
Déguster la saison avec une salade de maïs à la mexicaine
Une fois par mois, notre collaboratrice connue pour son blogue culinaire Vert Couleur Persil vous propose une recette gourmande à réaliser avec ce qui traîne dans votre frigo.
Geneviève plante
créatrice culinaire, collaboration spéciale
J'adore les salades. Celle-ci est un véritable coup de cœur pour moi et quelque chose me dit qu'elle pourrait bien devenir le vôtre aussi ! Allez, dégustez la saison en mettant le maïs à l'honneur, dans cette salade d'accompagnement qui déborde (et le mot est faible) de fraîcheur et de saveurs. Un vrai rayon de soleil dans l'assiette !
PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE
Trois ingrédients : Maïs, poivron, feta
Trois ingrédients : Maïs, poivron, feta
Salade de maïs à la mexicaine
Préparation : 12 minutes
Cuisson : 5 minutes
Rendement : 4 portions
Ingrédients
Salade
5 épis de maïs épluchés
1 poivron jaune, épépiné et en petits dés
½ oignon rouge, haché
2 piments jalapeños, épépinés et en petits dés*
2 tasses (500 ml) de coriandre fraîche, hachée
200 g de fromage feta émietté
⅓ tasse (80 ml) de graines de tournesol grillées*
Vinaigrette
3 c. à soupe (45 ml) d'huile d'olive extravierge
2 c. à soupe (30 ml) de jus de lime
2 c. à soupe (30 ml) de jus d'orange
2 c. à thé (10 ml) de miel
1 c. à thé (5 ml) d'origan séché
1 c. à thé (5 ml) de cumin moulu
¼ c. à thé (1,25 ml) de sel de mer
Poivre du moulin, au goût
Préparation
1. Porter un grand chaudron d'eau à ébullition. Faites cuire les maïs à l'eau bouillante pendant environ 5 minutes*. Sortir, égoutter et laisser refroidir. Égrener et réserver.
2. Dans un petit bol, mélanger tous les ingrédients de la vinaigrette. Réserver.
3. Dans un grand bol, ajouter l'ensemble des ingrédients de la salade et mélanger délicatement.
4. Au moment de servir, ajouter la vinaigrette dans le grand bol et bien enrober. Servir et déguster.
* Pour ajouter encore plus de saveurs à cette salade, vous pouvez aussi cuire les épis de maïs au barbecue
* Pour diminuer l'effet piquant des piments jalapeños, pensez à retirer les pépins ainsi que les membranes blanches qui se trouvent à l'intérieur, car c'est là que se cache la majorité de la capsaïcine, responsable du piquant.
* Pour faire griller les graines de tournesol crues, j'adore le faire à la poêle, avec un petit filet d'huile de cuisson végétale et une pincée de sel.
Consultez le blogue Vert Couleur Persil
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


La Presse
8 hours ago
- La Presse
Facile ou pas, tirer des joints de plâtre ?
Des truelles, du plâtre, ça ne prend pas la tête à Papineau pour tirer des joints de plâtre. Du moins, c'est ce que la plupart des gens pensent. Mais, pour avoir des résultats qui valent la peine d'avoir investi temps et argent, le travail doit être coordonné dans une séquence précise et demande un minimum d'entraînement et, comme n'importe quelle activité manuelle, d'avoir un brin de cran. Notre collaboratrice répond à nos questions ! 1. Est-ce à la portée de tous ? C'est loin d'être aussi simple que ça en a l'air. Mais oui, c'est accessible à tous. On n'a besoin que de très peu d'outils. L'important, c'est d'avoir les essentiels, sinon on travaille plus fort à éliminer les lignes que font nos truelles. Pour vous convaincre, rappelez-vous que ce ne sont pas des travaux qui mettent en péril l'intégrité de votre maison. Mais, si vous ratez votre coup, c'est plus de travail pour le pro de corriger correctement la surface. Le but de cette tâche est de créer le trompe-l'œil parfait, que les feuilles de gypse aient l'air d'une seule grande surface. Pour que ce soit esthétique, il faut trouver le bon dosage. Pour le côté technique, sachez que la première couche n'a pas à être jolie ou parfaite. La deuxième application sert à niveler et réajuster et la dernière est la couche de finition. En toute sincérité, ce n'est pas trop une tâche pour ceux qui tournent les coins ronds ! Les résultats ne seront pas intéressants. En revanche, cette tâche va mettre au défi les perfectionnistes, surtout au début. Trouvez l'équilibre entre les deux ! 2. Comment bien se préparer ? PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE La préparation des murs est essentielle avant de tirer les joints ; il faut notamment s'assurer que les vis sont fixées de la bonne façon. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Parmi les outils essentiels, on trouve porte-mortier, truelles, couteaux et spatules. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Il existe aussi différents types de blocs à sabler. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Prévoir une paire de ciseaux adaptés pour ajuster la longueur des coins de métal. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Il faut aussi s'assurer d'installer les coins de métal en utilisant un niveau. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE La préparation des murs est essentielle avant de tirer les joints ; il faut notamment s'assurer que les vis sont fixées de la bonne façon. 1 /5 La préparation des murs est essentielle. Bien vérifier qu'il n'y a aucune bosse. Dans ce cas, vaut mieux défoncer pour en faire un trou. Ce sera plus facile à gérer. Les bosses sont les ennemies des surfaces planes. Assurez-vous que les vis soient bien fixées, qu'elles ne dépassent pas et ne défoncent pas le gypse. Ensuite, comme outils, il faut : un porte-mortier, une truelle de 12 pouces, un couteau/spatule de 4 à 6 pouces. Il y a de fortes chances que des coins de métal soient nécessaires –, ces renforts métalliques servent à protéger et renforcer le coin des murs et des cloisons. Prévoir une paire de ciseaux à métal pour les installer. Autres essentiels : des linges humides pour laver le manche des outils régulièrement ainsi qu'un bloc à sabler. Il n'est pas nécessaire de protéger le sol, sauf si le revêtement est plutôt fragile. Quand la matière est sèche, elle se gratte bien. 3. Plâtre ou composé à joint ? PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Le composé à joint est préférable pour les débutants ; il vient en seau ou en boîte, prémélangé. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Le plâtre est davantage utilisé par les professionnels, il faut trouver le bon dosage eau/poudre pour le mélange et il sèche vite. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Le composé à joint est préférable pour les débutants ; il vient en seau ou en boîte, prémélangé. 1 /2 Le plâtre est utilisé par les professionnels. C'est un mélange qu'on achète en poudre, dans une grosse poche. Le chiffre sur la poche correspond au temps de séchage (20, 60, 90). Dans le métier, on utilise le plâtre pour sa dureté afin de faire des retouches ou des réparations rapides dans la même journée. Par contre, pour un débutant, le plâtre peut représenter un défi : il faut trouver le bon dosage eau/poudre pour le mélange et il sèche vite. Le composé à joint est préférable pour les débutants, car il n'y a pas de mélange à faire. Il vient en seau ou en boîte, prémélangé. 4. Quelle est la largeur d'un joint entre deux planches de gypse ? La largeur d'un joint normal est entre 12 et 16 pouces, mais il peut atteindre 24 pouces si les feuilles ne sont pas à niveau et que la pente est prononcée. Pour les zones où il y a des coins de métal, il faut un minimum de 12 pouces ; pour les angles de coin, on parle de 4 à 5 pouces. 5. Quel type de ruban utiliser ? PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Il existe différents types de ruban à joint, adaptés à différents usages. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Pour une application optimale, le ruban à joint de papier doit être utilisé avec une bonne dose de plâtre en dessous et au-dessus. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Il existe différents types de ruban à joint, adaptés à différents usages. 1 /2 Les rubans servent notamment à solidifier l'assemblage de deux feuilles, à solidifier le contour d'une réparation faite avec une pièce de gypse, ou encore à retenir le composé à joint devant un trou. Un joint sans ruban n'aura aucune résistance aux chocs ou aux vibrations et il craquera en un rien de temps. La plupart des pros utilisent le ruban à joint de papier, qui demeure la meilleure option. On doit toutefois l'utiliser avec une bonne dose de plâtre en dessous et au-dessus. Il peut se former des bulles, des bosses, mais c'est le plus résistant. Le ruban autocollant quadrillé est également intéressant. On peut l'utiliser pour réparer des trous, solidifier une petite réparation. On peut aussi l'utiliser pour jointer deux feuilles de gypse. Ce n'est pas « la méthode », mais ça fait le travail. Attention toutefois à ne pas l'utiliser dans les coins intérieurs ni dans aucun assemblage plafond-mur. Il finit souvent par arrondir et se contracter quand le plâtre sèche. Vaut mieux privilégier le ruban à joint en papier pour ces usages. 6. Faut-il sabler entre les couches ? PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE On peut sabler entre les couches pour aplanir et éliminer les imperfections. Les meilleurs plâtriers ne sablent généralement que très peu. On peut sabler un peu entre les couches, surtout entre la deuxième et la troisième, pour aplanir et éliminer les imperfections. Et on termine avec un léger sablage final.


La Presse
13 hours ago
- La Presse
Des discussions... constructives
Votre compte La Presse Pour des raisons de sécurité, veuillez valider votre adresse courriel Un courriel de validation vous a été envoyé.


La Presse
a day ago
- La Presse
Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras
« Le Québec doit explorer de nouvelles avenues, oui. Mais il doit surtout consolider ce qu'il a déjà. Miser sur les sciences de la vie, c'est investir dans un secteur éprouvé », écrit l'auteur, PDG de BIOQuébec. La section Affaires de La Presse accorde un espace à une lettre d'opinion d'un acteur du monde des affaires. Entrepreneurs et gestionnaires, la parole est à vous. Benoit Larose PDG de BIOQuébec Alors que le Québec s'appuie sur l'innovation pour stimuler sa productivité et diversifier son économie, il est pertinent d'explorer les secteurs émergents. L'avenir se prépare en ouvrant de nouvelles avenues. Mais dans cette course au renouveau, n'oublions pas ce que nous avons déjà bâti. L'industrie des sciences de la vie et des technologies de la santé (SVTS) constitue un atout éprouvé : elle emploie autant de personnes que l'industrie aérospatiale, mais investit trois fois plus en recherche et développement. Les PME québécoises novatrices et les grandes multinationales y allient science et impact concret pour la santé – ici comme ailleurs. Récemment, le Québec a perdu une figure marquante de son industrie : Francesco Bellini, cofondateur de BioChem Pharma, s'est éteint à 77 ans. Cette entreprise a mis au point l'Epivir (3TC), un antiviral révolutionnaire contre le VIH/sida et l'hépatite B, utilisé par des millions de patients dans le monde. Lisez « Francesco Bellini (1947-2025) : Le Québec perd un de ses grands entrepreneurs » Ce succès rappelle que le Québec sait concevoir des traitements qui changent des vies, pourvu que les innovations bénéficient d'un environnement propice à leur développement. Il est essentiel que le Québec soit une terre d'accueil pour l'innovation en santé. Qu'il s'agisse de jeunes pousses, d'entreprises en croissance ou de grands groupes établis, tous doivent trouver ici des conditions qui les incitent à investir, à produire et à croître. Quand financement, capacité industrielle et intégration des innovations dans notre système de santé sont au rendez-vous, c'est l'ensemble de la société qui en profite, tant les patients que l'économie. Utile aussi pour la défense Le potentiel est immense. Les avancées en médecine personnalisée, en biologie synthétique et en intelligence artificielle appliquée à la santé ouvrent des horizons nouveaux. À l'heure où le Canada relance une filière de la défense, rappelons que la biodéfense et la sécurité sanitaire reposent fortement sur cette industrie. Notre autonomie en santé dépend de notre capacité à produire et de notre capacité à détecter les menaces biologiques ou les perturbations des chaînes d'approvisionnement mondiales et à y réagir rapidement. Soutenir les sciences de la vie, ce n'est pas seulement financer la recherche, c'est bâtir un écosystème complet : favoriser l'accès au capital, encourager l'industrialisation locale, former une main-d'œuvre spécialisée et intégrer l'innovation dans nos établissements de santé. Le Québec doit explorer de nouvelles avenues, oui. Mais il doit surtout consolider ce qu'il a déjà. Miser sur les sciences de la vie, c'est investir dans un secteur éprouvé. Un secteur qui prévient, diagnostique, soigne, sauve des vies et alimente notre système de santé en solutions innovantes, tout en générant d'importantes retombées socio-économiques pour le Québec – à condition de lui offrir un accueil et un soutien à la hauteur de ses ambitions.