logo
Des fruits et légumes d'ici à prix réduit

Des fruits et légumes d'ici à prix réduit

La Presse24-07-2025
Quels sont les produits québécois et canadiens à prix réduit dans les supermarchés cette semaine ?
Fruits et légumes
Les récoltes de fruits et légumes du Québec et du Canada se poursuivent.
On trouve les fraises en panier de 1 L à 2,99 $ chez Maxi.
Pour de la fraîcheur à votre table, la laitue en feuilles verte ou rouge ainsi que la laitue romaine se vendent 0,85 $ chez Super C.
Pour du croquant sous la dent, le céleri est offert à 0,99 $ chez IGA.
En smoothie, les bleuets en chopine se vendent 1,49 $ chez Super C.
Le maïs est enfin arrivé : celui de deux couleurs se vend 0,44 $ l'unité chez Maxi.
Viande et volaille
Pièce délicieuse au barbecue, le filet de porc du Québec, en format économique, est offert à 4,99 $ pour 454 g, 11,00 $ le kilo, chez IGA.
Pour un repas entre amis, on trouve les ailes de poulet du Canada en format économique à 4,00 $ pour 454 g, soit 8,82 $ le kilo, chez Provigo.
Les poitrines de poulet avec dos, en format économique, se vendent 3,99 $ pour 454 g, 8,80 $ le kilo, chez Metro.
Produits laitiers
Pour se sucrer le bec, les friandises glacées Drumstick, préparées au Canada, sont offertes à 4,94 $ par boîte de 4 ou 6 cornets chez Super C.
Pour garnir votre pizza ou agrémenter votre sandwich, le fromage Sélection, en format de 400 g ou en tranches en format de 210 ou 230 g, se vend 4,44 $.
En sauce ou pour tout simplement verser dans votre café, la crème Québon, en format de 473 ml (crème à cuisson 35 %) et de 1 L (crème à café 10 %), se trouve à 3,00 $ chez Provigo. La marque Québon appartient à la coopérative québécoise Agropur. Ses produits sont transformés notamment à l'usine de Granby.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Des producteurs poursuivent l'Écodep La Générale
Des producteurs poursuivent l'Écodep La Générale

La Presse

timean hour ago

  • La Presse

Des producteurs poursuivent l'Écodep La Générale

Un charmant dépanneur montréalais est au cœur d'une triste histoire : de nombreux fournisseurs et ex-employés allèguent que le commerce leur doit de l'argent pour factures non payées ou salaires non versés. « Comment peux-tu te vanter d'encourager l'industrie locale quand tu ne payes même pas les producteurs ? », lance Émile Robert, copropriétaire de la cidrerie Le Somnambule, à propos de l'Écodep La Générale, de l'avenue Laurier, à Montréal. L'histoire, qui implique des sommes en apparence négligeables, illustre les obstacles auxquels peuvent faire face de jeunes entreprises en démarrage. Le commerce de quartier établi sur l'avenue Laurier est dans la tourmente. Des petits producteurs se sont tournés vers les tribunaux pour récupérer des sommes que la propriétaire ne leur aurait pas payées ; d'autres disent encore espérer récupérer leur argent pour leurs vins, cidres, hydromels, kimchis et autres produits locaux ou écoresponsables. PHOTO MARCO CAMPANOZZI, ARCHIVES LA PRESSE La propriétaire de l'Écodep, Marie Moubarac, en 2022 Car c'est la vocation de ce dépanneur innovant qui avait bénéficié d'une belle couverture dans la section Affaires de La Presse à ses débuts, en 2022. L'instigatrice du concept, Marie Moubarac, avait alors expliqué qu'elle choisissait toujours le produit le plus durable ou responsable pour ainsi reproduire le dépanneur classique. Le consommateur n'a pas à se poser de questions, il fait son achat en sachant que quelqu'un a fait le travail de recherche pour lui. Marie Moubarac est catégorique : dans une entrevue accordée à La Presse pour donner son point de vue sur cette situation, elle assure qu'elle va payer les sommes dues à tous les fournisseurs qui lui réclament de l'argent. « Mon intention est de payer chaque personne », insiste la détaillante qui précise avoir de bonnes relations avec la majorité de ses fournisseurs. Charmés L'approche du commerce mis sur pied par Mme Moubarac avait séduit plusieurs petits producteurs. « Des commerces comme celui-là, c'est notre pain et notre beurre, poursuit Émile Robert. Des dépanneurs de quartier avec des alcools, des vins locaux et des produits régionaux, ça représente la majorité des points de vente avec lesquels on a l'habitude de faire affaire. » Or, les choses ont tourné au vinaigre pour le producteur de cidre et plusieurs autres fournisseurs qui disent attendre des paiements depuis des mois, voire des années. Les sommes réclamées, souvent petites, peuvent faire une différence dans la trésorerie d'un artisan producteur. PHOTO MARCO CAMPANOZZI, ARCHIVES LA PRESSE L'Écodep La Générale lors de la visite de La Presse en 2022 Émile Robert se rappelle que les premiers contacts avec la détaillante ont été bons, ce qui a mené à une première commande de 366 $ en 2022. Le commerce a 30 jours pour payer sa facture, c'est une pratique courante. Selon les factures consultées par La Presse, l'Écodep a passé une seconde commande durant ce délai. Émile Robert, en confiance, fait une deuxième livraison (valeur de 646 $) sans avoir reçu le paiement de la première. Et les 30 jours arrivent. Et le temps passe. Et les contacts se dissolvent. Plusieurs autres entrepreneurs nous ont raconté des histoires semblables à propos de leur relation avec l'Écodep La Générale qui s'est terminée dans le silence, alors qu'ils étaient en quête de paiement. Au total, pour ce reportage, nous avons discuté avec plus d'une vingtaine de producteurs. Tous avaient eu des problèmes de paiement avec ce commerce ; la plupart attendent encore de l'argent. Ils réclament quelques centaines de dollars ; quelques-uns parlent plutôt de sommes entre 1000 $ et 2000 $. « Pour des petites entreprises, 1000 $, c'est 1000 $. C'est beaucoup d'argent pour nous. Même si ça fait longtemps qu'on est en affaires, nous sommes une entreprise familiale », dit Tamar Panossian, qui a cofondé 57 Végane en 2014 et qui réclame plus de 1000 $ à l'Écodep. La relation s'est aussi détériorée avec plusieurs vignerons, dont certains ont entrepris des démarches devant la justice. Le vigneron Zaché Hall, de l'Espiègle, l'a fait après plusieurs interventions infructueuses, dont des visites au petit dépanneur pour recevoir ses paiements. D'autres vignobles québécois ont aussi décidé de poursuivre aux petites créances et ont obtenu gain de cause : La Seigneurie de Liret de l'île d'Orléans, le Grand St-Charles de Saint-Paul-d'Abbotsford et le Domaine du P'tit Bonheur de Cowansville. Des fournisseurs de tous les horizons Il n'y a pas que des producteurs d'alcool qui réclament de l'argent à l'Écodep La Générale. Le fabricant de wontons Teochew Foodie vient d'obtenir un jugement du tribunal en sa faveur – pour 720 $ plus les intérêts et les frais. La décision date du mois de juin 2025 et reste à exécuter. Le fabricant a entrepris des démarches en ce sens. L'entreprise de Rozi Bertrand produit les jeux de conversation Cul-de-Sac. Elle fait partie de celles qui ont décidé de déposer un dossier devant la division des petites créances de la Cour du Québec, par principe. « C'est inacceptable, des gens qui abusent de petites entreprises », déclare Rozi Bertrand en entrevue. Je savais que ça allait nous coûter plus cher que le montant qu'elle nous devait, qui est minime. Mais c'est dans ma nature : justice devait être rendue. Rozi Bertrand, productrice des jeux Cul-de-Sac L'entreprise de Rozi Bertrand réclame 281 $ à l'Écodep. Dans les documents déposés au palais de justice de Montréal, que La Presse a consultés, on voit bien la détérioration des relations entre Marie Moubarac et les créatrices du jeu Cul-de-Sac. La poursuite contient des captures d'écrans d'échanges au départ très joyeux. À la fin, les requérantes ne reçoivent plus de réponses de la détaillante. « On est contents qu'au moins ça se sache pour prévenir de nouveaux fournisseurs », dit Hugo Ferra, d'Oflore, qui dit attendre un paiement de près de 800 $ depuis plus d'un an. En entrevue, Marie Moubarac n'a pas été en mesure d'évaluer le nombre de producteurs qui attendent toujours des paiements. Les employés aussi Des employés du commerce ont été témoins du ras-le-bol des producteurs, et parfois de visites impromptues de certains qui voulaient récupérer leur marchandise. Claire Margaritelli a commencé à travailler au petit dépanneur de l'avenue Laurier au mois d'août 2024. La Française travaillait au Québec avec un visa vacances-travail. La mission de l'Écodep La Générale cadrait avec ses valeurs. Elle a beaucoup aimé l'expérience au départ. « Je me suis sentie bien accueillie, dit-elle. Puis j'ai commencé à recevoir des appels de fournisseurs qui disaient qu'ils attendaient des paiements, raconte l'ex-employée. Plusieurs fois par jour. » Trois autres ex-employés ont confirmé avoir été témoins de telles situations. « Beaucoup de petites entreprises venaient chercher leur argent », dit Charles Bourdeau qui a travaillé quelques mois à l'Écodep. Une fois, un monsieur est venu et il a pris du stock dans le magasin, car il n'avait pas été payé. J'ai appelé Mme Moubarac après. Charles Bourdeau, ancien employé de l'Écodep Les quatre employés avec qui La Presse a discuté ont tous déposé des plaintes devant la Commission des normes, de l'équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST). Ils allèguent que l'Écodep La Générale leur doit encore une partie de salaire non versée et réclament entre 1000 $ et 2500 $. Ils nous ont transmis des échanges avec leur ex-patronne qui s'excuse des retards pour des causes exceptionnelles et annonce un versement à venir. L'Écodep La Générale a déjà été condamné à verser plus de 12 000 $ dans d'autres dossiers l'opposant à la CNESST pour la période entre juin 2024 et février 2025, révèlent des documents de la Cour du Québec. Une affaire complexe Nous avons parlé à Marie Moubarac le 31 juillet. Elle a évoqué des difficultés personnelles ainsi que les nombreux défis inhérents au fait d'être une entrepreneure propriétaire d'un petit commerce lors de cet entretien. Elle a également publié un message sur la page Facebook du dépanneur le soir de notre entrevue. Dans son message, Mme Moubarac explique que son commerce a dû affronter des actes criminels. Malgré ce « climat de peur et de haine », le détaillant réaffirme son « engagement à trouver une issue constructive ». Dans un message subséquent envoyé à La Presse, elle réaffirme que son objectif est de payer les salaires en sursis « dans les meilleurs délais et de régler les différends avec les fournisseurs par les voies légales appropriées, dans le respect des procédures ».

Statistique Canada publiera les chiffres de l'emploi de juillet
Statistique Canada publiera les chiffres de l'emploi de juillet

La Presse

timean hour ago

  • La Presse

Statistique Canada publiera les chiffres de l'emploi de juillet

Un sondage Reuters mené auprès d'économistes prévoit une création de 13 500 emplois pour le mois dernier, mais aussi une légère remontée du taux de chômage à 7 %. Statistique Canada publiera les chiffres de l'emploi de juillet (Ottawa) Statistique Canada va publier vendredi matin de nouvelles données sur l'emploi pour juillet. Craig Lord La Presse Canadienne Un sondage Reuters mené auprès d'économistes prévoit une création de 13 500 emplois pour le mois dernier, mais aussi une légère remontée du taux de chômage à 7 %. Le rapport sur l'emploi de juin a révélé une hausse inattendue de 83 000 postes. Jusqu'à présent, les secteurs sensibles aux droits de douane, comme le secteur manufacturier, ont largement supprimé des emplois, tandis que les employeurs de certains autres secteurs continuent d'augmenter leurs effectifs. Ces nouveaux chiffres sur l'emploi marqueront la première publication de données importantes pour juillet. Ils permettront aux prévisionnistes de savoir si les signes de dynamisme économique observés en juin se sont maintenus au début du troisième trimestre, selon BMO Marchés des capitaux. La Banque du Canada surveillera attentivement les chiffres de l'emploi après avoir maintenu son taux directeur à 2,75 % la semaine dernière, pour une troisième fois consécutive.

Les négociations se poursuivent après l'entrée en vigueur des nouveaux droits de douane
Les négociations se poursuivent après l'entrée en vigueur des nouveaux droits de douane

La Presse

time21 hours ago

  • La Presse

Les négociations se poursuivent après l'entrée en vigueur des nouveaux droits de douane

Les nouveaux droits de douane, entrés en vigueur à 0 h 01 (heure de l'Est), une semaine après la signature du décret par le président américain, viennent remplacer, pour les économies concernées, ceux de 10 % appliqués depuis avril sur quasiment tous les produits entrant aux États-Unis. Les négociations se poursuivent après l'entrée en vigueur des nouveaux droits de douane (Washington) Des États continuent jeudi de négocier avec Washington dans l'espoir de réduire l'impact des surtaxes massives désormais imposées sur leurs produits par Donald Trump, qui entend remodeler le commerce international au profit des États-Unis. Erwan LUCAS Agence France-Presse Ce qu'il faut savoir De nouveaux droits de douane américains sur les produits en provenance de dizaines de pays sont entrés en vigueur jeudi à 0 h 01 ; Ces surtaxes se situent dans une large fourchette, comprise entre 15 % et 41 % ; Ces droits de douane remplacent ceux de 10 % appliqués depuis avrils sur quasiment tous les produits entrant aux États-Unis ; Faute d'accord, le Canada écope de droits de douane de 35 % sur les produits qui ne sont pas couverts par l'accord commercial entre le Canada, les États-Unis et le Mexique (ACEUM) ; Seulement sept accords ont été conclus avec les États-Unis, notamment par l'Union européenne, le Japon et le Royaume-Uni. Appliquées depuis 0 h 01 (0 h 01 heure de l'Est) ces surtaxes viennent remplacer, pour les principaux partenaires commerciaux des États-Unis, les droits de douane de 10 % mis en place en avril, qui restent cependant en vigueur pour plus d'une centaine de pays. Elles ont pour but, selon le président américain, de rééquilibrer les échanges entre les États-Unis et ses partenaires, qui « profitent » d'après lui de la première puissance économique. « Il est minuit ! ! ! Des milliards de dollars de droits de douane affluent maintenant vers les États-Unis d'Amérique », a-t-il claironné sur son réseau Truth Social quelques minutes après l'échéance. CAPTURE D'ÉCRAN TRUTH SOCIAL Ces surtaxes se situent dans une large fourchette, comprise entre 15 % et 41 %. Parmi les partenaires visés par les taux les plus élevés, la Suisse tentait toujours ces derniers jours de négocier avec Washington, dans l'espoir de faire baisser la surtaxe de 39 % désormais appliquée aux produits helvétiques. PHOTO JONATHAN ERNST, ARCHIVES REUTERS Le président américain, Donald Trump En signe de bonne volonté, Berne a annoncé jeudi ne pas envisager « pour l'instant » de représailles sur les produits américains. Autres surtaxes à venir Le gouvernement sud-africain a annoncé de son côté que le président Cyril Ramaphosa s'était entretenu mercredi avec son homologue américain, Pretoria assurant que « les deux dirigeants se sont engagés à poursuivre leurs discussions ». L'Afrique du Sud est le pays d'Afrique subsaharienne le plus durement visé, avec des droits de douane additionnels de 30 % désormais imposés sur ses exportations. Avant l'entrée en vigueur de ces nouvelles taxes, le taux effectif moyen appliqué aux produits entrant aux États-Unis était déjà de 18,4 %, soit le plus élevé depuis 1933, selon le centre de recherche Budget Lab de l'Université Yale. Ce taux devrait maintenant s'établir à près de 20 %, selon les analystes de Pantheon Macroeconomics. Et de nouvelles annonces sont attendues, puisque le locataire de la Maison-Blanche souhaite également taxer les produits pharmaceutiques et les semiconducteurs importés. Ces derniers, ainsi que les puces, devraient se voir appliquer une taxe de 100 %, a-t-il précisé mercredi. Wall Street n'a malgré tout pas semblé particulièrement inquiète devant cette nouvelle étape, les indices à la Bourse de New York ouvrant en hausse jeudi, suivant la tendance observée sur les marchés européens. Impact économique attendu Les investisseurs estiment que l'entrée en vigueur de ces droits de douane apporte plus de certitudes et observent qu'un certain nombre d'exceptions ont été ajoutées, selon les pays, réduisant l'amplitude des surtaxes. Pour l'heure, alors que le gouvernement américain assurait que « des dizaines d'accords » seraient signés ces derniers mois, tout juste sept se sont matérialisés, notamment avec l'UE, le Japon ou le Royaume-Uni. Il s'agit le plus souvent de pré-accords, devant être formalisés, accompagnés de promesses d'investissements massifs aux États-Unis. Signe que tout ne semble pas encore finalisé, Tokyo et Washington exprimaient ces dernières heures une lecture différente sur la manière dont les 15 % sont désormais appliqués sur les produits japonais. Le Japon y voit un plafond (si les droits de douane antérieurs étaient inférieurs à 15 %), alors que les États-Unis soulignaient qu'ils venaient s'ajouter aux taxes pré-existantes. La trêve dans la guerre commerciale avec la Chine reste également en vigueur, les deux premières économies mondiales s'étant accordées le mois dernier sur le maintien d'une pause tarifaire afin de poursuivre leurs négociations : les droits de douane supplémentaires américains sur les produits chinois sont fixés temporairement à 30 %, tandis que les taxes chinoises sur les importations américaines restent à 10 %. Le président Trump a vanté les mérites des accords déjà conclus, qui gonflent les recettes publiques d'une économie largement endettée. Son secrétaire au Commerce, Howard Lutnick, a ainsi déclaré jeudi sur Fox Business que les nouveaux droits de douane pourraient rapporter aux États-Unis 50 milliards de dollars chaque mois. « Ce sont des chiffres incroyables. Et personne ne riposte », a-t-il vanté. L'impact de ces taxes sur les importations continue cependant d'inquiéter les économistes, qui les voient nourrir l'inflation et ralentir la croissance aux États-Unis, avec des effets sur l'emploi.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store