logo
Rugby : la Namibie et le Zimbabwe opposés en finale de la Rugby Africa Cup pour une place pour le Mondial 2027

Rugby : la Namibie et le Zimbabwe opposés en finale de la Rugby Africa Cup pour une place pour le Mondial 2027

Le Figaro3 days ago
La Namibie a éliminé l'Algérie, alors que le Zimbabwe a battu le Kenya. La finale aura lieu samedi prochain en Ouganda.
La Namibie et le Zimbabwe se sont qualifiés pour la finale de la Rugby Africa Cup, qui offrira un billet pour la prochaine Coupe du monde en Australie en 2027. En demi-finale, la Namibie s'est imposée face à l'Algérie (21-7) et, dans la foulée, le Zimbabwe a battu le Kenya (29-23), ce dimanche, dans ce tournoi qualificatif pour la zone Afrique qui se déroule en Ouganda. La Namibie a déjà disputé sept fois la Coupe du monde, participant à toutes éditions depuis 1999. Le Zimbabwe a, lui, pris part aux deux premières éditions, en 1987 et 1991.
La finale de la Rugby Africa Cup aura lieu samedi prochain. Le finaliste malheureux n'aura dit adieu au Mondial, mais le chemin vers l'Australie sera compliqué. Il devra disputer un barrage contre la Corée du Sud. Et, en cas de victoire, il disputera ensuite au tournoi de repêchage qui mettra aux prises quatre équipes.
Publicité
Un seul sésame pour la prochaine Coupe du monde sera décerné au vainqueur de cette compétition. Pour l'instant, la Belgique est qualifiée pour ce tournoi de repêchage, il y aura également l'équipe classée Amérique du Sud 3, le perdant du barrage Amérique du Sud/Pacifique et, donc, le vainqueur du barrage Afrique/Asie.
Résultats des demi-finales de la Rugby Africa Cup :
Algérie-Namibie : 7-21
Zimbabwe-Kenya : 29-23
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Vers deux pauses fraîcheur par mi-temps à la Coupe du monde 2026 au lieu d'une seule
Vers deux pauses fraîcheur par mi-temps à la Coupe du monde 2026 au lieu d'une seule

L'Équipe

timea day ago

  • L'Équipe

Vers deux pauses fraîcheur par mi-temps à la Coupe du monde 2026 au lieu d'une seule

Les pauses fraîcheur qui ont rythmé les matches de la Coupe du monde des clubs cet été devraient être plus nombreuses l'an prochain, lors du Mondial 2026 organisé à la même période aux États-Unis, au Canada et au Mexique. Un an avant le Mondial 2026 organisé conjointement par les États-Unis, le Canada et le Mexique, la FIFA a pu s'appuyer sur le bilan de la Coupe du monde des clubs. Les conditions météorologiques, notamment, ont été pointées du doigt, alors que les joueurs ont dû évoluer sous des températures élevées et à des horaires peu adaptés (à midi ou 15 heures). Pour y remédier, certains matches de la Coupe du monde l'an prochain pourraient avoir lieu à 9 heures du matin. Une autre solution proposée par la FIFA est la multiplication des « pauses fraîcheur » : d'une par mi-temps lors de la Coupe du monde des clubs (à la 30e et la 75e minute), elles pourraient passer à deux l'an prochain (15e, 30e, 60e et 75e). Alors que seuls 5 des 16 stades retenus pour le Mondial 2026 sont couverts et/ou climatisés (à Atlanta, Vancouver, Los Angeles, Dallas et Houston), ces pauses devraient permettre de soulager les organismes des joueurs tout en représentant une aubaine pour les publicitaires.

Ex-All Black, toujours boxeur, Sonny Bill l'intranquille entre gloire et quête intérieure
Ex-All Black, toujours boxeur, Sonny Bill l'intranquille entre gloire et quête intérieure

L'Équipe

timea day ago

  • L'Équipe

Ex-All Black, toujours boxeur, Sonny Bill l'intranquille entre gloire et quête intérieure

Double champion du monde avec les All Blacks, ex-star du XIII, le néo-zélandais Sonny Bill Williams n'a plus rien à prouver côté sport. Pourtant, il semble en avoir encore à prouver à lui-même : à bientôt 40 ans, il disputera un 11e combat de boxe pro, mercredi à Sydney. Il y a presque dix ans, en octobre 2015, Sonny Bill Williams remportait sa deuxième Coupe du monde consécutive de rugby avec la Nouvelle-Zélande. Dès le match d'ouverture face à l'Argentine, il était entré à la 46e minute et avait effectué pas moins de 11 passes après contact en 34 minutes. Preuve de son brio. Ce joueur né à Auckland, doté d'un beau gabarit (1,91 m pour 110 kg), a su imposer son style en rugby : attaquer la ligne, mobiliser l'attention des défenseurs puis étendre ses longs bras pour assurer la passe à un coéquipier venu à sa hauteur. À Twickenham, en 2015, durant le tour d'honneur des All Blacks, un môme qui était entré sur le terrain pour le saluer s'était fait plaquer par un stadier. Sonny Bill Williams l'avait pris dans ses bras puis lui avait offert sa médaille. « Le coach m'a dit après coup qu'elle était en or véritable, confessait SBW. Bof, tant pis... La médaille ne fait pas tout. J'étais fier d'avoir gagné, je me suis dit : "Pourquoi ne pas faire la soirée de ce petit gars ?" Il pourra raconter l'histoire à ses enfants. C'est mieux que de la laisser prendre la poussière suspendue à un mur. » Inconnu en France, star en Australie Détaché des apparats et de ce titre de champion du monde d'un sport qu'il avait découvert sept ans auparavant au RC Toulon. C'est Mourad Boudjellal qui avait fait venir SBW en 2008, il était inconnu en France, mais une star du rugby à XIII en Australie. Un centre alliant puissance brute, agilité et intelligence de jeu, devenu l'attraction de la National Rugby League (NRL) australienne. Entre rugby à XV et XIII, Sonny Bill Williams a multiplié les aller-retours, comme s'il refusait de se laisser enfermer. Il a remporté le Super Rugby en 2012 avec les Chiefs et un titre de NRL avec les Sydney Roosters en 2013, cumulé 58 sélections avec les All Blacks, mais aussi 12 sélections avec les Kiwis, l'équipe nationale de XIII, avec laquelle il a disputé la finale de la Coupe du monde en 2013. Insatiable et soucieux de marquer le sport néo-zélandais de son empreinte, Sonny Bill Williams a aussi tenté l'expérience du rugby à 7, accumulant 12 sélections au sein des All Blacks Sevens, au point d'être sélectionné lors des Jeux olympiques de Rio en 2016. Mais dès le premier match face au Japon, il se rompt le tendon d'Achille et doit abandonner la compétition. Boulimique d'efforts, animé d'un grand besoin de reconnaissance, ce fils d'une Néo-Zélandaise et d'un Samoan avait, en parallèle, entamé une carrière en boxe professionnelle, catégorie poids lourds, dès mai 2009. Il y compte aujourd'hui dix combats (9 victoires, 1 défaite) face à des adversaires modestes, hormis le Sud-Africain Frans Botha (ancien adversaire de Mike Tyson), qu'il avait battu en dix rounds en février 2013 à Brisbane. Ou encore face à Mark Hunt, star néo-zélandaise de la boxe pied-poings, face auquel il a subi un K.O., d'une droite à la pointe du menton, en novembre 2022 à Sydney. Nouvelle-Zélande contre Australie Sonny Bill Williams n'a plus combattu depuis. Il aura 40 ans le 3 août prochain, mais s'apprête à remonter sur un ring mercredi soir à la Qudos Arena de Sydney, une arène de près de 20 000 places. En tête d'affiche. Et en pay-per-view. Il a été pesé hier soir à 106 kilos contre 105 pour son adversaire Paul Gallen. Au plan pugilistique, ce combat n'a pas grand intérêt. Malgré tous ses efforts, SBW n'est jamais parvenu à convertir l'agilité, l'explosivité et le coup d'oeil dont il faisait preuve sur le terrain entre les cordes d'un ring. Mais ce combat intrigue et fascine l'Australie, la Nouvelle-Zélande et toute l'Océanie par son storytelling : la rivalité et l'animosité avec son opposant australien, lui aussi ancienne figure du XIII. En 2013, Sonny Bill jouait pour les Bulldogs et les Roosters ; Paul Gallen, lui, était une icône des Cronulla Sharks, avec lesquels il a remporté le titre NRL en 2016. La comparaison permanente de leurs performances et de leur aura a fait naître un antagonisme d'autant plus fort que Gallen, lui aussi, s'est aventuré sur les rings, où il compte 18 combats (15 victoires, 2 défaites, 1 nul). Face à des adversaires indigents, hormis Mark Hunt _ encore lui _ qu'il a battu aux points en six rounds en décembre 2020. « Je veux boxer Sonny, mais il ne répond jamais », martelait Gallen en 2013. Diplomate, Williams répondait alors : « Je respecte Paul en tant qu'athlète, mais je choisis mes combats en fonction de ma progression. » Nouvelle punchline de Gallen en 2015 : « Sonny parle beaucoup de foi et d'honneur, mais il fuit le ring. » « Je n'ai jamais esquivé un combat. Je veux juste que ce soit le bon moment » Sonny Bill Williams Et il est revenu à la charge en 2019, conscient qu'il y a une bonne bourse à prendre vu l'enjeu médiatique : « Sonny est un bon athlète, mais pas un vrai boxeur. Il choisit des adversaires faibles. Il n'osera jamais m'affronter. Trop d'ego, trop d'image à protéger. » SBW était alors sorti de son mutisme, sur un ton plutôt défensif : « Je n'ai jamais esquivé un combat. Je veux juste que ce soit le bon moment. » En mai dernier, le combat a été signé. Donc, ces dernières semaines, Gallen a poursuivi son travail de sape mental : « Sonny parle de droiture, mais il a admis avoir pris de la drogue pour gérer le stress. » Virées de défonce prolongée Une allusion aux confessions de SBW dans sa biographie You Can't Stop the Sun from Shining, parue en 2021. Williams y confesse avoir pris des somnifères, bu de l'alcool, consommé de la cocaïne et des antidouleurs. Être aussi parfois parti en « bender », ces virées de défonce prolongée, « du vendredi soir au lundi matin ». Cette période l'a mené à un profond sentiment de vide intérieur qui explique sa quête spirituelle et sa conversion à l'islam. « T'es une ordure, t'es une merde ! » Paul Gallen au sujet de Sonny Bill Williams Comme un hacker mental et à l'aise dans le rôle du « bad guy » Gallen a porté d'autres piques lundi en accusant Sonny Bill Williams de vanter ses actions communautaires tout en profitant des petites entreprises. « Tu gagnes des centaines de milliers de dollars, t'es millionnaire - et tu fais payer les gens pour faire des critiques culinaires sur les réseaux sociaux ? Tu vas dans des petits commerces, tu es censé les aider, mais de ce qu'on m'a dit, tu les factures entre 2 000 et 3 000 dollars. T'es une ordure, t'es une merde ! » Williams est resté impassible. « Pour moi, tout se jouera mercredi sur le ring. La boxe n'est pas ma vie, le rugby non plus. Je suis moi-même, un homme libre et en quête de progrès. Ce n'est pas naturel pour moi de dénigrer quelqu'un. Je ne suis peut-être pas le meilleur boxeur, mais je sais que je peux battre ce gars. Mercredi soir, ce sera le cas. Je suis ultraconcentré, et je sais que si je le suis, je vais montrer à quel point il est limité. » À lire aussi Ils ont joué avec l'apartheid Arbitrage en mêlée : Servat analyse la frustration bleue Darricarrère-Attissogbe, la bromance du bordélique et du méticuleux Le soir où les Lions ont mangé du Coq

«Mais qu'est-ce qu'il fait ?» : quand Trump s'invite sur les photos de la remise de la Coupe du monde des clubs
«Mais qu'est-ce qu'il fait ?» : quand Trump s'invite sur les photos de la remise de la Coupe du monde des clubs

Le Figaro

timea day ago

  • Le Figaro

«Mais qu'est-ce qu'il fait ?» : quand Trump s'invite sur les photos de la remise de la Coupe du monde des clubs

LE SCAN SPORT - Le président des États-Unis, Donald Trump, est resté sur le podium au milieu des joueurs de Chelsea, «confus» au moment de soulever le trophée de la Coupe du monde des clubs remportée face au PSG. La gêne était palpable chez les joueurs de Chelsea, quelques secondes avant de soulever le trophée de la Coupe du monde des clubs. Après leur victoire en finale contre le PSG (3-0) dimanche dans le New Jersey, les Blues se sont vus remettre le trophée sur un podium installé sur la pelouse du MetLife Stadium. Le président de la Fifa, Gianni Infantino, était logiquement chargé de remettre la récompense au capitaine de Chelsea, Reece James. Il a invité Donald Trump, dont il ne cache pas être extrêmement proche, à l'accompagner. Sauf que le président des États-Unis est resté planté sur le podium alors que James s'apprêtait à soulever le trophée. Publicité Infantino a voulu le faire descendre «Je savais qu'il allait être présent, mais pas qu'il serait là au moment où on allait soulever la coupe, donc j'étais un peu confus», a réagi l'attaquant Cole Palmer. Sur les images, on peut même voir l'Anglais s'interroger à haute voix sur la présence de Trump : «Mais qu'est-ce qu'il fait ?» Sourire goguenard, Trump n'a pas bougé un orteil. «Je pensais qu'il allait partir ensuite, mais il voulait rester, a partagé James. Il nous a juste félicités, moi et l'équipe, d'avoir soulevé le trophée et nous a dit de profiter du moment.» Infantino, lui, a essayé de prendre par le bras le président américain avant que les joueurs de Chelsea ne soulèvent le trophée. En vain.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store