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Lionel Messi en route vers le club le plus «hype» d'Europe?

Lionel Messi en route vers le club le plus «hype» d'Europe?

24 Heures23-07-2025
Grand ami du champion du monde argentin, Cesc Fabregas a fait du pied à l'octuple Ballon d'or pour l'attirer du côté de Côme. Publié aujourd'hui à 15h39
Néo-promu en Série A, Côme a terminé la saison à une brillante 10e place.
EPA
Un paysage enivrant, un stade romantique, sur les rives du lac de Côme, des propriétaires parmi les plus riches du monde et un «grand ami» au poste d'entraîneur. L'histoire semble toute tracée pour Lionel Messi à Côme.
C'est en tout cas ce qu'a laissé entendre Cesc Fabregas, ledit «grand ami» de l'octuple Ballon d'or, et entraîneur du club italien. «Messi à Côme? Il ne faut jamais dire jamais», a-t-il sobrement répondu à « La Gazzetta dello Sport ».
Antonela Roccuzzo, femme de l'Argentin, a en effet été aperçue dans les tribunes du club lombard lors d'un match amical de présaison. «Ils sont simplement venus passer quelques jours à la maison pour les vacances. On est amis, nos femmes sont amies, nos enfants aussi», a raisonné l'entraîneur catalan.
À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Club le plus riche d'Italie
Sous contrat jusqu'à la fin de l'année avec l' Inter Miami , les rumeurs sur le futur de Lionel Messi abondent ces dernières semaines. Fin juin, plusieurs médias évoquaient une rencontre entre son père et le club d'Al-Hilal, en Arabie saoudite.
Loin de la tentation financière du Proche-Orient, signer à Côme ne signifierait pas – forcément – renoncer à un salaire important. Propriété des frères Hartono, le club lombard n'est pas en reste. D'après «Forbes», leur fortune est estimée à plus de 50 milliards de dollars. Les deux hommes figurent dans le top 10 des actionnaires de clubs les plus riches du monde . Thierry Henry actionnaire
«On évoque toujours le lac ou la beauté de cette région, et c'est bien normal. Mais maintenant, il est important de parler de Côme d'un point de vue footballistique. Il est temps de développer le club», avait annoncé Thierry Henry en 2022, à son entrée dans le club en tant qu'actionnaire.
Dixièmes de Série A l'an dernier en tant que néo-promu, un football léché, un coach avec des idées, Nico Paz – révélation du dernier championnat – et peut-être Lionel Messi: on pourrait bien parler de football à Côme la saison prochaine.
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La rencontre amicale entre Côme et le Betis a été interrompue par des échanges de coups de poing. L'ancien lausannois Lucas Da Cunha a par ailleurs inscrit un but sublime. Publié aujourd'hui à 11h14 Le joueur de Côme Maximo Perrone (à gauche) a été expulsé. IMAGO/ZUMA Press Wire Une scène pour le moins inhabituelle est survenue mercredi au stade de La Linea de la Concepción, en Andalousie. En pleine rencontre amicale de présaison entre Côme et le Betis, une grosse bagarre a éclaté, alors que les deux équipes s'apprêtaient à rejoindre les vestiaires pour la mi-temps. Le joueur sévillan Pablo Fornals et l'Argentin du club italien Maximo Perrone ont haussé le ton, avant que le joueur de Côme n'adresse une gifle au joueur espagnol. S'en est suivi un échange de coups, entre les deux hommes mais pas que. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Plusieurs coéquipiers ont sauté dans la mêlée, l'embrouille virant à la bagarre générale pendant quelques minutes. La scène est tellement confuse que Cucho Hernandez a même adressé un coup de poing à son propre coéquipier Natan. Lucas Da Cunha continue de briller D'après « Marca », le ton est également monté sur les deux bancs, notamment entre les deux entraîneurs Cesc Fabregas et Manuel Pellegrini. Au final, l'arbitre de la rencontre s'est montré très clément, n'excluant que les deux instigateurs, Pablo Fornals et Maximo Perrone. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Après les festivités, le match a pu reprendre, et Côme s'est imposé 3-2 sur la pelouse andalouse. L'ancien joueur du LS Lucas Da Cunha, qui s'éclate en Italie depuis trois ans, a notamment inscrit un but sublime. Le football, ce n'est pas que de la bagarre Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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Les autorités peinent à appliquer un modèle de sanctions, vu l'aspect inédit des affrontements entre deux groupes de supporters. Publié aujourd'hui à 18h22 Une image de la rixe de samedi dernier à la rue de Carouge. DR En bref: Cela faisait de longues années que le monde du football à Genève n'avait pas connu un tel regain de violence. Depuis plus d'une semaine, deux groupes d'ultras du Servette FC se font la guerre. Deux bagarres ont eu lieu entre la Section Grenat (SG), principal groupe ultra du club fondé en 1988, et Les Plus Malins (LPM), un nouveau venu présent depuis quelques années au Stade de Genève. Que faire pour enrayer le cycle de la violence? La première échauffourée découle d'un communiqué de la SG dans lequel elle annonce ne plus accepter la présence des LPM en Tribune nord. Elle leur interdit également d'emprunter les trains spéciaux lors des matches à l'extérieur. À la suite de sa publication, une rixe a eu lieu aux abords du stade le 26 juillet, lorsque les LPM se sont tout de même présentés au départ d'un convoi pour se rendre à la première rencontre du championnat, à Berne. Notons que les tensions entre les deux groupes ne sont pas nouvelles. La première altercation entre la SG et les LPM DR Et visiblement elles perdurent. Après le match du 2 août contre Saint-Gall, les deux groupes se sont retrouvés une heure plus tard pour échanger des coups au cœur du chantier de la rue de Carouge. La deuxième bagarre entre les deux groupes DR La tension est à son comble alors que, ce jeudi, Servette reçoit le club d'Utrecht, dans le cadre de l'Europa League. Comment diminuer les risques d'incidents? Interrogé, le Département des institutions et du numérique (DIN), responsable de la police, reste vague. «Les effectifs policiers engagés sont en adéquation avec les éléments dont nous disposons à ce jour, indique Florence Forget, chargée de communication. La police reste vigilante quant à l'évolution de la situation et ajuste ses mesures de sécurité en fonction des circonstances. Si celles-ci devaient changer, des adaptations des dispositifs de sécurité pourraient être mises en œuvre.» Un problème «inédit» à Genève La porte-parole apporte toutefois quelques précisions sur le travail du Conseil d'État pour calmer les esprits: «Le DIN est en contact avec le Département de la cohésion sociale pour solliciter le chargé de prévention des violences dans le sport.» Le but? Soutenir le club dans le développement de formes positives de «supportérisme» et encourager un travail social là où c'est nécessaire, fait savoir le DIN. Bien entendu, l'enquête sur les deux bagarres se poursuit en parallèle. Mais doit-on bientôt s'attendre à des interdictions de stade? Pas forcément. Comme le reconnaissent les autorités, il s'agit d'un problème «inédit». «Le modèle de sanctions actuel vise à prévenir la violence dans le cadre d'une manifestation sportive, et la question de sa mise en œuvre dans une telle hypothèse ne s'est pas encore posée», explique Florence Forget. Cela étant, elle n'exclut pas que cette situation puisse entraîner une discussion avec les autres cantons pour adapter le dispositif. «Je crois au dialogue» Enfin, le DIN indique avoir une très bonne collaboration avec le Servette FC. Mais le département déplore que les ultras refusent le dialogue avec la police ou les autres représentants de l'autorité cantonale. Et du côté des supporters grenat, que pense-t-on de ces tensions? «C'est clair que ce n'est pas génial, reconnaît Samuel*, abonné depuis plusieurs années. Mais je trouve que les gens paniquent trop. Les deux groupes se sont toujours battus hors du stade, tant que des passants n'en font pas les frais. Par contre, j'espère que l'ambiance en Tribune nord n'en souffrira pas trop.» D'autres sont plus critiques. «Ces rixes proviennent de problèmes plus profonds, ce n'est pas juste une histoire de savoir qui a les plus gros muscles, assure un habitué de la Nord. Mais ça reste déplorable!» Faut-il que la police serre la vis pour régler le problème? «Ça n'apaisera rien, balaie-t-il. Je crois plus au dialogue, avec le club comme intermédiaire. Personne n'a intérêt à ce que le conflit s'enlise.» Espérons que ce fan de Servette FC sera entendu ce jeudi. *Nom connu de la rédaction Les ultras du Servette FC Emilien Ghidoni est journaliste à la Tribune de Genève depuis août 2022. Il couvre en particulier les questions de mobilité et la commune de Vernier. Il est titulaire d'un Master en journalisme à l'Académie du journalisme et des médias à l'Université de Neuchâtel et d'un Bachelor en relations internationales. Il a suivi une formation complémentaire sur les mouvements politiques radicaux. Plus d'infos @emilien_ghidoni Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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Le kop grenat est secoué par des bagarres depuis plusieurs semaines. Explications d'un phénomène qui n'est pas propre à Genève. Publié aujourd'hui à 18h23 Le kop grenat, ici lors de son cortège avant la finale de la Coupe de Suisse 2024, a connu des heures plus paisibles et joyeuses. BASTIEN GALLAY / GALLAYPHOTO En bref: Le Servette FC connaît un début de saison musclé, en l'espace de deux semaines seulement. Sur le terrain, l'équipe est groggy: deux déroutes en championnat et une élimination en Ligue des champions ont déjà coûté sa place à l'entraîneur Thomas Häberli . Dans les tribunes, c'est encore plus animé, puisque les ultras grenat se battent entre eux. La Section Grenat (SG) et Les Plus Malins (PLM) sont en conflit ouvert. Une première bagarre sur le parvis du Stade de Genève le 26 juillet , suivie d'une seconde en pleine ville samedi dernier après un autre match. Alors que Servette reçoit les Néerlandais d'Utrecht ce jeudi soir en qualifications européennes (20 h 30), le club a réagi par voie de communiqué . Les contrôles de sécurité seront renforcés dans tout le stade, Les Plus Malins seront placés dans un autre secteur, tandis que les trains spéciaux pour les matches à l'extérieur sont annulés «jusqu'à nouvel avis». En coulisses, le club et la police poursuivent le dialogue pour un retour au calme dans la Tribune nord, havre du kop grenat. Des bagarres similaires à Zurich et à Sion Mais pourquoi les ultras se battent-ils entre eux? «Ce type d'affrontements n'est pas inédit, mais ça reste exceptionnel», détaille Richard Bouigue, codirecteur de l'Observatoire du sport à la Fondation Jean-Jaurès de Paris. «En France, on a eu des cas au PSG, à Bordeaux, à Metz notamment.» En Suisse, le groupe «K4» a été violemment réprimandé par la Südkurve du FC Zurich en 2006. Le kop du FC Sion a été marqué par des tensions entre les «Freaks» hauts-valaisans - aujourd'hui dissous - et le reste du Gradin nord. Tandis qu'une autre tribune romande a récemment lutté (au propre comme au figuré) contre des sympathisants d'extrême droite. «Il n'y a pas une cause universelle dans ces luttes intestines, mais plutôt une série de déclencheurs potentiels, détaille Richard Bouigue. Cela peut être soit d'ordre politique, soit une différence dans la conception même de supporter un club (que ce soit les rapports aux dirigeants ou à l'animation d'une tribune). Cela peut aussi venir d'une scission entre un groupe historique et une entité plus récente. Enfin, le dernier point, c'est la manière de concevoir la violence dans le mouvement des ultras: est-ce un moyen d'expression pure et dure ou juste une légitime défense lorsqu'on nous attaque?» Se démarquer de la Section Grenat à tout prix Dans le cas du patient grenat, la crise s'explique en partie par les deux derniers symptômes. Les Plus Malins ont vu le jour en 2022, trois décennies après la Section Grenat, fondée en 1988. La «SG» est le «club de supporters le plus actif», comme l'explique le Servette FC sur son site. «Composée de nombreux membres, c'est elle qui met l'ambiance dans les stades avec ses chants variés et ses tifos lors de certaines occasions.» Jusque-là, la bâche des LPM (à gauche) et celle de la Section Grenat se côtoyaientcôtoyaient en Tribune nord. BASTIEN GALLAY / GALLAYPHOTO Les LPM, plus jeunes et plus remontés, cherchent à sortir de l'ombre de leurs prédécesseurs. Cela passe notamment par des actions osées, comme les tags insultants sur le stade de la Tuilière à Lausanne avant un derby lémanique en décembre 2023. «La violence peut être le moyen de se faire reconnaître comme étant un groupe ultra à part entière, de quelque part faire son trou, de se faire reconnaître par ses pairs, poursuit Richard Bouigue. Dans le milieu, certains agissements peuvent donner du crédit.» À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Au Stade de Genève, une tribune convoitée Les tensions entre la Section Grenat et Les Plus Malins ont débouché sur d'autres bagarres avant l'été. Juste avant la reprise, la SG a décidé unanimement d'une mesure forte: leurs rivaux ne sont plus autorisés à entrer en Tribune nord, ni dans les trains spéciaux pour les déplacements à l'extérieur. Un affront dans le milieu. «Chez les ultras, il y a toujours une logique de territoire, incarnée par une tribune ou un virage du stade, analyse Richard Bouigue. C'est un peu devenu chez eux, là où le groupe fait sa vie, s'organise. Il y a des fresques, des autocollants, des installations. La tribune permet aux ultras de devenir une partie intégrante du stade. Si les groupes changeaient à chaque match de place, ils n'auraient pas la même légitimité.» Déjà exilés au sud-est du Stade de Genève contre Saint-Gall, Les Plus Malins ont quitté leurs nouvelles places après vingt-deux minutes de jeu, clin d'œil à leur année de création. Ils ont par la suite publié un communiqué. «Nous sommes nés dans la Tribune nord, celle où cohabitent tous les plus fervents supporters du grand Servette FC, peut-on notamment y lire. C'est donc dans cette dernière que nous comptons continuer à vivre notre passion et supporter notre club.» Le Servette FC a néanmoins décidé mercredi de dissocier les groupes pour les deux prochains matches à domicile, jeudi contre Utrecht et dimanche contre GC. Pour «créer un temps de réflexion et de dialogue afin que les deux groupes concernés puissent travailler ensemble à des solutions durables pour sortir de cette crise». Retrouver la paix chez les ultras «S'ils ne parviennent pas à cohabiter dans la même tribune, il n'y a pas 36'000 solutions: il faut les séparer, appuie Mathieu Zagrodzki, chercheur au Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales de Paris (CESDIP). On a vu des cas récents à Bordeaux, où les vétérans «Ultramarines» sont au sud et les plus récents «North Gate» au nord. Pareil au Partizan Belgrade avec une scission du kop il y a une quinzaine d'années, même si le contexte était complètement différent en Serbie.» Depuis le début de la crise, les autorités se montrent très discrètes sur le sujet. «Pour les pouvoirs publics, il faut aller au-delà de l'émotion suscitée par les images de bagarres, confirme le chercheur Richard Bouigue. Des mesures de répression n'auraient pas l'effet escompté et jetteraient de l'huile sur le feu. Chaque groupe se renforcerait de la violence institutionnelle qu'il ressentirait comme injuste, car c'est l'autre groupe qui est fautif à leurs yeux.» À part les mesures annoncées mercredi, le Servette FC préfère aussi œuvrer en coulisses pour trouver une solution diplomatique et la désescalade. Casques bleus aux reflets grenat, en espérant que la paix revienne le plus vite possible dans la Tribune nord. À lire sur le Servette FC Ugo Imsand est journaliste à la rubrique sportive de 24 Heures, de la Tribune de Genève et du Matin Dimanche. Ce trentenaire lausannois couvre en particulier le football suisse et international depuis une douzaine d'années. Il réalise aussi des articles plus magazine sur le sport en général et ses liens étroits avec le reste de la société. Plus d'infos @UgoCurty Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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