
Florian Lipowitz, 3e du général après la dernière étape de montagne : « Tout ce soutien, ça me donne la chair de poule »
Florian Lipowitz (4e de l'étape et 3e du général à la sortie des Alpes) : « Je savais après l'étape d'hier (jeudi) qu'Oscar (Onley, 4e du général) était super fort. J'avais pour objectif de garder sa roue aujourd'hui. Dans la dernière ascension, j'ai beaucoup cogité car vous ne savez jamais vraiment comment les jambes vont réagir, mais je me suis senti bien à l'approche du sommet. Quand j'ai vu Oscar lâcher derrière moi, j'ai tout donné. Je suis super heureux de mon résultat.
C'est incroyable ce qu'il se passe cet été pour moi. Je m'attends encore à une journée très difficile demain (samedi), avec beaucoup de montées et de descentes, tout le monde va vouloir aller dans l'échappée. Il va falloir rester concentré jusqu'au bout. Je n'ai jamais vu autant de gens m'encourager au bord de la route, c'est complètement dingue. Tout ce soutien, ça me donne la chair de poule sur mon vélo. »

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PSG-Tottenham : première titularisation pour Chevalier, Doué au milieu... Les compos pour la Supercoupe d'Europe
Les deux coachs ont dévoilé leur onze de départ pour la Supercoupe d'Europe ce mercredi (21h), à Udine. Lucas Chevalier, première ! Sans surprise, le nouveau portier parisien est titularisé par Luis Enrique pour affronter Tottenham ce mercredi (21h, en direct commenté), à Udine, en Supercoupe d'Europe. Et ce quelques jours seulement après la signature du natif de Calais en provenance de Lille, pour 55 millions d'euros bonus compris. Rappelons que l'autre nouvelle recrue parisienne, le défenseur Illya Zabarnyi, n'est pas convoquée pour cette rencontre qui intervient une semaine pile après la reprise de l'entraînement et un mois après le dernier match des Parisiens en 2024-25. Pour le reste, Luis Enrique a logiquement choisi Warren Zaïre-Emery afin de pallier la suspension de João Neves. Il est en revanche plus surprenant de constater que c'est Désiré Doué qui complétera le trio du milieu du terrain, avec un trio «Kvara»/Dembélé/Barcola sur le front de l'attaque parisienne. Publicité Odobert et Tel sur le banc Du côté des Spurs, Thomas Frank aligne plusieurs recrues estivales, comme l'ailier ghanéen Mohammed Kudus ou le milieu portugais Palhinha, mais aussi le défenseur autrichien Kevin Danso, un visage bien connu en France après ses années lensoises. Ce dernier est associé à celui qui a hérité du brassard de capitaine après le départ de la légende sud-coréenne Heung-min Son à Los Angeles, à savoir Cristian Romero. Les Français Wilson Odobert et Mathys Tel débuteront sur le banc pour les tenants de la Ligue Europa.


Le Parisien
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« Si je peux faire une bonne action... » : ils ont choisi de s'abonner à Ligue 1+ après avoir boycotté DAZN
Le début du championnat vendredi sera le théâtre d'un petit événement très attendu : le lancement de la nouvelle chaîne Ligue 1 +. Après l'échec de DAZN la saison passée, les nombreuses désertions et le désintérêt croissant du public, Ligue 1 + a face à lui un énorme défi pour attirer le nombre d'abonnés ambitionné par la Ligue, à savoir un million de personnes d'ici la fin de la première saison. Lancée lundi, la campagne d'abonnement est pour le moment « très encourageante » selon Nicolas de Tavernost, le patron de LFP Media, invité mercredi matin sur RTL. « C'est un démarrage très important et nous sommes très satisfaits de succès de l'opération », poursuit-il. Profitant d'une première vague de publicité plutôt réussie, elle a aussi réussi à convaincre certains de franchir le pas grâce à ses différentes offres proposées (aux environs de 14 euros en moyenne) à des tarifs jugés adéquats pour regarder huit matchs de L1 par journée - le dernier étant sur BeIN Sports. Parmi eux, beaucoup avaient choisi l'an passé de boycotter DAZN et son offre de lancement à 29,99 euros. C'est le cas Baptiste et Emeric, qui viennent tous deux de s'abonner. L'année passée, ils regardaient le championnat de manière illégale. Un choix motivé par des tarifs jugés excessifs et un manque de qualité de la retransmission de DAZN. Et ils n'étaient pas les seuls puisque, selon un sondage de l'institut Odoxa publié le 31 août 2024, 5 % des Français, soit 2,5 millions, regardaient du football en streaming illégal. À voir aussi « Mon frein au début, c'était le prix, explique le premier. Puis il y a eu des offres moins chères dans l'année mais j'avais déjà l'IPTV (une plateforme pirate de diffusion accessible à environ 50 € à l'année) pour un an donc ça ne servait à rien. Et puis j'ai vu aussi que ce n'était pas très qualitatif ». Il n'a pas choisi l'illégalité de gaieté de cœur : « Je ne suis pas fier de ce que j'ai fait l'année dernière mais vraiment ce n'était pas possible le rapport qualité/prix. » « Ce n'était pas très qualitatif » Émeric, quant à lui, « cherchait des liens sur X et allait sur Telegram ». Mais c'était constamment le parcours du combattant : « On est souvent en retard par rapport au direct et c'est compliqué de trouver des bons liens. Il y avait une forme de stress, je devais chercher trente minutes avant pour ne pas louper le début de la rencontre. » Il a donc choisi de se simplifier la vie, quitte à payer, avec une retransmission fiable et de meilleure qualité. Lucas, supporter marseillais de 22 ans, a également été attiré par « les contenus et le casting alléchant ». Il met notamment en avant « une prise d'antenne une heure à l'avance, les magazines du dimanche soir et les têtes d'affiche ». Parmi les stars de la plateforme, on retrouve le champion du monde 2018 Adil Rami, ultra-populaire depuis qu'il s'est lancé sur Twitch ou encore Souleymane Diawara. « Je suis prêt à mettre un prix correct » Parmi les néo-abonnés que nous avons interrogés, la plupart invoque, naturellement, des raisons financières. Comme pour Thomas, 22 ans, qui a choisi l'offre de lancement via DAZN à 9,99 euros les trois premiers mois : « Même s'il n'y avait pas eu cette offre j'aurais quand même prix l'abonnement à 14,99 euros qui reste encore très accessible. » D'autant plus que le jeune supporter du SCO d'Angers a l'opportunité de partager son compte avec son père ou son frère. Il a choisi une offre qui propose le visionnage sur deux écrans en simultané. Mais ce n'est pas la seule raison. Lucas, supporter marseillais, a également été attiré par « les contenus et le casting alléchant ». Il met notamment en avant « une prise d'antenne une heure à l'avance, les magazines du dimanche soir et les têtes d'affiche ». Parmi les stars de la plateforme, on retrouve le champion du monde 2018 Adil Rami, ultra-populaire depuis qu'il s'est lancé sur Twitch ou encore Souleymane Diawara. Un autre élément entre également en ligne de compte : la volonté de contribuer au modèle économique du championnat français. « Je supporte un club qui a échappé à la mort, s'amuse Baptiste, le supporter de l'OL. Ce n'est pas 10 ou 15 euros par mois qui vont aider mais si je peux faire une bonne action et aider mon club pourquoi pas. » Lucas, 22 ans, est également dans ce cas de figure. Il utilisait un IPTV avec son père depuis plusieurs années. La crise des droits TV de la Ligue 1 lui a fait prendre conscience de l'urgence : « Quand j'ai appris la santé économique du championnat l'année dernière j'ai souscrit pour soutenir les droits TV dont dépendent les petits clubs. C'est important pour la compétitivité du championnat. »


Le Parisien
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« On a laissé le temps à Ajaccio de rouler tout le monde dans la farine » : la colère du FC 93 Bobigny
Comme prévu, l'AC Ajaccio a été incapable de présenter un budget pour le National et a été logiquement exclu des championnats nationaux par la DNCG. Le club corse qui compte près de 15 millions de dettes, a cherché à gagner du temps ces dernières semaines, en étirant jusqu'au bout les procédures, alors qu'il n'avait pas nouveaux éléments financiers à présenter. Pire, ses dirigeants auraient menti avec un virement de 2,5 millions d'euros qui n'est jamais arrivé, et présenté des faux documents à l'en-tête d'une banque avec un mauvais logo… Le paradoxe dans cette histoire qui n'en finit plus de traîner, c'est que l'AC Ajaccio a encore la possibilité de faire appel. Mais le National devrait se jouer à 17 équipes. La FFF se réfugie derrière son règlement, qui indique qu'aucun repêchage ne peut avoir lieu après le 17 juillet, date de publication des groupes. Une situation très mal vécue du côté du FC 93 Bobigny, meilleur 2e des trois groupes de National 2, et qui était donc le premier repêchable. Le président Mamadou Niakaté se bat depuis plusieurs semaines pour faire intégrer son club au National. « On a laissé le temps à l'AC Ajaccio de rouler tout le monde dans la farine depuis des mois en les laissant repousser jusqu'au bout les délais alors que tout prouve qu'ils ne sont pas de bons gestionnaires et on n'écoute pas un club comme nous qui a sa place sportivement et financièrement en National ? », s'agace le président du FC 93 Bobigny qui a saisi le tribunal administratif pour faire valoir ses droits. « Pour pouvoir faire un référé-suspension, il fallait avoir une décision, elle est tombée, donc on va pouvoir aller sur le terrain juridique », explique-t-il. À voir aussi Le FC 93 Bobigny avait aussi menacé de boycotter le championnat de National 2. Il est quasiment acquis qu'il ne jouera pas contre Toulon ce samedi lors de la 1ère journée. « J'ai eu un membre du Comex de la FFF, il m'a dit d'envoyer un mail pour demander le report, poursuit Mamadou Niakaté. À un moment, c'est à la Fédération de prendre ses responsabilités. Quand on est élu, il faut être capable de prendre ses responsabilités dans l'intérêt du football. Ce n'est pas de notre faute si cela a pris du temps pour l'AC Ajaccio. Ils n'ont pas les moyens d'être en National alors que le FC 93 il y a toute sa place. Quand les règlements ne sont pas bons, il faut les changer. Les règlements ne sont pas adaptés à une logique sportive. Ce qui se passe avec nous est déjà arrivé l'an dernier avec le GOAL FC. Comment on a pu en arriver là sans rien changer ? » Le président du FC 93 Bobigny ne veut pas lâcher le combat. « On a des clubs derrière nous, la Ligue de Paris, le district de 93, des politiques, beaucoup de gens nous soutiennent. Je ne veux pas abandonner. Je crois encore à la justice et à l'intérêt du football… »