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Justin Bengui prêté par l'OL à Molenbeek une heure avant un match amical entre les deux équipes

Justin Bengui prêté par l'OL à Molenbeek une heure avant un match amical entre les deux équipes

L'Équipe23-07-2025
Le gardien de 20 ans Justin Bengui a été prêté une saison par l'Olympique Lyonnais à Molenbeek, à une heure du coup d'envoi d'une rencontre amicale entre les deux équipes ce mercredi.
C'est un transfert qui intervient dans un timing serré. Formé à l'Olympique Lyonnais, où il évolue depuis 2016, Justin Bengui a été prêté une saison au RWDM Brussels (Molenbeek), à une heure d'un match amical entre les deux équipes, qui appartiennent toutes les deux au Eagle Football Group, ce mercredi.
Prêté la saison dernière au club serbe du FK Jedinstvo Ub, le gardien de but de 20 ans n'a jamais évolué avec l'équipe première en match officiel, mais uniquement avec la réserve du club rhodanien.
Il n'était pas titulaire au coup d'envoi du match amical dans la cage des Coalisés, occupée par Bill Lathouwers. Un an après sa relégation en D2 belge, le RWDM a échoué la saison dernière à retrouver l'élite malgré une situation au départ très favorable lors de la saison régulière (le club a connu deux défaites et un nul sur les trois derniers matches alors qu'une victoire lui aurait suffi pour être promu) puis lors de la demi-finale des barrages d'accession (le RWDM menait 3-0 jusqu'à la 86e minute lors de la confrontation retour face à Lokeren, après s'être incliné 2 buts à 0 au match aller).
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Après une digestion difficile de sa 7e place jeudi lors du 100 m, Maxime Grousset se projette ce samedi sur la finale du 100 m papillon avec le meilleur chrono de la saison et de vraies ambitions de titre. On l'a quitté la mine triste et le regard vague après sa 7e place jeudi sur 100 m. Il ne savait pas encore s'il s'alignerait sur 50 m. Un peu perdu de voir son rêve de gamin se fracasser sur le mur d'une nouvelle réalité sur le crawl. Il a mal dormi, ressassant sa peine. Le lendemain matin, Michel Chrétien l'a convaincu de lâcher le 50 m. Il voulait juste faire un tour de 50 m pour « se prouver à lui-même qu'il était capable de nager vite en crawl » selon son entraîneur. Il a rendu les armes face à l'évidence de l'incohérence de son choix avec deux courses à dix minutes d'intervalle. Quand on dégage une telle impression de puissance, de maîtrise et de force en papillon, qu'on vient d'être sacré sur 50 m papillon, pourquoi s'entêter sur le crawl ? « Le 100 m, c'est la course qui le fait rêver, répond le coach. Quand il s'est engagé en natation, c'était pour être champion olympique du 100 libre. Il est en train de le digérer. » C'est passé par une série « très facile » le matin sur 100 m papillon avant de lâcher les chevaux en gagnant la première demi-finale en 50''25. « Je voulais montrer que j'étais là, en forme, qu'il ne fallait pas me sous-estimer malgré mes 51''3 en séries et répéter de belles choses », a-t-il commenté vendredi, le sourire et l'appétit retrouvés. Comment Grousset a réagi après des JO décevants « Il (Grousset) ne prend pas le pap pour une course au rabais mais pour lui, la course mythique c'est le 100 libre » Michel Chrétien, entraîneur de Maxime Grousset S'il n'est pas question de faire le deuil du crawl, c'est bien le papillon qui lui tend les bras. « Qu'il profite de l'instant présent. C'est vrai qu'il a le c.. entre deux chaises, il nage le pap mais rêve du 100 libre, constate Chrétien. Il ne prend pas le pap pour une course au rabais mais pour lui, la course mythique c'est le 100 libre. » Il se pourrait qu'il change son angle de vision au fil de ses excellents résultats. Avec la meilleure performance mondiale de la saison en 50''11, réalisée en juin aux Championnats de France, il se positionne parmi les trois grands favoris de la finale du jour, avec Noè Ponti et Josh Liendo. Encore plus fort qu'en 2023 lors de son titre aux Mondiaux de Fukuoka, le Néo-Calédonien coche toutes les cases du grand nageur de papillon. « Quand il arrive à nager relâché, ça donne des choses vraiment remarquables. Il a cette capacité à se projeter très vite, très loin vers l'avant à chaque coup de bras, analyse Denis Auguin, le nouveau DTN. Il arrive vraiment à exprimer sa puissance quand il nage avec les deux bras en même temps. Il a des coulées correctes, sans être les meilleures du monde, mais ça ne l'handicape pas. Il a une vraie maîtrise des allures sur le 100 pap. Il ne fait jamais de course incohérente en pap. » Pour gagner en finale, il envisage de casser la barrière des 50''. En juin, il l'avait annoncé à Montpellier. Il en est toujours convaincu et se réjouit de se retrouver face à un bon copain, Noè Ponti. Avec le Suisse, ils se connaissent depuis les Championnats d'Europe juniors en 2017 et ils se croisent régulièrement. « J'aime encore plus battre mes potes, pareil sur les jeux vidéo, sourit Grousset. C'est un plaisir de nager contre lui. » Il sait qu'il devra nager très vite pour contrer le Suisse et le Canadien Josh Liendo, redoutable sur le retour. « Je pense que pour aller sur le podium, il faudra faire moins de 50'', un gros 49'', prédit son entraîneur. Il faut que Max exprime sa puissance dès le départ et le plus loin possible. Quand il est champion du monde, c'est ce qu'il fait, il met tout le monde dans le vent au premier 50. »

« Très excité de retrouver l'atmosphère du Vélodrome » : fin de préparation exaltante à la maison pour l'OM
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« Très excité de retrouver l'atmosphère du Vélodrome » : fin de préparation exaltante à la maison pour l'OM

Après quatre amicaux à l'étranger, l'OM va retrouver le Vélodrome ce samedi soir, contre Séville, pour entamer la dernière ligne droite de sa préparation devant près de 60 000 supporters. Les supporters marseillais en manque de sensations fortes ont pu s'échauffer en nombre, ces derniers jours, pour accueillir les recrues Pierre-Emerick Aubameyang puis Igor Paixao. Micro en main, le premier en a d'ailleurs profité pour lancer leur chant favori, « Aux armes », repris par la foule, avant de sautiller et de partir au milieu des fumigènes. Et le second a conclu sa première intervention face caméra, en français, d'un « Allez l'OM » qui a fait son petit effet. La répétition idéale avant de retrouver pour la première fois le Vélodrome ce samedi soir (20 heures) en vue de l'amical contre Séville, intéressant à plus d'un titre. L'engouement populaire au beau fixe Le dernier match à la maison remonte au 17 mai, face à Rennes (4-2) en Championnat. Une petite éternité. Ce « grand retour au goût d'Europe », dixit le club, est très attendu avant la reprise officielle, le 15 août à Rennes. En juin, déjà, les campagnes d'abonnement ont battu des records, avec 13 000 cartes acquises sur la première journée et un taux de réengagement « exceptionnel » (supérieur à 90 %). Le plafond d'abonnés - limité - sera similaire à la saison passée (environ 49 000) et les associations de supporters, elles aussi sursollicitées, n'ont pas accepté de nouveaux membres. Vendredi, aux dernières nouvelles, près de 55 000 billets avaient été écoulés et le service commercial du club espérait encore en vendre 5 000 supplémentaires jusqu'à samedi soir afin d'approcher la barre des 60 000 supporters au Vélodrome pour la cinquième rencontre de la préparation des hommes de Roberto De Zerbi, après celles disputées à l'étranger, en stage aux Pays-Bas puis en Espagne. L'hyperactif De Zerbi pressé de vivre sa deuxième saison à l'OM Il y a une semaine encore, l'enceinte était loin d'être autant garnie, en dépit de tarifs très attractifs (à partir de 12 € en virage), y compris pour les familles, nombreuses dans la région en cette période de vacances, et le club a fini par lancer des offres à moitié prix. Avec succès visiblement. De quoi garantir une certaine ambiance, alors que les premiers galops d'essai à Zeist s'étaient déroulés dans le huis clos du centre technique national de la Fédération néerlandaise et que les suivants, en Andorre et à Tarragone, ont eu lieu devant des tribunes clairsemées. De Zerbi en mode affinage L'an dernier, le Vélodrome étant réquisitionné pour les Jeux Olympiques, De Zerbi et son staff avaient bouclé le « summer tour » à Bradford et Augsbourg. Cette fois, après être rentré en milieu de semaine de Catalogne, le choix a été fait de terminer la pré-saison à la Commanderie et avec deux amicaux à domicile, contre Séville et Aston Villa, pour conclure la montée en puissance, samedi prochain. Une manière, aussi, de mieux appréhender la gestion des matches à la maison après une saison passée contrastée sur ce plan ? Face à son troisième adversaire espagnol d'affilée et quelques vieilles connaissances de Ligue 1 (Loïc Badé, Gabriel Suazo, Lucien Agoumé, Akor Adams), et même si le Séville FC n'est plus la référence européenne qu'il était (17e de Liga en 2024-2025, aucun euro dépensé cet été), De Zerbi aura aussi l'occasion d'affiner son système, oscillant entre le 4-2-3-1 et le 3-4-2-1, et son équipe-type. Jusque-là, le seul changement est intervenu lors du dernier match, mardi, avec l'entrée dans le onze de CJ Egan-Riley, comme axial gauche, et au détriment d'Ulisses Garcia, Facundo Medina occupant le couloir gauche de la défense. Très à l'aise avec le ballon, un peu moins dans ses automatismes avec Leonardo Balerdi, Egan-Riley a plutôt marqué des points dans un secteur encore amené à évoluer pendant le mercato. Il n'y a pas de raison que le reste de l'animation évolue, mais le technicien italien attendra sans doute davantage de production et d'efficacité offensive après les sorties contre Gérone (2-0, deux penalties), avec beaucoup d'espaces, et Valence (1-1, un exploit individuel de Jonathan Rowe), face à un bloc plus bas et dangereux. Aubameyang déjà impatient Aubameyang sera-t-il de la partie ? Le joueur a laissé planer le doute, vendredi, lors de sa conférence de presse. Une chose est sûre : le club a finalement renoncé à présenter ses recrues au public en marge du match, comme prévu à l'origine. Un simple report, au samedi suivant ou à la réception du Paris FC (le 23). Ce qui n'empêchera pas une éventuelle ovation spontanée des tribunes. Aubameyang, lui, est focalisé sur sa date de reprise. Arrivé mercredi soir à Marseille, en pleine forme, accueilli par son acolyte Amine Harit, il a paraphé son contrat le lendemain, et, dans la foulée, a bluffé les salariés en ne perdant pas une seconde pour enfiler ses nouveaux équipements et partir en séance. « Si cela ne tenait qu'à moi, je serais prêt à jouer dès demain (samedi), mais on va voir avec le staff, a annoncé l'attaquant vendredi, intégré à l'entraînement collectif dès jeudi. Je suis très excité de retrouver l'atmosphère du Vélodrome. » En tenue ou non, Aubameyang sera présent avec l'effectif ce samedi soir. « Je n'ai qu'une hâte : m'intégrer au groupe, clame-t-il. Je me suis préparé tout au long de l'été pour ne pas avoir de retard. Je me sens bien car j'ai une saison complète dans les jambes, même si vous estimez que le niveau (du Championnat saoudien, il était à Al-Qadsiah) n'est pas le même. Le terrain parlera. Je suis prêt mentalement et physiquement. Je suis un mort de faim. » La concurrence est prévenue.

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