
Easyjet ajoute trois nouvelles destinations à son offre depuis la Suisse
Depuis Genève, une connexion avec Rennes sera disponible dès le 31 octobre, avec deux vols hebdomadaires, les lundis et les vendredis.
Getty Images
Easyjet élargit son réseau depuis la Suisse avec trois nouvelles liaisons au départ de Genève , de Bâle et de Zurich pour la saison hivernale 2025. La compagnie aérienne proposera ainsi dès octobre près de 180 liaisons directes au départ et à destination de la Suisse.
À partir du 26 octobre, les voyageurs en partance de Zurich pourront se rendre à Pristina, au Kosovo, grâce à une liaison quotidienne. Depuis Genève, une connexion vers Rennes sera disponible dès le 31 octobre, avec deux vols hebdomadaires, les lundis et les vendredis. Enfin, Bâle sera reliée à Tanger, au Maroc, à raison de deux vols par semaine les mardis et les vendredis, à partir du 11 novembre.
Les billets pour ces nouvelles destinations sont déjà disponibles. Les prix de base s'élèvent à 45 fr. 45 pour Zurich-Pristina, 40 fr. 95 pour Genève-Rennes et 31 fr. 85 pour Bâle-Tanger.
Les vols au départ de Genève Newsletter
«Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde.
Autres newsletters
Claude Béda est journaliste à la rubrique vaudoise de 24 heures. Licencié en sciences sociales et politiques, passionné par les sujets de société et la vie des gens d'ici, il a couvert plusieurs régions du canton, avant de rejoindre la rédaction lausannoise. Plus d'infos
Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


24 Heures
8 hours ago
- 24 Heures
La Civic Type R quitte la piste après avoir marqué toute une génération
Compacte, 329 chevaux, boîte manuelle… Honda tire le rideau sur la voiture dont vous êtes le héros. Ses fidèles lui rendent hommage Publié aujourd'hui à 21h52 Des dizaines de propriétaires ont afflué samedi 14 juin 2025, sur le vaste parking du centre Honda Suisse à Vernier (GE). À l'instar de Bruno, venu de Genève au volant d'un modèle racheté en 2018. À l'arrière-plan, celle de Jean-Philippe, venu du canton de Fribourg. MAGALI GIRARDIN En bref: Comment se dire adieu? Vingt-huit ans après son irruption sur les autoroutes surélevées de Tokyo, la Civic Type R tire sa révérence. Annoncé par une « Ultimate Edition » en blanc spectral – quarante exemplaires, dont huit pour la Suisse, tous réservés – l'arrêt des prises de commande tombera l'an prochain. Du moins en Europe. L'aventure continue aux États-Unis, où cette cinq portes compacte «hatchback», amenant (chut!) 329 chevaux sur le seul train avant, continue de s'attirer une cohorte de fidèles. En dépit – non, plutôt, à cause – de sa boîte manuelle. Aussi démesuré qu'immature, son aileron semble sortir du film «Fast and Furious». «Châssis affûté, puissance au rendez-vous, facilité de préparation à la course – la Type R, c'est la culture du Tōge, ces courses de côtes clandestines dans les montagnes du Japon», rappelle Emre Agan, sommité du modèle officiant chez Honda Genève. R comme moto Les versions plus sages de la onzième génération d'une citadine lancée en plein choc pétrolier, en 1973, continueront d'être proposées en Suisse. Ce qui n'a pas empêché les fans de sa déclinaison très spéciale d'affluer, un samedi de juin, sur l'immense tarmac de Honda Suisse à Vernier (GE). Pour un ultime hommage. Répondant à l'appel depuis la fin des années 90, la Civic la plus héroïque du rassemblement est conduite au quotidien par le spécialiste du modèle officiant pour Honda à Genève. Une version EK4 proche de la Type R de l'époque, «un modèle alors réservé au Japon». MAGALI GIRARDIN Ils se préparent à basculer dans la marginalité, en ces temps d'électricité triomphante. Après tout, les Mitsubishi Lancer Evo, Subaru WRX Sti, Renault Megane RS et autres Ford Focus RS ont déjà disparu . La Type R emportera avec elle une certaine culture de la voiture sportive populaire. Mêlant l'imaginaire des courses clandestines nocturnes et de la conduite sur piste – à la limite, toujours. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. «L'opposé des Audi surpuissantes, ces RS3 ou RS4 qui poussent super fort mais dont le poids vous entraîne vers le rail dans les épingles d'un col – ici, vous faites corps avec une voiture qui pèse 30o kilos de moins», lâche Jean-Philippe, tout juste arrivé des montagnes fribourgeoises avec un modèle tatoué comme pour une compétition WRC. «C'est ce qui se rapproche le plus de la conduite moto», souffle ce mécano de profession, ancien de la secte Evo. Circuit, boulot, dodo «Une moto, mais avec un coffre à hayon qui avale la poussette du petit dernier», lance Bruno, garé juste à côté. Chauffeur-livreur le jour, ce dernier endosse, le soir venu, un costume Type R noir et blanc, griffé par le préparateur Mugen . Il a racheté sa Civic en 2018, avec 40 000 kilomètres au compteur. Cette Type R de chasse a longtemps été l'arme secrète des jeunes employés face des croiseurs d'autobahn atteignant vite avec la stratosphère des 100 000 francs. Oubliez les motifs des sièges tissus. Un simple coup d'œil au levier de vitesse et déjà l'envie de se mettre au volant. MAGALI GIRARDIN Sauf que la Type R a elle aussi rompu avec les promesses de ses premières versions, affichées moins de 35 000 francs. Les dernières dépassent la barre des 60 000. La faute à une sophistication croissante – amortisseurs adaptatifs, différentiel à glissement limité… La faute à une concurrence disparue, à commencer par une Megane RS, longtemps grande rivale sur le circuit du Nürburgring. Victime des règles CO2 Reste les occasions – souvent disponibles autour de 30 000 francs, pour qui ose. De toute façon, ce seront bientôt les seules Type R disponibles. Mais pourquoi arrêter la course? Genève, le 14 juin 2025, lors du rassemblement des aficionados de la Honda Civic Type R. MAGALI GIRARDIN «Notre gamme s'adapte à la législation européenne», écrit pudiquement Honda. Traduction: difficile de garder un modèle émettant près de 200 g de CO₂ par kilomètre, dont chaque vente devra être compensée par la livraison d'un trop grand nombre d'électriques. Et puis, impossible d'hybrider une sportive qui se veut encore populaire, sans finir de faire exploser son tarif. «La suite? On attend le retour de la Prelude – en hybride – au début de l'année prochaine, elle conservera un ADN sportif», esquisse Benjamin Rolandez, chef de Honda Automobiles Genève. Sans savoir encore si une version Type R suivra. Dans tous les cas, ce sera sans pédale d'embrayage. La Type R renvoie à la culture du Tōge, les courses de côtes clandestines, dans les montagnes du Japon central. MAGALI GIRARDIN Son nom commence par A. Mais tout le monde devrait l'appeler M. R. «À l'époque des premiers modèles, le truc c'était ce légendaire moteur VTEC, avec son «kick» qui se déclenchait à partir de à 5500 tours/minute et pouvait monter jusqu'à 8500 tours… une sensation moto très typée course!», rappelle Emre Agan, vendeur chez Honda Genève et grand prêtre de la Type R. 1997 : Merveille d'horlogerie nipponne, ce système d'ouverture variable des soupapes, piloté électroniquement, en fonction du régime moteur – VTEC en anglais – permet de tirer des puissances inégalées de moteurs quatre cylindres 1,6 ou 2,0 litres. Il faisait déjà la légende des Honda sportives – dont l'éternelle NSX – avant que la petite Civic ne soit honorée d'une version Type R en 1997. Avec 185 ch sous le capot. Mais à peine une tonne à tirer. 2001 : «Ce modèle était alors réservé au Japon», poursuit celui qui conduit toujours une version EK4, proche de la Type R nippone de l'époque – une rareté. La Type R européenne débarque en 2001, à l'occasion de la refonte de la Civic. 2015 : Révolution, avec l'adjonction d'un turbo venant civiliser le moteur 2,0 litres VTEC. Pour respecter les normes d'émissions. Fini la conduite à la cravache. L'induction forcée offre plus de couple à bas régime. Et permet de franchir le cap des 300 chevaux. Le véhicule est doté d'un freinage Brembo et d'un différentiel à glissement limité pour dompter la puissance envoyée sur les roues avant. 2017 : Nouvelle évolution, avec le lancement sur le marché américain. Encore plus affûtée – avec des amortisseurs adaptatifs – la Type R voit son prix se diriger vers les 45 000 francs, ce qui restait bien en dessous d'une Audi S3. 2023 : Alors que l'offre de sportives populaires se réduit à peau de chagrin, la dernière version se voit dotée de toutes les sophistications. Dans la liste, une fonction RevMatch transformant en héros même ceux qui n'étaient jamais parvenus à rétrograder en «talon pointe» avant un virage, façon rallye. Mais la taille, et le prix, n'ont plus rien à voir avec le modèle de 1997. Exemplaire numéroté de l'une des rares Civic EK4, proches de la Type R, importée en Europe avant 2001. La voiture devient le porte-étendard du 2,0 VTEC, légendaire quatre cylindres dont Honda tirait des puissances inégalées. MAGALI GIRARDIN Un secteur automobile en plein bouleversement Pierre-Alexandre Sallier est journaliste à la rubrique Économie depuis 2014. Auparavant il a travaillé pour Le Temps , ainsi que pour le quotidien La Tribune , à Paris. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


24 Heures
13 hours ago
- 24 Heures
Le Coq Sportif repris par le consortium piloté par Dan Mamane
L'entrepreneur franco-suisse a annoncé vendredi la reprise de l'équipementier français. La marque était en redressement judiciaire depuis novembre. Publié aujourd'hui à 16h52 L'offre de reprise de la marque française Le Coq Sportif est «portée par un consortium d'entrepreneurs expérimentés mené par Dan Mamane». AFP L'entrepreneur Dan Mamane fait savoir vendredi qu'il reprend l'équipementier français Le Coq Sportif , suite à la décision en sa faveur du Tribunal des activités économiques de Paris. L'offre de reprise de la marque hexagonale Le Coq Sportif est «portée par un consortium d'entrepreneurs expérimentés mené par Dan Mamane, avec le soutien du fonds Mirabaud Patrimoine Vivant et de partenaires industriels de premier plan», selon le communiqué reçu par AWP. Le nouveau propriétaire vise «un objectif de chiffre d'affaires de 300 millions d'euros à l'horizon 2030 et un retour à une rentabilité soutenue». Le Coq Sportif, propriété depuis vingt ans de la société de participations romande Airesis, est en redressement judiciaire depuis novembre dernier. Davantage sur Le Coq Sportif Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters ATS Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


24 Heures
13 hours ago
- 24 Heures
Les grèves en France bloquent des dizaines de vols à Genève et Zurich
Swiss a reprogrammé plus de 4500 passagers depuis jeudi. La grève, qui limite la surveillance du ciel français, est censée s'arrêter samedi. Publié aujourd'hui à 16h50 «Les destinations touchées sont toujours les mêmes – Nice, Marseille et Paris – et nous avons également dû annuler les vols entre Zurich et Montpellier vendredi», indique un porte-parole de Swiss (image d'illustration). AFP En bref: Les articles ABO sont réservés aux abonnés. S'abonner Déjà enregistré.e ou abonné.e? Se connecter