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Alexis Lebrun se qualifie pour les 8es de finale du Grand Smash des États-Unis

Alexis Lebrun se qualifie pour les 8es de finale du Grand Smash des États-Unis

L'Équipe2 days ago
Pas de difficulté pour Alexis Lebrun ce mercredi à Las Vegas, vainqueur du Japonais Yukiya Uda 3-0 en 16es de finale du Grand Smash des États-Unis.
Il y aura un quatrième représentant tricolore en 8es de finale du Grand Smash des États-Unis, à Las Vegas. Alexis Lebrun a rejoint son cadet Félix, Lilian Bardet et Jianan Yuan grâce à sa victoire 3-0 face au Japonais Yukiya Uda, 41e mondial (11-7, 11-9, 11-5).
Une victoire expéditive (25', y compris la pause médicale de 5'entre les 2e et 3e sets, pour un saignement de nez du Français) qui s'est essentiellement jouée en service-remise, avec une première manche totalement dominée par le champion d'Europe et n°11 mondial, qui sera sanctionné deux fois pour un service non conforme (angle du lancer supérieur à 30°), en fin de premier set et au début du troisième. Le gaucher japonais a pourtant réagi dans le deuxième, se montrant plus agressif en coup droit. Sans pour autant gêner l'aîné des Lebrun, demi-finaliste du Grand smash de Singapour en février, qui s'imposait sur sa deuxième balle de match.
Alexis Lebrun affrontera en 8es de finale le vainqueur de la rencontre entre le Suédois Truls Moregard, vice-champion olympique et médaillé de bronze mondial, et le Japonais Yuta Tanaka. Avant cela, il entrera en lice en double avec son frère dans la nuit de mercredi à jeudi (3h en France), face aux Polonais Milosz Redzimski et Samuel Kulczycki. Prithika Pavade disputera entretemps son 16e de finale (23h50, heure française, en direct sur la chaîne Youtube de la WTT).
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« L'expérience pourra jouer, mais ça ne fait pas tout »  : Marion Bartoli donne les clés de la finale de Wimbledon entre Iga Swiatek et Amanda Anisimova
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Marion Bartoli, sacrée à Wimbledon en 2013, donne les clefs de la finale entre Iga Swiatek et Amanda Anisimova, samedi. Si l'expérience en finale de Grand Chelem plaide pour la Polonaise aux cinq titres majeurs, l'impression laissée par l'Américaine sur sa demi-finale contre Sabalenka rebat les cartes. Leur parcours jusqu'en finale : « On ne peut pas être en finale de Wimbledon sans jouer de l'excellent tennis » « Ce qu'a fait Amanda Anisimova jusqu'ici, c'est très fort. Battre Aryna Sabalenka sur le Centre Court (6-4, 4-6, 6-4 jeudi), sans être favorite en arrivant sur cette demi-finale, c'était impressionnant. Avec tout ce qui lui est arrivé en dehors du terrain, d'être capable de produire un tennis pareil, j'ai trouvé ça vraiment phénoménal. Quand elle se fait débreaker en servant pour le match à 5-3 dans le troisième set, on pensait que ça allait être très dur dans la tête, mais elle n'a pas craqué, en retournant extrêmement bien, en étant hyper agressive, en frappant tellement bien la balle et en étant capable de mettre énormément de pression. Vraiment impressionnante. Swiatek est arrivée sur gazon après une tournée sur terre battue qui, dans ses standards personnels, n'était pas bonne. Et puis elle a fait cette finale à Bad Homburg (défaite 6-4, 7-5 contre Jessica Pegula), et elle arrive sur un gazon qui est différent, qui est beaucoup plus ralenti, où finalement la balle s'arrête et monte beaucoup plus, un peu comme sur terre battue, où elle a le temps de rentrer dans son coup droit. Et quand elle rentre dans son coup droit, on l'a vu sur la demi-finale contre Belinda Bencic (6-2, 6-0), elle ne laisse pas beaucoup de chance à ses adversaires. Donc franchement, les deux m'ont impressionnée. Après, on ne peut pas être en finale de Wimbledon sans jouer de l'excellent tennis. » L'expérience : « Au final, c'est le niveau de jeu qui fait la différence » « Ce sera la première finale de Wimbledon pour les deux, mais la première en Grand Chelem tout court pour Anisimova, alors que Swiatek a gagné ses cinq premières finales. Avant, on avait tendance à dire que l'expérience en finale jouait beaucoup, mais il y a eu tellement de contre-exemples récemment que maintenant je me méfie un peu plus. À l'US Open, Naomi Osaka (2018) et Bianca Andreescu (2019) ont gagné leur première finale en Grand Chelem contre Serena Williams. L'expérience, oui, bien sûr, pourra jouer. Mais ça ne fait pas tout. À un moment donné, c'est quand même le niveau de jeu qui fait la différence. » L'opposition de style : « Qui va être capable de résister au revers de l'autre ? » « Si Anisimova arrive avec la qualité de jeu qu'elle a été capable de produire pendant tout le tournoi et prend le jeu à son compte, elle peut le faire. Elle est extrêmement dangereuse sur une surface comme le gazon où la balle, quand on joue à plat, prend de la vitesse. Elle joue plus vite, frappe plus fort, sert plus fort. Mais pour ça, il faut vraiment qu'elle prenne le jeu à son compte, parce qu'elle a un très gros revers, mais c'est le coup fort des deux joueuses. Donc ça va être coup fort contre coup fort, qui est la plus forte ? Et ça, ça va être très intéressant. Selon moi, ça va être l'une des clés du match. Elles vont forcément s'engager dans la diagonale de revers à un moment donné. Qui va être capable de résister, de partir long ligne, ou de rester dans la diagonale à attendre la faute de l'autre ? Ce schéma tactique va beaucoup m'intéresser. « Swiatek a été en démonstration au service depuis le début du tournoi » Si Swiatek dirige le jeu, Anisimova n'a pas les qualités de déplacement pour résister à ses attaques. Donc ça va vraiment se jouer dans les départs de points, ça va être à celle qui sert le mieux et à celle qui retourne le mieux. L'autre clef, c'est le service de Swiatek. Elle a beaucoup augmenté sa vitesse de première balle, elle sert très régulièrement au-dessus de 185 km/h, ce qui n'était pas forcément le cas auparavant. Il y a eu tout ce travail effectué autour du service avec son coach Wim Fissette depuis le début de l'année. Il y a eu des moments où ça a été chaotique, où c'était difficile pour elle, avec beaucoup de doubles fautes, elle avait perdu le rythme et la confiance. Mais elle s'est accrochée à ce projet-là et aujourd'hui elle récolte les fruits de tout ça. Elle a été capable d'améliorer énormément sa vitesse de service. Et sur gazon, ça fait une très grande différence quand vous êtes capable très régulièrement de servir entre 190 km/h avec des pourcentages très élevés de première balle de service. Ça ne laisse pas beaucoup d'occasions aux filles en face pour breaker. Et ça a été vraiment une démonstration dans ce compartiment-là du jeu depuis le début du tournoi. Il y a eu ce set perdu contre Caty McNally au deuxième tour (5-7, 6-2, 6-1) mais depuis ça, elle a été vraiment en contrôle. » À lire aussi Swiatek et le gazon, un mariage de raison Comment joue Amanda Anisimova ? Sinner-Alcaraz, le Big 2 investit le Temple Comme Anisimova, ils ont perdu leur père et ils racontent leur deuil

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La première impression est toujours la bonne et celle laissée par le PSG dès son entrée dans la compétition, le 15 juin, lors de sa large victoire contre l'Atlético de Madrid (4-0) , a tout bonnement donné le ton d'un séjour américain frappé du sceau de la domination physique des hommes de Luis Enrique. Au bout d'une interminable saison où ils auront disputé tous les matchs possibles (64 rencontres disputées toutes compétitions confondues), les Parisiens ont affiché pendant la majorité du Mondial des clubs des dispositions athlétiques bluffantes qui leur permettent de disputer une nouvelle finale, la troisième en un mois et demi, ce dimanche (21 heures) face à Chelsea.

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