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Rugby Championship : la liste des All Blacks dévoilée avec un nouveau et des retours

Rugby Championship : la liste des All Blacks dévoilée avec un nouveau et des retours

Le Figaro04-08-2025
La liste du groupe qui disputera le prochain Rugby Championship a été dévoilée. Le troisième-ligne Simon Parker a été sélectionné pour la première fois.
Le troisième ligne aile Simon Parker a été sélectionné pour la première fois dans l'équipe des All Blacks lundi. Tamaiti Williams et Wallace Sititi, eux, ont fait leur retour dans l'équipe pour le Rugby Championship après avoir manqué la série de matchs contre le XV de France en juillet en raison de blessures.
Parker est le seul joueur non capé sélectionné par Scott Robertson dans l'équipe de 36 joueurs, bien que le pilier débutant Tevita Mafileo, le demi de mêlée Kyle Preston et l'arrière polyvalent Leroy Carter aient été nommés pour remplacer les blessés lors du voyage en Argentine.
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Christie remplace Roigard
« Simon Parker a réalisé une saison impressionnante en Super Rugby avec les Chiefs et apporte un ensemble de compétences et une densité précieux avec lesquelles nous sommes impatients de travailler », a déclaré Robertson dans un communiqué de presse.
« Il est capable de jouer au poste de numéro huit et a acquis de l'expérience dans plusieurs équipes de Nouvelle-Zélande. Nous pensons donc qu'il est prêt à passer à l'étape supérieure. » Parker rejoindra une belle floppée de troisième-lignes, composée de Samipeni Finau, Ardie Savea, Du'Plessis Kirifi, Sititi, Peter Lakai et Luke Jacobson.
Finlay Christie a lui été désigné comme remplaçant au poste de demi de mêlée à la suite de l'annonce que Cameron Roigard, qui avait débuté deux des trois tests contre la France en juillet, serait absent pendant un certain temps en raison d'une fracture de fatigue au pied droit.
Le pilier Ofa Tu'ungafasi, le talonneur Asafo Aumua et l'arrière Stephen Perofeta n'étaient pas disponibles pour la sélection en raison de blessures. « Même si nous sommes clairement déçus pour nos joueurs qui se remettent actuellement de leurs blessures, cela a également créé des opportunités pour un certain nombre de joueurs méritants, notamment Tevita Mafileo, Kyle Preston et Leroy Carter, qui n'ont encore jamais été sélectionnés », a ajouté Robertson.
« Ces joueurs ont mérité cette opportunité grâce à leurs performances régulières, et nous savons qu'ils sauront la saisir. Nous sommes impatients de voir ce qu'ils apporteront à l'équipe». Les All Blacks affronteront les Pumas à Cordoba le 16 août, puis à Buenos Aires une semaine plus tard, pour tenter de reconquérir le titre du Rugby Championship détenu par l'Afrique du Sud.
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« Nous avons devant nous des matchs extrêmement passionnants et difficiles, et nous sommes impatients de nous retrouver et de nous mettre au travail, en commençant par deux tests contre une équipe très forte, les Los Pumas », a ajouté Robertson.
L'effectif complet des All Blacks pour le Rugby Championship
Les avants : Codie Taylor, Samisoni Taukei'aho, Brodie McAlister, Ethan de Groot, Tamaiti Williams, Ollie Norris, Tyrel Lomax, Fletcher Newell, Pasilio Tosi, Scott Barrett, Patrick Tuipulotu, Tupou Vaa'i, Fabian Holland, Samipeni Finau, Simon Parker, Ardie Savea, Du'Plessis Kirifi, Wallace Sititi, Peter Lakai, Luke Jacobson
Les trois-quarts : Cortez Ratima, Cameron Roigard, Noah Hotham, Beauden Barrett, Damian McKenzie, Anton Lienert-Brown, Jordie Barrett, Quinn Tupaea, Billy Proctor, Timoci Tavatavanawai, Rieko Ioane, Caleb Clarke, Sevu Reece, Emoni Narawa, Will Jordan, Ruben Love
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Rugby Championship : Kolisi change de poste avec l'Afrique du Sud pour affronter l'Australie
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time8 hours ago

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Rugby Championship : Kolisi change de poste avec l'Afrique du Sud pour affronter l'Australie

Rarement titularisé en numéro huit, Siya Kolisi sera aligné à ce poste ce samedi pour le début du Rugby Championship face aux Wallabies. Manie Libbok a été titularisé à l'ouverture et le capitaine Siya Kolisi au poste de numéro huit pour la première fois au sein de l'équipe d'Afrique du Sud qui défiera l'Australie ce samedi à l'Ellis Park pour le compte de la première journée de Rugby Championship. Les Springboks, champions du monde, visent une cinquième victoire consécutive contre les Wallabies, tout en cherchant à conserver leur couronne de l'hémisphère sud remportée l'année dernière. Le demi de mêlée Grant Williams épaulera Libbok, avec le solide Andre Esterhuizen au centre et Jesse Kriel en numéro 13. Le trio arrière comprend l'arrière Aphelele Fassi, Kurt-Lee Arendse et Edwill van der Merwe aux ailes. Kolisi passe au poste de numéro huit après avoir joué une grande partie de la saison du United Rugby Championship à ce poste pour les Sharks, avec Marco van Staden et Pieter-Steph du Toit à ses côtés. Les vétérans Eben Etzebeth et Lood de Jager forment la paire de deuxièmes lignes, tandis que le talonneur Malcolm Marx est épaulé par les piliers Ox Nche et Wilco Louw. Publicité « Nous avons testé différentes combinaisons de joueurs pendant les matchs internationaux de juillet et lors de notre stage de préparation physique ces deux dernières semaines, et nous pensons que cette équipe nous permettra de jouer le type de rugby que nous voulons pratiquer contre l'Australie », a déclaré Erasmus. « Tous les titulaires, à l'exception d'Edwill (Van der Merwe, ailier, NDLR), les ont déjà affrontés, et nous sommes convaincus qu'il est prêt à relever ce défi. » Polyvalence Le centre Damian De Allende est absent pour cause de blessure et l'ailier Cheslin Kolbe n'a pas été sélectionné par mesure de précaution, bien qu'il ait repris l'entraînement la semaine dernière. Erasmus, qui a reporté l'annonce de la composition de son équipe à lundi, a opté pour un banc en 5-3 -5 avants et 3 trois-quarts), ce qui confirme l'intention des Springboks de privilégier le jeu au sol. Le demi de mêlée Cobus Reinach, l'ailier/centre Canan Moodie et l'arrière polyvalent Damian Willemse sont les trois options disponibles en ligne arrière. « Ils (l'Australie) sont une équipe physique et bien entraînée, et nous ne sous-estimerons certainement pas à quel point leurs performances (contre les Lions britanniques et irlandais), combinées à leur motivation à rebondir fortement contre nous après les derniers résultats entre les deux équipes et à remporter leur tout premier match à Ellis Park, les inspireront », a déclaré Erasmus. La composition des Springboks 15–Aphelele Fassi, 14–Edwill van der Merwe, 13–Jesse Kriel, 12–Andre Esterhuizen, 11–Kurt-Lee Arendse, 10–Manie Libbok, 9–Grant Williams, 8–Siya Kolisi, 7–Pieter-Steph du Toit, 6–Marco van Staden, 5–Lood de Jager, 4–Eben Etzebeth, 3–Wilco Louw, 2–Malcolm Marx, 1–Ox Nche Les remplaçants : 16–Bongi Mbonambi, 17–Jan-Hendrik Wessels, 18–Asenathi Ntlabakanye, 19–Franco Mostert, 20–Kwagga Smith, 21–Cobus Reinach, 22–Canan Moodie, 23–Damian Willemse.

Ferveur, histoire, joueurs emblématiques... L'OM, « le plus argentin des clubs français »
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time3 days ago

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Le recrutement, cet été, de Facundo Medina a un peu plus renforcé les liens passionnels entre l'OM et l'Argentine, dont les racines sociétales remontent au XIXe siècle. Lors de sa présentation, début juillet, Facundo Medina a glissé ces quelques mots, en français dans le texte : « J'ai passé cinq ans à Lens, j'étais content mais ici, le stade et les supporters sont incroyables. Je connais déjà car c'est un peu pareil qu'en Argentine. » Il n'en fallait pas plus pour parfaire son opération séduction auprès du public marseillais et rappeler combien ses compatriotes y ont toujours, et de plus en plus, occupé une place particulière. Premier buteur de la préparation, Medina est devenu le 25e joueur argentin de l'histoire de l'OM et rejoint, dans l'effectif actuel, le gardien Geronimo Rulli et le capitaine Leonardo Balerdi. Sans oublier Neal Maupay, né d'un père français et d'une mère argentine, et qui détient la double nationalité depuis 2013. « Medina va renforcer la défense, c'est top », se réjouit Raoul Noguès. À 73 ans, l'ex-milieu offensif, né en Argentine et resté vivre dans le Sud de la France après sa carrière, continue à suivre les aventures de son ancien club (1974-1977), avec lequel il a remporté une Coupe en 1976. Rulli déclare sa flamme à l'OM À l'époque, dans les années 1970, une première vague d'Argentins avait rallié Marseille dans son sillage : Alfonso Troisi, Hector Yazalde ou encore le futur champion du monde 1978 Norberto Alonso. « Les ADN marseillais et argentin se ressemblent, observe Noguès. Le climat, d'abord, est assez semblable, avec beaucoup de soleil. Et puis il y a la passion, la façon de ressentir le football, l'exigence des fans... » « On retrouve, entre Marseille et l'Argentine, une même frénésie, un esprit de conquête à travers le football, qui font que la vie des cités tourne autour des clubs » Christian Bromberger, ethnologue Et Noguès d'illustrer : « C'est-à-dire qu'on vit pleinement quand on est à l'entraînement, dans la rue comme au restaurant. En Argentine, si vous n'êtes pas au niveau, ils vous le font sentir tout de suite. C'est pareil à Marseille. Si ça va bien, tout est parfait. Si ça va mal, ils viennent vous voir à la sortie du terrain. Ils mettent beaucoup de pression. Mais pour les Argentins, ce n'est pas un grand problème parce qu'on est formés comme ça depuis tout petit. C'est pour ça que les Argentins s'adaptent très bien ici. » On ne peut pas non plus affirmer que tous ont réussi. Bon nombre d'entre eux ont connu des passages éphémères et anonymes, y compris récemment. Des attaquants comme Christian Gimenez et Dario Benedetto ont déçu. Quand, à l'inverse, des joueurs comme Renato Civelli, Lucas Ocampos et Balerdi ont fini par gagner le coeur des supporters grâce à leur persévérance et leur hargne, la « garra » en VO. « Mais la bascule, ce sont les arrivées de Gabriel Heinze et de Lucho Gonzalez, en 2009, qui ont acquis une vraie autorité », souligne le sociologue Ludovic Lestrelin, auteur de plusieurs travaux sur l'OM. La décennie suivante est, elle, incarnée par un entraîneur, Marcelo Bielsa, entre 2014 et 2015, puis via Jorge Sampaoli (mars 2021-juillet 2022). « La tactique de Bielsa, tournée vers l'offensive, a enchanté les Marseillais au nom de la devise "Droit au but", analyse l'ethnologue Christian Bromberger. On retrouve, entre Marseille et l'Argentine, une même frénésie, un esprit de conquête à travers le football, qui font que la vie des cités tourne autour des clubs. » Salim Lamrani le rejoint : « L'Olympique de Marseille est le plus argentin des clubs français. » « Ce sont deux peuples très fiers de leur identité, au caractère bien trempé, anticonformistes, souvent rebelles face à l'autorité » Salim Lamrani, ancien interprète de Marcelo Bielsa et maître de conférences en civilisation hispano-américaine Ce dernier, ancien interprète de Bielsa et maître de conférences en civilisation hispano-américaine, évoque « un lien spirituel profond » : « Un Argentin se reconnaît immédiatement dans le caractère du peuple marseillais : son tempérament, sa fierté exacerbée, ses excès et sa passion dévorante pour le football. Ce sont deux peuples très fiers de leur identité, au caractère bien trempé, anticonformistes, souvent rebelles face à l'autorité. Marseille est souvent considérée comme une ville à part, différente du reste de la France, avec une culture populaire affirmée et un esprit frondeur. L'Argentine, de son côté, est également un pays singulier en Amérique latine, animé d'un patriotisme fort, mais historiquement ouvert aux peuples venus d'ailleurs. » Chercheur associé à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Thibault Bechini a consacré sa thèse aux migrations italiennes entre Marseille et Buenos Aires. « Dans les années 1870, ce sont les deux villes dans le monde qui ont accueilli le plus d'Italiens, retrace-t-il. Cela a vraiment laissé une marque importante, dans la proximité culturelle et la mentalité. Cela va de pair avec le fait que ce sont aujourd'hui deux villes très populaires, ouvertes sur le monde, avec du brassage et des flux continus. Elles ont aussi pour point commun d'avoir été prospères dans la première moitié du XXe siècle avant de connaître de graves difficultés économiques. Les clubs sont devenus des éléments centraux de leur identité et une manière de se raccrocher à quelque chose de positif. » L'équipe type des Argentins de l'OM Des années 1860 jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, Marseille était une étape incontournable et facilement accessible sur la route maritime vers l'Argentine, dans le transport de personnes et de marchandises. « Tant qu'il y a eu des lignes de navigation régulières, reprend l'universitaire, les deux ports étaient extrêmement liés. Des familles se retrouvaient partagées entre Marseille et Buenos Aires en fonction de l'inversion des saisons. C'est ainsi que le foot est devenu un vecteur d'intégration très fort pour toutes ces populations nouvelles qui ont débarqué dans l'une et l'autre ville au fil du XXe siècle. Toute une sociabilité s'est construite autour des parties de quartier, puis en allant voir les matches ensemble au bar du coin à l'apparition des premiers téléviseurs. » L'ombre de Maradona Plus tard, cette relation fusionnelle sera également entretenue par le mythe de la vraie-fausse signature de la légende Diego Maradona à l'été 1989, malgré un pré-accord avec Bernard Tapie, qui se rabattra avec succès sur Enzo Francescoli, Uruguayen de naissance mais idole de River Plate et très vite adopté par le peuple phocéen. Ce n'est pas un hasard si une délégation du club lui a rendu visite au printemps dernier, lors d'un séjour à Buenos Aires. Dix-neuf ans plus tôt, en 2006, Roland Desroches, ex-figure des South Winners, décédé en 2021, s'était lui aussi rendu en pèlerinage en Argentine, pays dont il était devenu fan, et avait rencontré son héros, Maradona. Camille, un des fondateurs du groupe dans les années 1980 et ami de Desroches, dont le frère est l'un des capos actuels, confie : « Petit à petit, on s'est intéressés à l'Argentine avec Maradona, qui a marqué toute une génération, un personnage fantasque, fort et faible à la fois, une alchimie entre des qualités exceptionnelles et des défauts immenses. Toutes ces contradictions nous plaisaient. » Encore aujourd'hui, le « Che Guevara » demeure l'un des emblèmes des Winners et les groupes, à l'image des Fanatics, ont perpétué la tradition argentine, comme celle des « papelitos », ces lamelles de papiers lancées à l'entrée des joueurs. « Les ultras marseillais se sont d'abord référés aux cultures italienne et grecque, car il y avait des échanges et une proximité géographique, mais il y a ensuite eu un jeu de distinction, une volonté d'aller chercher des références ailleurs, plus lointaines, à Boca Juniors notamment, grâce à l'émergence d'Internet, complète Ludovic Lestrelin. On retrouve ce même imaginaire autour de la force de caractère et de l'ascension sociale des joueurs, ce côté bouillonnant et cette ferveur déraisonnable, au stade et en dehors. Mais l'OM est tellement cosmopolite qu'on ne peut pas tout résumer à cette seule culture. » La preuve : depuis, un voisin brésilien, Igor Paixao, a signé.

Sofiane Oumiha affronte un Costaricain en Lybie pour un titre international professionnel des légers
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L'Équipe

time5 days ago

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Sofiane Oumiha affronte un Costaricain en Lybie pour un titre international professionnel des légers

Vice-champion olympique 2024 des -63,5 kg, Sofiane Oumiha affrontera le Costaricain Francisco Fonseca pour un titre international professionnel des légers, vendredi soir à Benghazi (Lybie). La réunion est organisée sous le contrôle de la fédération argentine de boxe dans le cadre du gala annuel de la WBA contre le dopage. Sofiane Oumiha affrontera le Costaricain Francisco Fonseca en dix rounds pour un titre international (WBA-Gold) des légers (-61,235 kg), vendredi soir à Benghazi (Lybie). La réunion, qui comprend cinq combats professionnels, est organisée sous le contrôle de la fédération argentine de boxe dans le cadre du gala annuel de la WBA (World Boxing Association) contre le dopage. Vice-champion olympique des -63,5 kg en 2024, après déjà l'argent en 2016 et trois médailles d'or aux Mondiaux amateurs, Oumiha compte se consacrer à la boxe pro où il a remporté ses six combats depuis ses débuts en février 2022. Il a également disputé quatre combats pros sous l'égide de l'IBA (fédération amateur qui n'est plus reconnue par le Comité International Olympique), ces quatre combats (3 victoires, 1 défaite face au Serbe Fedorov en novembre 2024) n'étant pas comptabilisés dans son palmarès pro. Sofiane Oumiha (30 ans, 1,78m), qui reste sur une victoire contre le Mexicain Edivaldo Ortega le 27 avril dernier à Banja Luka (Bosnie-Herzégovine), est 52e (sur 2610) sur le classement par points boxrec, Fonseca 28e. Le Costaricain (31 ans, 1,71m, 36 victoires, dont 29 avant la limite, 2 nuls, 4 défaites) est pro depuis 2013. Quatre ans plus tard, il était mis K.-O. par l'Américain Gervonta Davis pour le titre IBF des super-plume. L'année suivante, pour la même ceinture, l'Américain Tevin Farmer le battait aux points.

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