5 polars immanquables à lire en vacances
Délicieusement sombre, le polar aime brouiller les pistes. Et contrairement aux idées reçues, l'enquête passe généralement au second plan. Et pour cause, ici ce sont les failles des personnages qui priment, dopées par des sujets d'actualités ou des tensions sociales bien réelles. Des histoires qui créent le malaise et sèment le trouble… Envie de trembler entre deux bains de soleil ? Voici 5 polars à lire d'une traite pendant les vacances.
Ces femmes-là , d'Ivy Pochoda, éd. Satellites
Los Angeles, 2014. Le quartier de West Adams, ravagé par la drogue et la pauvreté, conserve le souvenir d'un serial killer qui, 15 ans auparavant, a sauvagement assassiné des prostituées noires dans l'indifférence générale. Mais voilà que les crimes recommencent et l'existence précaire de six femmes bascule... Un roman noir bouleversant, disponible en format poche.
JE VEUX CE ROMAN
Sous les eaux d'Avalon , de Michael Connelly, éd. Calmann-Levy
Décidément la cité des Anges inspire les auteurs. Rendez-vous cette fois au large de Los Angeles, sur l'île idyllique de Santa Catalina. Les journées passent, paisibles, jusqu'à la découverte d'un corps dans le port de la ville d'Avalon. Celui d'une jeune femme. Un véritable choc pour l'inspecteur Stilwell, dont l'enquête va révéler de terribles secrets… Écrit par le maître incontesté du polar américain, ce roman promet bien des surprises.
JE VEUX CE ROMAN
On ne mange pas les cannibales , de Stéphanie Artrit, éd. Belfond
Dans un zoo familial du sud de la France, Noël Rivière qui en est le propriétaire, vit une existence froide et solitaire. Enfin, cela avant que Bambi n'arrive. Livrée à elle-même, l'adolescente se réfugie tous les jours dans le parc animalier pour échapper à la misère et à la violence. Leurs destins se croisent, mais le danger rôde… Un monstre imprévisible attend son heure pour tout saccager. Un polar qualifié de 'claque littéraire' par les lecteurs.
JE VEUX CE ROMAN
La souris qui voulait sauver l'ogre , de Françoise Guérin, éd. Eyrolles poche
Pauline, une brillante étudiante, met fin à ses jours dans son lycée. Comment en est-elle arrivée là ? Le personnel de l'établissement tente déjà d'étouffer l'affaire… Maya Van Hoerenbeck, jeune psychologue envoyée sur les lieux, découvre des vérités accablantes. Celles d'un système qui voit d'un mauvais œil les élèves issus des milieux populaires se mêler à l'élite… Ce thriller psychologique , disponible en format poche, aborde avec justesse la santé mentale des adolescents dans un monde souvent injuste.
JE VEUX CE ROMAN
Une voix dans l'ombre , Andrea Camilleri, éd. Pocket
Impossible de terminer cette sélection, sans citer le maestro italien du polar : Andrea Camilleri. Mort en 1993, l'écrivain Sicilien a laissé derrière lui une centaine de romans, dont ses célèbres polars mettant en scène le commissaire Montalbano. Dans ce romain policier, on retrouve son personnage phare, toujours aussi attachant et cette fois plongé dans une enquête mêlant jalousie, menaces et secrets de famille. Une voix dans l'ombre , une intrigue qui vous tiendra en haleine jusqu'au dernier chapitre, une pointe d'humour en plus.
JE VEUX CE ROMAN
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4 hours ago
- Le Parisien
Film « Barbie » déprogrammé à Noisy-le-Sec : une enquête ouverte pour menace et intimidation
Une enquête a été ouverte jeudi en Seine-Saint-Denis, après l'annulation de la projection du film « Barbie » le 8 août dans un quartier de Noisy-le-Sec sous la pression d'un groupe de jeunes habitants, a appris l'AFP auprès du parquet de Bobigny. Le parquet a reçu la plainte déposée jeudi matin par le maire de Noisy-le-Sec, Olivier Sarrabeyrouse (PCF) qui avait décidé d'annuler la projection de « Barbie » afin de protéger les agents de la mairie agressés verbalement ce soir-là selon lui. « Une enquête a été ouverte pour menace, violence ou acte d'intimidation envers un chargé de mission de service public pour qu'il accomplisse ou s'abstienne d'acte de sa mission et confiée au commissariat de Noisy-le-Sec », a précisé une source judiciaire. Une « reprogrammation » du film est prévue La ville avait annulé la diffusion sur écran géant du film « Barbie », en plein air dans le quartier du Londeau, parce qu'une dizaine de jeunes hommes avaient proféré des « menaces insistantes », selon le maire, de mettre un terme eux-mêmes à la séance. Devant la presse vendredi, Olivier Sarrabeyrouse a rappelé qu'il avait qualifiée « d'obscurantisme et de fondamentalisme » leur attitude et condamné leur argument « totalement fallacieux » selon lequel ce film prônait l'homosexualité et portait atteinte à l'image de la femme. La mairie travaille à « la reprogrammation de ce film » dans des délais raisonnables, a-t-il annoncé, en souhaitant un moment de débat pour ne pas laisser « un groupe d'hommes se poser en censeurs moraux ». Mais l'élu s'est indigné du caractère « totalement disproportionné » de la polémique ayant suivi. « Je condamne avec encore plus de fermeté la récupération politicienne, la spéculation et la haine raciste islamophobe qui se déverse depuis 24 heures par la droite et l'extrême droite », a-t-il insisté. « Pas adapté », « pas correct », « trop vulgaire » Réalisé par Greta Gerwig, le film est une satire féministe qui voit Barbie, interprétée par Margot Robbie, découvrir la misogynie du monde réel. Sur l'esplanade où le film devait être projeté, plusieurs jeunes hommes ont estimé jeudi auprès de l'AFP que pour les nombreux enfants de moins de 10 ans présents le 8 août, le film n'était « pas adapté », « pas correct », « trop « vulgaire », tout en affirmant que ce rejet « n'a rien à voir avec l'islam ou la religion ». VidéoLa projection de « Barbie » annulée après des menaces
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L'acteur à l'affiche de Formule 1 s'est offert une nouvelle villa californienne dans la petite enclave ultra-exclusive Outpost Estates, dans les Hollywood Hills, à Los Angeles. Leonardo DiCaprio, Ben Affleck et Orlando Bloom accueillent un nouveau voisin dans la communauté très exclusive de Outpost Estates, dans les Hollywood Hills, à Los Angeles. Ce n'est autre que Brad Pitt qui pose ses valises dans ce quartier peuplé de célébrités, s'offrant une nouvelle demeure au style espagnol pour la modique somme de 12 millions de dollars (environ 10 millions d'euros), rapporte le Wall Street Journal . Une propriété entièrement rénovée, vendue par Dave Keuning, le guitariste principal du groupe de rock The Killers, et son épouse, la décoratrice d'intérieur Emilie Keuning. À lire aussi «Je me suis sentie comme une piñata» : Jennifer Aniston se confie comme rarement sur son divorce avec Brad Pitt Cette nouvelle addition au portefeuille de propriétés déjà étoffé de l'acteur aurait été construite vers 1989, selon le média américain. Une demeure au style méditerranéen se déployant sur environ 780 m2 de superficie, offrant de grandes ouvertures vers l'extérieur et des hauts plafonds voûtés. Publicité Perchée sur les hauteurs de Hollywood Hills, la villa offre naturellement une vue imprenable sur Los Angeles et l'océan Pacifique, s'étendant à l'horizon. Elle disposerait de 6 chambres et d'un vaste salon s'ouvrant vers l'extérieur, dont les hauts plafonds seraient ornés de tôles décorées d'un motif de tournesol. Et côté extérieur ? Une piscine, évidemment, mais également des potagers, une vaste cour pavée de briques et un espace barbecue. Ce nouvel achat survient quelques semaines après le cambriolage survenu dans sa maison à Los Feliz, achetée en 2023. Actuellement à l'affiche du film Formule 1, Brad Pitt se trouvait alors à Londres, avec sa nouvelle compagne Ines de Ramon, pour la promotion de son film, lorsque sa maison, achetée à 5,5 millions de dollars (environ 4 millions d'euros), aurait été «saccagée», rapporte la BBC . À ce jour, le père de six enfants serait l'heureux propriétaire d'une propriété à Carmel Highlands, achetée pour 40 millions de dollars en 2022 (environ 34 millions d'euros), ainsi que le copropriétaire du Château Miraval, le fameux domaine viticole sis dans le sud de la France, au centre d'une bataille juridique depuis des années avec son ex-femme, l'actrice Angelina Jolie.
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