
Victor Wembanyama vous invite dimanche à son premier tournoi combinant basket et... échecs
Dans une vidéo publiée sur Instagram, le joueur de NBA déclare ouverte la première édition du « Hoop Gambit », qui se tiendra ce dimanche 20 juillet, à Chesnay, sa ville de naissance qui se trouve dans le département des Yvelines, près de Paris. Lors de ce tournoi d'un nouveau genre, « il y aura trois disciplines, du 1 contre 1, du 3 contre 3… et un tournoi d'échecs », précise le basketteur de 21 ans, portant un débardeur floqué du nom de l'évènement qu'il organise.
« Vous pouvez vous inscrire via le lien dans ma bio, je vous attends nombreux », poursuit celui qui est surnommé Wemby. Une annonce qui fait le bonheur de ses 4,7 millions de followers sur Instagram. « Exceptionnel », commente un internaute sous la publication, tandis qu'un autre se réjouit : « Lets go, je veux affronter Wemby aux échecs ! »
Fin juin, le géant français de 2,24 m s'était déjà lancé dans un défi surprenant : affronter 100 joueurs aux échecs, lors du Fanatics Fest, un événement new-yorkais réunissant amateurs de sport et collectionneurs.
Grand passionné de la discipline, il avait déjà été aperçu en plein Washington Square Park à New York, sous la pluie, pour disputer des parties échecs contre de parfaits inconnus en décembre.
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Le Figaro
27 minutes ago
- Le Figaro
«Défendre un titre, c'est toujours excitant» : Antoine Dupont pense aux JO 2028 avec les Bleus du rugby à 7
Le demi de mêlée du Stade Toulousain, qui poursuit sa rééducation suite à sa grave blessure au genou, a confié au journal L'Équipe qu'il pourrait être tenté par les Jeux olympiques de Los Angeles. C'est dans un coin de sa tête. Dans un entretien accordé au journal L'Équipe, Antoine Dupont a confié qu'il ne s'interdisait pas de participer aux prochains Jeux olympiques, en 2028, à Los Angeles. Là où l'équipe de France de rugby à 7 tentera de conserver sa médaille d'or obtenue face aux Fidji (28-7), le 27 juillet 2024, dans un Stade de France en fusion. «Vu ce que j'ai connu dans le (rugby à) 7, c'est sûr que ça donne envie d'y revenir. Les Jeux de 2028 sont loin et proches à la fois», a expliqué le Toulousain, présent à Osaka (Japon) en tant que parrain du Pavillon France et ambassadeur de LVMH, à l'occasion de l'exposition universelle. Publicité «Je me laisse l'option d'essayer» «Il y a déjà une Coupe du monde 2027 (avec le XV de France) à préparer. Après ça, je verrai comment seront mon corps et ma tête. Mais je me laisse l'option d'essayer de participer à ces Jeux de Los Angeles. Défendre un titre, c'est toujours excitant», a ajouté le demi de mêlée. Toujours en convalescence depuis sa grave blessure au genou droit intervenue en mars dernier, il a par ailleurs évoqué un retour à la compétition au mois de novembre, dans «un délai raisonnable». Écarté des terrains en raison de sa rupture du ligament croisé - c'était face à l'Irlande le 8 mars lors du Tournoi des six nations -, Antoine Dupont a vécu la fin de saison du Stade Toulousain depuis les tribunes. «C'était dur à vivre dans les tribunes au niveau du cœur, parce qu'on se sent impuissant, a-t-il exprimé, toujours à L'Équipe, au sujet de la finale du Top 14 remportée en prolongations par son club face à l'Union Bordeaux-Bègles (39-33). C'était quand même hyper tendu et serré. Au regard de la saison réalisée, une défaite m'aurait vraiment attristé.» «Faire de notre génération la plus titrée de l'histoire de Toulouse est un challenge» La star du XV de France, désormais auréolée de cinq Boucliers de Brennus et deux Champions Cup, empoche ce titre 2025 même s'il n'y a pas contribué en phase finale. «Oui bien sûr, ça compte ! Je m'inclus dedans, même si j'ai beaucoup moins participé cette saison», a ajouté le champion olympique. Avant de se projeter sur la suite et de se comparer avec les générations précédentes de Toulouse (sept titres de champion de France entre 1989 et 2001 notamment) : «Oui, on commence à venir titiller les plus gros palmarès du club. Mais il faut quand même se rappeler que c'était bien plus facile à leur époque ! Faire de notre génération la plus titrée de l'histoire du club est un challenge qui nous motive parce qu'on sent qu'on a l'équipe pour réussir de grandes choses, et pas qu'une fois. La saison où on ne remporte rien, en 2022, avait été très dure à digérer, parce qu'on savait qu'on n'avait pas joué à notre niveau et que c'était du gâchis.»


L'Équipe
41 minutes ago
- L'Équipe
Les sprinteurs peuvent-ils croire à la gagne sur la onzième étape du Tour de France 2025, avec la côte de Pech David dans le final ?
La 11e étape du Tour de France disputée mercredi autour de Toulouse présente un dénivelé positif faible (1750 m) mais les quatre ascensions répertoriées dans le final, dont la très exigeante côte de Pech David, risquent de condamner l'immense majorité des sprinteurs. C'est un secret bien gardé, niché à quelques encablures des faubourgs de Toulouse. À l'ombre des coteaux, tout près de la Garonne, une route aussi anonyme que pentue s'élève vers la colline de Pech David, point culminant de la Ville rose à 263 mètres d'altitude. D'habitude seulement empruntée par les riverains et quelques cyclistes du dimanche en quête de sensations fortes, la bosse ne mesure pas plus de 800 mètres. Mais ses 12.4 % de pente moyenne devraient être fatals à bon nombre de coureurs. « C'est un vrai raidard », confirme le local de l'étape, Quentin Pacher (Groupama-FDJ), qui aura le bonheur de passer devant sa maison à Castanet-Tolosan à une trentaine de bornes de l'arrivée. Des passages à plus de 20 % « Le plus raide c'est au pied, les 200 premiers mètres, avec des passages à plus de 20 %, prévient le Toulousain. En plus on va arriver dans cette bosse en file indienne vu qu'on l'attaquera juste après un virage en angle droit. Ça va éliminer les coureurs mal placés. C'est ce qui fait la différence aussi avec une montée qu'on pourrait passer sur l'élan ». Une côte particulièrement ardue donc, dont on est à peu près certain qu'elle anéantira les espoirs de nombreux sprinters de succéder à Caleb Ewan (2019) et Mark Cavendish (2008), derniers à s'être imposés dans la capitale occitane. « À part des sprinters puncheurs comme (Wout) Van Aert et (Mathieu) Van der Poel, je ne vois pas qui pourra passer », prophétise Thierry Gouvenou, le traceur du parcours du Tour de France. « Dans nos plans initiaux, Toulouse devait être une journée pour les sprinteurs » Thierry Gouvenou, directeur de course du Tour D'autant plus qu'avant Pech David, le peloton aura déjà emprunté dans le sud toulousain trois autres difficultés dans une deuxième partie d'étape bien casse-pattes. L'étape délivrera pourtant 50 points au classement du maillot vert pour le vainqueur, autant que pour les étapes de plaine de Laval et Châteauroux terminées au sprint. « Dans nos plans initiaux, Toulouse devait être une journée pour les sprinteurs rembobine Thierry Gouvenou. Mais on voulait moins d'arrivées massives qu'en 2024 donc on a donc décidé de durcir le parcours. 1750 mètres de dénivelé positif ça ne paraît pas excessif, mais l'enchaînement dans le final toujours en prise risque de faire mal. » Une belle chance pour les baroudeurs Les favoris cherchant sans doute à garder leurs forces avant la trilogie pyrénéenne, ce profil pourrait donc être propice à une échappée gagnante. Les sprinters se sachant quasi-bannis des débats, qui roulera pour rattraper d'éventuels fuyards sur des routes par ailleurs très tortueuses et peu propices à une poursuite ? D'autant qu'après la montée de Pech David, il y aura à négocier une descente technique sur Toulouse via une route en lacets et aux derniers hectomètres assez étroits. Tout en bas, il restera 5 kilomètres de plat jusqu'à l'arrivée à Toulouse à quelques pâtés de maison du Capitole. Quentin Pacher, lui, passera alors devant trois de ses anciens domiciles. « J'en ai des frissons », s'émeut-il. Et peut-être bien aussi quelques idées.


L'Équipe
41 minutes ago
- L'Équipe
Un duel Van Aert-Van der Poel ou une échappée de baroudeurs : les favoris de la 11e étape du Tour de France 2025
La dernière bosse de la 11e étape du Tour de France, à seulement 8 km de l'arrivée à Toulouse, devrait sacrer un sprinteur-puncheur, ce mercredi. Wout Van Aert (Visma-Lease a Bike) possède le profil idéal, comme Mathieu Van der Poel (Alpecin-Deceuninck). Sur le papier, 800 m à 12,4 %, ce n'est pas grand-chose pour un peloton du Tour de France. Mais avec des passages à 20 %, à 8 km de l'arrivée et après un enchaînement déjà piquant, cette côte de Pech-David devrait faire mal aux sprinteurs, dans le final de la 11e étape du Tour de France, ce mercredi. L'arrivée de la boucle toulousaine semble promise aux puncheurs avec la meilleure pointe de vitesse, Mathieu Van der Poel (Alpecin-Deceuninck) et Wout Van Aert (Visma-Lease a Bike) en tête de liste. Le Français Romain Grégoire (Groupama-FDJ) et le Belge Thibau Nys (Lidl-Trek) devraient aussi avoir une chance de jouer la gagne. En réalité, plusieurs scénarios peuvent s'écrire. Une échappée de baroudeurs costauds comme Quinn Simmons (Lidl-Trek), Neilson Powless (EF Education-EasyPost), Magnus Cort (Uno-X Mobility) voire Matej Mohoric (Bahrain Victorious) pourrait aller au bout. Certains sprinteurs habitués des classiques, à l'aise dans les bosses comme Arnaud De Lie (Lotto) et Biniam Girmay (Intermarché-Wanty), voire Bryan Coquard (Cofidis), pourraient se disputer une arrivée en petit peloton. Avant les Pyrénées, Jonas Vingegaard (Visma-Lease a Bike) pourrait aussi essayer de surprendre Tadej Pogacar (UAE Emirates-XRG), mais le Slovène devrait être particulièrement à l'aise sur un terrain aussi punchy. Selon vous, qui va remporter la 11e étape ?