
« Ça signifie beaucoup » : Amanda Anisimova, qualifiée à Wimbledon pour sa première finale en Grand Chelem
« Comment avez-vous réussi à tenir le coup mentalement dans ce match, qui a connu beaucoup de hauts et de bas, pour remporter la plus grande victoire de votre carrière ?J'ai eu du mal à conserver mon service au deuxième set. Cela montre bien que lorsque vous manquez un point crucial ou que vous perdez un jeu, les marges sont si minces, surtout lorsque vous jouez contre la n°1 mondiale... Nous nous sommes vraiment battues aujourd'hui (jeudi). Les conditions n'étaient pas faciles.
Sabalenka a dit que vous aviez gagné parce que vous aviez été la plus courageuse...J'ai l'impression que je jouais très bien au premier set. Ensuite, je pense que nous étions toutes les deux un peu chancelantes tout au long du match. Nous avons commis pas mal d'erreurs de part et d'autre. Il y a de la nervosité, pour ce qui aurait été notre première finale à Wimbledon. Dans le troisième set, je savais que j'allais devoir me donner à fond. Je savais que je n'allais pas gagner en profitant de ses erreurs.
« Lorsque j'ai pris ma pause, beaucoup de gens m'ont dit qu'on ne revient jamais au sommet si on s'éloigne autant du circuit. (...) J'ai juste pu prouver que l'on peut revenir si l'on se donne des priorités. »
Sur une balle durant le deuxième set, l'arbitre vous a dit quelques mots au sujet d'une célébration prématurée sur un point gagnant. Avez-vous été surprise qu'il vous en parle ?Non, je ne célébrais pas. C'était juste un long cri, je suppose. Je ne sais pas vraiment ce qui s'est passé, pour être honnête, parce que je n'ai pas eu l'impression que cela interférait. Mais j'ai essayé de ne pas recommencer. Nous avons toutes les deux beaucoup crié.
Que signifie cette finale, après la longue pause (de mai 2023 à janvier 2024) pour cause de burn-out que vous avez subie ?Cela montre que c'est possible. C'est un message très spécial que j'ai pu transmettre, parce que lorsque j'ai pris ma pause, beaucoup de gens m'ont dit qu'on ne revient jamais au sommet si on s'éloigne autant du circuit. C'était difficile à digérer, parce que je voulais revenir et continuer à accomplir beaucoup de choses et gagner un jour un Grand Chelem. J'ai juste pu prouver que l'on peut revenir au sommet si l'on se donne des priorités. Oui, cela signifie beaucoup. »

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