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Les secours recherchent des survivants après l'effondrement d'un pont

Les secours recherchent des survivants après l'effondrement d'un pont

La Presse09-07-2025
Taïwan
Deux morts et des centaines de blessés après le passage du typhon Danas
(Taipei) Le typhon Danas a fait deux morts et des centaines de blessés à Taïwan où il a touché terre durant le week-end, déversant sur l'île des pluies torrentielles qui ont provoqué inondations et glissements de terrain avant de s'éloigner de l'île, ont annoncé lundi les autorités.
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221 morts dans des pluies torrentielles depuis le début des moussons
221 morts dans des pluies torrentielles depuis le début des moussons

La Presse

time11 hours ago

  • La Presse

221 morts dans des pluies torrentielles depuis le début des moussons

Des personnes se déplacent dans une rue inondée après de fortes pluies de mousson à Hyderabad, au Pakistan. 221 morts dans des pluies torrentielles depuis le début des moussons (Khaplu) Les pluies torrentielles qui frappent le Pakistan depuis le début d'une saison « inhabituelle » des moussons fin juin ont causé la mort de 221 personnes, dont une centaine d'enfants, a indiqué mardi une agence gouvernementale. Agence France-Presse Parmi les victimes ayant péri entre le 26 juin et le 21 juillet, dans l'effondrement de leur maison emportée par les crues soudaines, ou électrocutées, « 104 étaient des enfants et 40 des femmes », a indiqué à l'AFP une porte-parole de l'Autorité de gestion des catastrophes. Les pluies torrentielles ont débuté plus tôt cette année que les précédentes, a-t-elle ajouté, soulignant que « de tels bilans humains sont généralement observés en août, rendant cette saison inhabituelle ». Lundi, des glissements de terrain survenus dans le nord du Pakistan après de très fortes pluies ont tué trois personnes en emportant leurs véhicules, ont annoncé les autorités locales, précisant que les opérations se poursuivent pour secourir 15 disparus coincés sous les débris. La plupart des victimes étaient des touristes venus du reste du Pakistan pour visiter le Gilgit-Baltistan, province montagneuse réputée pour ses vallées luxuriantes et ses lacs cristallins, lorsqu'ils ont été pris dans un glissement de terrain sur une route de montagne. Déblayer les véhicules ensevelis PHOTO AAMIR QURESHI, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE Des habitants pêchent des poissons dans les eaux de crue près d'une maison partiellement submergée dans le village de Ladian, au Pakistan, le 17 juillet 2025. « Trois corps ont été retrouvés et plus de 15 personnes sont toujours portées disparues », a indiqué mardi à l'AFP Abdul Hameed, responsable de la police locale du district de Diamer, au Gilgit-Baltistan. Il rapporte que l'opération de sauvetage, entamée lundi, « a été relancée à 6 heures du matin », pour déblayer plus de 10 véhicules ensevelis. « Les secours ont aussi évacué quatre blessés, l'un d'entre eux se trouvant dans un état critique », a précisé Faizullah Faraq, porte-parole du gouvernement provincial, confirmant le bilan. « Des centaines de touristes ont été pris en charge, les habitants des villages voisins leur ont fourni des abris d'urgence et de l'aide », a-t-il ajouté. Les crues dans la province ont aussi endommagé 50 maisons, quatre ponts, un hôtel, une école et bloqué les principaux axes routiers. Le service national de météorologie prévient que les risques de pluies abondantes et donc possiblement de crues subites restent élevés dans les provinces du nord et de l'est du pays, avec un risque de crues et de glissements de terrain. Fin juin, au moins 13 touristes locaux avaient été emportés par des crues soudaines dans une autre province du nord du Pakistan. La mousson d'été, qui apporte 70 à 80 % des précipitations annuelles en Asie du Sud entre juin et septembre, est vitale pour la subsistance de millions d'agriculteurs dans une région d'environ deux milliards d'habitants. Le pays a encore du mal à se remettre des inondations dévastatrices de 2022, qui ont affecté près d'un tiers du pays et plus de 33 millions de personnes. Quelque 1700 personnes avaient alors été tuées et une bonne part des récoltes avait été perdue. Le pays est l'un des plus vulnérables aux effets du changement climatique et ses 255 millions d'habitants subissent des évènements climatiques extrêmes de plus en plus fréquemment.

Le bilan de l'écrasement d'avion passe à 31 morts, début des hommages aux victimes
Le bilan de l'écrasement d'avion passe à 31 morts, début des hommages aux victimes

La Presse

time12 hours ago

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Le bilan de l'écrasement d'avion passe à 31 morts, début des hommages aux victimes

Le personnel de l'armée de l'air du Bangladesh récupère des débris, un jour après qu'un avion d'entraînement se soit écrasé sur une école à Dacca. Le bilan de l'écrasement d'avion passe à 31 morts, début des hommages aux victimes (Dacca) L'effroi, le deuil et des questions : parents, enseignants et autorités se sont pressés mardi dans l'école de Dacca sur laquelle un avion militaire s'est écrasé la veille, faisant au moins 31 morts, pour rendre hommage aux jeunes victimes. Agence France-Presse L'appareil, un chasseur F-7 BGI de fabrication chinoise, s'est écrasé lundi en début d'après-midi sur le complexe scolaire Milestone, dans le nord-ouest de la capitale bangladaise, victime selon l'armée d'une avarie mécanique. La chute de l'avion a transformé en brasier un bâtiment de deux étages que des élèves de primaire venaient de quitter à la fin des cours. Selon le dernier bilan publié par l'armée, l'accident a fait 31 morts, dont le pilote, et plus de 170 blessés, pour l'essentiel des enfants grièvement brûlés. « À l'heure où je vous parle, nous avons encore 69 patients hospitalisés », a déclaré dans l'après-midi à la presse un haut responsable du ministère de la Santé et de la Famille, Sayedur Rahman. « Dix d'entre eux sont entre la vie et la mort », a-t-il ajouté. Cette catastrophe aérienne est la plus meurtrière survenue depuis des décennies au Bangladesh. PHOTO MOHAMMAD PONIR HOSSAIN, REUTERS Selon le dernier bilan publié par l'armée, l'accident a fait 31 morts, dont le pilote, et plus de 170 blessés, pour l'essentiel des enfants grièvement brûlés. Les cours ont été annulés mardi à l'école Milestone, qui accueille d'ordinaire quelque 7000 élèves, mais parents, enseignants et officiels ont défilé toute la journée devant le site de l'accident. « L'école a perdu la vie, comme ses enfants », a commenté un enseignant, Shahadat Hosein, 45 ans, croisé près d'une aire de jeu. « Insupportable » Devant le bâtiment détruit par la chute de l'avion, un enfant de 11 ans se tient debout, silencieux. « Il est sorti de la classe deux ou trois minutes avant la catastrophe. Il a perdu son meilleur ami », a raconté à l'AFP son père, Abul Bashar, un des gardiens de l'école. « Il n'a pas pu dormir de la nuit et m'a demandé ce matin de le conduire à l'école », poursuit le père. « Je ne sais pas combien de temps il faudra pour revenir à la normale, pour effacer ce traumatisme de l'esprit des élèves ». Les yeux de ceux qui se pressent autour du ruban jaune qui interdit l'accès à l'immeuble détruit, luisent toujours de douleur et d'effroi. PHOTO MUNIR UZ ZAMAN, AGENCE FRANCE-PRESSE Sur le site de l'accident, débarrassé pendant la nuit des principaux débris de l'avion, des militaires ont continué toute la journée à fouiller à la recherche d'indices. « Je suis sous le choc », a confié un enseignant, Saiful Islam, 40 ans. « Ce qui s'est passé est insupportable. Les enfants attendaient leurs parents pour rentrer chez eux et aujourd'hui, ils ne sont plus de ce monde… » Certains ne retiennent pas leurs questions. « Je n'ai pas de mots », a confié le père d'une élève indemne, Tipu Sultan, 42 ans. « La mort de ces enfants innocents aurait été évitée si l'avion n'avait pas survolé cette zone ». Le pilote du F-7, le lieutenant Towkir Islam, 27 ans, qui, selon son oncle, effectuait son premier vol sans instructeur sur ce type d'appareil, est mort. L'armée a affirmé qu'il avait tenté d'éloigner son appareil des zones habitées. « Où sont-ils ? » Une enquête confiée aux militaires a été ouverte pour déterminer les causes de l'accident. « Il semble qu'il ait été victime d'un problème mécanique », a indiqué l'armée lundi. Sur le site de l'accident, débarrassé pendant la nuit des principaux débris de l'avion, des militaires ont continué toute la journée à fouiller à la recherche d'indices. « Ils continuent à ramasser des éléments de preuve, y compris des restes de corps ou des effets appartenant aux écoliers », a expliqué à l'AFP un policier sur place, Pahn Chakma. Des élèves se sont rassemblés mardi devant l'école, accusant le gouvernement de mentir sur le nombre des victimes. « Il y avait des centaines d'élèves dans ce bâtiment. Nous avons vu les morceaux de leurs corps éparpillés sur le sol. Où sont-ils ? », a questionné un lycéen de 17 ans. Des bousculades ont brièvement opposé les manifestants aux forces de l'ordre. « Quelques militaires ont eu maille à partir avec des élèves. Nous nous en excusons », a concédé face à la presse le ministre de la Loi et de la Justice, Asif Nazrul. « Le gouvernement prendra en charge l'indemnisation, la réadaptation et le traumatisme des personnes affectées », a-t-il promis.

Un avion de l'armée s'écrase sur une école, au moins 27 morts
Un avion de l'armée s'écrase sur une école, au moins 27 morts

La Presse

time12 hours ago

  • La Presse

Un avion de l'armée s'écrase sur une école, au moins 27 morts

Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Un avion de l'armée s'écrase sur une école, au moins 27 morts (Dacca) Le bilan provisoire de la chute accidentelle lundi d'un avion de chasse de l'armée de l'air du Bangladesh sur une école de Dacca est passé à 27 morts, pour l'essentiel des élèves, a annoncé mardi un responsable du ministère de la Santé. Sheikh Sabiha ALAM Agence France-Presse « À cet instant 27 personnes sont mortes, dont 25 enfants et le pilote », a déclaré devant la presse Sayedur Rahman. Plus de 170 blessés avaient été recensés lundi après l'accident par les secours. « Au total, 78 sont toujours soignés dans différents hôpitaux », a ajouté M. Rahman. Cette catastrophe aérienne est la plus meurtrière survenue au Bangladesh depuis des décennies. La chute de l'appareil sur un bâtiment du campus scolaire Milestone, dans le nord-ouest de la capitale bangladaise, a également fait au moins 171 blessés, pour la plupart des écoliers âgés de 8 à 12 ans. Une vingtaine d'entre eux se trouvaient dans un état critique, a indiqué à l'AFP le Dr Mohammad Nasir Uddin, directeur de l'Institut national des grands brûlés où de nombreux blessés ont été hospitalisés. L'avion impliqué, un monoréacteur de type F-7 BGI de fabrication chinoise, avait décollé à 13 h 06 locales (3 h 06 heure de l'Est) de la base aérienne de Khandakar, en banlieue de la capitale, lorsqu'il a connu un problème technique peu après son décollage. « Il semble qu'il ait été victime d'un problème mécanique. La cause exacte fait l'objet d'une enquête », a décrit l'armée dans un communiqué. PHOTO MAHMUD HOSSAIN OPU, ASSOCIATED PRESS La chute de l'avion a fait plus de 100 blessés. Son pilote, identifié comme le lieutenant Towkir Islam, âgé de 27 ans, effectuait lundi son premier vol sans instructeur, a confié à l'AFP son oncle Motakkabir. « Tout a pris feu » « Towkir a survécu quelque temps à l'accident », a-t-il continué. « L'armée de l'air a envoyé un hélicoptère dans sa ville natale et ramené ses parents à l'hôpital mais ils l'ont trouvé mort en arrivant ». Selon l'armée, le pilote a tenté en vain d'éloigner son avion en difficulté des zones habitées de la capitale. « En dépit de tous ses efforts, l'avion s'est écrasé sur un bâtiment de deux étages de l'école Milestone », a-t-elle détaillé. Les secours ont été rapidement déployés sur le site de l'école Milestone, où ils ont extrait les victimes des décombres sur des civières. « Il y avait deux avions de chasse [dans le ciel], l'un est tombé ici sur la partie [du bâtiment] où se tenait un cours d'anglais pour des élèves de primaire », a témoigné à l'AFP un élève, Shafiur Rahman Shafi, 18 ans. PHOTO REUTERS La plupart des victimes sont des écoliers du campus scolaire Milestone. « Beaucoup de jeunes élèves et des enseignants ont été blessés », a ajouté le jeune homme. « Ça a fait un grand boum. On a senti une secousse comme un tremblement de terre. Et puis tout a pris feu ». Dans la foulée de l'accident, l'Institut national des grands brûlés a été pris d'assaut par de nombreux parents d'élèves venus pour tenter d'identifier leurs proches, a constaté une journaliste de l'AFP. « Nous avons désespérément cherché mon cousin de 12 ans dans plusieurs hôpitaux », a raconté à l'AFP Tofazzal Hossain, 30 ans. « Nous avons finalement retrouvé son corps ici », a-t-il poursuivi, en pleurs. Dans un couloir de l'établissement, Monsur Helal, 46 ans, s'est porté au chevet de son épouse Mahrin, une agente de l'école inconsciente sur un lit. Dons du sang « Mahrin encadrait les enfants qui sortaient de la classe lorsque l'avion est soudain tombé juste à côté d'elle », a-t-il raconté à l'AFP. « J'ai pu lui parler brièvement, puis elle a perdu connaissance ». PHOTO MAHMUD HOSSAIN OPU, ASSOCIATED PRESS Shahbul, le père d'une écolière disparue, pleure sur les lieux de l'écrasement. En soirée, de nombreuses mères attendaient, anxieuses, des nouvelles de leurs enfants devant l'hôpital, tandis que des dizaines de personnes faisaient la queue pour donner leur sang. Selon un responsable du ministère de la Santé et de la Famille, Mohammad Sayedur Rahman, au moins sept corps brûlés n'ont pu être immédiatement identifiés. Le chef du gouvernement provisoire, le prix Nobel de la paix Muhammad Yunus, a fait part sur X de « son profond chagrin et sa peine ». « Le gouvernement prendra toutes les mesures nécessaires pour enquêter sur l'origine de l'accident et prêter assistance à tous », a-t-il ajouté. Les autorités ont décrété un jour deuil national mardi. Le premier ministre indien Narendra Modi s'est dit « profondément choqué et attristé » et s'est dit sur X « prêt à apporter au Bangladesh tout le soutien et l'assistance possibles ». Ces dernières années, l'armée de l'air bangladaise a été endeuillée par plusieurs accidents aériens. L'an dernier, un pilote est mort aux commandes de son Yak-30, un chasseur conçu sous l'ère soviétique. La catastrophe aérienne civile la plus meurtrière de l'histoire du Bangladesh est survenue en 1984, lorsqu'un Fokker F-27 de la compagnie Biman reliant Chittagong (Sud-Ouest) à Dacca s'était écrasé, causant la mort de ses 49 passagers et membres d'équipage.

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