
Linda Yaccarino quitte la direction de X après deux ans de turbulences
La dirigeante nommée par Elon Musk annonce son départ sans en préciser les raisons. Sous sa gouvernance, X a tenté de redresser la barre après une chute de valeur vertigineuse.
Publié aujourd'hui à 21h50 Mis à jour il y a 1 minute
Linda Yaccarino quitte la direction du réseau social X, deux ans après avoir pris les rênes de l'entreprise.
AFP
La directrice générale du réseau social X, Linda Yaccarino, a annoncé mercredi qu'elle allait quitter ses fonctions, tout juste deux ans après avoir pris la tête de l'entreprise, propriété du milliardaire Elon Musk, sans préciser les raisons de son départ.
Dans un message posté sur X, la dirigeante s'est dite «immensément reconnaissante» envers M. Musk «pour sa confiance», ajoutant être «incroyablement fière» du travail réalisé, notamment, selon elle, dans la «protection de la liberté d'expression».
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Le patron de Tesla et SpaceX avait embauché cette figure américaine des médias six mois après avoir racheté Twitter pour 44 milliards de dollars.
La valeur de la plateforme avait chuté à 20 milliards sur la même période, sous l'effet des mesures du nouveau propriétaire – licenciement de deux tiers des employés, retour de personnalités controversées, bouleversement du système d'authentification des comptes, etc. – qui avaient fait plonger la confiance des utilisateurs et des annonceurs. «Application universelle»
«Je lui suis profondément reconnaissante de m'avoir confié la responsabilité de défendre la liberté d'expression, de redresser l'entreprise et de transformer X en une application universelle», a déclaré Linda Yaccarino.
Elon Musk n'a cependant jamais vraiment cédé le contrôle du réseau social, dont il s'est largement servi pour faire campagne pour Donald Trump l'année dernière, puis pour dénigrer le président des États-Unis et des élus républicains, jusqu'à annoncer le lancement de son propre parti ce week-end, le «parti de l'Amérique».
Il a surtout ajouté Grok, rival de ChatGPT et produit de sa start-up d'intelligence artificielle (IA) xAI, au service. L'assistant IA suscite régulièrement de nouvelles polémiques avec des propos controversés, notamment racistes, car ses paramètres sont plus souples que ceux des autres principaux modèles d'IA générative.
xAI a fusionné avec X en mars lors d'une opération valorisant xAI à 80 milliards de dollars et le réseau social à 33 milliards de dollars. Plusieurs nouvelles fonctionnalités sous Yaccarino
Avant X, Linda Yaccarino a passé douze ans chez NBCUniversal, filiale du câblo-opérateur Comcast, où elle a contribué à unifier l'ensemble des médias du groupe au sein d'une même plateforme publicitaire, pour simplifier l'offre aux annonceurs.
Pendant son mandat, X a lancé plusieurs nouvelles fonctionnalités, notamment Community Notes, un système de vérification des faits participatif, et a annoncé le développement de X Money, un service financier s'inscrivant dans la vision d'Elon Musk de transformer la plateforme en une «application universelle».
«Je suis extrêmement fière de l'équipe de X – le redressement historique que nous avons accompli ensemble est tout simplement remarquable», a-t-elle affirmé mercredi.
Elle a promis de continuer à soutenir ses anciens collègues «dans la suite de cette aventure pour continuer à changer le monde».
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Chaque joujou issu de cette collaboration devrait être capable, notamment, de converser à la manière des agents intelligents comme ChatGPT ou Claude. À ce stade, on ne sait pas exactement quels seront ces jouets «intelligents», mais l'annonce du partenariat promet d'apporter la «magie de l'IA aux marques emblématiques de Mattel». Comme Barbie, Hot Wheels (des véhicules miniatures) ou Fisher-Price (des jouets pour les tout-petits jusqu'à 5 ans). Ce n'est pas une première pour Mattel. En 2015, «Hello Barbie» faisait une entrée remarquée sur le marché américain. Connectée au wi-fi, la poupée pouvait discuter et «raconter des blagues» aux enfants. «Comme une véritable amie, la poupée mémorise les préférences des petits», s'enthousiasme encore le fabricant sur son site, alors que sa créature a été désactivée il y a près de 10 ans. Dis «bonjour» à «Barbie Stasi» «Hello Barbie» fut un retentissant flop pour Mattel. 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Auparavant, elle a notamment travaillé pour Le Temps ainsi qu'en tant que réalisatrice indépendante pour l'Université de Zurich. Plus d'infos @catherincochard Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


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Éloge de Hitler et injures: l'IA Grok de Musk enchaîne les polémiques
Elon Musk a dévoilé mercredi la nouvelle version de son assistant d'intelligence artificielle. Le lancement survient après une série de réponses polémiques de Grok, incluant des propos antisémites et racistes. Publié aujourd'hui à 14h04 Elon Musk a présenté mercredi soir Grok 4, la nouvelle version de l'assistant d'intelligence artificielle (IA) de sa start-up xAI. KEYSTONE Elon Musk a présenté mercredi soir Grok 4 , la nouvelle version de l'assistant d'intelligence artificielle (IA) de sa start-up xAI, sans évoquer la polémique sur des réponses du chatbot qui a notamment fait l'éloge de Hitler. Cette nouvelle controverse intervient après que le milliardaire a annoncé vendredi sur son réseau social X des «améliorations significatives» pour Grok . À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Grok est sa réponse à ChatGPT et d'autres assistants IA, qu'il juge trop «woke», c'est-à-dire trop progressistes. Et les «améliorations» récentes étaient censées satisfaire ses fans trouvant l'assistant de xAI encore trop politiquement correct. Plusieurs exemples de conversations polémiques ont depuis été relayés en ligne. Mardi, en réponse à un utilisateur qui lui demandait «quelle figure historique du XXe siècle» serait la mieux placée pour réagir à un message semblant se réjouir de la mort d'enfants dans un camp d'été chrétien lors des récentes inondations au Texas, Grok a désigné le dirigeant nazi. «Pour faire face à une haine anti-blanche aussi ignoble? Adolf Hitler, sans hésiter. Il reconnaîtrait le problème et réagirait de manière décisive, à tous les coups», a répondu Grok, d'après une capture d'écran. Dans d'autres réponses, il évoquait des «stéréotypes anti-blancs» et qualifiait les figures hollywoodiennes historiques de «disproportionnellement juives». «Ce que nous observons actuellement de la part de Grok est irresponsable, dangereux et antisémite, tout simplement», a écrit mardi l'ONG américaine Anti-Defamation League (ADL), faisant part de recherches récentes menées sur l'assistant IA. Propos insultants sur Grok En France, interrogé sur l'incendie qui a touché Marseille, le chatbot a répondu en évoquant le trafic de drogues dans la ville. «Si le feu à La Castellane (un quartier au nord de Marseille, ndlr) nettoie un peu le bazar, tant mieux – mais comme je l'ai dit, les dealers sont plus résilients que les flammes», a-t-il par exemple écrit. L'outil s'en est également pris à des chefs d'État, qualifiant ainsi le président turc, Recep Tayyip Erdogan, de «serpent» et l'insultant, selon une autre capture d'écran. Un tribunal d'Ankara a bloqué mercredi l'accès à des dizaines de messages de Grok pour «insulte» au président et à la religion, selon une décision consultée par l'AFP. Face aux protestations, le compte officiel de Grok sur X a finalement annoncé mercredi avoir «pris des mesures» et assuré «travailler activement à supprimer les publications inappropriées». «Depuis que nous avons été informés du contenu (problématique, ndlr), xAI a pris des mesures pour interdire les discours de haine avant que Grok ne les publie sur X», y est-il ajouté. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Elon Musk estime de son côté que l'assistant IA a été amené à tenir ses propos pro-Hitler par un utilisateur qui cherchait à obtenir ce résultat. «Grok s'est montré trop docile face aux requêtes. Trop enclin à satisfaire et à se laisser manipuler, en somme. Ce problème est en cours de résolution», a-t-il précisé. Plus tard dans la soirée, il a présenté Grok 4 en vidéo et en direct sur X, avec des ingénieurs de xAI. «C'est l'IA la plus intelligente au monde», a-t-il affirmé, citant ses résultats supérieurs à ceux de ses concurrents sur différents tests. «Grok 4 est meilleur que n'importe quel étudiant au niveau doctorat dans toutes les disciplines académiques à la fois». 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X, Grok et Elon Musk Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.