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Voyeurisme dans les piscines à Paris : « Nous ne pensions pas que le phénomène était d'une telle ampleur »

Voyeurisme dans les piscines à Paris : « Nous ne pensions pas que le phénomène était d'une telle ampleur »

Le Parisien31-07-2025
Trous rebouchés, personnels formés, campagne de sensibilisation, protocole de signalement… Depuis la prise de parole sur les réseaux sociaux d'une nageuse filmée dans une cabine et
les nombreux témoignages
qui ont suivi, la Ville de Paris a déployé
un plan d'action contre les voyeurs
sous la houlette de Pierre Rabadan, adjoint à la maire de Paris chargé du sport.
Comment avez-vous accueilli les nombreux témoignages qui ont suivi la prise de parole de Laurène Daycard ?
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« Camouflet total » : sur l'allongement de la rétention des étrangers jugés dangereux, les Sages censurent Retailleau
« Camouflet total » : sur l'allongement de la rétention des étrangers jugés dangereux, les Sages censurent Retailleau

Le Parisien

timean hour ago

  • Le Parisien

« Camouflet total » : sur l'allongement de la rétention des étrangers jugés dangereux, les Sages censurent Retailleau

C'était une mesure chère au ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau. Et un marqueur politique. Le Conseil constitutionnel a annoncé jeudi, censurer la loi visant à élargir aux étrangers « condamnés pour des faits d'une particulière gravité et présentant de forts risques de récidive » l'allongement de la durée de maintien en centre de rétention administrative de 90 à 210 jours. Le Conseil rappelle qu'il « incombe au législateur d'assurer la conciliation entre, d'une part, la prévention des atteintes à l'ordre public (…) et, d'autre part, l'exercice de cette liberté et de n'y porter que des atteintes adaptées, nécessaires et proportionnées aux objectifs qu'il poursuit ». L'allongement de la rétention prévue par la loi s'applique « y compris pour des infractions qui ne sont pas d'une particulière gravité », et sans que l'administration ait à établir que le comportement d'un étranger qui a exécuté sa peine « continue de constituer une menace actuelle et d'une particulière gravité pour l'ordre public ». L'élargissement aux personnes pouvant être maintenues en rétention « pour une durée particulièrement longue, n'est pas proportionné à l'objectif de lutte contre l'immigration irrégulière poursuivi », juge encore le Conseil constitutionnel. Coup dur politique « Le camouflet pour le ministre de l'Intérieur est total », a réagi le député Place publique Sacha Houlié, ex-Marcheur, au diapason de la gauche qui dénonçait la « dérive sécuritaire » portée par la proposition de loi. « Le texte a été assez… retaillé », raille de son côté un marcheur. « J'ai le sentiment qu'il y a une voie pour une nouvelle écriture constitutionnelle du texte. Il faut en tout cas le tenter car on ne peut pas rester sans réponse (…). Le statu quo n'est pas permis », confie le député (EPR) Mathieu Lefèvre.

Censure partielle de la loi Duplomb : la gauche salue une victoire, le RN crie au scandale
Censure partielle de la loi Duplomb : la gauche salue une victoire, le RN crie au scandale

Le Figaro

timean hour ago

  • Le Figaro

Censure partielle de la loi Duplomb : la gauche salue une victoire, le RN crie au scandale

Le Conseil constitutionnel a censuré la mesure de la loi Duplomb visant à réintroduire sous conditions un pesticide interdit, l'estimant contraire à la Charte de l'environnement. «VICTOIRE pour la santé humaine et environnementale !», a communiqué le Parti socialiste ce jeudi sur X après la censure de la réintroduction de l'acétamipride par le Conseil constitutionnel. Le parti à la rose s'est félicité de son recours déposé auprès des Sages de la rue Montpensier ayant permis le désaveu partiel de la loi Duplomb, qui a fait face à une forte contestation populaire durant de mois de juillet. Olivier Faure a d'ailleurs exprimé son «soulagement» avant de lui aussi saluer «une victoire pour l'écologie, la santé, la démocratie». «Quelque chose s'est levé qui ne doit pas faiblir pour les prochains combats», a écrit le premier secrétaire du PS sur X. Ce dernier faisait sans doute allusion à la «mobilisation populaire extraordinaire» signalée par le chef de file de La France Insoumise Manuel Bompard qui appelle à poursuivre cette démarche «jusqu'au retrait de la loi et à la censure d'un gouvernement plus que jamais dangereux pour l'environnement et la santé», a-t-il écrit sur X mercredi. Même son de cloche chez l'eurodéputé Manon Aubry qui a célébré une mobilisation «inédite» avant d'elle aussi appelé au retrait de la loi et à la censure du gouvernement. Publicité De nombreux scientifiques et associations et même l'Ordre des médecins s'est posé contre cette loi avançant des risques de troubles majeurs pour la santé. La Ligue contre le cancer a ainsi salué la décision du Conseil constitutionnel jeudi tout en rappelant que le texte donnait «aussi et surtout un blanc-seing à de futures dérogations pour d'autres néonicotinoïdes». «Ingérence des juges constitutionnels» Arnaud Rousseau, président de la FNSEA a quant à lui indiqué prendre acte de la décision du Conseil constitutionnel indiquant que l'ensemble de la loi avait été validée à l'exception des articles 2 et 8. Selon lui, cette décision «marque l'abandon pur et simple de certaines filières de l'agriculture française, alors même que notre dépendance aux importations s'accentue au détriment de nos exigences sociales et environnementales». «Nous avons entendu les citoyens, dans les débats rudes et, nous le déplorons, souvent violents», a ajouté le syndicaliste agricole. Le chef de file des députés LR, Laurent Wauquiez, a lui dénoncé «le niveau d'ingérence des juges constitutionnels» qui «devient un vrai problème pour notre démocratie», après la censure de la réintroduction du pesticide l'acétamipride, interdit depuis 2018 en France. «Difficile encore une fois de trouver normal que le Conseil constitutionnel décide à la place des élus d'interdire ce qui était autorisé il y a 5 ans», a écrit Laurent Wauquiez sur X. Côté Rassemblement National, qui a également soutenu la loi Duplomb, le député Laurent Jacobelli a dénoncé un acte «scandaleux» avait d'ajouter que le Conseil constitutionnel avait porté «un coup de grâce à nos agriculteurs et piétine la volonté populaire». Emmanuel Macron, lui, «a pris bonne note de la décision du Conseil constitutionnel» et «promulguera» le texte «tel (qu'il) résulte de cette décision dans les meilleurs délais», a indiqué jeudi l'Élysée.

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