Cyclisme - Tour de France : Tour de France 2025 : d'où vient le maillot à pois ?
À voir sur L'Équipe
La carte du Tour de France 2025 en un coup d'oeil
Thomas et Vercher sur le podium après s'être télescopé pour le maillot à pois
Le classement après la première étape remportée par Philipsen
Une première étape folle remportée par Philipsen
Quand un jeune de 14 ans s'incruste à l'entraînement de Cofidis
Evenepoel : «De bons feelings»
5 paris osés de nos journalistes pour le Tour de France 2025
Trois côtes féroces qui vont secouer le peloton dans la première semaine du Tour
Le parcours du Tour de France 2025
Girmay : «Porter le maillot jaune, c'est mon rêve»
Roglic : « J'ai juste envie d'arriver à Paris et de boire une coupe de champagne »
Philipsen : « Le maillot jaune samedi est un objectif »
Tour de France : Pogacar est-il imbattable ?
Van der Poel : « C'est une erreur d'agrandir le peloton »
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Le Parisien
19 minutes ago
- Le Parisien
« Un mélange de talent et de chance » : quand Patrick, super-mécano belge, « sauve » Pogacar après sa chute
Patrick Dils est à 100 m de Tadej Pogacar quand celui-ci chute à Toulouse, à 6 km de l'arrivée jeudi lors de la 11e étape du Tour de France . Ce technicien belge de 59 ans, au service de Shimano, entreprise japonaise spécialisée dans la fabrication de pièces pour cycles, se trouve à l'arrière d'une moto d'assistance. La Kawasaki, pilotée par son compatriote Raf Wouters, roule à 60 km/h. « Avant même d'avoir l'information par Radio Tour grâce aux oreillettes, je vois Pogacar faire le crash . Je dis au pilote : Stop ! Stop ! », raconte le Flamand domicilié près de Louvain, « ville connue pour sa bière Stella Artois ». Soudain, sous les yeux de centaines de millions de téléspectateurs, il déboule dans sa combinaison bleue assortie à son casque qui lui donne à la fois un air de Power Rangers et de Super Mario. « Pogacar essaie de remettre sa chaîne mais ça ne marche pas, il devait être choqué par sa chute », poursuit-il. En deux temps trois mouvements, le pro des pédaliers parvient à raccrocher les maillons sur le plateau. Personne n'aurait fait aussi vite, quelques secondes à peine ! « On est entraînés pour ça, c'est notre métier. Je savais que je devais rester calme même s'il y avait un peu d'adrénaline. Le self-control, c'est nécessaire. Si on devient nerveux, ça ne fonctionne pas », explique-t-il ce jeudi midi au stand Shimano du Village Départ à Auch (Gers). Le secret pour être plus rapide que l'éclair ? « Un mélange de talent et de chance. Si le cadre avait été cassé, là, c'était fini ! », dévoile Raf, 51 ans, son complice au guidon de la moto. Une fois la bicyclette réparée, Patrick aide le Slovène à repartir, à lui redonner de l'élan. « Je pousse, je pousse et là il me dit : Thank You ! » A ses yeux, le triple vainqueur de la Grande Boucle n'a eu aucun traitement de faveur. « J'aurais aidé le dernier exactement de la même façon », assure-t-il. Reconnaissant, le champion ultra-favori de ce Tour a remercié sur X le duo ultra-efficace. « Merci les gars, j'étais un peu perdu et je ne savais plus remettre une chaîne », a-t-il écrit. Les deux anges gardiens des coureurs en galère n'en tirent aucune gloire. « Là, c'est réussi. Mais si ça n'avait pas été le cas… », avance Raf. « Aujourd'hui héros, demain zéros », se marre son compère. Ces hommes de l'ombre apprécient tout de même que leur rôle soit mis en lumière. « On fait plein de choses qu'on ne voit pas à la télévision », rappelle Patrick. La bécane transporte six roues – trois arrière et trois avant - mais aussi des bidons d'eau. « On en a distribué 22 lors de l'étape de mercredi », avance-t-il. Dans la course, trois voitures et deux motos d'assistance sous bannière neutre Shimano sont à l'affût pour filer un coup de main à tous les coureurs. Le bon samaritain d'outre-Quiévrain, en action aussi lors des Classiques ou les Championnats du monde, est « volontaire » et non rémunéré dans cette aventure. « Je fais ça pour le plaisir, c'est ma passion », s'enthousiasme celui qui, hors Tour de France, est technicien chez un fabricant de vélos électriques.


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19 minutes ago
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Lille veut prolonger Benjamin André, sollicité par le Paris FC
Habité par une envie de départ au Paris FC, le milieu et capitaine de Lille s'est vu proposer dans le Nord un contrat courant jusqu'en 2028. Le LOSC ne veut pas perdre Benjamin André cet été et il le lui démontre : Olivier Létang, le président du club nordiste, a récemment soumis à son capitaine une prolongation de contrat de deux ans, ce qui lierait le milieu de terrain de 34 ans (il aura 35 le 3 août) jusqu'en juin 2028 s'il l'acceptait. Cette offre sera-t-elle de nature à convaincre André de rester à Lille ? Pour l'heure, il demeure toujours habité par l'envie de rejoindre le Paris FC, fraîchement promu en L1, qui lui a également soumis un contrat de trois ans à des conditions salariales équivalentes (autour de 225 000 € brut mensuels). L'ancien Rennais n'a pas participé au dernier match amical du LOSC (contre Amiens, 5-0, le 12 juillet) et il n'est pas évident qu'il joue, ce vendredi, à Côme. Mais la direction lilloise, consciente qu'un départ de son milieu serait dommageable en termes d'expérience, espère toujours trouver les arguments pour le retenir.


Le Parisien
19 minutes ago
- Le Parisien
Euro 2025: incertitude pour Kadidiatou Diani touchée au talon à deux jours du quart de finale
L'attaquante de l'équipe de France Kadidiatou Diani , touchée au talon droit mercredi à l'entraînement, ne s'est pas entraînée jeudi, à deux jours du quart de finale de l'Euro contre l'Allemagne. Jeudi matin, la joueuse de l'OL s'est échauffée quelques minutes avec l'ensemble du groupe mais n'a pas participé au reste de la séance collective, selon une source proche de l'équipe. La milieu Sandie Toletti, touchée aux tendons d'Achille dimanche lors du match contre les Pays-Bas, ne s'est pas entraînée avec le groupe depuis lundi mais a reçu des soins et effectué des exercices en salle, avant de courir plusieurs minutes sur le terrain. « Ca va mieux, j'ai repris le footing mais je continue à avoir quelques douleurs aux tendons d'Achille, on travaille beaucoup en salle, je reste active et je ne perds pas physiquement, on verra jour après jour », a déclaré jeudi la vice-capitaine. Sera-t-elle apte samedi soir ? « A voir déjà demain si je peux reprendre avec le groupe », a répondu la joueuse du Real Madrid. Victime d'une béquille à une cuisse dimanche soir, Pauline Peyraud-Magnin s'est entraînée à part avec l'entraîneur des gardiennes Lionel Letizi.