
Le Canadien Blake Tierney rate de peu le podium au 200 m dos
Le Canadien Blake Tierney rate de peu le podium au 200 m dos
(Singapour) Le Canadien Blake Tierney a pris le quatrième rang en finale du 200 mètres dos aux Championnats mondiaux de natation, vendredi.
La Presse Canadienne
Tierney, de Saskatoon, a arrêté le chrono à 1 minute 55,09 secondes, à 47 centièmes du podium.
Le Hongrois Hubert Kos a gagné l'or en 1:53,19, devant le Sud-Africain Pieter Coetze (1:53,36) et le Français Yohann Ndoye-Brouard (1:54,62).
Tierney a fracassé deux fois le record canadien – lors des préliminaires (1:55,17) et en demi-finale (1:55,03) – afin de se qualifier pour la finale.
Le Canada a remporté jusqu'ici six médailles aux Championnats mondiaux aquatiques – cinq en natation et une en plongeon de haut vol.
La Torontoise Summer McIntosh a gagné l'or dans chacune de ses trois épreuves – le 400 mètres style libre, le 200 mètres quatre nages et le 200 mètres papillon.
Elle a participé aux préliminaires du 800 mètres style libre, vendredi, se qualifiant pour la finale, prévue samedi. On s'attend alors à un duel entre McIntosh et l'Américaine et championne olympique en titre Katie Ledecky.
McIntosh a survolé sa vague avec un temps de 8:19,88, le troisième meilleur chrono des préliminaires. Seules l'Australienne Lani Pallister (8:17,06) et Ledecky (8:14,62) ont fait mieux qu'elle.
La nageuse âgée de 18 ans vise la conquête de cinq titres individuels, un exploit accompli lors d'une même édition des mondiaux uniquement par l'Américain Michael Phelps.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


La Presse
3 hours ago
- La Presse
Le capitaine coule le navire
Fajardo a rejoint le numéro 11 des Elks d'Edmonton deux fois au quatrième quart, dont la dernière avec 15 secondes à jouer, pour procurer une victoire de 23-22 aux visiteurs. « Tu ne pourrais pas écrire une plus belle histoire que celle-là », a lancé Cody Fajardo, après avoir vaincu son ancienne équipe dans les dernières secondes du match. Difficile de la contredire. Sauf que les partisans seront peinés d'apprendre l'identité de l'auteur à l'origine du scénario. Cody Fajardo ne s'était pas défilé de la semaine. Son retour à Montréal, contre les Alouettes, qui l'ont échangé lors de la dernière saison morte, revêtait d'une importance capitale à ses yeux. La conclusion parfaite, il l'a trouvée à 20 secondes de la fin du match, en lançant une passe de touché au receveur Kaion Julien-Grant-un autre ancien moineau-pour s'échapper avec un verdict de 23-20. PHOTO JOSIE DESMARAIS, LA PRESSE À droite, Cody Fajardo « On savait à quel point ce match était important pour nous, à quel point on affrontait une défensive forte », a rappelé Fajardo après le match, en hochant la tête, comme pour se convaincre de ce qui venait de se produire. Sa passe décisive a été lancée en plein cœur de la zone des buts. À l'image de celle ayant mené à la dernière Coupe Grey des Alouettes, il y a moins de deux ans. « Avant d'entrer sur le terrain, je me suis dit que la Coupe Grey était un match plus important que celui-ci, mais que je pouvais me rappeler cette expérience pour m'aider », a-t-il raconté. Ce match, je vais m'en rappeler pour très longtemps. La Coupe Grey, c'est mon plus beau moment à vie, mais celui-là vient en deuxième, de près Cody Fajardo Avant d'éteindre ses anciens coéquipiers, et de célébrer avec ceux du présent, Cody Fajardo a répondu à la question ultime : les Alouettes auraient-ils dû préserver ses services ? « Prochaine question ! », a lancé Fajardo, tout sourire. Performance catastrophique Au moment d'être échangé, Fajardo était placé dans une situation impossible. L'organisation l'avait prévenue que Davis Alexander occuperait désormais le poste de partant. Dans les circonstances, elle l'a accommodée en l'échangeant en Alberta. La transaction a été salvatrice pour Fajardo, qui a retrouvé un rôle de partant. N'empêche qu'avec Alexander sur les lignes de côté, blessée, la présence de Fajardo serait plus que bienvenue chez les Alouettes. Car soyons clair, il aurait été facile de débuter ce texte en parlant de la performance catastrophique de McLeod Bethel-Thompson. Seule la peur d'être redondant nous a dissuadée. Déployé dans ce qui a semblé son ultime audition, le vétéran a complété 66 % de ses passes, pour 79 verges de gain. Compte tenu de ses performances, l'entraîneur Jason Maas lui a préféré Caleb Evans en deuxième demie. Dans le vestiaire, Bethel-Thompson a expliqué la raison pour laquelle on l'a sorti du match, l'air dépité, comme un enfant forcé d'expliquer son mauvais coup à ses parents. PHOTO JOSIE DESMARAIS, LA PRESSE À gauche, Mcleod Bethel-Thompson « J'ai lancé la balle à l'autre équipe et ils ont marqué un touché », a-t-il décrit, le regard vide. La séquence s'est passée 10 secondes avant la fin du deuxième quart. Bethel-Thompson menait une poussée prometteuse. Les Alouettes étaient près de la zone payante. Puis, Bethel-Thompson a lancé une passe à six verges derrière Charlston Rambo. Les Elks ont intercepté, puis retourné pour inscrire un touché. « Je me sens terriblement mal », a laissé tomber Bethel-Thompson. « Je dois être meilleur. Je ne peux pas faire mal à notre équipe de la sorte. On traverse des moments difficiles en ce moment. » Jason Maas a été plus indulgent envers son quart-arrière. « Au bout de la ligne, c'est une défaite d'équipe », a-t-il estimé, en rappelant que d'autres moments critiques ont mené à la perte des Alouettes. On peut faire référence, ici, à une autre séquence clef. Les Elks ont tenté un placement, 10 minutes avant la fin du quatrième quart, que Tyler Snead a attrapé. Il a cependant échappé le ballon, recouvert par Edmonton. Les visiteurs ont inscrit un placement dans les instants suivants. Les Alouettes avaient pourtant inscrit quelques bons coups. Travis Theis a notamment marqué le premier touché sur un botté de dégagement montréalais depuis septembre 2024. Il s'agissait de son premier majeur en carrière. Montréal s'est donc incliné devant la pire équipe de la CFL. Il faut dire que les Alouettes étaient amoindris : ils devaient composer avec l'absence de Tyson Philpot, Austin Mack, en plus de leur quart partant. Sans oublier Justin Lawrence, Marc-Antoine Dequoy et Kabion Ento, toujours absents. Comme si ça n'allait pas déjà assez mal, durant le match, Sean Thomas Erlington s'est aussi blessé. Les Alouettes affronteront les Lions, à Vancouver, samedi prochain.


La Presse
3 hours ago
- La Presse
Cody Fajardo et Kaion Julien-Grant viennent hanter les Alouettes
Fajardo a rejoint le numéro 11 des Elks d'Edmonton deux fois au quatrième quart, dont la dernière avec 15 secondes à jouer, pour procurer une victoire de 23-22 aux visiteurs. Cody Fajardo et Kaion Julien-Grant ont uni leurs efforts pour venir hanter leurs anciens coéquipiers des Alouettes de Montréal, vendredi soir, au stade Percival-Molson. Frédéric Daigle La Presse Canadienne Fajardo a rejoint le numéro 11 des Elks d'Edmonton deux fois au quatrième quart, dont la dernière avec 15 secondes à jouer, pour procurer une victoire de 23-22 aux visiteurs. La défensive des Alouettes (5-4) avait été solide jusque-là, mais les Elks (2-6) ont trouvé le moyen de percer celle-ci à la toute fin pour ainsi remporter leur premier match de la saison à l'étranger. PHOTO JOSIE DESMARAIS, LA PRESSE À droite, Cody Fajardo Travis Theis, sur un spectaculaire retour de dégagement de 80 verges, et Cole Spieker – un premier touché offensif en plus de deux matchs pour Montréal – ont marqué les touchés des Alouettes, qui ont aussi vu le botteur Jose Maltos-Diaz réussir des placements de 34, 42 et 53 verges. L'attaque des Elks est venue de Tyrell Ford, sur un retour d'interception d'une passe horrible par McLeod Bethel-Thompson, et de Kaion Julien-Grant, à deux reprises. Vincent Blanchard a réussi un placement de 12 verges, mais en a raté un sur 54 verges. Bethel-Thompson, qui a parlé toute la semaine d'offrir une performance digne de ce nom, n'a pas été en mesure de répondre aux attentes et il a été remplacé après deux quarts, complétant 10 de ses 15 passes pour 79 verges seulement et une coûteuse interception. Caleb Evans en a fait davantage, mais cela n'a pas été suffisant pour les Alouettes, qui doivent espérer un retour rapide de Davis Alexander. Theis fait lever le stade En fin de premier quart, Theis a animé le stade Percival-Molson. Alors que les Elks étaient piégés loin dans leur territoire et forcés de dégager, Theis a ramené le ballon sur 80 verges pour inscrire le premier majeur du match et porter la marque à 10-1. Il s'agit d'un premier touché en carrière pour le porteur de ballon utilisé comme retourneur vendredi, ainsi que d'un premier en retour de botté pour les Alouettes cette saison. Après que Maltos-Diaz eut fait 13-1 avec son deuxième placement de la rencontre, les Elks sont revenus dans le match. Une superbe passe et course de 43 verges de Fajardo à Justin Rankin a permis aux visiteurs de s'approcher à la ligne de 9 des locaux. La défense des Alouettes a cependant limité l'attaque adverse à un placement seulement. Les Alouettes ont ensuite franchi le terrain jusqu'à la ligne de 28 des Elks et, avec un deuxième essai et 10 verges à franchir, semblaient en voie d'au moins obtenir le placement. C'est alors que Bethel-Thompson a redonné vie aux visiteurs. Sa passe vers Charleston Rambo s'est retrouvée à court de quelques six verges, directement dans les mains du demi de coin Tyrell Ford. Si ce dernier a jonglé avec le ballon, il s'est retrouvé devant un terrain vierge quand il l'a enfin maîtrisé. Il l'a ramené sur 87 verges et les Alouettes sont rentrés au vestiaire avec une avance de deux points, qui auraient bien pu être d'au moins 12. Evans a remplacé Bethel-Thompson en début de troisième quart. L'attaque a alors retrouvé un peu de tonus. Suffisamment pour qu'elle inscrive un premier touché en 138 minutes et 14 secondes, soit depuis le deuxième quart à Calgary, il y a deux semaines. Comme à Calgary, c'est Spieker qui a capté une passe, un jeu de 19 verges dans la zone des buts. Malgré la transformation d'un point ratée de Maltos-Diaz, les Alouettes ont pu respirer un peu plus à l'aise. Encore une fois, la défense est venue à la rescousse de l'attaque. Sur la séquence suivante, elle a rabattu deux passes de Fajardo pour forcer le dégagement. Quand les Elks ont repris le ballon, un sac de Shawn Lemon a repoussé les visiteurs à un deuxième essai et 28 verges à franchir. Vincent Blanchard a alors raté un placement sur 54 verges, mais en ressortant de la zone des buts avec le ballon, Tyler Snead a été solidement plaqué, perdant le ballon que les Elks ont repris à la ligne de 8 des locaux. Snead est demeuré longuement étendu au sol sur ce jeu. Fajardo n'en demandait pas plus. Deux jeux plus tard, il a rejoint Julien-Grant sur deux verges pour ramener les Elks à deux points. Puis, avec 15 secondes à écouler au cadran, Fajardo a de nouveau rejoint Julien-Grant pour le touché victorieux.


La Presse
7 hours ago
- La Presse
Naomi Osaka s'excuse auprès de Victoria Mboko
Avant de quitter Montréal, Naomi Osaka avait oublié quelque chose d'important : féliciter celle qui l'a vaincu en finale de l'Omnium Banque Nationale, Victoria Mboko. « Merci Montréal, c'était vraiment une belle série. Je tiens également à présenter mes excuses et mes félicitations à Victoria. Tu as fait un superbe match et une carrière incroyable t'attend ! Je me rends compte que je ne t'ai pas félicitée sur le terrain », a publié la Japonaise sur le réseau social Threads. Cette omission fait couler beaucoup d'encre, depuis 24 heures. Après avoir été vaincue en trois manches, sur le court central du Stade IGA, jeudi, Naomi Osaka a prononcé un discours très bref. « Je ne veux pas vraiment prendre trop de temps. Je vais juste dire merci à tout le monde. Merci à mon équipe, aux ramasseurs de balles, aux organisateurs et aux bénévoles », a-t-elle indiqué, après sa défaite. En deuxième moitié de partie, Osaka a semblé démoralisée, agacée. Elle perdait le contrôle du match, et multipliait les erreurs. Le fait que la foule applaudissait les points marqués sur ses erreurs a aussi semblé la déranger. À un point, on l'a même vu placer ses mains sur ses oreilles, comme pour couper le bruit créé par la foule. « Honnêtement, j'étais dans un état second et j'étais tellement concentré sur le fait de ne pas avoir le même discours que lors de la finale de l'Indian Wells en 2018 […] que j'ai essayé de garder mon discours aussi court que possible », justifie Osaka dans sa publication. Osaka fera l'impasse sur le tournoi de Cincinnati. Son prochain tournoi sera donc le Grand Chelem de New York.