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« On se sent utile » : des volontaires de l'Heure civique appellent les seniors isolés dans le cadre du plan canicule

« On se sent utile » : des volontaires de l'Heure civique appellent les seniors isolés dans le cadre du plan canicule

Le Parisien2 days ago
Assises dans un petit bureau du centre communal d'action sociale de Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), Florence et Sandrine, micro casque sur la tête, appellent chacune plusieurs personnes âgées. Encore en vacances il y a quelques jours, ces deux habitantes de Champigny sont venues prêter main-forte au personnel de la mairie dans le cadre du plan canicule.
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L'évêque d'Angers renonce finalement à promouvoir un prêtre condamné pour détention d'images pédopornographiques
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Le Parisien

time6 minutes ago

  • Le Parisien

L'évêque d'Angers renonce finalement à promouvoir un prêtre condamné pour détention d'images pédopornographiques

L'évêque d'Angers, Mgr Emmanuel Delmas, a décidé de revenir sur la récente promotion d'un prêtre, condamné en 2017 à une peine de prison ferme pour détention d'images pédopornographiques, afin d'éviter « d'ajouter au trouble des fidèles », a-t-on appris vendredi auprès du diocèse. « Conscients que les charges confiées notamment - notaire et délégué à la protection sociale du clergé - pouvaient susciter une incompréhension, et étaient susceptibles d'ajouter au trouble des fidèles, Mgr Emmanuel Delmas et le père Joseph Renaud ont décidé d'un commun accord d'y renoncer », à compter du 12 août, a indiqué le diocèse d'Angers à l'AFP, confirmant une information de Mediapart. Une affaire similaire à Toulouse Le prêtre, aujourd'hui âgé de 76 ans, a été condamné en 2017 à deux ans de prison dont quatre mois ferme pour détention d'images pédopornographiques qu'il avait téléchargées sur l'ordinateur de sa paroisse. Il exerce aujourd'hui « différentes charges qui lui ont été confiées après l'exécution de sa peine » mais « aucune de ces charges n'implique d'être en contact avec des mineurs », souligne le diocèse d'Angers. À Toulouse, la promotion début juin par l'archevêque d'un prêtre condamné pour viol sur mineur a provoqué des remous dans l'Église de France où des voix se sont élevées pour dire leur « stupeur » et leur « indignation ». À voir aussi

« Il faudrait l'arrêter » : manifestations pro-Ukraine contre la venue de Poutine au sommet avec Trump en Alaska
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Le Parisien

time6 minutes ago

  • Le Parisien

« Il faudrait l'arrêter » : manifestations pro-Ukraine contre la venue de Poutine au sommet avec Trump en Alaska

« Alaska stands with Ukraine (L'Alaska soutient l'Ukraine) ». C'est l'un des messages martelés par des militants pro-ukrainiens à Anchorage, à quelques heures du sommet entre Vladimir Poutine et Donald Trump, qui doit se tenir ce vendredi à 11h30 sur place, soit 21h30 heure française, pour tenter de trouver un accord après plus trois ans de guerre en la Russie et l'Ukraine. Des centaines de personnes manifestent, munis de nombreux drapeaux ukrainiens et quelques Américains, pancartes à la main, en scandant des slogans pour dénoncer la présence de Vladimir Poutine. 🇺🇸🇺🇦 Happening right now: a big pro-Ukrainian rally in Anchorage ahead of the Trump-Putin meeting. 'Ukraine and Alaska — Russian never again.' — Ostap Yarysh (@OstapYarysh) August 15, 2025 Mandat d'arrêt La venue du président russe semble incongrue pour certains habitants de la ville de l'Alaska. Il est sous le coup d'un mandat d'arrêt pour crimes de guerre émis par la Cour pénale internationale en 2023, pour la « déportation » de milliers d'enfants ukrainiens vers la Russie. « Il faudrait l'arrêter, mais là il est sur une base militaire, c'est choquant », juge une manifestante, au micro de BFMTV. En Alaska, le président russe ne risque rien. Ni les États-Unis ni la Russie n'ont ratifié le Statut de Rome de la Cour Pénale internationale, dont « 125 pays sont États parties ». Washington n'est donc pas soumis à l'article 86 de ce traité qui oblige les membres à « coopérer pleinement » avec la CPI y compris en matière d'arrestation de chefs d'États. Des personnes manifestent contre la venue de Vladimir Poutine à Anchorage le 14 août 2025. REUTERS/Jeenah Moon D'autres personnes expriment leurs inquiétudes quant aux intentions du chef d'État russe. « Poutine ne s'arrêtera pas à l'Ukraine », disait une pancarte, rapportée par le média local, Anchorage Daily News. Une allusion à une inquiétude chez certains Alaskiens que Vladimir Poutine tente de réaffirmer son contrôle sur l'Alaska, qui a été vendu par l'empire russe aux États-Unis en 1867. Parmi ces manifestants, certains sont des réfugiés ukrainiens. Mais nombreux de ceux qui ont trouvé refuge en Alaska après le début de la guerre en 2022, souhaitent se faire discrets aujourd'hui, craignant de faire quelque chose qui puisse compromettre leur statut d'immigrant rapporte La Presse. De nouvelles manifestations prévues ce vendredi La venue du président russe reste néanmoins un crève-cœur pour ces derniers. « Il est difficile d'accepter qu'il va être ici », déclare Liudmyla Stretovych, qui a quitté l'Ukraine deux semaines après l'invasion russe en février 2022, à propos de Vladimir Poutine. « Nous avons beaucoup souffert à cause de lui. »

L'enfant de 6 ans fauché par un conducteur ivre dans le sud de l'Oise est décédé
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Le Parisien

timean hour ago

  • Le Parisien

L'enfant de 6 ans fauché par un conducteur ivre dans le sud de l'Oise est décédé

L'enfant âgé de six ans fauché par un chauffard ivre à Méru (Oise), ce mercredi 13 août, est malheureusement décédé, confirme Frédéric Trinh, le procureur de la république de Beauvais. La jeune victime a succombé à ses blessures ce jeudi soir, 24 heures après les faits. Mercredi, en soirée, l'enfant avait été percuté par un automobiliste au niveau du rond-point de la Manufacture, aux abords de la gare de la commune de 14 000 habitants du sud de l'Oise. Héliporté dans un état grave au centre hospitalier d'Amiens (Somme), il était alors en urgence absolue avec un pronostic vital engagé. Un état d'ivresse manifeste Aussitôt après l'accident, une enquête, confiée à la brigade de gendarmerie de Méru, avait été ouverte par le parquet de Beauvais. L'état d'ivresse du chauffard au moment des faits a rapidement pu être mis en évidence. Dans un premier temps, le mis en cause âgé de 38 ans avait été placé en garde à vue pour « blessures routières aggravées par la violation manifestement délibérée d'une obligation de sécurité et par l'état d'ivresse », précisait également Frédéric Trinh. Une qualification qui devrait désormais évoluer. Contactée plus tôt ce jeudi, la mairie de Méru nous faisait part de la vive émotion de toute la commune, secouée par le choc de la terrible nouvelle. « La mairie s'est mobilisée à la suite de ce drame et le premier réflexe a été de prendre attache avec la famille », expliquait-on. Ce jeudi, l'élu d'astreinte avait d'ailleurs rencontré la famille de la jeune victime. Méru perd un enfant de la ville dans des circonstances tragiques, à l'âge de six ans seulement.

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