz Inacio Lula da Silva (gauche) lors de l'élection présidentielle de 2022. À lire aussi Brésil : l'ancien président Jair Bolsonaro assigné à résidence Le 8 janvier 2023, une semaine après l'investiture de Lula, des milliers de sympathisants bolsonaristes avaient pris d'assaut les sièges des institutions à Brasilia, dénonçant une fraude électorale et appelant à une intervention militaire. Le parquet considère ces troubles comme une ultime tentative de l'ancien président de s'accrocher au pouvoir. La Cour suprême a annoncé vendredi que le jugement dans cette affaire sera étudié lors de «sessions extraordinaires les 2, 3, 9, 10 et 12 septembre». Jair Bolsonaro est en résidence surveillée préventive depuis début août, le juge en charge de l'affaire, Alexandre de Moraes, ayant considéré qu'il avait violé les mesures conservatoires lui interdisant de s'exprimer via les réseaux sociaux. Inéligible pour désinformation sur le système de vote électronique utilisé en 2022, l'ex-président dit encore espérer concourir à la présidentielle de 2026.

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