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Tour de France : smartphone d'une spectatrice dégommé, colère contre Girmay... L'après-midi compliqué de Milan

Tour de France : smartphone d'une spectatrice dégommé, colère contre Girmay... L'après-midi compliqué de Milan

Le Figaro9 hours ago
LE SCAN SPORT - Lors de la deuxième étape du Tour de France, Jonathan Milan a connu un après-midi compliqué.
Coureur de l'équipe Lidl-Trek, Jonathan Milan a connu une deuxième étape compliquée sur le Tour de France. Dans un premier temps énervé contre Girmay avec qui il a eu un petit différent sur le sprint intermédiaire, le jeune coureur a par la suite percuté le smartphone d'un spectateur. Une journée compliquée pour le jeune coureur, qui s'est tout de même bien terminée.
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En effet, après la course, Milan a pris le temps de saluer et de s'excuser auprès de Biniam Girmay avec qui la température était montée en pleine course. De belles images qui rappellent que le respect est très présent dans le peloton. Un bel échange qui s'est terminé par une poignée de mains entre les deux coureurs.
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time16 minutes ago

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Comme à son habitude, Tim Merlier a dû se débrouiller seul pour sortir du lot et s'imposer à Dunkerque, ce lundi, lors de la troisième étape du Tour de France. Sa deuxième victoire sur le Tour, après celle conquise en 2021. Tim Merlier n'est pas un expansif de nature. Mais le scénario de l'arrivée chaotique, lundi sur la troisième étape du Tour de France, ne lui a pas laissé l'occasion de montrer sa joie plus qu'un simple bras levé, furtivement, alors que la photo-finish n'avait pas encore rendu son verdict. Mais en vrai sprinteur, il savait qu'il avait battu Jonathan Milan, il l'avait senti, et sans doute même avait-il aperçu que le bout du bout de son pneu avait touché la ligne avant celle de l'Italien de Lidl-Trek. « Au début, j'étais sûr de ma victoire, avoua-t-il plus tard. Mais ensuite, je n'en étais plus trop convaincu. J'ai donc dû attendre un peu. » Rien par rapport à cette longue période de trois ans sans participer au Tour de France pour connaître à nouveau l'honneur du podium, qu'il avait déjà goûté en 2021, à Pontivy, quand il avait devancé Jasper Philipsen, qui était alors son coéquipier chez Alpecin. Les trajectoires des deux rivaux belges se sont souvent croisées et pas souvent dans une franche camaraderie. Tim Merlier, lassé de se soumettre à la suprématie de Philipsen, avait rejoint Patrick Lefévère chez Quick-Step en 2023. « C'est la première fois que je peux vraiment sprinter sur ce Tour et ça marche tout de suite » Tim Merlier, au sujet de son sprint à la fin de la 3e étape Le dernier épisode de cette grosse rivalité remonte à seulement trois jours, quand le champion d'Europe avait dû abandonner tout espoir de remporter la première étape à Lille synonyme de maillot jaune. Victime de la fameuse bordure dans le final, il avait dû laisser son grand rival récupérer toute la lumière. L'abandon du porteur du maillot vert, lundi à 60 kilomètres de l'arrivée, après sa lourde chute survenue lors du sprint intermédiaire, aurait pu laisser les portes grandes ouvertes à Merlier. Mais là encore, ce dernier a dû se battre contre les vents contraires et contre l'anarchie qui s'est emparée du peloton dans les derniers kilomètres, avant l'arrivée dans les rues de Dunkerque. Contrairement à ses adversaires, le sprinteur de 32 ans est habitué à avoir un seul poisson-pilote, son ami d'enfance Bert Van Lerberghe. Lundi, il n'a même pas pu en profiter. « Je l'ai perdu avant le dernier virage et ce fut difficile de garder ensuite ma position. L'équipe a fait un gros travail jusqu'aux cinq derniers kilomètres, mais après c'était difficile, car j'ai dû me battre pour revenir de l'arrière. J'étais dans le vent tout le temps et, à 500 mètres de l'arrivée, j'ai retrouvé un sillage mais contre Jonathan Milan, c'est toujours difficile, d'autant plus qu'il était mieux placé avant le sprint et avait donc pu économiser ses forces. Quand je me suis retrouvé à nouveau en tête, je savais que j'étais à la limite, mais c'était jouable. » Même si cette victoire ne pouvait effacer sa déception du premier jour, le coureur originaire de Courtrai a réussi à se remettre d'aplomb à la première occasion. « C'est la première fois que je peux vraiment sprinter sur ce Tour et ça marche tout de suite. Le maillot jaune était bien sûr un objectif, mais je suis venu ici pour gagner une étape. » C'est désormais chose faite. À lire aussi Vauquelin et l'avenir incertain d'Arkéa-B & B Hotels: «On ne me fait ressentir aucune pression» Decathlon va devenir propriétaire de la structure juridique de Decathlon-AG2R La Mondiale Van der Poel, un géant de retour à sa juste place Van der Poel et le Tour, de chaudes retrouvailles

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Novak Djokovic avait conscience de s'en être bien sorti face à Alex de Minaur, ce lundi en huitièmes de finale à Wimbledon, après un début de match raté (1-6, 6-4, 6-4, 6-4). « Ca n'a pas été pas simple du tout face à Alex de Minaur (1-6, 6-4, 6-4, 6-4)...J'ai fait un mauvais début de match. Il était solide, comme je m'y attendais. Mais les conditions venteuses et tourbillonnantes sur le terrain étaient assez extrêmes. J'ai commencé par deux doubles fautes. Je ne me sentais pas bien, je ne trouvais pas le bon timing. Il ressentait ça et exploitait mes faiblesses. Je n'obtenais pas autant de points gratuits sur le premier service que lors de mes trois premiers tours, ce qui rendait la tâche encore plus difficile. C'est l'un des adversaires les plus coriaces que l'on puisse avoir dans ce genre de conditions avec beaucoup de vent. Il est si rapide, il vous met constamment la pression, vous fait constamment jouer. C'est aussi un joueur très, très intelligent. Sur gazon, il sait utiliser le slice et les angles. C'était un grand défi. Honnêtement, c'est un grand, grand soulagement de terminer le match en quatre sets. J'étais beaucoup plus proche d'entrer dans un cinquième. Je suis entré dans une sorte de mode ''verrouillage complet''. Et dans les trois derniers jeux, je n'ai perdu qu'un seul point. Mais ça a été très difficile. Que pensez-vous de Flavio Cobolli, votre prochain adversaire ? C'est un joueur très talentueux. L'un des jeunes qui arrivent. J'ai été agréablement surpris par ses résultats sur gazon car il me semblait ne pas être un spécialiste. Il a battu Cilic et quelques gros serveurs. Un immense mérite lui revient donc. C'est un grand combattant. Nous nous entendons bien. Nous nous entraînons ensemble dès que nous le pouvons. On s'est fait un ''hug'' (accolade, ndlr) après mon match. Votre ancien entraîneur Goran Ivanisevic dit que vous êtes le seul capable de battre Sinner et Alcaraz dans les Grands Chelems et que vous êtes le favori pour gagner ici. Êtes-vous d'accord? J'aime Goran et je suis heureux qu'il me le rende, mais je ne pense pas être favori contre ces gars-là, pour le moment. Mais, contre eux, j'ai probablement ma meilleure chance ici. Il n'y a aucun doute là-dessus. Je pense que mes résultats sur gazon, même au cours des années précédentes, témoignent de ma confiance sur cette surface. J'ai joué du très bon tennis cette année. Donc je me sens bien dans ma peau. Je me sens confiant. Je me sens motivé pour aller jusqu'au bout. Voyons ce qui se passe... Il y avait Roger Federer dans la loge royale. Vous lui avez parlé?Nous avons discuté très brièvement. Il m'a félicité et m'a dit que c'était un super match. C'était vraiment agréable de le voir. Il est l'une des plus grandes légendes de notre jeu dans l'histoire du tennis. C'est donc toujours très spécial quand il est dans les tribunes. Et j'ai brisé la malédiction en finissant, enfin, par gagner devant lui de gagner. C'est un grand soulagement (sourire). Qu'avez-vous pensé de l'incident du haw-eye dimanche dans le match de Anastasia Pavlyuchenkova ?C'était vraiment une très mauvaise erreur du système, évidemment. On doit pouvoir se fier fortement à cette technologie. J'imagine que l'arbitre de chaise ne peut pas annuler, même s'il se rend compte d'une erreur... La technologie est probablement plus précise et fait moins d'erreurs qu'un juge de ligne. Mais ce genre de cas particuliers, où on a une panne du système à un moment gênant du match, ce n'est pas bon. En ce qui me concerne, je n'ai aucune plainte à formuler à ce sujet. »

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