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Une voiture fonce dans la foule et fait au moins 30 blessés à Los Angeles

Une voiture fonce dans la foule et fait au moins 30 blessés à Los Angeles

24 Heures5 days ago
Les secours font état d'un premier bilan de trente blessés, dont sept dans un état critique. Publié aujourd'hui à 12h54 Mis à jour il y a 8 minutes
Une voiture a foncé sur la foule sur le Boulevard de Santa Monica (image d'illustration).
IMAGO/Newscom World
Une voiture a foncé ce samedi dans la foule à Los Angeles, en Californie. Les secours font état d'un premier bilan de plus de 30 blessés.
D'après le communiqué des sapeurs-pompiers de la ville (LAFD), «sept sont dans un état critiques, six sont dans un état grave et dix dans un état jugé stable». Ces personnes ont pu être transportées dans des hôpitaux locaux. Sept autres personnes ont reçu des soins sur place et n'ont pas souhaité être emmenées à l'hôpital, informent les sapeurs-pompiers.
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L'incident s'est produit aux alentours de 2 heures du matin heure locale (11 heures en Suisse), sur le Boulevard de Santa Monica. Les images montrent un véhicule gris accidenté, qui empiète sur le trottoir, au milieu de débris. Circonstances floues
Des dizaines d'équipes d'urgence ont été déployées sur place. La majorité des personnes touchées étaient en train de faire la file pour rentrer dans une boîte de nuit, explique la LAFD. Les circonstances de l'incident restent encore à déterminer, informe «Reuters».
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Alors que l'affaire Epstein ne retombe pas, l'administration Trump tente de faire diversion en accusant Barack Obama de complot. Publié aujourd'hui à 23h27 Mis à jour il y a 1 minute Graphique affiché lors du briefing de Tulsi Gabbard à la Maison-Blanche, le 23 juillet 2025. Getty Images via AFP La Maison Blanche a redoublé d'efforts mercredi pour accuser l'ex-président démocrate Barack Obama de «complot» contre Donald Trump après sa victoire à la présidentielle de 2016, au moment où le républicain tente vigoureusement d'éloigner l'attention du public américain de l'affaire Epstein. «L'intention exprimée et ce qui a suivi ne peuvent être décrits que comme un coup d'Etat sur plusieurs années et un complot traître contre le peuple américain, notre République, ainsi qu'une tentative de saper l'administration du président Trump», a lancé la directrice du renseignement national, Tulsi Gabbard, lors d'un point presse à la Maison Blanche. L'ex-élue démocrate, ralliée au président républicain, avait publié vendredi un rapport où Barack Obama était mis en cause, en lien avec les accusations d'ingérence russe dans l'élection de 2016. «Ridicule» Le chef de la minorité démocrate à la Chambre des représentants, Hakeem Jeffries, a dénoncé l'attitude des républicains. «Quand vous n'avez rien à présenter de concret aux Américains, les républicains font porter le chapeau à Barack Obama. C'est ridicule», a-t-il déclaré mercredi devant la presse. Car ces accusations répétées contre l'ancien président démocrate (2009-2017) interviennent au moment où Donald Trump essaie d'éteindre l'incendie autour de l'affaire Epstein, riche financier mort en cellule en 2019 avant son procès pour crimes sexuels. La colère gronde en effet depuis plusieurs semaines au sein d'une partie de la base «MAGA» du président républicain, qui n'accepte pas les conclusions d'un memorandum publié début juillet par son administration, selon lequel Jeffrey Epstein serait bien mort d'un suicide, et ne tenait pas de liste de clients pour son réseau présumé d'exploitation sexuelle. Ces partisans de Donald Trump lui reprochent aujourd'hui de revenir sur ses promesses de campagne en faisant preuve d'un manque de transparence. Le président s'en est ouvertement agacé en qualifiant ces soutiens de «stupides». «Chef de gang» Interrogé sur l'affaire, il a aussi assuré mardi qu'il «ne suivait pas cela de très près». Devant des journalistes dans le Bureau ovale, il s'est ensuite lancé dans des diatribes virulentes contre Barack Obama, selon lui un «chef de gang» coupable de «trahison». Rival de longue date, le premier président noir de l'histoire des Etats-Unis est une cible de choix pour le milliardaire républicain dans sa volonté de voir sa base délaisser la question Epstein. Cette stratégie de «détourner l'attention» s'appuie sur le fait que «les partisans MAGA aiment défendre leur président quand ils estiment qu'il est une victime», a analysé auprès de l'AFP Todd Belt, professeur de science politique à l'université George Washington. Nouveaux éléments La relation entre Donald Trump et Jeffrey Epstein, figures tous deux de la jet-set new-yorkaise dans les années 1990 et 2000, a été éclairée par de nouveaux éléments la semaine dernière avec la publication dans le Wall Street Journal d'un article attribuant au magnat de l'immobilier une lettre salace adressée au second en 2003. Attaqué en diffamation par Donald Trump, le quotidien new-yorkais a publié de nouvelles révélations mercredi. Selon le «WSJ», le président avait été prévenu en mai par sa ministre de la Justice, Pam Bondi, que son nom apparaissait à plusieurs reprises dans les dossiers de l'affaire Epstein, aux côtés de celui d'autres personnalités de premier plan. Le quotidien précise que «le fait d'être mentionné dans ces documents n'est pas un signe de comportement répréhensible». «Ce n'est rien d'autre qu'un prolongement des fausses informations inventées par les démocrates et les médias de gauche, exactement comme dans le scandale du Russiagate d'Obama», a réagi le directeur de la communication de la Maison Blanche, Steven Cheung, en référence aux soupçons de collusion entre Moscou et Donald Trump en 2016. La Chambre paralysée Non loin de la Maison Blanche, la polémique Epstein continue de paralyser également la Chambre américaine des représentants. 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