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Tennis de table : les frères Lebrun disputeront la finale du double à Las Vegas

Tennis de table : les frères Lebrun disputeront la finale du double à Las Vegas

Le Figaro3 days ago
Vainqueurs de la paire chinoise Liang Jingkun/Wang Chuqin ce vendredi, Alexis et Félix Lebrun sont qualifiés pour la finale du double au Grand smash de Las Vegas (Nevada).
Les frères Alexis et Félix Lebrun se sont qualifiés pour la finale du double du Grand smash de tennis de table de Las Vegas (États-Unis), grâce à un succès autoritaire sur la paire chinoise Liang Jingkun/Wang Chuqin vendredi. N.1 mondiaux, les frères Lebrun n'ont eu besoin que de 19 minutes pour un succès 3 sets à 0 (11-8, 11-6, 11-8) lors duquel ils n'ont jamais tremblé. Ils affronteront samedi en finale soit les Sud-Coréens An Jaehyun/Lim Jonghoon, soit les pongistes de Hong Kong Wong Chun Ting/Chan Baldwin.
Alexis (21 ans) et Félix Lebrun (18 ans), champions d'Europe et médaillés de bronze aux Mondiaux en double au mois de mai, se sont ainsi qualifiés pour leur première finale d'un Grand smash, l'un des quatre tournois majeurs du circuit WTT. Les deux Français avaient toutefois remporté la finale du circuit en décembre dernier. Plus tard dans la journée, Félix Lebrun affrontera son compatriote Lilian Bardet pour une place en demi-finale en simple.
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ANALYSE - Après une quinzaine riche en émotions, découvrez ce qui a retenu l'attention de l'envoyé spécial à Londres. Coups de cœur Les larmes d'Anisimova Humiliée 6-0, 6-0 samedi en finale par une impitoyable Iga Swiatek, l'Américaine de 23 ans qui disputait sa première finale de Grand Chelem a été rattrapée par l'enjeu. Plus lucide dans son discours d'après match que sur le court, ele a aussi beaucoup pleuré et ému l'assistance. La jeune fille, demi-finaliste de Roland-Garros 2019 à 17 ans, annoncée comme une future grande, a fait par la suite une dépression, après le décès brutal de son père avant l'US Open 2019. Les yeux encore rougis de larmes, après avoir été réconfortée tant bien que mal par la Princesse de Galles Kate Middleton, Amanda Anisimova a eu du mal à ne pas être rattrapée par les émotions quand elle s'est adressée à sa mère Olga, qui avait fait le voyage jusqu'à Londres pour assister cette finale. « Ma mère est la personne la plus importante et elle a tout fait pour m'emmener jusqu'à ce niveau. Merci d'avoir mis fin à ta superstition de ne pas venir me voir jouer. Ce n'est pas à cause de ça que j'ai perdu. Je t'aime tellement, tu as fait tellement pour ma sœur et moi. ». Derrière ses lunettes de soleil, sa maman essuyant ses larmes. Un sacré moment d'émotion également pour l'ensemble des spectateurs du Centre Court. Publicité La lucidité de Novak Djokovic Comme à Roland-Garros, le vétéran de 38 ans Novak Djokovic, diminué physiquement, il est vrai, a subi la loi de Jannik Sinner pour la cinquième fois consécutive. L'homme aux 24 titres du Grand Chelem a fait preuve de beaucoup d'honnêteté en conférence de presse avec des aveux qu'il n'avait jamais lâchés auparavant publiquement. «Je ne pense pas que ce soit de la malchance. C'est juste l'âge, l'usure du corps. J'ai beau prendre soin de mon corps, la réalité me frappe depuis un an et demi, comme jamais auparavant. C'est difficile pour moi de l'accepter parce que j'ai l'impression que lorsque je suis frais, en forme, je peux encore jouer à un très bon niveau.» Problème : sur les six derniers Majeurs, depuis Roland-Garros l'an passé, il s'est blessé lors de la moitié d'entre eux… « Je pense que jouer au meilleur des cinq manches, devient difficile plus le tournoi avance plus ma condition physique se dégrade». Le constat est limpide. Les mots sont forts. Les légendes ne sont pas éternelles mais le Serbe a promis de revenir au moins une fois à Wimbledon pour peut-être boucler la boucle d'une carrière hors norme. Dimitrov, l'abandon déchirant Trop costaud pour Alcaraz en finale, Jannik Sinner revient de loin. De très loin. Un impressionnant Grigor Dimitrov a mené deux manches à rien contre le numéro 1 mondial en 8es de finale. Le futur lauréat ne trouvant pas de solutions contre un Dimitrov des grands jours. Mais le Bulgare a été contraint d'abandonner à 2-2 dans la troisième manche, victime d'une blessure au muscle pectoral. Grimaçant de douleur et se palpant le torse près de son épaule droite, après avoir servi. Venu à son chevet, Jannik Sinner, était forcément gêné et mal à l'aise de ce coup du sort, alors qu'il subissait la loi de son adversaire. Un crève-cœur pour celui qui a abandonné pour la cinquième consécutive en Grand Chelem. « Parfois, le cœur veut continuer, mais le destin en décide autrement », a posté depuis un lit d'hôpital, le malheureux Dimitrov. En blessé magnifique. Monfils fait le show en conf' A 22 h30, après quatre heures de jeu et une victoire en cinq sets au premier tour contre Ugo Humbert, Gaël Monfils, bientôt 39 ans, a régalé la mince assistance, en livrant une étonnante anecdote sur un contrôle anti-dopage dans la foulée d'une grosse fête, il y a quelques années. Après une question d'un journaliste du Guardian, le vétéran bleu est revenu sur un contrôle anti-dopage vieux de plus de quinze ans. «Je devais avoir 21 ans, je revenais d'une fête et on frappe à la porte à 6h45. J'étais un peu dans les vapes et j'ouvre à l'inspecteur mais je venais de passer aux toilettes et j'étais franchement incapable d'uriner. Je lui ai proposé de s'installer dans mon salon. Je suis allé me coucher et je me suis réveillé à 15 heures! Le mec était toujours là, en train de scroller sur son portable. Il aurait pu tout voler dans la maison, non, non je plaisante. J'ai pu satisfaire au contrôle et il est reparti.» Mi-gêné, mi-amusé, la Monf' a conclu. «J'étais plus jeune. Ce sont de bonnes anecdotes à 21 ans». Les témoins de la conférence de presse, tous hilares, peuvent confirmer. Coups de griffe De l'arbitrage électronique... et des arbitres sans assistance vidéo L'erreur est humaine mais la machine n'est pas parfaite non plus. Pour la première de sa riche et longue histoire, Wimbledon a décidé de se passer de ses juges de ligne en faisant confiance à l'arbitrage vidéo Dans le match entre la Russe Anastasia Pavlyuchenkova et la Britannique Kartal, le système électronique d'arbitrage vidéo a été désactivé pendant un jeu entier, seulement du côté de la Russe, entraînant trois erreurs d'arbitrage au profit de la Britannique, lui permettant de réaliser le break à un moment crucial (Pavlyuchenkova a fini par remporter le match). «Vous m'avez volé le jeu», a d'ailleurs réagi la Russe au changement de côté. L'arbitre refusant de prendre une décision a refait jouer le point. Après une enquête approfondie, il s'est avéré que la technologie avait été «désactivée par erreur du côté du serveur sur une moitié du court pendant un jeu». En conférence de presse, la Russe a regretté qu'à Wimbledon, l'arbitre ne puisse pas faire appel à la vidéo, réclamant une assistance vidéo comme en football. À lire aussi Wimbledon: en perte de vitesse, le gazon se rapproche de la terre battue Publicité Du gazon ou de la terre battue ? Ce n'est pas nouveau. Le jeu sur herbe est moins rapide que dans les années 80-90. Et cette année beaucoup de joueurs et de joueuses ont particulièrement déploré la lenteur du gazon à Wimbledon. Avec la sécheresse et la chaleur, le rebond de la balle a moins fusé que d'ordinaire. Idéal pour la terrienne Iga Swiatek qui était allée chercher don premier sacre à Londres. Plusieurs joueurs ont également déploré l'allongement des rencontres. Des matchs ont ainsi dépassé les quatre heures de jeu : le premier tour laborieux du double tenant du titre Carlos Alcaraz contre le vétéran Fabio Fognini a duré 4 h 37, celui entre Arthur Rinderknech et Alexander Zverev, 4 h 40. Au 3e tour, Lorenzo Sonego a mis 5 h 04 pour vaincre Brandon Nakashima. La « next Gen » au point mort Il y a le duo Sinner – Alcaraz… et les autres. Notamment la fameuse Next Gen, la génération des Tsitsipas, Zverev, et Medvedev, aujourd'hui âgés entre 26 et 28 ans et qui étaient censée prendre le pouvoir quand le « Big 3 » ne serait plus là. Sauf que l'Espagnol et l'Italien les ont ringardisés. Tous sortis dès le premier tour, ils vivent un moment particulièrement délicat. Si le Russe, parvenu à se hisser à la première place mondiale en 2022, s'est imposé à l'US Open 2021, le Moscovite semble dans une situation moins désespérée que Stefanos Tsitsipas, double finaliste en Grand Chelem, mais en panne de résultats depuis plusieurs mois, qui a dû abandonner lundi dès le 1er tour à Wimbledon, alors qu'il était mené deux sets à rien par le Français Valentin Royer (6-3, 6-2). Toujours 3e mondial Alexander Zverev, mais peu inspiré depuis sa finale perdue de l'Open d'Australie, a lui laissé entendre qu'il avait traversé une petite dépression après sa défaite au premier tour contre Rinderknech. À lire aussi Wimbledon : Monfils, Parry, Mannarino, Rinderknech... Le tennis français retombe sur herbe Le vendredi noir des Bleus Après Monfils et Humbert en huitièmes de finale à Melbourne en janvier, l'incroyable demi-finale de Loïs Boisson, à Roland-Garros, les Bleus n'ont pas dépassé la semaine à Wimbledon. Jusqu'au vendredi 4 juillet, tout allait pourtant bien. Des exploits (Bonzi, 64e mondial qui sort Medvedev, 9e, Rinderknech, 72e qui terrasse Zverev, 3e). Des qualifiés qui déjouent les pronostics (Parry et Jacquemot qui ont le dernier mot contre des têtes de série, Royer qui profite de l'abandon de Tsitsipas). Dans cette édition sens dessus dessous, où les têtes de série tombent comme des mouches (36 têtes de série ont été éliminées sur les 64, hommes et femmes confondus après 2 tours), les Bleus ont su être des acteurs importants du grand chambardement. Il fallait ensuite enchaîner et confirmer. Et, là, le tennis français a coincé en ce vendredi où les quatre derniers représentants sont tombés contre des joueurs pourtant à leur portée sur le papier. Opposé en fin de journée à Kamil Majchrzak, Arthur Rinderknech, dernier tricolore en lice, n'a pu éviter la gueule de bois totale (3-6 6-7 6-7).

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Tiré ce lundi soir depuis la Tour Eiffel et les jardins du Trocadéro, le feu d'artifice du 14 juillet de Paris adressera un clin d'oeil à la saison exceptionnelle du PSG couronnée par le titre en Ligue des champions. Ils ne sont pas champions du monde après la dé faite sans appel dimanche soir contre Chelsea (3-0) en finale de la Coupe du monde des clubs mais le PSG aura quand même droit ce lundi soir, selon nos informations, à un hommage de la mairie de Paris pour la saison exceptionnelle réussie par le club. Cet hommage se matérialisera par un clin d'oeil lors du traditionnel feu d'artifice du 14 juillet qui sera tiré depuis la Tour Eiffel et les jardins du Trocadéro à partir de 23 heures. Le spectacle pyrotechnique, diffusé sur France 2, prévu pour durer 35 minutes, proposera plusieurs tableaux et fera intervenir plus de 1000 drones dans le ciel parisien. Le dernier tableau, intitulé Paris s'ouvrira avec un chant des supporters et une mise en lumière spéciale de la Tour Eiffel.

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Arthur Cazaux au deuxième tour à Gstaad, pas Terence Atmane ni Pierre-Hugues Herbert

Trois Français étaient engagés ce lundi au premier tour de l'ATP 250 de Gstaad, en Suisse. Arthur Cazaux est le seul à s'être qualifié pour le deuxième tour, alors que Terence Atmane et Pierre-Hugues Herbert ont été éliminés d'entrée. La finale de Wimbledon dimanche a conclu la saison sur gazon, et la terre battue reprend déjà ses droits avec deux ATP 250 sur ocre cette semaine en Europe, avant de basculer sur la tournée américaine. À Gstaad, en Suisse, les trois Français engagés ce lundi ont tous été au troisième set, avec plus ou moins de réussite. Arthur Cazaux (116e ATP) a dû batailler face au Géorgien Nikoloz Basilashvili (112e) qui avait, comme lui, atteint le deuxième tour à Wimbledon en sortant des qualifications. Mené un set à zéro, le Français a fini par s'imposer au bout de 2h50 (4-6, 7-5, 7-6 [5]) et fera face à Tomás Martín Etcheverry, tête de série n° 4, au deuxième tour. Ruud va disputer son premier match depuis Roland-Garros En revanche, Terence Atmane et Pierre-Hugues Herbert ont tous les deux été éliminés dès leur entrée en lice. Le premier a été dominé (6-4, 3-6, 6-2) par le Polonais Kamil Majchrzak (81e), récent huitième de finaliste à Wimbledon, tandis que le second a cédé face au local Dominic Stricker (229e), malgré le gain de la première manche (4-6, 6-4, 6-2). Le Suisse, ex-membre du top 100, s'offre le droit de défier Casper Ruud au deuxième tour mercredi, pour le premier match du Norvégien depuis Roland-Garros.

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