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Une automobiliste encastre son véhicule dans un commerce et blesse grièvement une femme

Une automobiliste encastre son véhicule dans un commerce et blesse grièvement une femme

La Presse11-07-2025
Une automobiliste encastre son véhicule dans un commerce et blesse grièvement une femme
(Montréal) Une femme se trouve dans un état critique après s'être retrouvée coincée sous une voiture qui se serait encastrée vendredi après-midi dans un commerce de l'arrondissement de Saint-Léonard, à Montréal.
La Presse Canadienne
Les secours ont été appelés à intervenir vers 14 h sur la rue Bélanger, près de la rue de Choisy. Ils ont pu localiser la femme âgée de 59 ans, qui était alors consciente et blessée au haut et au bas du corps. Elle a ensuite été transportée vers un centre hospitalier.
Selon une porte-parole du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), Caroline Chèvrefils, la conductrice âgée de 31 ans aurait subi un choc nerveux, mais n'aurait pas eu besoin d'être hospitalisée.
Les premières informations indiquent que la conductrice aurait tenté de stationner son VUS avant d'effectuer une fausse manœuvre et d'encastrer son véhicule dans le commerce.
Un périmètre a été érigé afin de protéger la scène et l'enquête est en cours. Des témoins de l'évènement ont été rencontrés par les policiers et des vérifications seront faites au niveau des possibles caméras de surveillance situées à proximité des lieux.
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Les marques en T, qui délimitent chaque espace de stationnement, seront retirées dans le quartier Villeray. Montréal recule sur son projet-pilote de marquage au sol des espaces de stationnement dans le quartier Villeray. L'initiative, qui avait pour but de mettre au pas les automobilistes mal garés dans les rues résidentielles, s'est finalement heurtée à un nombre considérable de plaintes. « On a eu une cinquantaine de plaintes à l'automne de citoyens mécontents de ce marquage. Je pense qu'on n'a peut-être pas assez bien communiqué l'information aux citoyens avant de se lancer », avoue en entrevue le directeur général de l'Agence de mobilité durable (AMD), Laurent Chevrot. Au grand dam de certains citoyens, deux types de marquage avaient été installés l'été dernier sur une dizaine de rues et 1200 places de stationnement dans le quadrilatère délimité par les axes Christophe-Colomb, Villeray, Saint-Gérard et de Liège. Il y avait d'abord les marques en forme de T, délimitant les places individuelles, et les marques en L, situées à la fin de chaque zone interdite. Ce sont les marques en T qui seront finalement retirées. Les citoyens trouvaient que les délimitations étaient trop grandes, ce qui ne permettait pas de stationner assez de véhicules. Ça générait de la frustration et on n'a pas vu réellement d'impact sur la capacité ou l'occupation de la rue. Laurent Chevrot, directeur général de l'AMD Les marques en L seront néanmoins conservées, des impacts positifs ayant été observés sur le plan de la sécurité routière. « Ça a permis de réduire de 27 % le taux d'infraction, juste en donnant un repère aux gens sur la chaussée, ce qui est quand même considérable », note le gestionnaire. PHOTO ROBERT SKINNER, ARCHIVES LA PRESSE Les marques en L, délimitant les zones de stationnement, seront conservées. « Ça nous ouvre quand même des perspectives pour le futur. On veut donner des indicateurs additionnels aux gens pour leur permettre de respecter la réglementation, mais en communiquant mieux en amont nos objectifs », ajoute-t-il. Bonne chose, mais… Résidant de la rue Foucher, Jacques Bérubé salue l'ouverture de la Ville, mais constate que le problème n'est pas entièrement réglé. En plus de la perte d'espaces, le marquage qui demeurera n'est toujours pas aligné avec les affiches indiquant les zones réservées aux voitures avec vignette, ce qui ne facilite pas le respect de la signalisation. Ça crée de la confusion puisque ce n'est pas au même niveau que les pancartes de stationnement déjà en place, donc tu ne sais pas si tu vas avoir une contravention. Et quand tu n'es pas sûr et que tu te prends 120 $, c'est choquant. Jacques Bérubé, résidant du quartier Villeray Laurent Chevrot, lui, rétorque que « plusieurs interventions ont déjà été faites pour déplacer des panneaux ou des marques au sol de quelques centimètres ». « S'il en reste encore, on ajustera le tir, c'est certain », dit-il. Le projet « a été mal conçu à l'origine », avance quant à lui M. Bérubé, qui est un résidant de longue date. « Quand tu es assis dans ta voiture, tu ne les vois pas nécessairement, ces marques-là. Ce n'est pas très intuitif et ça mêle beaucoup de gens après. » Quelques leçons à tirer Outre la communication à améliorer auprès de la population, M. Chevrot affirme que son groupe a tiré plusieurs leçons de l'expérience. « En ce qui concerne les marques en L, on va continuer d'étudier si ça pourrait créer des impacts positifs dans d'autres circonstances, ailleurs sur l'île. On se laisse la possibilité de le faire ailleurs si un arrondissement nous interpelle, mais ce n'est pas un objectif immédiat pour l'instant », affirme-t-il. L'avenir des marques en T est quant à lui nettement plus incertain. « Si on devait en refaire, on devrait sérieusement réfléchir à la manière dont on les fait », poursuit Laurent Chevrot, qui souligne que l'espace entre chaque place marquée pourrait par exemple être réduit de 6 à 5,5 mètres. Au total, le projet a coûté 36 000 $ à la Ville de Montréal, ce qui inclut les coûts internes, le contrat de marquage, le retrait de celui-ci et les communications publiques.

Les garderies plaident la tolérance pour éviter l'expulsion d'enfants d'immigrants
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Les garderies plaident la tolérance pour éviter l'expulsion d'enfants d'immigrants

Une directive envoyée aux garderies par le ministère de la Famille le 9 juillet donne 14 jours aux parents détenant un permis de travail ouvert pour retirer leurs enfants bénéficiant d'une place à 9,35 $ par jour. Des regroupements de garderies demandent à Québec de faire preuve de tolérance et de protéger les enfants d'immigrants inscrits dans des milieux de garde subventionnés, qui risquent d'en être exclus. Mardi, le ministère de la Famille a confirmé avoir reçu une mise en demeure de la part de parents. Ce qu'il faut savoir Une directive envoyée par le ministère de la Famille donne 14 jours aux parents détenteurs d'un permis de travail ouvert pour retirer leurs enfants de leur garderie subventionnée. Des associations de garderies demandent au gouvernement de faire preuve de tolérance afin que les enfants qui occupent déjà ces places à 9,35 $ par jour ne soient pas expulsés. Le ministère de la Famille a confirmé avoir reçu une mise en demeure de la part de parents. À cause des « flous administratifs » actuels, les enfants de parents titulaires d'un permis de travail ouvert pourraient perdre leur place subventionnée en garderie, déplorent des acteurs du milieu de la petite enfance, qui demandent des solutions rapides. « Une fois qu'un enfant s'habitue au service de garde, à ses amis, à ses éducatrices, je trouverais ça drastique de retirer l'enfant », avance le président de l'Association des garderies privées du Québec (AGPQ), Sami Alahmad. Une directive envoyée aux garderies par le ministère de la Famille le 9 juillet donne 14 jours aux parents détenant un permis de travail ouvert pour retirer leurs enfants bénéficiant d'une place à 9,35 $ par jour, ce qui entraîne des conséquences dramatiques pour plusieurs familles. Lisez l'article « Directive sur la contribution réduite : des enfants d'immigrants sommés de quitter leur CPE » C'est le cas de Suzanne Minkam, arrivée du Congo il y a deux ans avec un permis de travail ouvert, qui craint de perdre la place en garderie subventionnée de sa fille de 17 mois, qu'elle élève seule, et d'avoir à quitter son emploi d'éducatrice dans le même établissement, puisque son salaire est insuffisant pour pouvoir payer une place en garderie non subventionnée. Le gouvernement affirme qu'il ne s'agit pas d'une nouvelle règle et que le Règlement sur la contribution réduite, entré en vigueur en 2006, « n'a jamais été modifié ». Selon des regroupements de garderies, la réponse n'est pas aussi simple que de procéder à quelques ajustements administratifs. Les expulsions engendreront des conséquences humaines importantes chez les parents et leurs enfants. Des confusions lourdes en conséquences De plus, les directives émises par le ministère de la Famille manquent de clarté, déplore Sami Alahmad. « À la lumière des dernières informations, j'ai lu et relu le guide d'admissibilité qu'ils nous ont fourni et j'ai toujours de la difficulté à comprendre ce que le gouvernement nous demande », dénonce-t-il. Il reconnaît qu'il a pu y avoir eu des incompréhensions dans l'application du règlement, mais il s'agissait d'« erreurs de bonne foi » et on « ne devrait pas faire payer les enfants pour cela », insiste-t-il. Josée Garant, directrice du Bureau coordonnateur de garderies en milieu familial du quartier Saint-Léonard, à Montréal, a passé la journée de mardi à éplucher les dossiers des enfants concernés par la directive dans son organisation. C'est désolant, au-delà de tout, ce sont des enfants. On devrait se concentrer sur l'aspect humain avant tout. Ils vont perdre une stabilité, un lieu important d'attachement. Josée Garant, directrice du Bureau coordonnateur de garderies en milieu familial du quartier Saint-Léonard M. Alahmad ne sait pas encore combien de bambins fréquentant les garderies de son association sont touchés par ce critère d'admissibilité, mais ils sont nombreux, et il « se voit difficilement dire au revoir à ces enfants », confie-t-il. Le gouvernement doit faire preuve de tolérance et permettre aux enfants qui sont déjà en garderie subventionnée de terminer leur parcours à la petite enfance de la même manière qu'ils l'ont commencé, demande le président de l'AGPQ, qui s'inquiète des conséquences sur les familles concernées. Il n'est pas le seul à demander une telle souplesse. « On pense que les enfants ne devraient pas être tributaires du statut de leurs parents et qu'il devrait y avoir des efforts afin d'accommoder ces familles-là », avance la directrice générale adjointe aux affaires publiques et gouvernementales pour l'Association québécoise des CPE (AQCPE), Geneviève Blanchard. Pour cette dernière, le « nœud de l'affaire » semble être que le gouvernement veut s'assurer que le parent détenteur d'un permis ouvert occupe un emploi. Le ministère de la Famille devrait trouver une manière de faire cette vérification, pour « maintenir dans le système des familles qui ont déjà été intégrées », note-t-elle. « On semble l'oublier, mais les services éducatifs à l'enfance, c'est un puissant agent d'intégration. » L'AQCPE a déjà reçu beaucoup de demandes, tant de la part des éducatrices que des parents, sur la façon de répondre à cette directive et sur les ressources qui pourraient les aider. Au moment de publier ces lignes, le ministère de la Famille n'avait pas répondu à notre demande d'entrevue. La députée libérale de Westmount–Saint-Louis et porte-parole de l'opposition officielle en matière de famille, Jennifer Maccarone, peine à comprendre le changement d'attitude soudain du gouvernement. Elle déplore les impacts de cette directive sur le milieu de la petite enfance, qui peine déjà à répondre à la demande pour l'ensemble des demandeurs. Ce ne sont pas juste les enfants de parents détenant un permis de travail ouvert qui vont être touchés, la perte d'éducatrices qualifiées aura des impacts sur l'accès au service de plusieurs familles, explique-t-elle. « Ils sont en train de créer un problème où il n'y en a pas », déplore Mme Maccarone, qui n'a jamais entendu cet enjeu être soulevé par le gouvernement caquiste alors qu'elle est députée depuis sept ans. Des parents veulent poursuivre le ministère de la Famille Selon une mise en demeure obtenue par Radio-Canada mardi, des parents originaires de France et d'Ukraine veulent poursuivre en justice le ministère de la Famille, advenant l'exclusion de leurs enfants d'une garderie subventionnée. Le document indique que les parents contestent notamment la légalité et la validité de la directive sur l'admissibilité au programme de places à contribution réduite. Après la présentation de leurs permis de travail ouverts, leurs enfants ont été acceptés en 2024 dans une garderie subventionnée en milieu familial. Le bureau coordonnateur du Centre de la petite enfance du Parc leur a toutefois annoncé qu'en vertu de la directive, ils devaient maintenant quitter la garderie. Mardi, l'attachée de presse de la ministre de la Famille, Suzanne Roy, a confirmé qu'une mise en demeure a été reçue par le Ministère, ajoutant que le statut des personnes concernées serait vérifié.

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Une directive envoyée aux garderies par le ministère de la Famille le 9 juillet donne 14 jours aux parents détenant un permis de travail ouvert pour retirer leurs enfants bénéficiant d'une place à 9,35 $ par jour, ce qui entraîne des conséquences dramatiques pour plusieurs familles. Lisez l'article « Directive sur la contribution réduite : des enfants d'immigrants sommés de quitter leur CPE » C'est le cas de Suzanne Minkam, arrivée du Congo il y a deux ans avec un permis de travail ouvert, qui craint de perdre la place en garderie subventionnée de sa fille de 17 mois, qu'elle élève seule, et d'avoir à quitter son emploi d'éducatrice dans le même établissement, puisque son salaire est insuffisant pour pouvoir payer une place en garderie non subventionnée. Le gouvernement affirme qu'il ne s'agit pas d'une nouvelle règle. 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Il reconnaît qu'il a pu y avoir eu des incompréhensions dans l'application du règlement, mais il s'agissait d'« erreurs de bonne foi » et on « ne devrait pas faire payer les enfants pour cela », insiste-t-il. Josée Garant, directrice du Bureau coordonnateur de garderies en milieu familial du quartier Saint-Léonard, à Montréal, a passé la journée de mardi à éplucher les dossiers des enfants concernés par la directive dans son organisation. C'est désolant, au-delà de tout, ce sont des enfants. On devrait se concentrer sur l'aspect humain avant tout. Ils vont perdre une stabilité, un lieu important d'attachement. Josée Garant, directrice du Bureau coordonnateur de garderies en milieu familial du quartier Saint-Léonard M. Alahmad ne sait pas encore combien de bambins fréquentant les garderies de son association sont touchés par ce critère d'admissibilité, mais ils sont nombreux, et il « se voit difficilement dire au revoir à ces enfants », confie-t-il. 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Le ministère de la Famille devrait trouver une manière de faire cette vérification, pour « maintenir dans le système des familles qui ont déjà été intégrées », note-t-elle. « On semble l'oublier, mais les services éducatifs à l'enfance, c'est un puissant agent d'intégration. » L'AQCPE a déjà reçu beaucoup de demandes, tant de la part des éducatrices que des parents, sur la façon de répondre à cette directive et sur les ressources qui pourraient les aider. Au moment de publier ces lignes, le ministère de la Famille n'avait pas répondu à notre demande d'entrevue. Des parents veulent poursuivre le ministère de la Famille Selon une mise en demeure obtenue par Radio-Canada mardi, des parents originaires de France et d'Ukraine veulent poursuivre en justice le ministère de la Famille, advenant l'exclusion de leurs enfants d'une garderie subventionnée. 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