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Massimiliano Allegri confirme l'arrivée de Luka Modric à l'AC Milan

Massimiliano Allegri confirme l'arrivée de Luka Modric à l'AC Milan

L'Équipe9 hours ago
Lors de sa première conférence de presse depuis son retour sur le banc de l'AC Milan ce lundi, Massimiliano Allegri a confirmé l'arrivée prochaine de Luka Modric. Le Croate rejoindra les Rossoneri après la Coupe du monde des Clubs.
Massimiliano Allegri a confirmé ce lundi la signature imminente de Luka Modric à l'AC Milan. « Nous attendons qu'il arrive, il est à la Coupe du monde des clubs et nous rejoindra en août », a expliqué le technicien italien lors de sa première conférence de presse depuis son retour sur le banc des Rossoneri, onze ans après la fin de son premier passage. Allegri n'a pas encore défini dans quel rôle il sera utilisé, expliquant seulement qu'il s'insérera dans son milieu à trois.
Modric (39 ans), encore en lice avec le Real Madrid à la Coupe du monde des clubs où les Madrilènes défieront le PSG en demi-finales mercredi, quittera l'équipe à l'issue de la compétition après treize ans passés au sein de la Maison Blanche. Un contrat d'un an avec une option pour le prolonger jusqu'en 2027 l'attendrait à Milan, qui pourrait être son dernier défi.
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« C'est un club qui a du style, ils cherchent à vendre cette image ici » : porté par sa saison, le PSG construit sa popularité à New York
« C'est un club qui a du style, ils cherchent à vendre cette image ici » : porté par sa saison, le PSG construit sa popularité à New York

L'Équipe

time30 minutes ago

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« C'est un club qui a du style, ils cherchent à vendre cette image ici » : porté par sa saison, le PSG construit sa popularité à New York

Porté par la vague de son succès européen, le PSG, opposé au Real Madrid mercredi (21h) en demi-finales de la Coupe du monde des clubs, gagne peu à peu en notoriété à New York, où il a un magasin sur la prestigieuse 5e avenue. Même s'il reste très loin des sports US. Sur les écrans géants de Times Square et sur les abribus, les portraits d'Ousmane Dembélé ou de Vinicius s'affichent fièrement. Au milieu des flots de passants, il faut pourtant s'armer de patience pour trouver un Yankee du cru qui se passionne pour la Coupe du monde des clubs. « Ça doit être de super joueurs s'ils ont droit à une telle promo », siffle Brian (33 ans), originaire du Queens, incapable d'en identifier un. Pour accueillir les demi-finales et la finale, la FIFA a choisi le MetLife Stadium d'East Rutherford (New Jersey), à quelques kilomètres de Manhattan. L'occasion de toucher aussi les nombreuses communautés étrangères de New York. « L'arrivée de Lionel Messi (à Miami, en 2023) a boosté la MLS, mais ça reste très loin derrière la NFL ou la NBA, explique Atlas, un Turc de 25 ans fan des NY Red Bulls. Parmi mes collègues américains, pas un ne s'intéresse au soccer. Pour ceux qui aiment, comme moi ou mes amis mexicains, le Real Madrid reste au-dessus, mais je sens qu'il y a une hype autour du PSG. C'est un club qui a du style, cool, ils cherchent à vendre cette image ici. » Un effet Ligue des champions Tout sauf un hasard. Le champion d'Europe est le seul club européen à avoir un magasin dans la Grand Pomme, et pas n'importe où : sur la prestigieuse 5e Avenue. « J'ai été très surprise de la trouver ici, pour moi la 5e, c'est plutôt Tiffany, s'esclaffe Barbara (33 ans), une Parisienne installée à Marseille venue avec son frère Grégoire (27 ans) acheter un maillot. Je viens régulièrement aux États-Unis, et si je croise plus de maillots PSG, c'est surtout portés par des Français. » De fait, dans les allées de Central Park, on n'a croisé lundi matin aucun maillot rouge et bleu parmi les centaines de joggeurs venus lancer leur journée, quand les tuniques de NBA rivalisaient avec celles de foot US, sans parler des casquettes des Yankees. Et la seule tunique parisienne croisée en plusieurs heures de déambulations était sur les épaules de Mikel (10 ans), un jeune « fan de Mbappé » accompagné de son père Miguel, un Mexicain venu de l'Illinois. Mais la stratégie lifestyle assumée du PSG, appuyée par le partenariat fructueux avec Jordan, assure à sa boutique, ouverte en 2022 avant de déménager de quelques blocs en 2023, un joli succès amplifié par la victoire en Ligue des champions. « On a beaucoup plus de clients depuis, c'est clair, je n'arrête pas, sourit Eileen, la manager, qui a croisé il y a quelques années Achraf Hakimi et Gianluigi Donnarumma dans les locaux. D'ailleurs, on est sold out sur les maillots Dembélé. Tout le monde nous dit que c'est le maillot du futur Ballon d'Or ! » « Avant, on n'était que des Français dans le fan-club, maintenant il y a aussi des Américains et des Latinos » Julian Stein, président du fan-club parisien de New York Installé à deux pas d'un NBA Store, le magasin du PSG souffre forcément de la comparaison, en termes de surface comme de flux de clients. Mais le club se dit satisfait par les chiffres, avec une clientèle « surtout européenne, notamment des Français ». Autant des passionnés que des curieux « qui sont tout surpris et prennent des photos, des vidéos », reprend Eileen. Les maillots les plus vendus ces derniers jours ? Désiré Doué et Kvitcha Kvaratskhelia. « Il y a une grosse communauté géorgienne, ukrainienne et russe à New York, sans parler des Italiens », décrypte Shota (41 ans), originaire de Tbilissi, en franchissant la porte d'entrée. New York est aussi le lieu de naissance du premier fan-club du PSG aux USA, en 2006. Il compte aujourd'hui une centaine de membres. La petite communauté se retrouve régulièrement pour suivre les matches ensemble à la « Football Factory », au Legends bar. Un établissement entre la 5e et la 6e avenues où de nombreux groupes de supporters locaux ont leurs habitudes (AC Milan, Fulham, Fluminense...), ce dont témoignent les drapeaux et les écharpes placardées des murs au plafond. Lundi, veille de la demi-finale Fluminense - Chelsea, l'entrée était décorée aux couleurs du club carioca et la population à 90 % brésilienne. « Mais mercredi, on sera aux couleurs du PSG », sourit une vendeuse. Ici, pas de menu particulier mais pendant les rencontres, le seau de bière est bradé entre 35 et 38 $ (30 à 32,5 €, environ). « Les soirs de match, on peut être 200 à 300 pour les grosses affiches, précise Julian Stein, président-fondateur du fan-club. On chante pendant tout le match dans le style ultra, il y a un tambour. Après, les horaires des matches à 15 heures ou midi en semaine ne facilitent pas l'engouement des locaux, à l'exception des latinos et sud-américains. On ressent un engouement plus important pour le club depuis quatre ou cinq ans. Avant, on n'était que des Français dans le fan-club, maintenant il y a aussi des Américains et des Latinos. Les résultats et la présence des stars, Neymar, Mbappé, Messi, y ont contribué. » Loin de l'agitation de la ville qui ne dort jamais, Luis Enrique et ses joueurs, eux, ont établi leurs quartiers à New Brunswick, dans le New Jersey, à une soixantaine de kilomètres de Manhattan. Installés à l'hôtel Heldrich, un luxueux établissement de 249 chambres équipé d'une piscine couverte, d'une salle de fitness et d'un spa, ils vont préparer dans le calme leur grand rendez-vous de mercredi face au Real Madrid. Laissée au repos lundi, une bonne partie de l'effectif n'a toutefois pas résisté au plaisir d'aller visiter le centre-ville. Times Square, Empire State Building, statue de la Liberté, ils en ont pris plein les yeux sans être trop ennuyés par les badauds. À lire aussi Mbappé et le PSG, de l'idylle à la rupture Fabio, le gardien du temps Un combat hors terrain plus vif que jamais entre Mbappé et le PSG Une partie de poker menteur entre actionnaires et créanciers ?

Remettre au pot ou risquer très gros : l'avenir de l'OL dans les mains de ses créanciers
Remettre au pot ou risquer très gros : l'avenir de l'OL dans les mains de ses créanciers

L'Équipe

time30 minutes ago

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Remettre au pot ou risquer très gros : l'avenir de l'OL dans les mains de ses créanciers

Lyon a repris l'entraînement lundi, à l'entame d'une semaine cruciale avec son audition en appel devant la DNCG, mercredi. En coulisses, la partie se joue entre actionnaires et créanciers. L'Olympique Lyonnais a retrouvé le chemin des terrains lundi après-midi, sous une pluie battante une bonne partie de la séance. Animée par Paulo Fonseca, la séance accueillait 26 joueurs pros et s'est déroulée sur la plaine de jeu n° 1 du centre d'entraînement, qui pourrait prochainement prendre le nom du regretté Bernard Lacombe. Pendant ce temps, Orel Mangala, en réathlétisation après la rupture d'un ligament antérieur croisé d'un genou en janvier, enchaînait les tours de terrain en compagnie de deux adjoints. Jordan Veretout, lui, était absent pour raisons personnelles, selon le club, et Ernest Nuamah, prolongeait sa rééducation après sa rupture du ligament antérieur du genou gauche en avril. Personne ne s'est exprimé, à l'entame d'une semaine périlleuse avec l'audition en appel mercredi devant la DNCG fédérale, alors que le club a été rétrogradé en L2 le 24 juin. L'OL a seulement communiqué sur la prolongation de contrat du jeune défenseur de 20 ans, Téo Barisic, jusqu'en 2028. À peine une dizaine de supporters attendait les joueurs arrivés pour la plupart en milieu d'après-midi dans un ballet de berlines de luxe ou de voitures électriques fournies par l'un des sponsors asiatiques du club. « On ne peut pas tomber en Ligue 2 avec un stade pareil, s'inquiétait Julien, un fan lyonnais qui diffuse très régulièrement des images de son club de coeur sur le réseau TikTok. On est mitigés sur la suite des événements. On tourne en rond dans l'attente de la décision de la DNCG (*). Avec ses belles promesses, John Textor (l'ancien président mis en retrait) nous l'a fait à l'envers, nous a promenés depuis deux ans. On reste inquiets. » Les supporters des Gones peuvent l'être. Car leur club ne bénéficiera d'aucune mansuétude s'il ne répond pas aux attentes du gendarme du football français au siège de la FFF. Ce n'est pas l'endettement lié au prêt consenti par le fonds Ares qui intéresse l'instance de contrôle de gestion. Mais les garanties en termes de trésorerie, afin d'assurer l'équité du Championnat au regard des autres clubs de L1. Lyon doit pouvoir terminer la saison qu'il entame. Mais pas que. Ses fonds propres négatifs posent aussi problème. Et il est probable que les échéances à venir sur les achats de joueurs soient une autre raison qui pousse la DNCG à demander encore plus de garanties. Soit du cash que l'on ne peut pas récupérer sur un compte bloqué. Ares ne fera pas de sentiments La situation est donc manichéenne. Soit les créanciers et/ou les actionnaires remettent au pot, soit l'OL risque très gros sur le plan économique. Jusqu'à la relégation et, à terme, la liquidation judiciaire. L'issue de cette équation décidera du sort du septuple champion de France (2002-2008). Ares, qui contrôle les sorties d'argent, n'a pas vocation à détenir un club à long terme. Et ne fera aucun sentiment. Son board s'est donc renseigné sur la viabilité du club. À date, il en a conclu qu'aucun investisseur ne se présenterait pour le racheter. Il s'agit donc, pour le prêteur, d'évaluer le risque à venir. Soit il participe à une augmentation de capital afin de récupérer une partie de son dû, environ 300 M€ si l'on retranche la grande partie de la revente de Crystal Palace qu'il s'est attribué prioritairement, avec les intérêts compris. Dans ce cas, il sera probablement contraint d'expliquer à ses 200 à 300 investisseurs pourquoi il se réengage dans un souci de meilleure fortune. Soit, comme on le dit dans le business américain, « don't throw good money after bad » (« ne pas jeter de l'argent par les fenêtres »). Il jettera alors l'éponge et précisera à ces investisseurs qu'ils n'ont perdu qu'une infime partie de leur placement. Une partie de poker menteur peut se jouer avec les actuels actionnaires, qui contrôlent le club, dont Michele Kang, dans l'optique d'une augmentation de capital où les parts de Textor seraient diluées. L'idée est de faire croire à l'autre que la valeur du club (ses actifs, dont les joueurs) peut être détruite si l'argent n'est pas apporté. Donc à l'obliger à remettre moyennant un accord (pour récupérer ses billes). Pour l'OL, il vaudrait mieux que ce soit all-in. À lire aussi Comment le club se prépare pour l'appel devant la DNCG Pour se maintenir, l'OL devra trouver une somme énorme Un combat hors terrain plus vif que jamais entre Mbappé et le PSG Rester ou partir, les tiraillements d'André

L'Olympique Lyonnais passera finalement mercredi devant la DNCG d'appel
L'Olympique Lyonnais passera finalement mercredi devant la DNCG d'appel

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time33 minutes ago

  • L'Équipe

L'Olympique Lyonnais passera finalement mercredi devant la DNCG d'appel

L'audition de L'Olympique Lyonnais devant la DNCG d'appel de la Fédération française de football (FFF) aura lieu mercredi et non jeudi comme il avait été envisagé un temps. L'OL passera finalement devant la DNCG d'appel de la Fédération française de football (FFF) mercredi et non jeudi. Et il sera le seul club auditionné. L'équipe rhodanienne a été reléguée en L2 à l'issue de son passage devant la Direction nationale de contrôle et de gestion (DNCG) de la Ligue le 24 juin club a fait appel en milieu de semaine dernière et travaille à monter, autour de Michele Kang et Michael Gerlinger, respectivement nouvelle présidente et nouveau DG, un dossier permettant à l'OL de se sauver. Quelque 200 millions d'euros sont attendus : 100 M€ cash et 100 sur un compte bloqué.

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