Euro féminin 2025 : les Red Flames terminent sur une victoire
Le rideau est tombé sur l'Euro 2025 des Red Flames ce vendredi soir à Sion. La Belgique quitte la scène avec une victoire 1-2 face au Portugal. Le bilan est bien maigre : trois points, quatre buts marqués, huit encaissés. Trop peu pour accrocher un quart de finale. Mais il serait contre-productif de réduire le tournoi des Belges à cette élimination dès la phase de groupes.
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4 hours ago
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Tour de France : Jonas Abrahamsen remporte la 11 e étape, Pogacar chute avant l'arrivée
Jonas Abrahamsen s'est imposé à l'arrivée de la 11e étape du Tour de France longue de 156,8 km tracée autour de Toulouse d'où a été donné le départ et qui a accueilli l'arrivée. Disputée à bride abattue, sans le moindre répit, au lendemain de la première journée de repos, elle s'est révélée favorable au Norvégien qui a offert à sa formation X-Uno Mobility sa première victoire dans la Grande Boucle. Parti dès le premier kilomètre, Abrahamsen a devancé au sprint le champion de Suisse Mauro Schmid (Jayco AlUla), lui aussi échappé de la première minute. Le Néerlandais Mathieu van der Poel (Alpecin-Deceuninck) a pris la 3e place à 7 secondes. Arnaud De Lie (Lotto) a fini 4e à 53 secondes et Wout van Aert (Visma-Lease a Bike) la 5e dans le même temps. Au classement général, l'Irlandais Ben Healy (EF Education-EasyPost) conserve 29 secondes d'avance sur le Slovène Tadej Pogacar (UAE Emirates-XRG), 2e. Le champion du monde est tombé à un peu plus de 4 kilomètres de l'arrivée mais a été attendu par les autres favoris qui figuraient dans le peloton à plus de trois minutes des échappés. Remco Evenepoel (Soudal Quick-Step) est 3e à 1: 29 et le Danois Jonas Vingegaard (Visma-Lease a Bike) 4e à 1:46. La 12e étape abordera jeudi la haute montagne avec la première des trois journées dans les Pyrénées. Un parcours de 180,6 km entre Auch et Hautacam, comprendra notamment le col du Soulor (1re cat.) et le premier col hors-catégorie du Tour avec la montée finale vers Hautacam (13,5 km à 7.8%).
Le Soir
7 hours ago
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Nina Derwael s'explique sur sa retraite de gymnaste : « La décision est arrivée naturellement, je n'ai aucun regret »
Nina Derwael a surpris le monde sportif mardi en annonçant mettre un terme à sa carrière de gymnaste à 25 ans. « J'ai atteint ce que je voulais et ce que j'étais capable d'atteindre. J'ai pu prouver ce que j'avais en moi », avait-elle alors expliqué dans un bref communiqué. Ce mercredi, c'est en conférence de presse que la Belge, championne olympique aux barres asymétriques en 2021, s'est exprimée sur sa décision. « La décision est arrivée naturellement après l'Euro », a-t-elle déclaré, elle qui a remporté deux médailles d'or dans cet Euro à Leipzig en mai. « Pour la première fois de ma vie je revenais d'une compétition en me sentant comblée. Le mariage est arrivé dans la foulée et j'ai pensé au temps que je voulais partager avec ma famille. Je n'ai aucun regret. » Derwael a rapidement écarté les rumeurs d'une grossesse qui aurait précipité sa retraite. « La moitié de gens pensait j'étais enceinte », dit-elle en riant. « Mais non, je ne le suis pas. Nous allons encore un peu attendre avec les enfants pour d'abord se concentrer sur le plan professionnel. » Car malgré cette retraite sportive, la gymnaste trudonnaire a déjà de quoi occuper son temps à moyen terme. « Je dois terminer mes études et ma formation d'entraîneur. Je veux consacrer mon temps à mes amis et ma famille. Je n'ai que 25 ans, alors je cherche une passion où m'épanouir et y consacrer mon énergie. » « Il n'y a pas de problème avec mon corps » Ces dernières années, Derwael a souffert de problèmes physiques, mais ce ne fut pas la raison de sa fin de carrière. Elle s'est notamment blessée à l'épaule (subluxation) en mars 2023. Il lui a fallu beaucoup de temps pour retrouver le plus haut niveau et elle n'a pas eu assez de temps pour réellement défendre ses chances aux JO de Paris, où elle a terminé 4e aux barres asymétriques. « Je pense que mes performances parlent d'elles-mêmes. Il n'y a pas de problème avec mon corps », affirme-t-elle clairement. « Bien sûr, c'est du sport de haut niveau. Il y a toujours des maux, mais j'étais tellement bien encadrée que tout était sous contrôle. Je pouvais tout à fait continuer. Mentalement, cela a joué un peu. Je me posais différentes questions. Qu'est-ce que je voulais encore accomplir ? Est-ce que tout cela en vaut la peine ? J'ai toujours été très réaliste. Je me fixe des objectifs très élevés, mais réalisables. Lors des derniers championnats d'Europe, j'ai montré que je pouvais encore gagner. En tant qu'athlète de haut niveau, j'ai toujours espéré terminer en beauté. »
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L'ancien préparateur physique de l'Union et d'Anderlecht va rejoindre un club de Ligue 1
Après plus de six années passés en Belgique, le préparateur physique Thibaut Meyer, 37 ans, va reprendre le chemin de l'Hexagone, d'où il est originaire. Il était arrivé à Eupen en février 2019, après avoir fait ses armes à Villeneuve-d'Ascq, au Stade Bordelais, au Paris FC, aux Herbiers et à l'AS Nancy. En 2021, il s'était engagé à l'Union, alors promue en Division 1A et coachée par Felice Mazzù. Au terme de cette saison, qui avait vu le club saint-gillois passer de peu à côté du titre, il avait suivi l'entraîneur carolo à Anderlecht. Malgré le licenciement rapide de celui-ci, en octobre 2022, il était resté au RSCA jusqu'au terme de la saison, sous les ordres de Robin Veldman d'abord, et de Brian Riemer ensuite. Durant l'été 2023, il avait rejoint le FC Malines, pour qui il officiait ces deux dernières saisons. Il a désormais lié sa destinée au FC Metz, club fraîchement promu en Ligue 1.
