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Tour de France 2025 : horaires et point de passage de la caravane lors de l'étape 3 Valenciennes

Tour de France 2025 : horaires et point de passage de la caravane lors de l'étape 3 Valenciennes

Le Parisien06-07-2025
Valenciennes sera le point de départ de la caravane le lundi 7 juillet lors de
la 3e étape
du
Tour de France
avec un lancement prévu vers 11h25. Son arrivée à Dunkerque est estimée à 15h40 à Dunkerque, alors que le départ des cyclistes est prévu à 13h25 à Valenciennes.
Ville par ville, retrouvez les horaires de passage de la caravane. Par exemple, elle passera à Cuinchy (Pas-de-Calais), à 13h31, au 88e kilomètre de l'étape.
Retrouvez les profils, horaires de passages et autres actualités du Tour de France 2025 sur
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Malgré deux grains de sable et le bourdonnement des frelons de la Visma, Pogacar reste inébranlable
Malgré deux grains de sable et le bourdonnement des frelons de la Visma, Pogacar reste inébranlable

L'Équipe

time2 hours ago

  • L'Équipe

Malgré deux grains de sable et le bourdonnement des frelons de la Visma, Pogacar reste inébranlable

Tadej Pogacar et Jonas Vingegaard se sont neutralisés dans le final de l'étape du Massif central, mais le champion du monde a laissé le Maillot Jaune à Ben Healy, ce qui l'arrange, et Simon Yates a remporté l'étape pour les Visma. On serait bien restés là-haut, sur le plateau magnifique de la Croix Saint-Robert, avec les vaches en estive, un sanctuaire de calme au milieu des reliefs bedonnants et moelleux de la chaîne des Puys, un repos visuel avec ces couleurs douces, le jaune des herbes brûlées par l'été, le mauve, le bleu des fleurs sauvages, le beige des troupeaux. Mais le Tour de France ne s'arrête jamais, avec sa fureur, son bariolage, son avancée inéluctable et la journée de lundi, furieuse malgré son cadre de paix, n'allait pas y déroger. Il nous faut nous aussi ruminer, mais c'est sur l'état du duel entre Tadej Pogacar et Jonas Vingegaard après cette étape du Massif central et au bout de cette première partie du Tour de France. Les Visma s'agitent, Pogacar inébranlable Le champion du monde en sort sans égratignure, avec même 1'17'' d'avance et sans que son rival n'ait jamais pu le mettre en difficulté. Lundi encore, Pogacar est resté inébranlable, malgré le bourdonnement autour de ses oreilles des « Frelons » de Visma, qui ont essayé de le mettre sous pression. Il a même pu laisser le Maillot Jaune à Ben Healy pour s'économiser un podium et du temps de récupération, une bonne opération alors qu'il y avait plus de 3 h 30'de transfert lundi soir jusqu'à Toulouse pour la première journée de repos. Dans ce tableau presque parfait, deux grains de sable potentiels pour la suite, l'un sûr, l'autre à confirmer. Au lendemain de l'abandon de Joao Almeida, les UAE ont également dû faire sans Pavel Sivakov, malade et relégué sur le banc de touche dans le gruppetto, et il vaudrait mieux pour eux que le Français se retape, sinon la brigade pour la haute montagne sera un brin légère, d'autant que les autres ont déjà beaucoup bossé pour compenser. Lundi, Nils Politt, Tim Wellens, surtout, ont travaillé comme des mules, alors que le soutien dans le final de Jhonatan Narvaez et Adam Yates a été évanescent. Un nul qui dessine la limite de Vingegaard L'autre motif de bougonnerie pour Pogacar pourrait être son incapacité à décoller Vingegaard de sa roue, un constat pour l'instant sans incidence mais qui doit chatouiller son amour-propre. Rien ne dit qu'il ne sera pas en mesure de déposer son adversaire dans les Pyrénées, sur des pentes bien plus raides et longues, mais lundi, il a placé une attaque à environ 1,5 km de la ligne, sans plus de résultat qu'à Rouen ou à Mûr-de-Bretagne. Il n'a pas persévéré car après tout, ce n'est pas à lui d'attaquer, mais plutôt à Vingegaard. Ce dernier pourra se réconforter de n'avoir rien perdu dans la rampe du puy de Sancy, mais ce match nul dessine également sa limite, puisqu'il n'a rien pu faire de plus. Son équipe avait pourtant tout fait pour lui préparer le terrain. Elle avait placé deux pions dans l'échappée, Simon Yates et Victor Campenaerts, au cas où, et Matteo Jorgenson avec pour mission d'isoler Pogacar dans le final. L'Américain a attaqué à quatre reprises, dans une partie non répertoriée mais très difficile au-dessus de Murol, à une vingtaine de bornes de l'arrivée, puis dans le col de la Croix Saint-Robert, dernière ascension avant la montée finale, et à chaque fois, le Slovène a bondi dans sa roue. Les Jaune et Noir ont même essayé de le harceler dans les descentes, ce qui ne lui plaît pas en général - il leur avait reproché lors du Critérium du Dauphiné -, une manière de mener la guerre psychologique. On ne peut donc pas les accuser d'un manque d'initiative, mais tous ces efforts ne servent à rien si leur leader n'est pas en mesure d'attaquer Pogacar, sinon à grappiller quelques secondes aux suivants, comme Remco Evenepoel ou Kévin Vauquelin, qui a pris lundi un petit éclat dans les derniers toboggans. Ils se « consolent » avec la victoire d'étape, puisque Simon Yates a été le plus fort à l'avant, où il a démarré au pied de l'ascension du Mont-Dore, à 3,5 km du but, mais sont-ils là pour cela ? On ne crache pas sur une victoire dans le Tour, certes, mais change-t-elle la carrière du Britannique, améliore-t-elle le prestige de sa formation, alors qu'on pensait qu'ils allaient jouer serré autour d'un seul et unique objectif, la victoire finale ? Devant les favoris, une féroce bataille à l'avant avec l'étape pour Yates et le Jaune pour Healy La neutralisation des deux favoris a en tout cas permis une bataille féroce et sublime à l'avant, entre une trentaine d'éléments au départ, puis beaucoup moins à mesure que les 4 500 m de dénivelé étaient avalés. On y a ainsi vu un Lenny Martinez bien plus en cannes et plus inspiré qu'en début de Tour, qui est allé gober les points du classement du meilleur grimpeur et a revêtu le maillot blanc à pois rouges à l'arrivée. Il faudra voir si l'aventure peut continuer, ce dont on doute pour l'instant, car la concurrence va être rude, notamment avec Pogacar, et parce que le grimpeur français a vite été sec quand les plus forts ont enclenché lundi, Ben O'Connor puis Quinn Simmons qui ont tout fait exploser à une trentaine de kilomètres du terme. Ils furent vite relayés par ce monstre de Ben Healy, qui jusque-là avait été bien épaulé par ses deux équipiers Harry Sweeny et Alex Baudin. L'écart naviguait au-delà des 5 minutes avec le groupe des favoris, et l'Irlandais pouvait donc lorgner le Maillot Jaune. Il se lança dans cette nouvelle quête et écrasa les pédales dans l'ascension de la Croix Saint-Robert, qu'il mena tout le long, tout seul, sans rien demander à qui que ce soit. Cela l'élimina de la course à la gagne (3e), face à des coureurs aussi coriaces que Michael Storer, O'Connor, Thymen Arensman (2e) et Simon Yates, mais le punk d'EF, grand personnage de la première semaine, a bien fait de sacrifier le reste pour le paletot, qu'il peut espérer porter jusqu'aux Pyrénées, jeudi. Jusqu'à Hautacam, où Tadej Pogacar et Jonas Vingegaard se livreront à nouveau bataille. À lire aussi Privé d'Almeida, que perd Pogacar ? Yates, heureux en embuscade Martinez avait tout planifié Vauquelin pouvait-il espérer mieux?

« Il signe déjà l'une de ses meilleures saisons » : Simon Yates, heureux en embuscade
« Il signe déjà l'une de ses meilleures saisons » : Simon Yates, heureux en embuscade

L'Équipe

time2 hours ago

  • L'Équipe

« Il signe déjà l'une de ses meilleures saisons » : Simon Yates, heureux en embuscade

À l'abri dans l'échappée, le Britannique Simon Yates a fini par surgir pour remporter l'étape, comme il avait gagné le Giro sur le fil en mai. Équipier de Jonas Vingegaard, il s'épanouit en retrait. Rester le plus longtemps à l'ombre est pour Simon Yates le meilleur moyen de voir la lumière, et c'est ainsi qu'il a encore levé les bras ce lundi, au bout d'une échappée qu'il a pu prendre en touriste, sans donner le moindre coup de pédale en tête de groupe. Équipier de Jonas Vingegaard, en infériorité numérique car seulement accompagné par Victor Campenaerts, il avait de bonnes raisons de ne pas s'exposer avant de surgir enfin, dans l'ultime montée, comme il l'a fait en mai dernier pour remporter le Giro à vingt-quatre heures de l'arrivée à Rome, en réussissant le renversement dont il avait été victime sur la même course, au même endroit, en 2018. Ce traumatisme ne lui avait pas vraiment servi de leçon car il était revenu en Italie, un an plus tard, en annonçant la couleur : il s'était désigné comme le favori numéro 1 et avait assuré que ses adversaires devaient avoir peur de lui. Il s'était ensuite effondré, avait découvert les doutes qui vont avec les désillusions, et il n'est maintenant plus le même. Ce lundi, alors que ses références l'installaient en favori de l'échappée, il n'envoyait pas des signaux positifs en coulisses. « Simon était incroyablement fort mais il en doutait pendant l'étape, il nous disait qu'il ne savait pas s'il avait les bonnes jambes, qu'il était possible qu'il ne les ait pas, mais c'était un parcours super dur et elles ont parlé à la fin, sourit Campenaerts. C'est vraiment un bon mec, toujours là pour faire une bonne blague, mais dans le même temps, il est très timide. Il se place toujours en retrait, il ne dira jamais au briefing "les gars, aujourd'hui c'est mon jour", même s'il est en forme. Il vient de gagner le Giro et il aurait de quoi rouler des mécaniques, avoir un gros ego, mais il est le total opposé de ce genre de comportement. » « Il ne se sentait pas top le premier week-end, mais il est là quand la montagne arrive, c'est bien car c'est pour cette raison qu'il est ici » Tiesj Benoot, coéquipier de Simon Yates Lorsque le staff de Visma-Lease a bike l'a entendu s'interroger sur ses possibilités, il n'était donc pas question de le laisser tergiverser. « On lui a répondu que ça ne comptait pas, qu'il devait se sentir bien, qu'on avait besoin de cette victoire d'étape et qu'il était l'un des meilleurs gars à l'avant, confie Grischa Niermann, directeur sportif de l'équipe néerlandaise. Il a montré beaucoup de classe et a gagné l'étape, c'est une belle journée. Il avait un grand rêve, remporter le Giro, et il l'a réussi juste après être arrivé chez nous. C'est une belle réussite. Je pense qu'il est heureux dans notre structure mais il était déjà un excellent coureur avant d'être avec nous, et il avait gagné deux étapes du Tour. » C'était en 2019, à Bagnères-de-Bigorre et au Prat d'Albis, quand il s'était relevé de son Giro raté en passant le mois de juillet au service de son jumeau Adam, qui nourrissait alors des ambitions pour le classement général. Les Britanniques (32 ans) ont fait leur classe ensemble dans leur cocon australien de GreenEdge, qu'Adam a quitté le premier en 2020 pour évoluer aujourd'hui chez UAE. En 2023, il avait battu son frère pour gagner la première étape du Tour à Bilbao. Ce lundi, il a travaillé en tête du peloton au service de Tadej Pogacar, mais Simon était assez costaud pour résister. « Les échappés ont roulé très fort toute la journée, ce n'était pas facile non plus dans le peloton, souffle Tiesj Benoot, qui vit son premier Tour aux côtés de Simon. Ça marche bien, il signe déjà l'une de ses meilleures saisons. Il est super relax, arrive toujours en retard au petit déjeuner car il dort longtemps. C'est un mec très facile à vivre. Il ne se sentait pas top le premier week-end, mais il est là quand la montagne arrive, c'est bien car c'est pour cette raison qu'il est ici. » Une victoire bonus avant un rôle de sherpa Sherpa de Vingegaard quand la route s'élève, Yates est moins à l'aise quand la bataille a lieu en plaine : il a perdu 6'41'' sur la route de Lille, dès le premier jour, et a laissé l'incarnation du plan B à Matteo Jorgenson. Mais il y a trouvé une liberté dont il a profité lundi, en parallèle de la lutte pour le général. « C'était l'un des objectifs de l'avoir devant. Le plan était fixé avec lui et on est contents d'y être arrivés, explique Arthur Van Dongen, un autre directeur sportif de Visma-Lease a bike, ravi de l'avoir engagé. On est déjà très satisfaits de lui comme recrue, c'est incroyable. Il s'est très bien intégré et on l'attend encore dans les deux prochaines semaines. » Ce sera dans un rôle d'équipier qui lui convient bien sur le Tour, puisque le maillot jaune a toujours paru un peu grand pour celui qui a aussi remporté la Vuelta en 2018. « On est pleinement concentrés sur le général avec Jonas, assume-t-il, satisfait d'avoir tourné le dos à une première semaine délicate. Les bordures, ce n'est pas mon truc. Ce n'était pas facile, j'étais un peu rouillé après le Giro qui est la plus grande victoire de ma carrière. Se reconcentrer sur l'entraînement était plus difficile que d'habitude. Mais ça va de mieux en mieux. » Cette victoire est seulement un bonus, comme celles de 2019, et si la suite du Tour se passe dans l'ombre des cadors, ce ne sera surtout pas un souci. À lire aussi Au milieu des frelons de la Visma, Pogacar imperturbable Martinez avait tout planifié Vauquelin pouvait-il espérer mieux? Martinez : «Parfois, je me dis que c'est fou, je ne sais pas comment je fais pour gagner»

« Les joueurs s'entraînaient avec la peur au ventre » : Feio, l'erreur de casting de Dunkerque
« Les joueurs s'entraînaient avec la peur au ventre » : Feio, l'erreur de casting de Dunkerque

L'Équipe

time3 hours ago

  • L'Équipe

« Les joueurs s'entraînaient avec la peur au ventre » : Feio, l'erreur de casting de Dunkerque

Climat anxiogène, coups de sang à l'entraînement : le Portugais Gonçalo Feio a quitté, après trois semaines à peine, son poste d'entraîneur de Dunkerque. Retour sur une séquence étonnante que le club entend assumer pour grandir. Le soleil s'était à peine levé sur Dunkerque. Depuis la veille, les valises de Gonçalo Feio étaient bouclées. Sans direau revoir à ses joueurs ni alimenter le WhatsApp du groupe, l'éphémère entraîneur de l'USLD a quitté son hôtel. La fin d'une aventure de trois semaines. La fin de l'un des épisodes les plus rocambolesques de cet été 2025. Nommé le 20 juin, le technicien portugais (35 ans), arrivé du Legia Varsovie, sera resté moins d'un mois dans le Nord. Au moment de tirer le bilan de cette séquence étonnante, Demba Ba tente de se refaire le film de ce casting raté : « Il n'y a pas de regret à avoir. Nous étions convaincus que Gonçalo avait la capacité de faire encore grandir l'équipe, de structurer encore mieux notre organisation, de développer nos jeunes et de donner, à travers un projet de jeu ambitieux, du plaisir à nos supporters et à nos joueurs, détaille le coprésident. Nous avions étudié avec précision la personnalité de Gonçalo, nous savions que c'était quelqu'un de passionné, de sanguin. Il y avait un risque dont nous étions conscients. Mais, dans nos échanges, nous avions été très clairs sur des notions essentielles d'unité et d'humilité. Avec un pacte moral qu'il avait accepté. J'ai voulu croire en lui. Cela m'a donné tort. Mais je ne veux pas condamner un homme. Chacun a ses traumas. » Les dirigeants dunkerquois, après avoir choisi Feio au bout d'un processus de plusieurs jours, avaient décidé de le faire venir sur place avant qu'il signe. Pour qu'il puisse appréhender le contexte local. « Il venait en connaissance de cause, poursuit Ba. Et nous avions agrandi son espace de travail pour qu'il se sente à l'aise. » « Les joueurs s'entraînaient avec la peur au ventre » Un témoin des séances Les premiers jours ont diffusé une impression déjà étonnante. Si l'intensité, la précision et l'ambition (3-2-5 très haut) des séances plaisaient, les mots employés par le Portugais détonnaient : « Les joueurs avaient l'habitude d'un Luis Castro dans un management bienveillant, très précis dans ses consignes mais dans une approche presque familiale. Là, c'était l'opposé », témoigne le représentant d'un titulaire. Les reproches étaient réguliers. Sur le niveau, sur ces passes qui n'arrivaient pas et sur certaines imprécisions. Les insultes - en anglais - n'étaient jamais très loin. L'exigeant et professionnel Feio, arrivé vers 5 ou 6 heures du matin, ne s'embarrassait pas de manières. Les promesses d'humilité se sont vite dissipées : « J'ai battu Chelsea il y a trois mois (*) », a-t-il, lâché un jour, très ferme à un salarié. « Rapidement, il y a eu une forme de chape de plomb autour des séances, témoigne un témoin des scènes. Un climat hyper négatif. Les joueurs s'entraînaient avec la peur au ventre. » Comme cette fois où un membre du staff (pas technique) - dans le cadre de son travail - a osé répondre au téléphone et s'est fait rabrouer par Feio. Dans ses consignes, les « Ça, c'est le foot ! » enthousiastes sont devenus l'exception et Feio leur a préféré de vocaux « On dirait une équipe d'amateurs ! » Le match amical face à Boulogne-sur-Mer (1-5), samedi, a donné lieu à des scènes improbables comme quand Feio a lâché, en plein match, un « Vous m'avez menti ! » presque menaçant à l'égard d'un des dirigeants. La sortie de trop. Lundi, l'historique adjoint Benjamin Rytlewski a repris en main le groupe : « On sentait les joueurs libérés, soulagés », témoigne un salarié. Les dirigeants vont se mettre en quête d'un nouveau technicien : « Je ne baisserai pas mon niveau d'exigence », prévient Ba, décidé à continuer à miser sur un entraîneur innovant. Avec une part de risques ? : « Il ne s'agit pas de prendre des risques ou de ne pas en prendre. Il s'agit de continuer à faire grandir notre équipe et notre club. » À lire aussi Comment le club se prépare pour l'appel devant la DNCG Pour se maintenir, l'OL devra trouver une somme énorme Pourquoi Luis Enrique a craqué Un bilan contrasté

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