logo
Remaniement en Ukraine: Zelensky veut nommer le premier ministre sortant Chmygal à la Défense

Remaniement en Ukraine: Zelensky veut nommer le premier ministre sortant Chmygal à la Défense

Le Figaro15 hours ago
Ce changement, qui doit encore être validé par le Parlement, intervient dans un contexte de difficultés militaires croissantes pour l'Ukraine face à la Russie.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a proposé lundi de nommer le Premier ministre Denys Chmygal au poste de ministre de la Défense, dans un remaniement du gouvernement qui doit encore être approuvé par le Parlement.
«L'immense expérience de Denys Chmygal sera certainement utile au poste de ministre de la Défense de l'Ukraine», a déclaré dans son discours du soir M. Zelensky, qui veut nommer la ministre de l'Economie Ioulia Svyrydenko à la tête du gouvernement du pays.
Publicité
Denys Chmygal, nommé premier ministre en 2020, a dirigé le gouvernement pendant la pandémie de Covid-19, avant le début de l'invasion russe en Ukraine en février 2022.vL'actuel ministre de la Défense, Roustem Oumerov, devrait devenir ambassadeur aux États-Unis, avait indiqué le président ukrainien la semaine dernière.
Ce remaniement, le plus vaste depuis le début de l'invasion russe, intervient après des mois de revers des forces ukrainiennes sur le front militaire et une escalade des attaques aériennes russes sur des villes du pays.vLa nomination de Denys Chmygal devra être approuvée par le Parlement, qui s'est largement rallié à Volodymyr Zelensky depuis l'invasion russe et devrait, sauf surprise, soutenir son choix.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov s'est entretenu avec Xi Jinping en Chine
Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov s'est entretenu avec Xi Jinping en Chine

Le Parisien

time29 minutes ago

  • Le Parisien

Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov s'est entretenu avec Xi Jinping en Chine

Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a participé mardi à une rencontre bilatérale à Pékin avec le président Xi Jinping, a rapporté le ministère russe des Affaires étrangères. Cet entretien s'est déroulé dans le cadre de la participation de Sergueï Lavrov à une réunion des ministres des Affaires étrangères de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS), indique la même source. L'OCS regroupe 10 pays dont la Chine, la Russie, l'Iran , l'Inde et le Pakistan. Elle entend faire contrepoids aux organisations occidentales et renforcer la coopération en matière de politique, de sécurité ou encore de commerce. Parmi les sujets abordés par les deux responsables figurait la préparation d'une visite du président russe Vladimir Poutine en Chine à l'occasion d'un sommet de l'OCS, rapporte Moscou. Sergueï Lavrov s'était entretenu dimanche avec son homologue chinois Wang Yi, notamment sur le dossier ukrainien et « les relations avec les États-Unis », selon Moscou. La Chine , un allié diplomatique et économique de la Russie, n'a jamais dénoncé l'assaut que cette dernière poursuit depuis février 2022 en Ukraine, ni appelé au retrait des troupes russes. Pékin plaide toutefois régulièrement pour l'arrêt des combats, tout en accusant les pays occidentaux d'alimenter le conflit en armant l'armée ukrainienne pour repousser les forces russes.

Menace américaine de taxes sur les partenaires de Moscou : Pékin déplore une «coercition qui ne mène nulle part»
Menace américaine de taxes sur les partenaires de Moscou : Pékin déplore une «coercition qui ne mène nulle part»

Le Figaro

timean hour ago

  • Le Figaro

Menace américaine de taxes sur les partenaires de Moscou : Pékin déplore une «coercition qui ne mène nulle part»

La Chine a fustigé mardi une «coercition qui ne mène nulle part», après la menace du président Donald Trump de taxer lourdement les partenaires commerciaux de la Russie sans arrêt de l'offensive en Ukraine d'ici 50 jours. «La coercition ou les pressions ne peuvent résoudre les problèmes», a déclaré lors d'un point presse régulier Lin Jian, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, ajoutant que Pékin était favorable à une «solution politique de la crise en Ukraine». Publicité Plus d'informations à venir...

«Ce courant existe dans la société, donc nécessairement à l'université» : Borne recadre le ministre de l'Enseignement supérieur sur l'islamo-gauchisme
«Ce courant existe dans la société, donc nécessairement à l'université» : Borne recadre le ministre de l'Enseignement supérieur sur l'islamo-gauchisme

Le Figaro

timean hour ago

  • Le Figaro

«Ce courant existe dans la société, donc nécessairement à l'université» : Borne recadre le ministre de l'Enseignement supérieur sur l'islamo-gauchisme

Lundi sur LCP, Philippe Baptiste avait estimé que «ce terme n'existe pas en tant que terme universitaire, il n'est même pas bien défini, donc cette notion n'existe pas». La ministre de l'Éducation nationale Élisabeth Borne a recadré ce dimanche dernier son collègue chargé de l'Enseignement supérieur Philippe Baptiste pour avoir estimé que l'«islamo-gauchisme» est une notion qui «n'existe pas». «Ce courant existe dans la société, donc nécessairement à l'université», a affirmé Élisabeth Borne sur radio J. Lundi sur LCP, Philippe Baptiste avait estimé que «ce terme n'existe pas en tant que terme universitaire, il n'est même pas bien défini, donc cette notion n'existe pas». Il y a certes «des abus» mais «se dire qu'il y a un mouvement islamo-gauchiste qui serait là à vouloir prendre le pouvoir au sein de telle ou telle université, non, je ne crois pas que ce soit la réalité», avait-il ajouté. Interrogée dimanche sur sa définition du terme, Élisabeth Borne a estimé que «ce sont des gens d'extrême gauche qui considèrent que les musulmans sont une force électorale, qui les courtisent en encourageant le communautarisme et en banalisant l'islamisme radical». À lire aussi Le ministre Philippe Baptiste maintient que l'islamo-gauchisme «n'existe pas au sens intellectuel du terme» à l'université Publicité «Jouer le jeu de l'entrisme» «Il y a à la fois des personnalités et des partis politiques, je pense notamment à LFI, qui portent une idéologie d'extrême gauche qui instrumentalise l'islam, qui banalise l'islamisme radical, et qui encourage le communautarisme», a affirmé la ministre de l'Éducation. «Ça fait partie des combats que mènent LFI, notamment pour faire entrer ces idéologies au sein de l'université et ils ne s'en cachent pas» puisqu''«ils font le tour pour certains d'entre eux de toutes les universités de France, donc je pense que leur combat est assez clair», a-t-elle ajouté. Les déclarations de Philippe Baptiste avaient suscité de vives réactions à droite. «Nier la présence de l'islamo-gauchisme dans les universités, c'est jouer le jeu de l'entrisme à un moment où nous devons être intraitables face à ce fléau», avait ainsi affirmé le secrétaire général de LR Othman Nasrou. «Dire que l'islamo-gauchisme n'existe pas, c'est un peu comme dire que la Terre n'est pas ronde», avait estimé l'ancien ministre de l'Éducation Jean-Michel Blanquer. La position de Philippe Baptiste contraste avec celle de ses prédécesseurs: en 2021 la ministre de l'Enseignement supérieur Frédérique Vidal avait voulu demander une enquête sur «l'islamo-gauchisme» à l'université, suscitant une polémique.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store