
MMA : Benoît Saint Denis connaît enfin son adversaire à l'UFC Paris, qui le provoque déjà
après avoir annoncé qu'il serait présent sur la carte de l'UFC Paris
, le 6 septembre prochain, à l'Accor Arena (Paris XIIe),
Benoît Saint-Denis
connaît enfin son adversaire. Il est Brésilien et s'appelle Mauricio Ruffy. La star française du MMA, actuel 14e au classement des poids légers (-70,3 kgs) à l'UFC, devra s'employer face à un adversaire qui reste sur sept victoires de suite, dont trois à l'UFC où il évolue depuis mai 2024.
Le match s'annonce déjà très chaud. Dans une courte vidéo publiée sur Instagram, Le combattant brésilien se met en scène en prenant un café tout en repoussant un croissant au son d'un air parisien, avant de lancer un « Bonjour » d'une voix grave.
Présent lors des trois premières éditions de l'UFC Paris, Benoît Saint Denis avait été nettement battu en septembre dernier par le Brésilien Renato Moicano. Depuis son revers, le Tricolore s'est relancé en l'emportant face au Canadien Kyle Prepolec en mai dernier grâce à une soumission réussie dans le deuxième round.

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


L'Équipe
2 hours ago
- L'Équipe
Un titre aux Championnats de France sur 3000 m steeple et une douleur au mollet pour Alice Finot
La recordwoman d'Europe Alice Finot a décroché son cinquième titre national sur 3 000 m steeple dans la douleur ce vendredi soir à Talence. C'est assurément le titre national le plus compliqué de la carrière d'Alice Finot. Habituée à régner en maîtresse sur le 3 000 m steeple depuis son éclosion au plus haut niveau en 2020, la Française de 34 ans est passée tout près de la défaite ce vendredi soir lors de la première journée des Championnats de France de Talence (Gironde). Dans une saison où elle a changé d'entraîneur en travaillant dorénavant avec Philippe Dupont, la recordwoman d'Europe et 4e des derniers Jeux de Paris, ne devait pas s'attendre à voir autant de résistance. Évidemment, Flavie Renouard n'est pas n'importe qui. Elle était aux Europe et aux JO l'année dernière, mais les deux ne courent habituellement pas dans la même cour. À Finot les spotlights et à Renouard la dureté des pelotons. Mais ce vendredi, quand à trois tours de la ligne, Finot était encore aux fesses de la Normande, on commença à se demander ce qu'il se passait. Habituée à accélérer progressivement sur les derniers tours, la championne d'Europe restait derrière, ne prenant le lead qu'à 500 m du but mais sans faire la différence. Chaque passage sur les obstacles était du temps redonné à son adversaire et c'est finalement au terme d'un sprint enlevé qu'elle s'imposait d'un souffle (9'33''16 contre 9'33''28). Yann Schrub surprend Jimmy Gressier au sprint et s'offre le 5000 m des Championnats de France Seulement, dès la ligne franchie, l'athlète du CA Montreuil 93 s'asseyait par terre et se massait le mollet droit avant de rejoindre la zone mixte en boitillant pour confirmer que le corps tirait. « J'ai eu une contracture dans la semaine qui était passée, expliquait-elle. Mais à trois rivières de la fin ça s'est réveillé et derrière je n'osais plus trop pousser sur ma jambe (droite). J'étais dans la gestion de l'appui. J'ai essayé de courir le moins vite possible tout en essayant de gagner. » « Je pense que c'est une contracture profonde. La course est faite, je fais les soins et ça va aller. J'ai la gagne. J'avais envie de me faire plaisir mais j'ai été bridée par rapport à ça » Alice Finot à propos de sa blessure vendredi Évidemment parmi les outsiders pour un podium mondial à Tokyo (13-21 septembre) à la vue de sa saison 2024, la Française voulait rester positive même si elle semblait tout de même avoir une bonne gêne. « À chaud ça va, je vais voir après, avouait celle qui compte dorénavant 5 titres nationaux sur le steeple. Je pense que c'est une contracture profonde. La course est faite, je fais les soins et ça va aller. J'ai la gagne. J'avais envie de me faire plaisir mais j'ai été bridée par rapport à ça. De toute façon c'est une année compliquée (meilleur temps pour l'heure en 9'09''84 loin de son record d'Europe en 8'58''67). Il y a eu pas mal de changements. je suis dans une phase de transition. J'apprends plein de choses. » Redescendue de Font Romeu pour les France, Finot va y remonter dès ce week-end pour reprendre sa préparation - si tout va bien avec le mollet - avec en vue le meeting de Lausanne (20 août), avant probablement la finale de la Ligue de diamant (Zurich, 27-28 août) et évidemment les Mondiaux de Tokyo. « Là, c'est all in ! » Le podium et les minima ou la retraite : les derniers obstacles de Pascal Martinot-Lagarde

L'Équipe
2 hours ago
- L'Équipe
Encore un duel de toute beauté entre Yann Schrub et Jimmy Gressier : le demi-fond français a vraiment de la gueule
Bête de championnat, Yann Schrub s'est imposé vendredi soir au sprint sur le 5 000 m des Championnats de France Élite de Talence devant Jimmy Gressier, son meilleur ennemi. Dans un monde où la course à pied est devenue cool, ils sont les meilleurs ambassadeurs du vrai athlétisme, celui qui brûle les poumons, les jambes avant de finir sur Instagram, et pas l'inverse. Quand vous avez des Jimmy Gressier et Yann Schrub au départ, vous savez qu'il va forcément se passer quelque chose. Les marathoniens du dimanche ne le voient pas encore beaucoup car la planète entière peut courir et ça reste bien plus compliqué d'être le premier sur le tartan qu'ailleurs. Mais cette génération pousse fort pour ça et le 5 000 m de Talence est la preuve que tout ce petit monde grandit bien. Avec trois poulains - Gressier, Schrub et Daguinos - ayant déjà coché les minima pour Tokyo (12'56''83) ça ne pouvait que bombarder d'autant plus que Romain Legendre, pas le moins fou du groupe, avait aussi envie de venir jouer pour sa première sortie de l'été après une blessure. Gressier-Schrub, figures de proue du demi-fond français On se retrouvait donc avec un petit groupe de fous du volant dès les premiers mètres avec un Gressier qui appuyait une première fois sur l'accélérateur après 1 000 m. Le Boulonnais mettait le limiteur de vitesse à 1'00 au tour pendant 800 m, histoire de rappeler à tout le monde que c'est lui le chauffard en chef (tout frais recordman de France en 12'51''59). Mais évidemment, quand on sait qu'on peut se faire contrer, on retient tout de même ses coups. Le public nombreux et connaisseur de Talence eut donc le droit à une course « à la kényane » avec du vite-lent-vite. « C'était une course tactique, les courses que j'aime (...) Mon plan était d'attaquer au dernier tour. Il s'est passé plein de choses. Je suis content pour moi et content pour l'athlé » Yann Schrub, champion de France du 5 000 m vendredi à Talence Avec « des sensations rarement ressenties », Gressier semblait le plus fort au train mais à la cloche ils étaient encore trois à pouvoir décrocher le gros lot. « Je me suis inspiré un peu du Tour de France, souriait Gressier. Je savais que Yann avait un gros finish. Je voulais un peu l'émousser car c'est un peu mon point faible. Mais quand on arrive dans un dernier 400 m avec lui, c'est compliqué. » À la cloche, comme il l'avait prévu, Schrub, champion d'Europe du 10 km, mettait alors une boîte progressive, que seul le champion d'Europe du semi-marathon pouvait suivre. Aux coudes à coudes dans le dernier virage, c'est finalement celui qui boucle cette année son cycle de médecine qui levait les bras, remportant l'étape girondine (13'31''15 contre 13'31''29) et une 26e médaille nationale (toutes catégories confondues). « C'était une course tactique, les courses que j'aime, souriait Schrub en zone mixte, après son deuxième titre de suite sur la distance après celui d'Angers l'année dernière. On a le temps de voir venir les choses et il faut à minimum faire travailler son cerveau, c'est ce que j'aime. Mon plan était d'attaquer au dernier tour. Il s'est passé plein de choses. Je suis content pour moi et content pour l'athlé. » Beau joueur, comme toujours, Gressier reconnaissait la défaite du soir, sans en faire un drame. « Ça serait un coup au moral si j'étais largement le plus fort, lâchait-il. Yann a le même niveau que moi. Il faut voir son palmarès. C'était une bataille d'homme à homme, j'ai perdu la bataille mais pas la guerre. » Où et quand suivre les Championnats de France ?


L'Équipe
2 hours ago
- L'Équipe
Mercato : Timothy Weah toujours espéré par l'OM
Malgré de récentes passes d'armes entre les différentes parties, l'OM n'a pas renoncé à attirer Timothy Weah. Un effort sur la rémunération de l'international américain permettrait sans doute aux dirigeants phocéens de trouver un accord avec ceux de la Juve. Malgré les récentes bisbilles entre le représentant du joueur, Badou Sambagué, et le directeur général de la Juventus, Damien Comolli, qui ont eu des sorties médiatiques rugueuses, le dossier Timothy Weah (25 ans) n'est pas enterré. L'OM n'augmentera pas son offre de transfert, qui avoisine les 15 M€, sur la formule d'un prêt payant avec option d'achat obligatoire, et n'atteindra pas les 20M€ évoqués par le club italien. Le directeur du football, Medhi Benatia, échange avec son ancien coéquipier dans le Piémont, Giorgio Chiellini, devenu directeur de la stratégie des Turinois en juin dernier. Sur le fond, cela n'impactera pas non plus la position de la Juve, Comolli étant ferme sur le cas Weah comme sur d'autres, il tente de marquer son territoire quelques semaines après son arrivée à ce poste. La clé des négociations semble résider dans les rémunérations de Weah, fort élevées pour l'OM. Un effort sur ce point permettrait, sans aucun doute, à Marseille de générer une enveloppe satisfaisant la Juve et de trouver un accord final.