logo
La Riviera se lance un défi cycliste ambitieux pour la rentrée

La Riviera se lance un défi cycliste ambitieux pour la rentrée

24 Heuresa day ago
L'application Cyclomania transforme chaque trajet à vélo en points et récompenses pendant tout le mois de septembre.
Publié aujourd'hui à 16h25
Les communes de Vevey, Blonay – Saint-Légier, La Tour-de-Peilz, Montreux et Villeneuve lancent ensemble le défi cycliste Cyclomania du 1ᵉʳ au 30 septembre, comme elles l'annoncent dans un communiqué commun paru ce mercredi. Cette action ludique, organisée par l'association PRO VELO Suisse, vise à encourager la population de la Riviera vaudoise à utiliser davantage le vélo au quotidien.
Avec l'arrivée de Villeneuve dans le défi cette année, les cinq communes se fixent un objectif ambitieux: parcourir 40'000 kilomètres à vélo en un mois. En 2024, les quatre communes alors participantes avaient totalisé 23'000 kilomètres. Les personnes intéressées peuvent s'inscrire gratuitement sur l'application Cyclomania, qui permet de suivre ses déplacements à vélo et de gagner des points. Plusieurs prix seront attribués aux participantes et participants durant ce mois de défi. Un double bénéfice pour la santé et l'environnement
Les communes soulignent que cette initiative contribue à la protection du climat et de l'environnement, le vélo n'émettant ni CO₂ ni particules fines lors de son utilisation. L'action participe également à l'amélioration de la santé des citoyennes et citoyens en encourageant une pratique sportive régulière.
Le principe est simple: chaque déplacement enregistré sur l'application Cyclomania permet aux utilisatrices et utilisateurs de cumuler des points. Ces points donnent accès à différents prix qui seront tirés au sort parmi les personnes participantes. Les inscriptions et toutes les informations pratiques sont disponibles sur le site officiel . Les cinq communes espèrent que ce défi encouragera durablement la pratique du vélo dans toute la région de la Riviera.
En roue libre Newsletter
«La semaine vaudoise» Retrouvez l'essentiel de l'actualité du canton de Vaud, chaque vendredi dans votre boîte mail.
Autres newsletters
Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

La Suisse, championne d'Europe des salaires de grands patrons
La Suisse, championne d'Europe des salaires de grands patrons

24 Heures

time10 hours ago

  • 24 Heures

La Suisse, championne d'Europe des salaires de grands patrons

Un CEO d'une entreprise du SMI gagne en moyenne 8,3 millions par an. Les entreprises de taille moyenne ont augmenté la rémunération de leurs dirigeants de 37,4%. Publié aujourd'hui à 16h46 Selon Ethos, un CEO d'une entreprise du SMI gagne en moyenne 8,3 millions annuellement. Ce montant s'élèverait à 15 millions pour Sergio Ermotti, CEO d'UBS. KEYSTONE La Suisse se positionne en tête de l'Europe continentale pour la rémunération de ses dirigeants d'entreprises cotées en Bourse, révèle une analyse d' Ethos . Après une période de baisse entre 2014 et les années Covid-19, les salaires des CEO sont repartis à la hausse depuis 2020, retrouvant des niveaux comparables à ceux d'il y a dix ans. En 2024, un dirigeant d'une entreprise du SMI a perçu en moyenne 8,3 millions de francs, plaçant la Suisse derrière les pays anglo-saxons (États-Unis, Canada, Royaume-Uni), mais en tête en Europe continentale. Cette tendance haussière se confirme également pour les présidents des conseils d'administration, dont la rémunération moyenne a augmenté de 9,3%, pour atteindre 2,3 millions de francs dans les sociétés du SMI. Importante hausse pour les SMIM L'évolution la plus marquante concerne les entreprises de taille moyenne (SMIM), où les CEO ont bénéficié d'une augmentation moyenne de 37,4% par rapport à 2023, portant leur rémunération à 4,3 millions de francs. Dans les plus petites entreprises de l'indice SPI, les dirigeants ont perçu en moyenne 1,5 million de francs (+ 5,5%). Sur la durée, ce sont les moyennes et petites entreprises qui ont connu la progression la plus significative. Si les rémunérations des CEO du SMI se retrouvent approximativement au même niveau qu'il y a dix ans, celles des dirigeants du SMIM ont augmenté de 13% sur cette période, et celles des plus petites entreprises de 30%. La vigilance des actionnaires Les actionnaires continuent d'exercer leur vigilance face à ces rémunérations . Lors des assemblées générales 2025, le rapport de rémunération est resté le point le plus contesté, avec un taux d'approbation moyen de 86,9% pour les 155 entreprises du SPI ayant organisé un tel vote, soit une hausse de 1,8 point par rapport à l'année précédente. La Fondation Ethos, qui représente les intérêts d'investisseurs institutionnels orientés vers le long terme, maintient une position critique. Elle n'a recommandé d'approuver que 40,0% des rapports de rémunération et 39,9% des rapports de durabilité soumis au vote. Les critères de refus incluent notamment un manque de transparence, des montants jugés excessifs, ou une rémunération variable dépassant trois fois le salaire de base. Par ailleurs, la proportion d'entreprises qui procèdent à un vote contraignant plutôt que consultatif sur le rapport de durabilité, une exigence portée par Ethos, a progressé de 56% à 68% en un an. Cette évolution illustre l'impact positif que peut avoir l'exercice systématique des droits des actionnaires sur les pratiques de gouvernance des entreprises cotées. Le top 25 des grands patrons les mieux rémunérés Les 25 CEO les mieux rémunérés en 2024 en Suisse selon Ethos (en milliers de francs). Ethos/DR En 2024, sept CEO d'entreprises cotées à la Bourse suisse ont reçu une rémunération supérieure à 10 millions. Cette rémunération attribuée ne prend pas en compte l'effet de levier potentiel des actions et/ou options reçues dans le cadre de plan de rémunération à long terme et dont la valeur pourrait encore augmenter ou baisser en fonction de la performance financière de l'entreprise et de l'appréciation du cours. Petite surprise, la première place revient cette année au CEO de Galderma Group, une entreprise qui a justement fait son entrée en Bourse début 2024. On retrouve six dirigeants du secteur de la finance (Partners Group, UBS, Zurich Insurance Group, EFG International, Julius Bär et Swiss Re) et sept dirigeants de la pharma/chimie (Galderma Group, Novartis, Alcon, Roche, Sandoz, Givaudan et Clariant) parmi les CEO les mieux rémunérés de Suisse en 2024. La rémunération des patrons en Suisse Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Claude Béda est journaliste à la rubrique vaudoise de 24 heures. Licencié en sciences sociales et politiques, passionné par les sujets de société et la vie des gens d'ici, il a couvert plusieurs régions du canton, avant de rejoindre la rédaction lausannoise. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Les tensions douanières avec les États-Unis font chuter les taux hypothécaires en Suisse
Les tensions douanières avec les États-Unis font chuter les taux hypothécaires en Suisse

24 Heures

time12 hours ago

  • 24 Heures

Les tensions douanières avec les États-Unis font chuter les taux hypothécaires en Suisse

Les droits de douane imposés à la Suisse ont paradoxalement un effet positif sur le marché immobilier. Les investisseurs se ruent vers la sécurité, faisant baisser les rendements des obligations et, par ricochet, les taux hypothécaires. Publié aujourd'hui à 14h55 Depuis le coup de marteau des douanes, ce sont surtout les rendements des obligations de la Confédération qui baissent, ce qui pèse sur les taux d'intérêt du marché hypothécaire. KEYSTONE En bref: Les taux d'intérêt sur les prêts hypothécaires en Suisse ont continué de baisser durant la première quinzaine d'août. Toutefois, au cours des deux dernières semaines, les valeurs indicatives ont diminué plus lentement qu'immédiatement après la forte chute tarifaire du début du mois. Auparavant, un léger revirement s'était encore dessiné: les valeurs indicatives augmentaient constamment depuis fin mai. C'est ce que révèle la dernière évaluation de 20 fournisseurs de crédits hypothécaires en Suisse, que le magazine «Finanz und Wirtschaft» observe régulièrement. Comme début août, ce sont les échéances les plus longues qui ont connu la baisse la plus significative. Ces deux dernières semaines, les taux hypothécaires à dix ans ont ainsi reculé de 1,75% à 1,73% en moyenne. Il s'agit de leur niveau le plus bas depuis la mi-juin. Une première baisse de 0,05% avait déjà été observée début novembre. Du côté des taux indicatifs à cinq ans, ils ont baissé de 1,38% à 1,35%. Là aussi, il faut remonter à la mi-juin pour retrouver des offres aussi avantageuses. Ces taux avaient déjà diminué de 0,04% lors des deux premières semaines d'août. Les taux indicatifs à deux et trois ans ont reculé de 0,02% chacun, retrouvant approximativement leur niveau de début août. Les fournisseurs observés proposent désormais en moyenne 1,17% pour les hypothèques à deux ans et 1,22% pour celles à trois ans. Après avoir culminé à 0,6% à la mi-juillet, l'écart entre les taux d'intérêt fixes à dix ans et ceux à deux ans s'est légèrement réduit en août, s'établissant à 0,55%. Cette année encore, la tendance à la baisse des prêts hypothécaires à long terme devrait se poursuivre. Entre mi-2023 et mi-2024, cet écart entre les taux évoluait dans une fourchette de 0% à 0,2%. Depuis août dernier, il affiche une progression constante, malgré quelques fluctuations. Tous les taux d'intérêt fixes sur dix ans à moins de 2% À la mi-août, les meilleures offres pour les durées courtes à moyennes se trouvaient sur , une plateforme qui propose l'hypothèque en ligne de la Banque Cantonale de Glaris. Cette dernière offre des taux de 0,98% pour une durée de deux ans, 1% pour trois ans et 1,03% pour cinq ans. Pour les hypothèques à dix ans, c'est Vaudoise Assurances qui propose les meilleures conditions avec un taux de 1,49%. Aucun prestataire n'exige désormais un taux supérieur à 2% pour une durée de dix ans. La banque Raiffeisen a été la dernière à abaisser sa valeur indicative sous ce seuil, proposant 1,94%, tout comme la Banque Cantonale des Grisons. Cette dernière domine également le marché des durées courtes à moyennes, avec des taux compris entre 1,37% et 1,57%. Les taux indicatifs se basent sur les taux sans risque, comme les rendements des emprunts d'État et les taux swap. Depuis fin juillet, les rendements des obligations de la Confédération à dix ans ont toutefois chuté plus fortement que les swaps de taux d'intérêt, ce qui pourrait expliquer l'évolution des taux hypothécaires. Cette tendance suggère qu'après les mesures douanières américaines contre la Suisse, les investisseurs se tournent vers des placements plus sûrs. Traduit de l'allemand par Olivia Beuchat. Taux hypothécaires en Suisse Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters André Kühnlenz ist Redaktor im Märkteteam, er schreibt über Anleihenmärkte, Notenbanken und andere Makrofinanzthemen. Plus d'infos @KeineWunder Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

La fin d'un privilège? Les voitures électriques bientôt taxées en Suisse grâce à Rösti
La fin d'un privilège? Les voitures électriques bientôt taxées en Suisse grâce à Rösti

24 Heures

time13 hours ago

  • 24 Heures

La fin d'un privilège? Les voitures électriques bientôt taxées en Suisse grâce à Rösti

Le conseiller fédéral cherche à combler un déficit dans le fonds routier FORTA. Cette mesure pourrait freiner l'essor fragile du marché électrique suisse. Publié aujourd'hui à 14h01 L'industrie automobile s'oppose fermement à cette taxe sur l'électromobilité. Getty Images Le conseiller fédéral Albert Rösti prévoit d'introduire une taxation sur les voitures électriques à partir de 2030, selon l'«Aargauer Zeitung», relayé par «20 Minutes» . Cette mesure vise à combler un déficit imminent dans le Fonds pour les routes nationales et le trafic d'agglomération (FORTA), dont les réserves ont diminué pour la première fois en 2024, passant de 3,83 à 3,67 milliards de francs. Le marché des véhicules électriques en Suisse , qui s'est remis d'une année 2024 difficile, pourrait subir un nouveau revers avec cette proposition. Actuellement, environ un tiers des nouvelles immatriculations concernent des voitures électriques, un chiffre encore loin de l'objectif initial qui prévoyait que la moitié des véhicules seraient sans émissions d'ici à 2025. Les deux options d'Albert Rösti Le département dirigé par Albert Rösti examine deux options pour cette nouvelle taxe. La première repose sur l'autodéclaration des conducteurs qui devraient communiquer le kilométrage de leurs véhicules à une autorité. La seconde, techniquement plus complexe, utiliserait des compteurs calibrés pour mesurer l'énergie consommée annuellement. Chaque méthode soulève des questions importantes. L'autodéclaration devrait résoudre le problème du trafic transfrontalier, tandis que la méthode des compteurs pose des défis techniques, notamment pour les stations de recharge privées. Certains politiciens de droite craignent également que cette taxe n'ouvre la voie à l'introduction d'un système de tarification routière. Un taux potentiel de six francs par kilomètre (environ 35 centimes par kilowattheure) circule déjà, ce qui rendrait les voitures électriques fiscalement équivalentes aux véhicules à essence. Thomas Rücker, directeur d'Auto Suisse, s'y oppose fermement: «Il est clair qu'une taxation de la mobilité électrique sera nécessaire à long terme, mais pas dans la situation actuelle où le marché des voitures électriques est encore fragile.» Appel à un système progressif de taxation Thomas Rücker rappelle que l'introduction de la taxe d'importation en 2024 a déjà entraîné un recul de la mobilité électrique. Avec seulement 4,2% de véhicules électriques dans l'ensemble du parc automobile suisse, il plaide pour un système progressif liant le taux d'imposition à la part de marché des voitures électriques. Pour Albert Rösti, le timing sera crucial. Cette modification constitutionnelle nécessitera un vote populaire, et les taxes supplémentaires sont traditionnellement difficiles à faire accepter dans les urnes, d'autant plus que l'acceptation risque de diminuer à mesure que la proportion de conducteurs de voitures électriques augmente . Sur les voitures électriques Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Claude Béda est journaliste à la rubrique vaudoise de 24 heures. Licencié en sciences sociales et politiques, passionné par les sujets de société et la vie des gens d'ici, il a couvert plusieurs régions du canton, avant de rejoindre la rédaction lausannoise. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store