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Des centaines de chevaux défilent au Marché-Concours de Saignelégier

Des centaines de chevaux défilent au Marché-Concours de Saignelégier

24 Heures3 days ago
La traditionnelle parade équestre a donné le coup d'envoi d'un dimanche bouillonnant dans le Jura. Depuis vendredi, des milliers d'amateurs et d'éleveurs ont envahi les Franches-Montagnes.
Publié aujourd'hui à 13h48
Des éleveurs présentent leur cheval lors du 118e Marché-Concours de Saignelégier ce dimanche.
KEYSTONE/Til Buergy
La très attendue parade des chevaux a lancé la journée de dimanche au Marché-Concours de Saignelégier (JU). Quelque 400 chevaux ont défilé dimanche matin sous l'œil attentif des nombreux spectateurs.
Malgré la chaleur, les spectateurs se sont déplacés en nombre à Saignelégier, dans le canton du Jura, pour assister à la 118e édition du Marché-Concours.
KEYSTONE/Til Buergy
Depuis vendredi soir, des milliers d'amateurs de chevaux et d'éleveurs ont pris possession du chef-lieu des Franches-Montagnes .
Le Marché-Concours de Saignelégier est l'une des principales manifestations chevalines suisses, créée afin de promouvoir la race régionale, le cheval des Franches-Montagnes.
KEYSTONE/Til Buergy
Sous un soleil radieux et dans des conditions météo déjà très chaudes , la foule a encore afflué dimanche matin pour la journée la plus attendue du week-end. Un grand cortège folklorique aura lieu dans l'après-midi.
Le canton de Genève est l'invité d'honneur de cette 118e édition.
KEYSTONE/Til Buergy
Comme les chevaux, le canton de Genève, invité d'honneur pour la troisième fois, charme les visiteurs. Il propose de nombreuses spécialités du terroir: cidre, sirops artisanaux, jus de pomme, charcuterie ou encore vins locaux. Le canton-ville, très bien représenté, souhaite mettre l'accent sur son côté rural et son attachement aux traditions.
Sur le Marché-Concours de Saignelégier
ATS
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Décès de Dany Gignoux, la photographe culte des scènes de jazz en Suisse
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time4 hours ago

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Auteure de nombreux clichés des plus grandes pointures de la scène jazzy et folk en Suisse, la Genevoise laisse une trace historique. Publié aujourd'hui à 17h52 Passionnée de chambre noire et de notes bleues, Dany Gignoux, à Genève en 2011. TDG En bref: Les plus grandes légendes du jazz ont croisé un jour son regard. Traversant son objectif pour aller s'imprimer à jamais sur la surface chimique de ses pellicules. Géniale kidnappeuse de monstres de la scène, œil amoureux des concerts dont le cristallin s'est avéré largement aussi mélomane que ses oreilles, Dany Gignoux a immortalisé Miles Davis, Nina Simone, Gil Evans, Ella Fitzgerald, Michel Petrucciani, jusqu'à Claude Nougaro, Barbara ou Serge Gainsbourg. La photographe genevoise vient de nous quitter à l'âge de 81 ans, laissant derrière elle plusieurs milliers de clichés historiques des grands moments du Montreux Jazz , de Cully Jazz, de Paléo ou encore de La Bâtie. Née en 1944 dans la Cité de Calvin, cette autodidacte se prit de passion pour la photo à l'âge de 23 ans, à l'occasion de cours du soir à l'École-club Migros. Son premier appareil en main, un Pentax, argentique – une technique à laquelle elle sera fidèle toute sa carrière, même lorsque le numérique s'impose dans les années 2000 – elle croise bientôt le photoreporter suisse Max Vaterlaus, qui devient à la fois son amour et son mentor. Nina Simone dans ses œuvres, saisie par Dany Gignoux au Montreux Jazz Festival, en 1976. Dany Gignoux/Bibliothèque de Genève Réalisant notamment des piges pour «L'Illustré», elle s'impose rapidement comme une fine gâchette des reportages aux quatre coins du globe dès les années 70, s'envolant pour le Brésil, l'Éthiopie, Singapour ou l'Australie, passionnée par les histoires humaines aux dimensions fortement émotionnelles, folkloriques ou spirituelles. Photographie des moments historiques Mais c'est en écumant les salles de concert que Dany Gignoux va élaborer son propre mythe. Parallèlement à son activité de photoreporter qui la conduit dans de nombreux pays, elle se fait championne de la couverture des festivals de l'arc lémanique, en particulier, ceux qui accueillent les plus grands artistes de jazz , un univers qui la fascine. Ses clichés, la plupart en noir et blanc, aux clairs-obscurs parfois brutaux, ont ce grain buriné par la lumière qui surligne idéalement une extase, une bouche tordue, une silhouette en transe, la sueur. Le pianiste de blues Sammy Price au Montreux Jazz Festival en 1976. KEYSTONE Ralentissant ses activités au tournant du millénaire, la photographe avait réalisé ses ultimes prises de vues en 2012, avant de confier son œuvre (quelque 80'000 clichés) au centre d'iconographie de la Bibliothèque de Genève. Une exposition événement dédiée à l'artiste, «Pure Gignoux!» , y avait d'ailleurs eu lieu en 2022, scellant pour de bon la légende. Ou comment une grande dame de la photo est devenue trésor national. Sur le Montreux Jazz et Paléo Nicolas Poinsot est journaliste à la rubrique culture et société. Auparavant, cet historien de l'art de formation a écrit pendant plus de dix ans pour le magazine Femina et les cahiers sciences et culture du Matin Dimanche. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Figure du graphisme suisse, avec Werner Jeker, le noir s'affiche culturel
Figure du graphisme suisse, avec Werner Jeker, le noir s'affiche culturel

24 Heures

time5 hours ago

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Figure du graphisme suisse, avec Werner Jeker, le noir s'affiche culturel

Accueil | Culture | Arts & expos | Exposé au Musée historique de Lausanne dans un défilé de souvenirs, l'octogénaire regarde devant lui. Portrait… au bureau. Publié aujourd'hui à 17h02 Werner Jeker est arrivé de Soleure à Lausanne alors que sa vie culturelle prenait son envol. Il y a participé en donnant une signature visuelle à ses institutions. Yvain Genevay En bref: Être vu… c'est un peu toute l'histoire de Werner Jeker, une adrénaline de tous les jours dans son engagement de graphiste. Mais quand on l'écoute, il ne parle que des autres, de ceux que «le hasard» a mis sur sa route. Alors s'il devait résumer ce paradoxe sur une affiche, lui qui a marqué l'espace visuel suisse et la mémoire collective avec plus de 800 créations, peut-être travaillerait-il sur les regards? Peut-être les additionnerait-il comme autant de rencontres, de tranches de vie, de destins d'artiste dans une composition où l'imaginaire poursuivrait l'histoire qu'il a commencée? À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. On ne lui a pas demandé de confirmer l'interprétation de ce placard en vue à Lausanne. Werner Jeker n'aime pas expliquer, s'expliquer. Mais se défiler, il ne peut pas! Impossible de renier ce noir qui marque son territoire autant qu'une profondeur saisissante, ni ce coup de ciseaux qui crée et scelle une atmosphère presque cinématographique, c'est «Signé Jeker». Une patte. Une trempe. Et surtout pas un style qui rabâche! La preuve est au Musée historique de Lausanne, qui a donc confié au graphiste l'affiche de sa propre exposition. «Je crois qu'ils ont fait une exception», lance-t-il en riant. C'est son échappatoire, toujours choisie avec tact, toujours au bon moment pour ne pas avoir à en rajouter et passer du côté des bavards. «Il y a trop d'artistes qui parlent, qui parlent, alors qu'on aimerait juste écouter leur musique ou voir leur travail», pointe l'octogénaire. «Signé Jeker» se compose de plusieurs sections, rassemblant à chaque fois les affiches réalisées pour une institution. Ici, le Musée de l'Élysée. MHL - ©Nicolas Brodard Alors forcément, ses affiches, son exposition, lui ressemblent. Dans cette économie de textes explicatifs, dans cette priorité laissée à l'image, à son allure graphique, à son caractère. «Les Biennales de tapisserie, les arts décoratifs, le Musée de la photo, Vidy, l'Art Brut, la Cinémathèque… au départ de chaque truc, j'étais là. Et toujours par le fait du hasard des rencontres, insiste Werner Jeker. Je ne connaissais pas le milieu lorsque je suis arrivé. Vous savez, s'amuse-t-il, sachant que son accent le trahit encore et toujours, je viens d'un petit village du canton de Soleure. C'était la fin des années 60, la Ville cherchait à draguer de nouvelles entreprises. La culture faisait partie de l'offre. C'était une époque! En tout cas, rigole-t-il, ce n'était pas ennuyant.» À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. De Lausanne à New York Les souvenirs charriés par ses affiches, le graphiste les sait ancrés dans une mémoire collective comme dans les annales culturelles. Mais aussi dans un temps expérimental. «C'est Rosmarie Lippuner, directrice du Musée des arts décoratifs, qui, je crois, avait eu l'idée de concentrer les affiches culturelles aux entrées et sorties de ville pour créer de la visibilité. Moi, je devais trouver une signature visuelle pour chaque institution afin que les gens s'y rendent à l'aveugle, convaincus de l'intérêt de ce qui est proposé. C'est un métier où l'on rentre vraiment dans la culture des gens.» Priorité à l'image dans cette exposition qui reprend, dans son abondance, les conditions d'existence d'une affiche. MHL - © Nicolas Brodard L'essor lausannois a ensuite amené Werner Jeker dans les rues de Bâle, de Zurich. Puis de Paris. De New York pour une expo du photographe René Burri. En 1995, vainqueur du concours, il aurait pu être dans tous les porte-monnaie suisses avec son billet de 50 francs, si une manœuvre n'en avait pas décidé autrement. Mais national, il l'est, concevant et réalisant «SignalDouleur» pour Expo 02 à Yverdon. On le retrouve aussi derrière l'identité visuelle de la Ville de Genève et chez des clients comme La Saline Royale d'Arc-et-Senans, l'éditeur londonien Phaidon ou encore de l'agence de photos Magnum. Une carrière. Mais pas de nostalgie! «Si ça m'arrivait, souffle-t-il, j'aimerais ne plus être là». Il y a de la marge. Dans les espaces des Ateliers du Nord, cofondés à Lausanne en 1983 avec Antoine Cahen et Claude Frossard, il court. La main pas loin du téléphone. «J'attends un appel», prévient-il avec, devant lui, des essais autour de l'événement « Félix Vallotton» , à venir dès le 24 octobre au Musée cantonal des beaux-arts. «C'est l'un des premiers artistes que j'ai remarqués quand j'étais jeune, à cause de ses gravures». Werner Jeker fait silence, le temps d'intérioriser cette admiration. Werner Jeker… «trop gentil» Lui, c'était le dessin. Tout le temps. Et sa littérature, Mickey Mouse. La BD. Un jour, son père l'embarque avec ses feuilles et, sur le conseil d'un proche, le présente aux Beaux-Arts à Lucerne: l'admission est immédiate. Il a 16 ans. Le déclic est fait! Sa trajectoire en orbite, même si pour des questions de coûts, il est redirigé vers un apprentissage. L'illustration devient alors son métier jusqu'à ce que son propre couperet tombe. Au premier plan de cette vue de «Signé Jeker» au Musée historique de Lausanne, l'affiche qu'il a imaginée pour cette exposition. © Nicolas Brodard «Je me trouvais un trait trop gentil! Et c'était pire encore quand je suis arrivé à Lausanne et que je me suis trouvé mêlé aux artistes émergents, ces pionniers de l'art vidéo dont Jean Otth et ceux du groupe Impact. Alors l'image est un peu venue à mon secours quand j'ai été appelé à la direction artistique de «L'Illustré» et à la mise en œuvre de ses seize pages de photographies, ça m'a libéré du dessin. Et j'ai commencé à travailler la photo comme une matière. À couper, à éclater, à coller, à remettre en jeu, à manipuler. Ce qui est une forme de violence.» Elle est décisive, pas coup de poing, Werner Jeker n'est pas pour. Dans la rue, dans la masse, la différence, le graphiste la fait sur une subtilité, rendant curieux d'une histoire qu'il semble livrer alors même qu'il la retient dans le… noir. En 1999, il signe l'affiche de l'expo des Arts décoratifs sur le noir dans le design, la mode, le graphisme, avec une aubergine noire. La même année, il décline l'identité de Weimar, capitale culturelle de l'Europe, dans une rythmique abstraite de noirs et de gris. Il n'y a pas d'interdit! «La question ne s'est jamais posée, assure Werner Jeker. Par contre, à chaque projet que je lance, je pense très fort à des gens que j'estime beaucoup et au fait que je n'aimerais pas avoir honte s'ils tombaient par hasard sur une de mes affiches ou un de mes livres. C'est qu'avec le temps qui passe, on n'a plus l'innocence des débuts et il faut gérer ça, tous ces bagages invisibles...» Werner Jeker stoppe net. Rigole. «J'arrête, je deviens philosophe, il est temps d'aller manger.» Lausanne, Musée historique, jusqu'au 28 sept, du ma au di (11 h-18 h). Suisse: d'autres expositions Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Florence Millioud a rejoint la rubrique culturelle en 2011 par passion pour les gens de culture, après avoir couvert dès 1994 la politique et l'économie locales. Historienne de l'art, elle collabore à la rédaction de catalogues d'exposition et d'ouvrages monographiques sur des artistes. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Cinéma: après sa série choc, Bron repasse par la case documentaire
Cinéma: après sa série choc, Bron repasse par la case documentaire

24 Heures

time5 hours ago

  • 24 Heures

Cinéma: après sa série choc, Bron repasse par la case documentaire

Festival de Locarno – Après sa série choc, Bron repasse par la case documentaire Après «The Deal», projetée sur la Piazza Grande, le cinéaste vaudois présente un documentaire sur la construction d'un cinéma, «Le chantier». Pascal Gavillet Au cœur de la microsociété qui œuvre à la reconstruction d'un cinéma. ©Les Films Pelléas Abonnez-vous dès maintenant et profitez de la fonction de lecture audio. S'abonnerSe connecter BotTalk En bref : Le réalisateur vaudois Jean-Stéphane Bron présente son documentaire sur la reconstruction d'une salle Pathé. Le film suit attentivement la microsociété unique qui s'organise autour du chantier. La famille Seydoux contribue à sauvegarder ce cinéma historique parisien. Le documentaire explore la cohabitation entre architectes et ouvriers sur le projet. Un Bron peut souvent en cacher un autre. En plus des premiers épisodes de sa série «The Deal», thriller diplomatique et fiction autour des négociations sur le nucléaire iranien montré à Locarno sur la Piazza Grande, le cinéaste vaudois est également au Tessin pour présenter son nouveau documentaire, «Le chantier». Proche du film d'immersion, celui-ci se propose de suivre la reconstruction d'une salle de cinéma Pathé légendaire, à Paris, sous la direction du célèbre architecte Renzo Piano. Au cœur de Paris, la renaissance d'une salle de légende. ©Les Films Pelléas Sa démarche est comparable avec celle d'un Frederick Wiseman, qui lui s'immerge entièrement dans un biotope donné (un tribunal, un centre médical ou la Comédie française), sans voix off ni jugement. Pour Jean-Stéphane Bron, c'est la microsociété qui s'agite autour du projet qui l'intéresse au premier chef. Il s'agit bien de plonger au cœur de ce chantier, de le filmer aussi bien du point de vue des instances décisionnaires, architectes ou chefs de chantier, que de celui des petites mains, ouvriers ou employés du cinéma. Une reconstruction à Paris Bron filme mais ne juge pas. Il conserve même sa distance de cinéaste pour témoigner d'un projet tourné vers un avenir dont on ignore à peu près tout, puisqu'on ne sait pas ce qu'il adviendra du cinéma ni de ses modes de consommation dans le siècle en cours. «Le chantier» suit avec une certaine componction et une apparente liberté les étapes de la renaissance d'un Pathé probablement sauvé de la mort par la famille Seydoux. Le plus intéressant du film, ce sont tous ces apartés qui se constituent autour de la dynastie ouvrière, qui semble fonctionner comme un monde à l'intérieur d'un autre. Car le microcosme dont il est question est illusoire. La restauration d'un cinéma, ce n'est pas l'opposition de plusieurs mondes, les cabinets d'architecture d'un côté, les ouvriers, maçons et autres exécutants de l'autre. À l'instar d'un tournage de film, l'érection d'un bâtiment, quel qu'il soit, sous-entend une cohabitation entre plusieurs instances qui ne se complètent pas forcément. C'est sans doute ce qui a intéressé Bron ici, et même si on le sent rester prudemment dans sa zone de confort (davantage que lorsqu'il filme Blocher), il parvient à conserver cette image intacte de documentariste qui sait faire des pas de côté vers la fiction. Jean-Stéphane Bron au travail. ©David Koskas Car avec «The Deal», qui a été présentée l'avant-veille à Locarno, il quittait en revanche totalement sa zone de confort et prenait même des risques de s'acquitter d'une fiction qu'il s'agissait aussi de conformer aux desiderata non avoués de sa production (en l'occurrence la RTS). Sauter d'un projet à l'autre, passer de la multinationale à l'entreprise de quartier (on schématise), requiert une ou des aptitudes que tous les cinéastes romands n'ont pas. Locarno 2025 a permis à Jean-Stéphane Bron de prouver cette dualité, de s'imposer comme un cinéaste tout-terrain (terme qu'il désapprouverait sans doute, et on le comprend) capable de triompher de projets de tailles diverses. Pour faire bref, «Le chantier» ne nous fait pas découvrir un Bron nouveau. Mais sa cohabitation avec la série «The Deal» s'en charge en revanche entièrement. Pascal Gavillet est journaliste à la rubrique culturelle depuis 1992. Il s'occupe principalement de cinéma, mais il lui arrive aussi d'écrire sur d'autres domaines. En particulier les sciences. A ce titre, il est également mathématicien. Plus d'infos @PascalGavillet Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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