logo
Une voiture fonce dans la foule et fait au moins 30 blessés à Los Angeles

Une voiture fonce dans la foule et fait au moins 30 blessés à Los Angeles

24 Heures3 days ago
Les secours font état d'un premier bilan de trente blessés, dont sept dans un état critique. Publié aujourd'hui à 12h54 Mis à jour il y a 8 minutes
Une voiture a foncé sur la foule sur le Boulevard de Santa Monica (image d'illustration).
IMAGO/Newscom World
Une voiture a foncé ce samedi dans la foule à Los Angeles, en Californie. Les secours font état d'un premier bilan de plus de 30 blessés.
D'après le communiqué des sapeurs-pompiers de la ville (LAFD), «sept sont dans un état critiques, six sont dans un état grave et dix dans un état jugé stable». Ces personnes ont pu être transportées dans des hôpitaux locaux. Sept autres personnes ont reçu des soins sur place et n'ont pas souhaité être emmenées à l'hôpital, informent les sapeurs-pompiers.
À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe.
L'incident s'est produit aux alentours de 2 heures du matin heure locale (11 heures en Suisse), sur le Boulevard de Santa Monica. Les images montrent un véhicule gris accidenté, qui empiète sur le trottoir, au milieu de débris. Circonstances floues
Des dizaines d'équipes d'urgence ont été déployées sur place. La majorité des personnes touchées étaient en train de faire la file pour rentrer dans une boîte de nuit, explique la LAFD. Les circonstances de l'incident restent encore à déterminer, informe «Reuters».
À lire aussi Newsletter
«Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde.
Autres newsletters
Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

États-Unis: Trois ans de prison pour un policier lié à la mort de Breonna Taylor
États-Unis: Trois ans de prison pour un policier lié à la mort de Breonna Taylor

24 Heures

time7 hours ago

  • 24 Heures

États-Unis: Trois ans de prison pour un policier lié à la mort de Breonna Taylor

Contre les recommandations de l'administration Trump, un policier impliqué dans la mort de Breonna Taylor a écopé de trois ans de prison. Publié aujourd'hui à 03h01 Un portrait de Breonna Taylor lors d'un rassemblement à Louisville marquant le premier anniversaire de sa mort, entouré d'une foule, le 13 mars 2021. AFP Un ancien policier américain a été condamné lundi à 33 mois de prison pour son implication dans la mort d'une jeune femme noire, Breonna Taylor, icône du mouvement Black Lives Matter, malgré les recommandations de clémence du ministère de la Justice. Le ministère de la Justice de l'administration de Donald Trump avait requis la semaine dernière un jour de prison, déjà purgé, contre ce policier blanc, Brett Hankison , reconnu coupable en novembre 2024 par un jury de Louisville (centre-est) d'avoir violé les droits civiques de Breonna Taylor, 26 ans. Une réquisition qualifiée aussitôt par les avocats de la victime d'«insulte à la vie de Breonna Taylor et de trahison flagrante de la décision du jury» et que la juge Rebecca Grady Jennings a estimée peu convaincante, lors du prononcé de la peine lundi, rapportent les médias locaux. La magistrate a assorti la peine de prison de trois ans de liberté conditionnelle. Un jour de prison recommandé «Brett Hankison est le seul policier condamné en lien avec la descente de police pendant laquelle Breonna a été tuée», a souligné sur X un des avocats de la victime, Ben Crump, en pointe dans les affaires de violences contre les minorités. Le ministère de la Justice recommandait une peine d'un jour de prison, déjà purgée par ce policier lors de son arrestation au début de la procédure, assortie de trois ans de liberté conditionnelle. Fait inhabituel, cette recommandation était signée, non pas du procureur en charge du dossier, mais de la ministre adjointe de la Justice, chargée des droits civiques, Harmeet Dhillon, une juriste conservatrice nommée par Donald Trump à ce poste stratégique. «Impunité quasi totale» «Le gouvernement respecte le verdict du jury qui garantit presque certainement que l'accusé Hankison ne servira plus jamais dans la police et aussi probablement qu'il ne détiendra plus jamais légalement une arme à feu», assurait-elle. Mais une peine plus lourde serait «injuste», faisait-elle valoir, soulignant que «s'il a bien fait feu à l'aveugle à dix reprises vers l'appartement de Breonna Taylor, il n'a blessé ni elle ni personne ce jour-là». «Recommander seulement un jour de prison envoie le message sans ambiguïté que des policiers blancs peuvent violer les droits civiques des Américains noirs avec une impunité quasi totale», avaient rétorqué les avocats de la victime. Huit balles Breonna Taylor avait été tuée d'au moins huit balles par la police, dans son appartement, à Louisville, dans le Kentucky, le 13 mars 2020. Les policiers y avaient fait irruption en pleine nuit dans le cadre d'une enquête pour trafic de stupéfiants visant son ancien petit ami. Son nouveau compagnon les avait pris pour des cambrioleurs et avait tiré un coup de feu avec une arme détenue légalement. Les policiers avaient riposté en tirant plus de trente coups de feu, touchant mortellement Breonna Taylor. En lire plus Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Manifestations: Les 700 Marines déployés à Los Angeles se retirent
Manifestations: Les 700 Marines déployés à Los Angeles se retirent

24 Heures

time9 hours ago

  • 24 Heures

Manifestations: Les 700 Marines déployés à Los Angeles se retirent

La maire de Los Angeles Karen Bass s'est félicitée du retrait des Marines, le qualifiant de «nouvelle victoire» pour la ville. Publié aujourd'hui à 00h28 Un manifestant devant des Marines, à Los Angeles, le 4 juillet 2025. Getty Images via AFP Le ministère américain de la Défense a annoncé lundi le retrait des 700 Marines déployés à Los Angeles durant les manifestations du mois dernier contre la politique migratoire du président Donald Trump. Le président américain avait ordonné en juin la mobilisation de 700 Marines, corps d'active des forces armées d'ordinaire déployée à l'étranger, face aux manifestations contre des arrestations d'immigrés par la police fédérale de l'immigration (ICE). Ils venaient en renfort de militaires de la Garde nationale également déployés, contre l'avis des autorités californiennes, durant ces manifestations largement pacifiques mais dont certaines ont dégénéré. «Nouvelle victoire» pour Los Angeles Le ministre de la Défense, Pete Hegseth a ordonné «le redéploiement des 700 Marines dont la présence avait envoyé un message clair: le non-respect de la loi ne sera pas toléré», a déclaré Sean Parnell, le porte-parole du Pentagone, dans un communiqué. «Leur réponse rapide, discipline implacable et présence indéniable ont contribué à rétablir l'ordre et faire respecter l'État de droit», a-t-il ajouté. La situation s'est depuis largement calmée dans la deuxième ville du pays, où le couvre-feu nocturne a notamment été levé le 17 juin. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. La maire de Los Angeles, Karen Bass s'est félicitée de ce retrait dans une publication sur le réseau social X, le qualifiant de «nouvelle victoire» pour la ville. Le Pentagone avait déjà annoncé la semaine dernière le retrait d'environ la moitié des quelque 4000 militaires de la Garde nationale déployés à Los Angeles. «Il n'y a jamais eu besoin» Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, a une nouvelle fois appelé lundi à leur retrait complet. «Les femmes et les hommes de la Garde nationale de Californie méritent mieux que de continuer à servir de marionnettes dans le théâtre politique de Trump», a estimé le démocrate dans un communiqué. «Il n'y a jamais eu besoin de déployer l'armée contre des civils à Los Angeles», a-t-il ajouté. Le déploiement de la Garde nationale sans l'approbation du gouverneur de l'État – qui a aussi autorité sur ce corps militaire de réserve – était une première depuis 1965 aux États-Unis. Los Angeles est dans le collimateur de Donald Trump, qu'il accuse de protéger les migrants sans statut légal de l'intervention de la police fédérale de l'immigration. Le président américain a fait de la lutte contre l'immigration clandestine une priorité absolue, évoquant une «invasion» des États-Unis par des «criminels venus de l'étranger» et communiquant abondamment sur les expulsions d'immigrés. En lire plus sur Los Angeles Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

États-Unis: L'administration Trump pressée de justifier ses coupes à Harvard
États-Unis: L'administration Trump pressée de justifier ses coupes à Harvard

24 Heures

time10 hours ago

  • 24 Heures

États-Unis: L'administration Trump pressée de justifier ses coupes à Harvard

Le bras de fer entre l'administration Trump et l'université Harvard s'est déplacé ce lundi devant un tribunal fédéral. Publié aujourd'hui à 23h37 Donald Trump, à la Maison-Blanche, le 18 juillet 2025. Getty Images via AFP Le duel entre Donald Trump et Harvard s'est déplacé lundi dans l'arène judiciaire où une juge a demandé à l'administration américaine de justifier le gel de plus de 2,6 milliards de dollars (2,1 milliards de francs) en subventions de recherche à la prestigieuse université. Depuis son retour à Maison-Blanche en janvier dernier, Donald Trump accuse la doyenne des universités américaines de servir de vivier à l'idéologie «woke» et de ne pas avoir protégé suffisamment ses étudiants juifs ou israéliens lors de manifestations sur le campus pour un cessez-le-feu dans la bande de Gaza. En représailles, le gouvernement Trump a retiré à Harvard un peu plus de 2,6 milliards de dollars en subventions fédérales, y compris dans le domaine de la santé, et a révoqué sa certification SEVIS, principal système par lequel les étudiants étrangers sont autorisés à étudier aux États-Unis. Bras de fer L'université, l'une des plus prestigieuses au monde et établie près de Boston, au Massachusetts (nord-est), a contesté ces deux mesures devant le tribunal fédéral local, dans un bras de fer qui sert aussi de test pour d'autres institutions d'enseignement supérieur dans la mire du gouvernement Trump comme par exemple Columbia, à New York. Harvard affirme de son côté avoir pris des mesures pour s'assurer que les étudiants et le personnel juifs ou israéliens ne se sentent ni exclus, ni intimidés sur le campus, tout en soutenant que des mesures du gouvernement fédéral «menaçaient» les libertés d'expression et académique et étaient ainsi contraire à la Constitution américaine. Dans sa plainte devant la juge Allison Burroughs, Harvard accuse l'administration Trump de se servir du gel de fonds fédéraux comme un «levier» pour tenter de «contrôler» les prises de décisions de l'université. «Désastre total» Lundi, les avocats des deux camps ont présenté leurs arguments devant la juge Burroughs qui a pressé le gouvernement de questions sur sa décision de geler ces subventions à Harvard, selon des médias américains. Sans attendre la décision, le président américain a fustigé la juge. L'affaire Harvard vient d'être présentée devant une juge «nommée par Obama», s'est plaint Donald Trump sur son réseau Truth Social. «C'est un désastre total, et je le dis avant même d'avoir entendu sa décision», a-t-il écrit, en accusant l'université «d'être antisémite, antichrétienne et anti-Amérique. » En parallèle, des associations de professeurs d'université américaines, notamment de Harvard, ont demandé lundi à un autre juge du Massachusetts de reconnaître que le gouvernement américain a mis en place une «politique d'expulsions basées sur l'idéologie» contraire au premier amendement de la Constitution qui protège la liberté d'expression. Campagne de «représailles» Pour ces associations, les arrestations d'étudiants étrangers en vue de leur expulsion, comme celle de l'activiste propalestinien de l'université Columbia, Mahmoud Khalil, ou de l'étudiante turque Rumeysa Ozturk, ont pour but de museler les voix contre la guerre israélienne à Gaza et la défense des Palestiniens, et affaiblissent le débat public. Le gouvernement américain a eu recours au début du mois à une injonction pour tenter d'obtenir des «documents» internes de l'université Harvard sur les étudiants internationaux soupçonnés d'avoir participé à des manifestations pro-palestiniennes sur le campus. Interrogée par l'AFP, la direction de Harvard a qualifié «d'injustifiée» la demande du gouvernement Trump et dénoncé une campagne de «représailles» contre une université qui «défend» à la fois ses étudiants et ses principes fondamentaux. En lire plus sur Harvard Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store