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À Los Angeles, un automobiliste fonce dans la foule et fait au moins 20 blessés

À Los Angeles, un automobiliste fonce dans la foule et fait au moins 20 blessés

INTERNATIONAL - Au moins 20 personnes ont été blessées après qu'un « véhicule inconnu » a foncé dans la foule dans le quartier de Hollywood, tôt ce samedi 19 juillet au matin, ont annoncé les pompiers de Los Angeles.
Selon ces derniers, qui n'ont pas donné davantage de précisions sur les causes de cet accident survenu vers 2h heure locale, « 4 à 5 personnes » sont dans un état critique et 8 à 10 dans un état grave. L'emplacement de l'incident, situé sur le West Santa Monica Boulevard, correspond « au secteur d'une salle de concert », souligne CNN.
« le triage et le transport des patients ».
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Cet accident mortel lors d'une IRM va donner des sueurs froides à ceux qui ont vu « Destination Finale »
Cet accident mortel lors d'une IRM va donner des sueurs froides à ceux qui ont vu « Destination Finale »

Le HuffPost France

time2 hours ago

  • Le HuffPost France

Cet accident mortel lors d'une IRM va donner des sueurs froides à ceux qui ont vu « Destination Finale »

CINÉMA - En mai dernier, la saga Destination Finale transposait à l'écran une phobie médicale bien connue de celles et ceux ayant réalisé une IRM au moins une fois dans leur vie. Quelques semaines plus tard, cette image d'horreur a dépassé le simple cadre de la fiction. Vendredi 18 juillet, les autorités américaines annonçaient le décès tragique d'un homme à Long Island, décédé après être entré dans une salle d'IRM deux jours plus tôt. L'homme, âgé de 61 ans, comme le rapporte le New York Times, portait une « grande chaîne métallique » autour du cou au moment de pénétrer dans cet espace sensible. Si l'homme n'était pas autorisé à rentrer dans cette pièce, comme l'a depuis précisé la police du comté de Nassau, celui-ci s'est visiblement permis d'entrer sans autorisation. Problème, en portant du métal sur lui, il a été aspiré par la machine équipée d'aimants. De quoi lui provoquer une grave blessure et un malaise auxquels il n'a pas survécu. Si le journal américain rappelle que ce fait divers n'est pas une première, en citant notamment le décès d'un garçon de six ans en 2001, tué lorsqu'une bouteille d'oxygène métallique a été introduite dans un appareil alors qu'il subissait un examen, difficile de ne pas penser au dernier film de la franchise Destination Finale, sous-titré Bloodlines. Dans le sixième volet de la saga d'horreur, réalisé Zach Lipovsky et Adam B. Stein, une scène met effectivement en scène une mort atroce liée à l' utilisation d'une IRM. Dans cette fameuse séquence, les personnages d'Éric et Bobby entrent dans la pièce médicale avec un téléphone portable, qui se retrouve rapidement attiré par la machine. Hasard ou non, le téléphone active alors un bouton qui va drastiquement augmenter le champ magnétique de l'IRM. Entraînant un destin funeste pour les deux jeunes hommes, comme vous pouvez le (re)voir dans la vidéo ci-dessous. Toutefois, attention, âmes sensibles s'abstenir. Ces objets « ne peuvent pas être attirés d'aussi loin » Après la sortie du film au mois de mai, certains ont pris le temps de dédramatiser cette scène. Sur TikTok, c'est le cas du compte « Les manips t'expliquent », tenu par deux manipulatrices en électroradiologie médicale. Et pour elles, cette scène, c'est « vraiment… n'importe quoi ». Pour rassurer les spectateurs du film et les plus angoissés à l'idée de se faire brouiller par une IRM, les deux jeunes femmes se veulent rassurantes : « La majeure partie des IRM installées en France ont un champ magnétique statique de 1,5 Teslas ou de 3 Teslas ». Et même s'il existe « des IRMS 7 Teslas » logiquement plus puissantes, elles sont « utilisées principalement pour la recherche ». Donc aucun risque pour nous, puisqu'« on ne pas peut augmenter le champ magnétique avec une mauvaise manœuvre ». Il reste d'ailleurs « constamment activé jour comme nuit », précisent-elles. Dans cette vidéo, elles reviennent aussi sur les très nombreux objets (piercing, fauteuil roulant ou… spirale de distributeur automatique à tout hasard) attirés dans la scène par le champ magnétique de l'IRM. Et sur ce point, elles restent catégoriques. Ces objets « ne peuvent pas être attirés d'aussi loin par la machine ». Car bien que puissant, raison pour laquelle « on fait retirer tous les objets ferromagnétiques aux patients » pour éviter des « conséquences néfastes », cela ne peut pas dépasser l'entrée de la pièce concernée. « Cette scène est juste surréaliste et votre IRM se passera super bien » concluent donc les deux manipulatrices. À condition, bien sûr, de « bien respecter les consignes… »

« Les Quatre Fantastiques : Premiers pas » : des superhéros toujours à la peine
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« Les Quatre Fantastiques : Premiers pas » : des superhéros toujours à la peine

Cette nouvelle tentative, portée par deux stars hollywoodiennes en plein boom ( Pedro Pascal et Vanessa Kirby), sera-t-elle la bonne ? Ça fait longtemps que Marvel rêve de faire briller au cinéma « Les Quatre Fantastiques », créé en BD en 1961 par Stan Lee (scénario) et Jack Kirby (dessin). Et de faire oublier les échecs des versions précédentes sur grand écran. Car si le quatuor figure parmi les vétérans des personnages Marvel (ils sont nés un an avant Spider-Man, Hulk et Thor, deux ans avant les X-Men et Iron Man), ils n'avaient été jusqu'à présent pas vraiment gâtés par le 7e Art. Un premier opus, réalisé en 1994, n'est carrément jamais sorti en salles. Trop mauvais, avaient jugé les producteurs de l'époque, même si la rumeur raconte que le long-métrage, tourné avec un budget riquiqui, n'aurait vu le jour que pour permettre de garder les droits des personnages. Deuxième tentative en 2005, avec Jessica Alba et Chris Evans, la Torche, qui reviendra dans l'univers Marvel sous l'uniforme de Captain America. Un essai démoli par la critique, mais qui rapportera suffisamment d'argent pour qu'une suite sorte deux ans plus tard, « Les Quatre Fantastiques et le Surfer d'argent », encore moins bon, et qui interrompt la saga provisoirement. Une remise à zéro est cependant tentée dès 2015, avec Michael B. Jordan et Kate Mara, et fait un bide, récoltant au passage 3 Razzies (les anti-Oscars), dont celui de « pire film ». Il fallait donc un certain courage pour repartir au charbon. Cette version 4.0 rebat totalement les cartes. Dans cette Terre alternative des années 1960, les Quatre Fantastiques sont des idoles absolues. Après un voyage dans l'espace où ils ont été saturés de rayons cosmiques, Reed Richards, sa femme Susan, son beau-frère Johnny et son meilleur ami Ben, ont vu leur ADN modifié, et chacun a acquis des super-pouvoirs. Reed, le plus intelligent du quatuor, peut s'allonger comme un élastique, Susan se rendre invisible, Johnny se transforme en torche humaine volante, et Ben est devenu la Chose, homme rocheux doté d'une force colossale. Alors que Susan vient de tomber enceinte, le danger arrive de l'espace : la Surfeuse d'argent, une extraterrestre, annonce que Galactus, une créature qui se nourrit en détruisant des planètes, a jeté son dévolu sur la Terre. Les Quatre Fantastiques vont devoir défendre leur monde… Des stars à l'affiche, une introduction rapide des protagonistes qui évite de reprendre, malgré les « Premiers pas » du titre, l'histoire à ses tout débuts, un univers rétro-futuriste années 1960 bien rendu, un Surfer d'argent féminisé, des effets spéciaux qui se tiennent… Autant d'atouts pour un film rythmé et grand public, qui laisse malgré tout le spectateur sur sa faim. Car les années 1960, pourquoi pas, mais à part montrer de jolis chapeaux et reconstituer les émissions de télé de l'époque, le réalisateur ne se sert pas vraiment du concept. En revanche, il use, il abuse - et nous du coup, on refuse -, ce panégyrique incessant et surchargé de guimauve de la famille et des valeurs familiales, servi jusqu'à la nausée. La séquence post-générique d'usage affiche un court instant d'ambiance un peu plus sombre. Une piste à suivre pour l'avenir ?

Eva Victor, une réalisatrice prodige est née
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Réservé aux abonnés PORTRAIT - Repérée par le réalisateur Barry Jenkins, la comédienne signe, avec Sorry, Baby, un portrait tendre et grinçant d'une thésarde se reconstruisant après un viol. Une manière inédite et brave d'aborder le traumatisme. Au milieu d'une sélection en demi-teinte, Sorry, Baby a réveillé en sursaut, en janvier dernier, les festivaliers de Sundance. Sa réalisatrice et actrice principale, Eva Victor, est repartie de la Mecque du cinéma indépendant américain avec le prix du scénario, un distributeur prestigieux pour son premier film, A24, et l'étiquette, non usurpée, d'auteur prodige à suivre. Dans Sorry, Baby, la comédienne de 31 ans campe Agnes, une enseignante en lettres d'une université de la Nouvelle-Angleterre cherchant à reprendre le cours de sa vie après avoir été agressée sexuellement par son directeur de thèse. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Huit ans après #MeToo, ce portrait tendre et grinçant réinvente les codes du récit traumatique, loin des thrillers et comédies noires jusqu'ici de rigueur (Blink Twice, Promising Young Woman). Eva Victor ne montre pas l'acte et opte pour un plan large sur la maison du professeur et sur Agnes qui claque la porte et détale. Le mot « viol » n'est prononcé qu'une fois par un médecin. Agnes et…

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