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Le Norvégien Jonas Abrahamsen remporte la 11e étape à Toulouse

Le Norvégien Jonas Abrahamsen remporte la 11e étape à Toulouse

La Presse2 days ago
(Toulouse) Le Norvégien Jonas Abrahamsen a remporté la 11e étape du Tour de France en devançant au sprint son compagnon d'échappée, le Suisse Mauro Schmid, mercredi à Toulouse, où le grand favori Tadej Pogacar s'est fait une frayeur en chutant dans le final.
Agence France-Presse
Membre d'une échappée partie tôt au cours d'une étape très animée, Abrahamsen, 29 ans, et Schmid, ont résisté au retour de Mathieu van der Poel, 3e à 7 secondes, le Norvégien décrochant la deuxième victoire de sa carrière. Le maillot jaune reste lui sur les épaules de l'Irlandais Ben Healy.
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« L'un des matchs les plus fous que j'ai joués »
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La Presse

time2 hours ago

  • La Presse

« L'un des matchs les plus fous que j'ai joués »

(Montréal) Il restait deux minutes et 43 secondes au match entre les Alouettes de Montréal et les Argonauts de Toronto, jeudi soir. Les Montréalais tiraient de l'arrière par cinq points. Les locaux, dominés pendant l'entièreté de la rencontre, montraient enfin un signe de vie. Deux minutes et 17 secondes à jouer. Embourbés dans le fond de leur territoire, les Argonauts souhaitaient remonter le terrain pour au moins effectuer un placement question de mettre le match hors de portée des Alouettes. Pendant que les feux d'artifice décoraient le ciel au-dessus du pont Jacques-Cartier, Lwal Uguak a renversé le quart Nick Arbuckle, lui faisant du même coup perdre le contrôle du ballon. Le géant Shawn Oakman en a pris possession. Le stade a explosé. Une minute et 46 secondes à compléter. À la ligne de 10 verges des Argos, le quart-arrière Davis Alexander a pris ses jambes à son coup pour inscrire le touché donnant les devants aux Alouettes pour la première fois du match. 26-25 pour les locaux. Spieker a ensuite raté un attrapé facile pour la transformation de deux points. 53 secondes au cadran. Dans une ultime chance de remontée, les Argonauts ont tenté une longue passe. Marc-Antoine Dequoy s'est faufilé entre les joueurs de ligne offensive de Toronto pour aller frapper violemment Arbuckle. Dans l'urgence, il a décoché une passe imprécise interceptée par Kabion Ento. Si bien qu'un déficit de 18 points s'est transformé en une victoire in extremis de 26 à 25 des Alouettes. PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE Marc-Antoine Dequoy et Tyrell Richards Le sifflet final s'est fait entendre et le secondeur Geoffrey Cantin-Arku a fait le tour du terrain, près des partisans, les bras dans les airs, à la manière de Jean Béliveau au Forum après avoir remporté une énième coupe Stanley. « C'est l'un des matchs les plus fous que j'ai joués », a lancé Marc-Antoine Dequoy, encore essoufflé quelques instants après la fin de cette joute aux mille rebondissements. C'est hallucinant. De revenir dans le match, de ne jamais baisser les bras, de continuer à jouer notre football. C'est notre identité. C'est dans les moments difficiles que tu vois l'identité d'une équipe », a ajouté le demi défensif. De peine et de misère PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE Les Argonauts n'ont rien donné aux Alouettes. Et ce, dans toutes les phases du jeu. Cette quatrième victoire s'est méritée au pic et à la pelle. « Nous sommes des battants. Nous sommes une bande de gagnants. Je me suis levé ce matin et je sentais quelque chose de différent. Il y avait quelque chose dans l'air », a expliqué Alexander. Toutefois, en début de rencontre, rien ne fonctionnait pour son équipe. Pourtant, toutes les conditions étaient réunies pour que les Montréalais sortent des blocs avec la fureur de vaincre. Alexander effectuait son retour au jeu après avoir raté les deux dernières rencontres. Même chose pour le receveur Austin Mack. L'équipe revenait d'une semaine de congé. Puis, elle affrontait une équipe ayant perdu quatre de ses cinq matchs. Cependant, les champions en titre de la coupe Grey ont entamé la rencontre comme les champions qu'ils sont. Ils n'ont rien donné aux Alouettes. Et ce, dans toutes les phases du jeu. Offensivement, les Alouettes n'ont rien montré de concluant. À la fin de la première demie, Montréal n'avait inscrit aucun touché. Alexander avait récolté seulement 107 verges aériennes à la demie. Il avait également lancé une interception. Et l'équipe avait converti uniquement quatre de ses 10 jeux en situation de deuxième essai. PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE Match des Alouettes de Montreal contre les les Argonauts de Toronto au stade Percival-Molson le 17 Juillet 2025. Sur cette photo: Davis Alexander Tactiquement, difficile d'expliquer les décisions des entraîneurs. Avant la rencontre, Toronto entretenait le pire rendement de la LCF contre la course. L'équipe allouait en moyenne 124,8 verges au sol par match. Or, les Alouettes ont couru à peine six fois en première demie. Et seulement lors de la dernière séquence du deuxième quart. Dans un contexte où le jeu par la passe, qui plus est, n'avait aucun rythme. En défense, ce n'était guère mieux. « On ne jouait pas selon notre standard, a avoué Cantin-Arku. Il faut commencer les matchs en étant physique. » Chaque fois que Arbuckle complétait une passe, les couvreurs se trouvaient toujours trop loin des receveurs. Très souvent, les Torontois avaient le temps et l'espace pour capter le ballon, se retourner, faire quelques pas et tenter une feinte avant de se faire frapper. Cette manière de jouer n'avait rien à voir avec ce à quoi la meilleure défense la Ligue canadienne nous a habitués. « Il ne faut jamais abandonner. Ça reste du football. Et on n'a jamais abandonné. Dans les trois dernières minutes, c'est là que ça se joue », a rappelé Dequoy. PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE Nick Arbuckle À 25-7 en faveur des visiteurs, au troisième quart, le match semblait déjà hors de portée. Mais Spieker a ramené son équipe dans la rencontre avec un touché réalisé sur la pointe des pieds, dans la zone des buts, grâce à une passe précise d'Alexander sur 10 verges en situation de troisième essai et quatre verges. Un sac du quart de Cantin-Arku a assommé Arbuckle au début du dernier quart. Un attrapé de 38 verges de Spieker a ensuite mis les Alouettes en bonne position pour marquer. Et le demi-offensif Sean Thomas Erlington a enfilé l'aiguille sur une course de trois verges. L'écart n'était plus que de cinq points. Et la suite fait presque partie de l'histoire. « C'est certainement dans le top 3 de mes matchs avec les Alouettes, a dit en rigolant Cantin-Arku. La foule était en délire. C'était fou. C'est pour ça qu'on joue au football. » Alexander et la suite des choses Déjà fragile, Alexander a été rudoyé au quatrième quart. Il a été sonné sur une courte course. Il a même failli mettre un genou au sol. Il a retraité momentanément au vestiaire avant de revenir. PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE Alexander a terminé la soirée avec 26 passes complétées en 39 tentatives, 303 verges, un touché et une interception. Puis, sur son touché décisif, il a arrêté sa course immédiatement après avoir franchi la ligne des buts pour se prendre le derrière de la cuisse. Il a admis après le match s'être à nouveau blessé aux ischiojambiers qui l'avaient fait rater les deux dernières rencontres. Il a terminé la joute avec ses coéquipiers, mais en boitant. Devant les membres des médias, il avait du mal à tenir debout. « Ça ressemble à la première fois où je me suis blessé », a confirmé le quart-arrière, émotif. Alexander a terminé la soirée avec 26 passes complétées en 39 tentatives, 303 verges, un touché et une interception. Selon lui, il serait surprenant de le voir en uniforme contre les Stampeders de Calgary la semaine prochaine. « Je suppose que je ne jouerai pas. Mais je vais voir demain. » Malgré tout, c'était la fête dans le vestiaire de l'équipe gagnante. Même le grand Robert Charlebois était de la partie pour festoyer. Il félicitait les joueurs Québécois un par un. Après tout, qui de mieux que Garou pour célébrer cette victoire loin d'être ordinaire ? En hausse Cole Spieker PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE Cole Spieker (17) Tyson Philpot, blessé, n'a pas disputé la rencontre. Spieker a donc pris sa place dans les différents schémas offensifs. Et il a joué comme un receveur numéro un. Neuf attrapés en 13 tentatives, 129 verges et un touché. Cette remontée n'aurait jamais eu lieu sans son apport.

Tadej Pogačar met déjà le Tour à ses pieds
Tadej Pogačar met déjà le Tour à ses pieds

La Presse

time8 hours ago

  • La Presse

Tadej Pogačar met déjà le Tour à ses pieds

(Hautacam, France) « Au pic » de sa carrière, Tadej Pogačar a assommé le Tour de France dès la première étape des Pyrénées jeudi en s'imposant à Hautacam avec plus de deux minutes d'avance sur Jonas Vingegaard, pour reprendre le maillot jaune avec une marge déjà colossale. Jacques KLOPP Agence France-Presse Le Tour est-il déjà joué ? La chute la veille de Pogačar est venue rappeler que rien n'est jamais acquis dans le cyclisme. Mais il était tout de même difficile d'entretenir la flamme du suspense jeudi soir dans la fournaise de la station pyrénéenne, même si la route jusqu'à Paris est encore très longue. Vainqueur en solo après avoir attaqué pratiquement au pied de la montée finale, le champion du monde a coupé la ligne 2 min 10 s avant un Jonas Vingegaard grimaçant de douleur et il devance désormais le Danois de 3 min 31 s au général, un écart déjà vertigineux. Surtout, le Slovène a fait preuve d'une suprématie telle qu'il est difficile d'imaginer pourquoi cela changerait dans les deux jours à venir dans les Pyrénées et dans les Alpes la semaine prochaine. « Non, le Tour n'est pas fini. On a une avance confortable, mais il faut rester calme », a-t-il assuré après avoir dédié sa victoire au jeune Italien Samuele Privitera, mort la veille après une chute en course lors du Tour du Val d'Aoste. Pas de record d'ascension Mais, dans le camp Visma, on ne se faisait déjà plus trop d'illusions quant aux chances de Vingegaard de rivaliser face à une telle puissance de feu. « Pogačar a montré qu'il était le plus fort », a concédé Grischa Niermann, directeur sportif des « frelons », qui se sont désagrégés dès le pied de Hautacam après un énorme relais de Tim Wellens. PHOTO ANNE-CHRISTINE POUJOULAT, AGENCE FRANCE-PRESSE Jonas Vingegaard Simon Yates et Matteo Jorgenson ont disparu en quelques secondes, tous les plans étaient chiffonnés, et Vingegaard s'est retrouvé tout seul lorsque Jhonatan Narvaez a lancé Pogačar avec un sprint dont la violence a même surpris son leader. « Je me suis demandé : mais qu'est-ce qu'il fait ? J'ai suivi le mouvement, me suis dit qu'au pire j'allais exploser. Mais je me sentais bien », a expliqué Pogačar, pas du tout gêné par sa chute de la veille, donc. Contrairement à l'année dernière, où il avait pulvérisé le record de Marco Pantani dans la montée du Plateau de Beille, le Slovène a cette fois mis 30 secondes de plus pour escalader Hautacam que Bjarne Riis, convaincu de dopage, en 1996. Mais il a dégagé une force irrésistible pendant ses 12 kilomètres au solo pour prendre une revanche éclatante sur 2022 où Vingegaard l'avait humilié dans ces mêmes pentes. « J'étais nerveux ce matin au départ, 2022 trottait dans ma tête. Mais j'étais aussi très motivé et quand j'ai vu que les Visma lâchaient les uns après les autres, je me suis dit que ça pourrait être une grande journée pour nous », a raconté le champion du monde qui, dans la montée finale, a rapidement avalé Bruno Armirail, auteur d'une échappée magnifique sur ses terres. « Un conte de fées » « Je vis un conte de fées depuis deux ans, a développé le Slovène de 26 ans. Je roule avec le maillot arc-en-ciel sur le dos, avec une équipe incroyable, des coéquipiers merveilleux, et cela me donne la force pour aller aussi loin dans la souffrance. Quand ce feu sacré s'éteindra, je vais sans doute décliner, mais là, je me sens au pic de ma carrière. » PHOTO ANNE-CHRISTINE POUJOULAT, AGENCE FRANCE-PRESSE Tadej Pogačar Si la domination du champion du monde, en route vers un quatrième Tour de France, semble déjà anéantir tout suspense, le match pour la troisième place s'annonce en revanche passionnant. Car le podium n'est plus du tout promis à Remco Evenepoel, qui a été distancé dès le col du Soulor – au même titre que le maillot jaune Ben Healy –, et a terminé seulement septième à 3 min 35 s de Pogačar. Le Belge doit désormais compter avec l'émergence d'une jeune génération emmenée par l'épatant Florian Lipowitz. L'Allemand confirme jour après jour ses podiums à Paris-Nice (2e) et au Dauphiné (3e) et semble désormais être la carte maîtresse de Red-Bull Bora, devant Primož Roglič. Oscar Onley et Tobias Johannessen, celui qui avait fait tomber Pogačar la veille, ont aussi fait forte impression, tout comme Kévin Vauquelin qui a passé avec maestria son premier gros test en haute montagne. « Je commence à mieux appréhender la montagne », a réagi le Français qui a terminé sixième de l'étape devant Evenepoel. De quoi voir plus loin ? « On verra si je peux jouer le général, il reste encore une semaine et demie avec des cols vraiment durs, a-t-il dit. Mais je franchis plein de paliers, j'en suis très heureux. » Le classement de la 12e étape 1. Tadej Pogačar (SLO/UAD) les 180,6 km en 4 h 21 min 19 s (moyenne : 41,5 km/h) 2. Jonas Vingegaard (DEN/TVL) à 2 min 10 s 3. Florian Lipowitz (GER/RBH) à 2 min 23 s 4. Tobias Johannessen (NOR/UXT) à 3 min 00 s 5. Oscar Onley (GBR/DFP) à 3 min 00 s 6. Kévin Vauquelin (FRA/ARK) à 3 min 33 s 7. Remco Evenepoel (BEL/SOQ) à 3 min 35 s 8. Felix Gall (AUT/DAT) à 4 min 02 s 9. Primož Roglič (SLO/RBH) à 4 min 08 s 10. Cristian Rodriguez (ESP/ARK) à 7 min 26 s 40. Michael Woods (CAN/IPT) à 18 min 17 s 126. Guillaume Boivin (CAN/IPT) à 39 min 56 s

Scottie Scheffler près de la tête du classement
Scottie Scheffler près de la tête du classement

La Presse

time11 hours ago

  • La Presse

Scottie Scheffler près de la tête du classement

(Portrush) L'Omnium britannique a offert un peu de tout jeudi, allant de la pluie au soleil, d'une faible brise à de puissantes bourrasques. Et, sans surprise, Scottie Scheffler est près de la tête au classement général. Doug Ferguson Associated Press L'ancien champion de l'Omnium des États-Unis, Matt Fitzpatrick, a négocié le 16e trou, une normale-3 surnommée « Calamity Corner », en expédiant son coup d'approche directement dans la coupe pour un oiselet, et il fait partie d'un groupe de trois golfeurs qui ont entamé la ronde en matinée et qui ont remis des cartes de 67 (moins-4) au Royal Portrush. « J'ai été un peu chanceux, a admis Fitzpatrick. Parfois, ça t'aide. J'ai frappé la balle un peu plus fort que ce que j'aurais aimé, mais la ligne était parfaite. » PHOTO FRANCISCO SECO, ASSOCIATED PRESS Matt Fitzpatrick Rory McIlroy a joué en après-midi – il a commis un boguey dès le premier trou devant des gradins combles, mais a néanmoins retranché trois coups à son résultat du premier trou au même endroit en 2019 –, et il a fait partie des golfeurs qui ont tiré leur épingle du jeu à l'occasion d'une ronde qui semblait interminable en raison du rythme lent du jeu. Au cœur de tout ceci se trouvait Scheffler, le golfeur no 1 au monde qui n'a pas été exclu du top 10 dans un tournoi auquel il a participé depuis quatre mois, une séquence qui comprend un autre tournoi majeur, parmi ses trois victoires. Il s'est dit satisfait de sa ronde de 68, même s'il n'a atteint que trois des 14 allées sur son coup de départ. Cette statistique aurait affecté la plupart des golfeurs, mais pas Scheffler. « Vous êtes le deuxième qui me dit ça, a fait remarquer Scheffler. J'avais pourtant l'impression d'avoir bien fait sur le tertre de départ. J'ignore ce que vous avez vu ou pas. Quand il pleut de côté, croyez-le ou non, c'est difficile d'atteindre l'allée. » Honnêtement, je regrette un seul élan, celui sur le deuxième trou. Autrement, j'ai eu l'impression d'avoir frappé de bons coups de départ, j'ai effectué des élans très solides, donc j'ai bâti ma confiance pour les prochaines rondes. Scottie Scheffler Il y a également eu ce coup de fer-4 au 16e trou qui a abouti à trois pieds du fanion, donnant le ton à une séquence oiselet-oiselet-normale en fin de ronde. Aucun golfeur n'a toutefois pu s'échapper du groupe. Jacob Skov Olesen, le champion amateur britannique en 2024, qui est originaire du Danemark, fut le premier golfeur à se retrouver à moins-5, avant qu'il commette un boguey au 18e vert. Il a été rejoint à 67 par le Chinois Li Haotong, puis Fitzpatrick. PHOTO PAUL CHILDS, REUTERS Jacob Skov Olesen Le principal défi, pour les golfeurs, consistait à se vêtir adéquatement pour les conditions de jeu. Certains ont porté un coton ouaté, puis des vestes imperméables, et d'autres ont conclu leur journée de travail avec un coupe-vent à manches courtes. C'est ce qu'on veut dire lorsqu'on parle de conditions variables en Irlande du Nord. Le champion en titre, Xander Schauffele, a alterné entre les oiselets et les bogueys pour remettre une carte de 71. Shane Lowry, qui avait triomphé lors de la tenue du dernier Omnium britannique au Royal Portrush en 2019, semblait aussi nerveux que celui qui avait la responsabilité de s'élancer en premier sur le parcours. Il a su gérer ses émotions, ainsi que ses coups, malgré les conditions exécrables, et il a joué 70. Et ça ne pourrait être que le début. « Nous allons être exposés à des conditions de jeu difficiles lors des deux prochaines rondes, a rappelé Lowry. Aujourd'hui, par exemple, le 11e trou était probablement le plus difficile en raison des conditions de jeu… Je crois que ça va se reproduire sporadiquement pendant le tournoi, et il s'agira de foncer, tête baissée, et de voir où ça nous mènera. » Padraig Harrington, double champion du tournoi, a frappé le premier coup de départ de la 153e édition de l'Omnium britannique, avec un fer, face au vent de l'Atlantique Nord, entre deux profondes fosses de sable installées de chaque côté de l'allée. Il a enregistré l'oiselet, et a remis une carte de 74. Ça n'est que la troisième fois que le Royal Portrush accueille l'Omnium britannique. Le club de golf fondé en 1888 l'avait accueilli pour la première fois en 1951.

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