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Une voiture aquarium illégale surprise en Chine

Une voiture aquarium illégale surprise en Chine

Caradisiac19-07-2025
Dans le monde des voitures modifiées, il y a différents niveaux quand il est question de mauvais goût. Cette transformation se situe sans doute au sommet avec l'utilisation d'animaux vivants pour décorer le véhicule. Voici un SUV Li Auto L9 dont le capot a été modifié pour y glisser des poissons ou des crustacés.
Le rendu immortalisé en vidéo en Chine par un passant alors que le véhicule surélevé se trouve stationné dans la rue montre plusieurs poissons piégés à l'extérieur de l'auto. Les animaux sont exposés dans peu d'eau entre le capot de la Li Auto L9 et une fine couche de plastique façon covering. Un spectacle difficile à comprendre tant l'agonie des poissons à cause de ce traitement est visible.
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Accepter les cookies youtube Une justification étrange
Une autre séquence dévoile le propriétaire de cette étrange SUV. D'après les traductions disponibles sur plusieurs médias, il indique avoir eu cette idée en oubliant son seau d'eau lors d'une partie de pêche. D'autres clips montrent sa voiture avec des poissons différents et même des crabes.

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Entretien d'embauche : une histoire vaut mieux qu'un CV
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Les Echos

time26 minutes ago

  • Les Echos

Entretien d'embauche : une histoire vaut mieux qu'un CV

Lors d'un recrutement, le curriculum vitae (CV) reste un passage obligé. Face à la multiplication des profils similaires et à la montée en puissance des compétences, une tendance s'impose : lors de l'entretien d'embauche, rien ne vaut le récit d'une expérience vécue, incarnée, pour convaincre un recruteur. Raconter une histoire, c'est donner vie à son parcours, dépasser la simple énumération des compétences et révéler sa singularité. Pourquoi cette approche séduit-elle de plus en plus les employeurs ? Comment structurer un récit professionnel impactant ? Décryptage, chiffres officiels à l'appui. CV standardisés : le storytelling, nouvel atout pour se démarquer En France, la majorité des candidats adaptent leur CV aux exigences de l' offre d'emploi, mais peinent à se démarquer lors de l'entretien. Selon Pôle emploi, 78 % des recruteurs se disent attentifs face à la capacité du candidat à illustrer ses compétences par des exemples concrets lors de l'entretien : un chiffre en hausse constante depuis 2022. Le ministère du Travail insiste : « Les candidats qui savent contextualiser leurs expériences et démontrer leur savoir-faire à travers des situations vécues marquent davantage les esprits des recruteurs ». Le CV, par nature, reste un document synthétique. Il liste des compétences, des fonctions, des dates. Mais il n'explique rien sur la façon dont le candidat a résolu un conflit, mené à bien une mission ou surmonté une difficulté. Or, c'est précisément ce que cherchent les employeurs. L'art de la narration professionnelle Raconter une histoire en entretien, ce n'est pas se livrer à un récit romancé. Il s'agit de structurer son propos autour d'une situation précise, en suivant le schéma : Contexte Action Résultat. Cette méthode, largement recommandée par les organismes publics et les cabinets de recrutement, permet de mettre en avant ses compétences techniques et comportementales, tout en démontrant sa capacité de recul et d'analyse. Prenons l'exemple d'un candidat à un poste de gestionnaire de projet: Plutôt que de se contenter d'affirmer « je suis rigoureux et organisé », le candidat gagnera à raconter : « Lors de la mise en place d'un nouvel outil de gestion, j'ai coordonné une équipe de 8 personnes sur 3 sites différents. Nous avons rencontré des réticences face au changement : j'ai donc organisé des ateliers participatifs pour recueillir les freins, puis adapté le planning. Résultat : l'outil a été déployé dans les délais, avec un taux d'adhésion de 95 %. » Ce type de récit, soutenu par des chiffres et des faits, donne du relief au parcours. Il permet au recruteur de se projeter et d'évaluer la capacité du candidat à agir dans des contextes similaires. Quand les soft skills rencontrent la culture d'entreprise Les recruteurs ne cherchent plus seulement des compétences techniques. Selon le baromètre annuel de l'Apec (2024), 62 % des employeurs placent désormais les soft skills, créativité, esprit d'équipe, gestion du stress et capacité d'adaptation, au cœur de leurs critères de sélection. Or, ces qualités s'évaluent difficilement sur un CV. Elles émergent à travers le récit d'expériences vécues, de choix assumés, de difficultés surmontées. C'est pourquoi de nombreuses entreprises privilégient aujourd'hui les questions ouvertes en entretien : « Racontez-moi une fois où vous avez dû convaincre un collègue », « Donnez-moi un exemple de situation où vous avez fait preuve de créativité », « Comment avez-vous géré un échec ? ». Ces questions visent à révéler la personnalité du candidat, sa capacité de réflexion, son alignement avec la culture de l'entreprise. Pour évaluer cette capacité d'adaptation et d'intégration, les recruteurs analysent également comment le candidat développe la cohésion d'équipe comme garantie du succès dans ses expériences passées. La sincérité, clé de la crédibilité Les sources officielles insistent : l'authenticité prime sur le storytelling formaté. Le site Emploi Public rappelle que « le jury veut savoir ce que vous savez faire ou ce que vous avez appris à faire dans vos emplois précédents ». Il recommande de « présenter des faits et non des ressentis », de rester honnête et d'expliquer ses choix, sans chercher à deviner ce que le recruteur attend. Cette transparence renforce la confiance et évite les déconvenues lors de la prise de poste. Pour évaluer efficacement la motivation d'un candidat, les recruteurs analysent également la communication non verbale et l'attitude générale lors de l'entretien. Des exemples concrets, pour quels bénéfices ? Valoriser ses expériences par le récit présente plusieurs avantages : Cela permet de sélectionner les expériences les plus pertinentes, en lien direct avec le poste visé. Le candidat peut mettre en avant les résultats obtenus, les compétences développées, mais aussi les enseignements tirés des difficultés rencontrées. Le récit favorise une discussion dynamique, où le recruteur peut rebondir sur des situations concrètes, et non sur des affirmations abstraites. Il met en lumière les soft skills, de plus en plus décisives dans le choix final du candidat. Recommandations officielles pour préparer son entretien Les sites gouvernementaux et institutionnels (Pôle emploi, Emploi Public, Apec) convergent : pour réussir son entretien, il faut préparer en amont les expériences à valoriser, choisir des exemples variés (gestion de projet, résolution de conflit, prise d'initiative), et les relier aux besoins de l'entreprise. Il est conseillé de : Décrire le contexte de l'expérience (type d'entreprise, secteur, équipe). Préciser les missions réalisées, les objectifs, les moyens mis en œuvre. Mettre en avant les résultats obtenus, idéalement chiffrés. Souligner les compétences acquises, tant techniques que comportementales. À l'heure où les CV se ressemblent et où l'automatisation des candidatures progresse, l'entretien d'embauche redevient le lieu privilégié de l'échange humain. Raconter une histoire, c'est mettre en avant ce que le papier ne dit pas : sa capacité à agir, à s'adapter, à apprendre. Cela permet au recruteur la possibilité de se projeter, vérifier l'adéquation entre un parcours et une mission. À compétences égales, c'est souvent le récit le plus vivant, le plus incarné, qui fait la différence. Plus qu'un CV, une histoire : voilà le sésame du recrutement moderne.

Ekinops se montre prudent pour l'exercice en cours
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Le 10 juillet dernier, lors de la publication de son chiffre d'affaires semestriel, Ekinops n'avait osé livrer de prévisions annuelles en raison des difficultés rencontrées avec son principal client dans la branche accès. Deux semaines plus tard, l'équipementier télécoms breton avance un chiffre, ou plutôt une fourchette : il vise entre 110 et 120 millions d'euros de revenus pour l'année, après 117,7 millions en 2024. Dans le meilleur des cas, donc, l'activité restera globalement stable (+ 1,9 %) tandis qu'elle baisserait de 6,5 % dans le pire des scénarios. Cette absence de dynamique le pousse à accentuer le contrôle de ses coûts dans un environnement économique et géopolitique toujours incertain. Au 30 juin, les frais généraux ont déjà baissé de 15 % et ceux de R&D de 6 % mais les dépenses commerciales et de marketing ont augmenté de 8 % avec le renforcement des équipes et des frais de déplacement. Fermeture du Brésil Au final, pour un chiffre d'affaires, déjà connu, de 57,2 millions d'euros, en retrait de 0,9 %, la marge brute s'est établie à 32 millions, soit, en pourcentage des ventes, à 55,9 %, contre 56,1 % un an plus tôt. L'excédent brut d'exploitation s'est contracté de 8,5 %, à 7,5 millions d'euros, mais le résultat courant a progressé de 14 % à 3,4 millions, après « prise en compte des dotations nettes aux amortissements et provisions et des produits non encaissables liés aux paiements en action s », explique Ekinops.

Haute-Garonne : le parc d'aventure Natura Game fête ses 15 ans et vise haut avec sa tour géante
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Il n'en existe que trois dans le monde, l'une en Suède, l'autre en Finlande et la dernière à Castelmaurou (Haute-Garonne), à une quinzaine de kilomètres au nord-est de Toulouse. Pour fêter ses 15 ans d'existence, le parc d'aventure Natura Game s'est offert une nouvelle attraction, une tour de 15 m de haut qui permet de pratiquer trois activités en même temps. Elle abrite, sur ses différentes faces, douze voies d'escalade accessibles dès 6 ans, deux simulateurs de chute libre et le départ d'un double parcours tyrolienne de 650 m de long. Importée de Norvège, cette structure entièrement construite en bois lamellé croisé pour une plus grande solidité, a été livrée en kit et remontée sur place, en trois semaines, au printemps dernier. Perchée sur un remblai entouré d'arbres, la tour s'élève au-dessus de la canopée d'une vaste chênaie de 44 ha au cœur de laquelle le parc de loisirs a été créé en 2010. « Tout est parti d'une discussion avec Kanopeo, notre fournisseur de lignes de vie continues pour l'activité acrobranche », explique Camille Gauci, responsable de Natura Game. « Nous lui avons parlé de notre envie de nous développer et de nous diversifier. Il nous a orientés vers Høyt & Lavt, une entreprise qui gère 17 parcs en Scandinavie et des salles d'escalade. Nous sommes allés en Norvège pour rencontrer ses dirigeants et découvrir la tour qu'ils ont installée dans la station de ski de Geilo. Nous avons vraiment aimé le concept. Ça change de tout ce qui peut exister déjà. » Depuis sa création par son père et son oncle en 2010, le parc de loisirs reste une aventure familiale. La jeune femme y a travaillé pour ses premiers jobs d'été après le bac. Elle en a pris les rênes en 2017, après un BTS commerce international et un bachelor en management . Huit ans plus tard, elle gère, avec son conjoint Cyril Chazalon, une équipe de 27 personnes durant la période estivale. En plus de la tour multi-activités, Natura Game s'est doté au printemps de trois nouveaux parcours acrobranches, qui portent à 20 ses cheminements dans les arbres. Dans son écrin végétal, le parc propose également une activité paintball, praticable sur trois terrains naturels de 4 ha et un escape game en forêt pour les adultes. Après avoir investi 600 000 euros en 2021 pour refaire à neuf tous ses parcours acrobranches, Natura Game vient de consacrer 750 000 euros à ses derniers équipements et espère enregistrer grâce à eux une hausse de fréquentation de 30 % cette année. Entre 2021 et 2024, elle est déjà passée de 35 000 à 63 000 visiteurs. « Pour chaque projet, nous essayons de limiter notre impact sur la forêt et ce qu'elle nous offre », développe Camille Gauci. « Nous avons choisi un contrôleur phytosanitaire installé près de chez nous. Cela nous permet de le faire venir plusieurs fois par an, en plus de sa visite obligatoire annuelle pour vérifier la santé de la forêt et des arbres porteurs. » Et, pour ses constructions, le parc a opté pour des vis de fondation. Les toilettes ou encore la passerelle en bois qui mène à la nouvelle tour multi-activité ont ainsi été fixées à l'aide de pieux vissés directement dans la terre, pour éviter d'avoir recours au béton.

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