
L'incendie criminel du squat avait mobilisé 35 pompiers à Argenteuil : le principal suspect relaxé
Ce soir-là, 35
sapeurs-pompiers
avaient été mobilisés pour venir à bout d'un incendie dans un pavillon comprenant plusieurs logements, au risque de répondre difficilement à une autre urgence qui pouvait survenir dans le même temps.
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Guerre en Europe, attaques hybrides en France... Le scénario noir pour l'armée française
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Renvoyée en procès dans l'affaire Renault, Dati s'interroge sur une «coïncidence» entre le timing judiciaire et l'agenda politique
Invitée mardi de LCI à la suite de son renvoi en correctionnelle pour corruption et trafic d'influence, la ministre de la Culture a évoqué une possible offensive judiciaire, survenant à l'approche de deux échéances électorales qu'elle convoite. Après le coup de massue judiciaire, la riposte médiatique. Quelques heures après l'annonce de son renvoi en correctionnelle, aux côtés de l'ancien patron de Renault Carlos Ghosn, pour recel d'abus de pouvoir et d'abus de confiance, corruption et trafic d'influence passifs, Rachida Dati a contre-attaqué ce mardi soir sur LCI. Face aux soupçons des juges d'instruction - qui la suspectent d'avoir exercé du lobbying illégal au Parlement européen, au tournant des années 2010, au bénéfice de Renault et de son dirigeant de l'époque, en échange d'une rémunération de 900.000 euros -, la ministre de la Culture a vigoureusement rejeté ces accusations dans ce dossier judiciaire aux lourds enjeux politiques. À l'approche des municipales de 2026 mais aussi de la législative partielle dans la 2e circonscription de Paris - deux échéances que la ministre de la Culture convoite -, Rachida Dati a tenu à dénoncer une «instrumentalisation honteuse» de la justice. «Ils essaient de me mettre un genou à terre, mais je ne vais quand même pas mettre le deuxième», a tonné Rachida Dati d'un ton offensif. Une offensive des juges, selon elle, qui n'aurait rien de fortuit à quelques jours de la réunion de la commission nationale d'investiture des Républicains (LR), appelée à désigner, le 28 juillet, son candidat dans ce territoire couvrant une partie des 5e, 6e et 7e arrondissements de la capitale, où Rachida Dati est maire. Une circonscription stratégique pour la droite, prisée par l'ancien premier ministre Michel Barnier, déjà déclaré candidat - tandis que la ministre entretient volontairement le flou sur ses intentions. À lire aussi Législative partielle à Paris : LR veut calmer le jeu entre Barnier et Dati avant de trancher le 28 juillet Publicité L'occasion pour l'ancienne ministre de la Justice, qui voit dans la candidature du Savoyard une manœuvre orchestrée par ses rivaux parisiens au sein de LR pour en faire un «plan B» en cas d'empêchement judiciaire la concernant, de faussement s'interroger sur une «coïncidence» entre l'accélération du «calendrier» judiciaire et l'agenda politique. «De la même manière en 2019, l'enquête a été ouverte au moment où j'ai été investie comme candidate pour la mairie de Paris», fait-elle valoir. Sur le volet judiciaire, Rachida Dati a avant tout dénoncé une «procédure émaillée d'incidents», allant jusqu'à mettre en cause certains magistrats qui, d'après elle, «marchent» sur les droits de la défense. Documents à l'appui, elle a «accablé» plusieurs d'entre eux de ne pas respecter «le code de procédure». Forte du soutien d'Emmanuel Macron, qui lui a confirmé son maintien au gouvernement, et de celui du ministre de la Justice Gérald Darmanin - lequel a salué «une grande femme politique», rappelé son statut de «présumée innocente» et affirmé qu'il «souhaite ardemment qu'elle soit maire de Paris» - , la ministre de la Culture n'y a pas été par quatre chemins : elle reste à son poste, et compte «renoncer» ni à ses ambitions ni à sa détermination à se défendre.


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Tueurs à gage, trafiquants internationaux… Les profils des dix premiers «narcos» à rejoindre la prison de Vendin-le-Vieil
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