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Coupe du monde des clubs : le PSG offre un package à 500 euros à ses supporters avant d'affronter le Real Madrid

Coupe du monde des clubs : le PSG offre un package à 500 euros à ses supporters avant d'affronter le Real Madrid

Le Figaro11 hours ago
Qualifié en demi-finale de coupe du monde des clubs contre le Real Madrid, le PSG souhaite offrir un cadeau à ses supporters.
Pour attirer ses supporters, le PSG a décidé de leur faire un joli cadeau avant la demi-finale contre le Real Madrid en coupe du monde des clubs. Un joli package a un prix assez dérisoire pour les supporters les plus fidèles.
À découvrir Le calendrier complet du PSG
En effet, selon les informations de l'Équipe, le PSG souhaite mettre en place un package à 500 euros, comprenant le vol aller-retour, les transferts, et les billets pour le match. En cas de« qualification pour la finale, la place sera comprise.
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Dilane Bakwa (Strasbourg) est d'accord avec Côme, mais son départ en Italie n'est pas acquis
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L'Équipe

timean hour ago

  • L'Équipe

Dilane Bakwa (Strasbourg) est d'accord avec Côme, mais son départ en Italie n'est pas acquis

Après Habib Diarra, Strasbourg pourrait réaliser une nouvelle grosse vente avec son milieu offensif Dilane Bakwa, qui s'est entendu avec le club italien de Côme. Mais son avenir n'est pas fixé. Il a été, ces dernières semaines, l'un des techniciens les plus courtisés du continent. Cesc Fabregas aurait pu signer à Leverkusen ou à l'Inter Milan. L'entraîneur de Côme, bien décidé à honorer sa deuxième saison pleine sur le banc du club italien, est désormais lancé dans une campagne de recrutement ambitieuse. L'ex-milieu espagnol (38 ans) dispose d'une surface financière importante. Si le dossier du Milanais Alvaro Morata (32 ans) a occupé ses journées récemment, Fabregas s'est lancé depuis plusieurs semaines dans une opération séduction d'envergure : celle menant au milieu offensif de Strasbourg Dilane Bakwa. Auteur d'une saison aboutie - 6 buts, 9 passes décisives -, l'ancien Bordelais (22 ans) dispose d'une cote évidente sur le marché. Des clubs anglais comme allemands ont pris des renseignements. Mais Côme entend battre cette concurrence et a multiplié les initiatives pour le convaincre de rejoindre le nord de l'Italie. Avec des arguments d'envergure : la possibilité de disposer d'un temps de jeu garanti, aux côtés de l'un des techniciens les plus prometteurs en Europe et dans un cadre sportif ambitieux. Un club amené dès cette saison à lutter pour les places qualificatives pour les Coupes d'Europe. Bakwa privilégiait un club qualifié pour l'Europe Un accord contractuel entre le joueur et le club italien a été trouvé ces dernières semaines. Mais Bakwa (sous contrat jusqu'en 2027), qui privilégiait en cas de départ cet été un club qui dispute une compétition continentale, entend encore attendre avant de donner son feu vert définitif. Il sait néanmoins qu'il devra se déterminer dans les prochains jours. Côme, qui en a fait sa priorité, veut être fixé rapidement, pour ensuite se lancer dans les négociations avec Strasbourg, qui a déjà vendu son capitaine Habib Diarra pour quelque 31,7 M€ à Sunderland.

Chutes, victoire au sprint, maillot à pois abandonné  : le Tour de France se joue parfois sur des détails
Chutes, victoire au sprint, maillot à pois abandonné  : le Tour de France se joue parfois sur des détails

L'Équipe

timean hour ago

  • L'Équipe

Chutes, victoire au sprint, maillot à pois abandonné : le Tour de France se joue parfois sur des détails

Au terme d'une étape léthargique, qui a tout de même causé beaucoup de casse, dont Jasper Philipsen, qui est tombé et a abandonné, Tim Merlier a battu Jonathan Milan d'un cheveu dans le premier sprint massif du Tour, ce lundi à Dunkerque. D'un rien peuvent naître beaucoup de choses, de la quiétude peut surgir le chaos, c'est une des ficelles préférées de ce coquin de Tour de France, dont on prend ce qu'il nous donne, en l'occurrence lundi les moments de répit salutaires qui permettent de digérer la dernière fricadelle-frites avant de quitter le Nord ce mardi matin, comme les coups de foudre qui frappent sans sommation pour nous sortir de la torpeur. Le peloton avait décidé de musarder en route vers Dunkerque, sur une étape dont le dénivelé total, le plus faible de ce Tour de France, équivalait à la somme des dos d'âne franchis, plus le mont Cassel, et où le vent de face a découragé toutes les aventures sans lendemain, même celles des équipes plus fragiles qui auraient pu se payer un peu de visibilité à moindres frais. Mais il faut croire que plus personne n'a un coup de pédale à gaspiller dans le Tour de France, ni les troufions, ni les officiers, tout se joue au millimètre, sur des détails, du moindre point pour un classement annexe à la lutte pour le maillot jaune et il n'y avait qu'à voir les UAE profiter du calme pour envoyer Tim Wellens planter le drapeau en haut du mont Cassel. Le champion de Belgique avait pour mission d'y récupérer un misérable point pour revêtir la tunique blanche à pois rouges à la place de Tadej Pogacar, et l'on remercie d'ailleurs Wellens car cela nous évitera pour une deuxième journée l'outrage visuel de la combinaison champignon du Slovène, surtout quand on sait qu'il va pouvoir ressortir le maillot arc-en-ciel de l'armoire. Tout ce tralala, en tout cas, pour économiser au triple vainqueur du Tour de France la cérémonie protocolaire d'un classement qui ne l'intéresse pas, gagner un peu de temps de récupération, le signe de l'état d'esprit méticuleux de la formation émirienne mais aussi la preuve que son leader a commis une erreur en prenant les points dans l'étape de Boulogne-sur-Mer dimanche. C'est également pour une histoire de petits points, avec grande conséquence, que Jasper Philipsen a quitté la route du Tour. Philipsen fauché par un jeu de ricochet Le Belge s'était élancé dans le sprint intermédiaire d'Isbergues, à 60 km de l'arrivée, pour consolider son maillot vert maisil fut fauché par un jeu de ricochet entre Bryan Coquard et Laurenz Rex. Une clavicule et au moins une côte brisées, un coup d'arrêt net et la fin du début du Tour de France sur un lit de roses de l'équipe Alpecin, qui avait glané deux victoires et deux Maillots Jaunes entre Philipsen et Mathieu Van der Poel lors du premier week-end. Bryan Coquard s'était lui-même bien amoché dans l'accrochage, le corps râpé et le moral en miettes d'avoir envoyé involontairement un cador à la maison. Le sprinteur de Cofidis n'était pas au bout de ses peines, un soleil l'attendait à 500 m de la ligne, dans un gadin où furent également pris Paul Penhoët, Davide Ballerini ou Émilien Jeannière, qui passa la ligne la bouche abîmée, au terme d'un final très chahuté où une première chute, à 3 km de la ligne, avait envoyé à terre Jordi Meeus, Geraint Thomas ou encore Remco Evenepoel. Le Belge est reparti sans problème, mais cela a dû lui causer un petit traumatisme de se sentir une nouvelle fois basculer, et Primoz Roglic, un autre tombeur multirécidiviste, est venu lui donner une petite tape de compassion. Merlier, actuellement le meilleur sprinteur du monde Ces diverses gamelles sont malheureusement souvent le lot pour un premier sprint massif dans le Tour, un autre classique du genre, un phénomène cette fois amplifié par cette étape tranquille qui n'avait puisé dans les réserves de personne et par ce vent de face qui désorganisait l'essaim. Un joli bazar, sans train pour vertébrer le paquet, en dehors de celui des Lidl-Trek, mais Tim Merlier n'avait besoin de personne pour s'y frayer un chemin. Le Belge a remporté la première bataille royale face à Jonathan Milan, et d'une manière qui a dû marquer l'Italien. Seul donc, Merlier est parvenu à remonter dans la roue de son rival, de s'y réfugier quelques secondes, et la carcasse de golgoth de Milan est un abri de choix, pour ensuite réussir à le déboîter et à le sauter sur la ligne, d'un cheveu, encore un détail. Dans cette démonstration, le bolide de Soudal-Quick Step a pu bénéficier de sa puissance en bout de sprint plus élevée et aussi de sa position plus aérodynamique, qui l'a forcément favorisé dans le vent contraire. Onze victoires depuis le début de la saison, le premier round du Tour de France : Tim Merlier est bien le meilleur sprinteur du monde actuellement, même s'il faudra attendre samedi, à Laval, pour une confirmation. Jonathan Milan se console pour l'instant avec le maillot vert, mais l'abandon de Philipsen a rebattu les cartes dans la catégorie, de nouveaux appétits vont s'ouvrir, d'autant que l'Italien ne semble pas forcément le mieux taillé pour le garder très loin. Dès mardi, il va souffrir dans les premiers reliefs de la Normandie, vers Rouen. Cinq côtes dans les 50 derniers kilomètres, plus de 2 000 m de dénivelé, un nouveau jardin pour Mathieu Van der Poel, qui aura l'occasion de remettre son équipe dans le bon chemin. Et surtout, gagner une étape avec le Maillot Jaune, qu'il devrait perdre mercredi dans le chrono, est une opportunité qui ne se refuse pas. À lire aussi Coquard, symbole malheureux d'une étape marquée par les chutes La démonstration de Merlier pour gagner sans train ni poisson-pilote Philipsen, la bascule du rêve au cauchemar Merlier, le sprinteur habitué à se débrouiller tout seul

« Je ne voulais pas prendre de risque » : Bryan Coquard, le symbole malheureux d'une étape marquée par les chutes
« Je ne voulais pas prendre de risque » : Bryan Coquard, le symbole malheureux d'une étape marquée par les chutes

L'Équipe

timean hour ago

  • L'Équipe

« Je ne voulais pas prendre de risque » : Bryan Coquard, le symbole malheureux d'une étape marquée par les chutes

Bryan Coquard a été impliqué dans deux des trois chutes qui ont agité la longue étape de plaine jusqu'à Dunkerque, lundi. Il nous arrive de discrètement fermer les yeux lorsqu'un homme va à terre, d'être touché par la douleur et la peur qu'il doit ressentir. Mais un homme debout est parfois encore plus touchant. Bryan Coquard (33 ans) est arrivé devant une nuée de micros lundi en début de soirée, les yeux secs, puis un peu moins, pour finir carrément humides à mesure qu'il tentait de retracer sa journée et ses malheurs. Le sprinteur de Cofidis est celui qui a entraîné la chute de Jasper Philipsen avant de faire un soleil dans le final à Dunkerque. Douleur mentale dans le premier cas, physique dans le second. « Je m'attendais à ce que vous soyez tous là, souffle Coquard lorsqu'il prend la parole après avoir, en plus, dû patienter de très longues minutes au contrôle antidopage. C'est une sale journée oui, vous imaginez que... » Une pause pour faire le ménage dans ses émotions. « Faire abandonner le maillot vert, ça ne fait pas plaisir. Même si ce n'était pas un acte volontaire, je tiens à m'excuser auprès de Philipsen et d'Alpecin. Je ne suis pas un mauvais bougre, un mauvais garçon, ce n'est pas agréable. » Touché et touchant. « Je ne voulais pas vraiment faire le sprint final... », ajoute-t-il un peu plus tard en ravalant un deuxième sanglot. « Je me suis remobilisé puis... » Sa voix tremble. « Nouvelle chute, et voilà... J'ai mal un peu partout, j'ai des abrasions, on verra... » Brûlures à la jambe gauche et la fesse gauche, multiples plaies superficielles, douleurs musculaires du côté de l'omoplate, le bilan médical dans la soirée n'était pas réjouissant. « C'est toujours la faute à pas de chance dans les sprints donc on ne peut blâmer personne » Paul Penhoët, victime de la chute lors du sprint final lundi Cette deuxième chute, spectaculaire, l'a envoyé jambes par-dessus tête à plus de 60 km/h, après avoir tenté d'éviter une vague provoquée par le duo Davide Ballerini (XDS-Astana) et Danny Van Poppel (Red Bull-Bora Hansgrohe) forçant Paul Penhoët (Groupama-FDJ) à se déporter vers la gauche. La même chute qui a envoyé Émilien Jeannière (TotalEnergies) dans les barrières. Sur un rétrécissement à trois kilomètres de l'arrivée, Remco Evenepoel (Soudal-Quick Step) est aussi tombé, mais sans gravité. Tout l'inverse de Jordi Meeus (Red Bull-Bora), qui a mis longtemps a se relever, avait le bras en écharpe après l'étape et n'était pas encore certain de prendre le départ ce mardi. Il pourrait souffrir d'une commotion. Rentré à l'hôtel peu avant 20 heures, Jeannière souffre selon son équipe d'un traumatisme facial sans gravité, de contusions multiples au niveau des épaules et de plaies déjà suturées. Il était monté dans une ambulance le casque explosé. « Je suis touché au dos, fesses, doigts, pieds. J'ai vraiment fini sur le dos », listait de son côté Penhoët, qui a passé la ligne en marchant à côté de son vélo, dépité : « Je n'ai pas envie de dire quoi que ce soit là-dessus, c'est toujours la faute à pas de chance dans les sprints donc on ne peut blâmer personne. Moi le premier, je ne freine pas, donc voilà. Moi je voulais aller là car un mec s'écartait et je voyais que ça lançait devant... » « C'est miraculeux pour lui de rester sur le vélo. (...) Je vais lui dire de surtout pas culpabiliser » Cédric Vasseur, manager de Cofidis, au sujet de la chute qu'a provoquée Bryan Coquard Être là ou là, choisir une ligne plutôt qu'une autre et composer avec les aléas, c'est aussi la phase vécue par Coquard juste avant le sprint intermédiaire à 60 bornes de l'arrivée. Le coureur de Cofidis a revu les images des deux sprints qui ont fait de sa journée un enfer. « Je ne sais vraiment pas ce qu'il s'est passé en fait. J'ai l'impression que (Jonathan) Milan lance son sprint, peut-être que ma roue avant touche son dérailleur ou peut-être que c'est (Laurenz) Rex qui me déséquilibre, j'en sais vraiment rien, décortiquait-il la voix remplie d'émotion. Ce n'était pas mon intention de créer une chute, je ne voulais pas prendre de risque. J'étais juste dans la roue de Milan quand il a lancé, je n'ai même pas l'impression d'avoir touché quelque chose. Ensuite, j'ai été clairement déséquilibré, j'ai perdu la pédale de la chaussure, j'en ai presque perdu la chaussure. » Une séquence, comme les deux autres, où personne n'était vraiment fautif, où aucun comportement violent ou antisportif n'a été pointé. Simplement des faits de courses un peu malheureux, provoqués par la vitesse élevée et un vent de face qui n'a pas aidé. « Il s'en tire miraculeusement sur cette chute mais il a eu moins de chance dans les derniers hectomètres à Dunkerque, soupirait Cédric Vasseur, manager de Cofidis, sur le plateau de Vélo Club. C'est miraculeux pour lui de rester sur le vélo, il saute de sa selle, il déchausse complètement. Je vais lui dire de surtout pas culpabiliser. » Le communiqué des commissaires tombé dans la soirée, le sanctionnant d'un carton jaune pour son mouvement au sprint intermédiaire, n'était pas la pire chose de la journée, mais un petit coup de plus sur la carafe. Comme les reproches formulés par Jonas Rickaert (Alpecin-Deceuninck), véhément sur la route alors que Coquard se plaignait d'une de ses jambes, puis franchement désagréable après l'arrivée au micro de la chaîne Sporza. Coquard, digne, était lui sincèrement touché par ce qu'il avait causé et subi. Un homme debout après avoir mis à terre puis été à terre. À lire aussi Philipsen, la bascule du rêve au cauchemar Des chutes à la victoire, tout se joue au millimètre La démonstration de Merlier pour gagner sans train ni poisson-pilote Merlier, le sprinteur habitué à se débrouiller tout seul

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