
Foot : le Bayer Leverkusen giflé par les U20 de Flamengo en amical
Difficile début de parcours pour Erik Ten Hag aux commandes du Bayer Leverkusen. Son équipe s'est lourdement inclinée (5-1) face aux moins de 20 ans du club brésilien de Flamengo. Ce n'était certes qu'un match de préparation pour la saison prochaine mais les quatre buts d'écart font mal.
Il faut dire que le onze choisi par l'entraîneur néerlandais comportait plusieurs remplaçants habituels. Ten Hag est d'ailleurs revenu sur cette déroute et a préféré relativiser : «le résultat est mauvais, mais les résultats en pré-saison ne m'intéressent pas vraiment. Je savais d'avance que nous ne pourrions pas aligner une bonne équipe pendant 90 minutes», le match arrivant trop tôt pour que tous les joueurs soient disponibles.
Publicité
Beaucoup de départs
L'ancien technicien de Manchester United a fait tourner son effectif tandis que le coach de Flamengo a intégré plusieurs joueurs d'expérience à ses U20 afin de rendre son équipe plus compétitive. Une fois les titulaires de Leverkusen entrés en jeu après la mi-temps, le match s'est rééquilibré, notamment grâce aux cadres Grimaldo, Schick et Xhaka.
La saison prochaine s'annonce quand même difficile pour le récent deuxième de Bundesliga, tant le club a été dépouillé de ses meilleurs éléments. À commencer par son entraîneur Xabi Alonso, parti au Real Madrid et son joyau Florian Wirtz, cédé à Liverpool pour plus de 130 millions d'euros.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes

L'Équipe
6 hours ago
- L'Équipe
« Il faut être toujours plus créatif » : David Kahn, président du Paris Basketball, réaffirme son ambition après une saison historique
Malgré son expérience comme manager général d'Indiana époque finale NBA (perdue face aux Lakers en 2000), le président du Paris Basketball David Kahn affirme n'avoir jamais vécu les émotions charriées par son aventure française, marquée par un premier titre de champion de France décroché fin juin, et promet une ambition intacte pour l'exercice à venir. Il flottait en ce soir de juillet les parfums mêlés du premier jour et de l'au revoir. L'Adidas Arena était comme éventrée, son parquet rendu à l'état de béton en attendant d'être renouvelé pour le début de la saison prochaine. Un peu comme son équipe, dont les cadres sont partis - TJ Shorts, Tyson Ward, Mikael Jantunen...- et qui va subir un lifting contraint et inédit. Jamais à court d'idées, le Paris Basketball avait choisi ce moment pour positionner des sièges transparents à même le sol et projeter sur le cube central le film documentaire - Tout éteindre, disponible sur Amazon Prime Video - contant son historique saison, conclue par le titre de champion de France et une place en quarts de finale de l'Euroligue (défaite 0-3 dans la série contre Fenerbahçe, futur champion d'Europe). À cette occasion, David Kahn (63 ans), le président américain du club né en 2018, avait confessé un sentiment « doux-amer », acceptant de revenir sur la fin du premier cycle du Paris Basketball tout en clamant une ambition intacte. « Qu'avez-vous ressenti en revivant en version documentaire votre dernière saison ?C'est un sentiment doux-amer, car TJ (Shorts), Tyson (Ward), Kevarrius (Hayes), Mikael (Jantunen) s'en vont. Il est impossible de repenser à cette aventure sans y songer. Mais les relations créées avec eux me donnent l'espoir qu'ils reviendront peut-être un jour. J'ai ressenti une immense joie, de la fierté. J'ai eu un peu mal au coeur, aussi. Mais il est encore tôt pour la nostalgie. Où placeriez-vous cette aventure dans votre carrière ?J'ai été fier d'être le manager général d'Indiana quand nous sommes allés en finale NBA (2000, défaite contre les LA Lakers). On a ouvert l'Arena - le Conseco Fieldhouse -, Larry Bird était notre coach. Et pourtant... Paris, ça reste différent. Il y a quelque chose d'incomparable quand tu construis quelque chose du sol au plafond, littéralement. Quand on est arrivés avec Eric (Schwartz, le principal financier, ex-actionnaire minoritaire des Atlanta Hawks), il n'y avait rien. Pas de salle, pas un club purement parisien depuis le titre du PSG Racing en 1997... Alors, la satisfaction de réussir est sans commune mesure. Nous avons façonné un club, son image, ses trophées, et vu grandir toute une communauté qui a embrassé le projet : staff, coaches, joueurs, supporters. C'est leur équipe désormais, celle de la ville de Paris. On a créé quelque chose qui est plus qu'un club. Une entité culturelle en qui les gens peuvent s'identifier, qu'ils veulent accompagner, dont la ville peut se servir au niveau politique et sociétal. Il faut en être fiers. Le travail n'est pas fini, mais ces premières années ont été incroyablement enrichissantes. De la Pro B au titre de champion de France : une fulgurante ascension en huit dates Aviez-vous idée de pouvoir en arriver là en 2018 ?Cela dépasse largement ma vision. Le mot « parfait » est surutilisé, galvaudé. Mais, sincèrement, j'ai le sentiment qu'on s'approche d'une forme de perfection quand je vois ce que je vois, et que je vis ce que je vis ici. On a gagné la Coupe et le titre de champion tout en perdant en Euroligue face au futur champion. On n'allait pas remporter l'Euroligue dès notre première année (rire). On avait déjà pris la Leaders Cup et l'Eurocoupe l'an passé. C'est inimaginable. Cette soirée à Madrid, où l'on va chez eux en play-in et qu'on domine (81-73) l'organisation et la marque sportives numéro 1 au monde, restera dans notre histoire. Comme d'autres moments plus insolites. Que le rappeur Sheck Wes (dont la chanson « Mo Bamba » fait partie des hymnes du club) ait fait partie de l'équipe (3 matches en Pro B en 2020-2021) reste un truc aussi improbable que génial, rendu possible par l'agence Yard. « Notre objectif est, au pire, un business à l'équilibre » Le club perd plusieurs millions d'euros par an pour l'instant. Un modèle bénéficiaire est-il possible ?Aucun club d'Euroligue ne fait de bénéfices... Je ne vis pas bien le fait de perdre de l'argent. Eric (Schwartz) non plus. Mais nous sommes dans une position intéressante à Paris, dans l'Adidas Arena. Si le basket européen parvient à résoudre son puzzle commercial, et tant qu'on continuera à faire ce qu'il faut ici, ça finira par marcher. Dans quelles proportions ? Je l'ignore, mais notre objectif est, au pire, un business à l'équilibre. La solution réside-t-elle dans les droits télé ? La NBA Europe ?Il faut réduire le gap entre la qualité du produit et ses résultats commerciaux. La NBA ? Elle serait forcément d'un grand secours. Mais il est crucial que le basket européen parvienne lui-même, déjà, à assembler les pièces du puzzle. Il y a beaucoup à faire sur les droits télé/médias en effet. Les architectes du sacre de Paris Pour le site News Tank, lors d'une intervention, vous avez évoqué la nécessité d'un « changement fondamental » et suscité l'ire des instances en affirmant : « Nous sommes en train d'être tués par la LNB et l'Euroligue ». Comment résoudre ce problème de droits ?C'est vrai, ils étaient fâchés, à la Ligue. Mais ce n'est pas le sujet. Ce que je veux dire, c'est que tant qu'ils n'agiront pas, au quotidien, avec la même urgence dont nous essayons d'être animés au Paris Basketball, je continuerai à les irriter. Je serai toujours exigeant, parce que j'attends le meilleur de mon club comme du basket européen, dont je reste convaincu qu'il est le meilleur produit en dehors de la NBA. Mais aujourd'hui ? Cela n'est pas matérialisé commercialement. « Le fait que Nadir Hifi reste est un signal important. Il était crucial de ne pas perdre à la fois TJ (Shorts) et Nadir » Avez-vous peur du vide laissé par TJ Shorts, parti au Panathinaïkos ?On peut espérer ne pas trop s'en ressentir. On passe beaucoup de temps, avec James Newman (manager général), Amara Sy (directeur sportif) à faire l'équipe pour les années à venir. D'autres joueurs arrivent. La masse salariale va augmenter (5,6 M€ en 2024-2025, 2e derrière Monaco). Et le fait que Nadir Hifi reste est un signal important. Il était crucial de ne pas perdre à la fois TJ et Nadir. Comment maintenir le momentum né de la saison écoulée ?Penser que ça va tourner tout seul est une recette pour le désastre. Le succès me pousse à travailler encore plus dur. Je me sens fier et, plus encore, accompli. Mais pas satisfait pour autant. Je ne le serai jamais. C'est ma maladie à moi (il rit.). Il faut être toujours plus créatif, intelligent, précurseur, faire en sorte que le spectacle continue d'être magique, autant pour celui qui nous découvre que celui qui vient pour la 50e fois. »

L'Équipe
6 hours ago
- L'Équipe
77 - Tous sports : Rugby - Le replay d'Australie
Retrouvez le replay d'Australie - Lions du 19/07/2025. À voir sur L'Équipe Le replay de France - Argentine Le replay de Nouvelle-Zélande - Afrique du Sud (MT2) Le replay de Nouvelle-Zélande - Afrique du Sud (MT1) le replay de Lions britanniques - Australie Le résumé d'Afrique du Sud - Nouvelle-Zélande La Géorgie termine sur une bonne note L'Afrique du Sud sacrée championne du monde Le replay d'Afrique du Sud - Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande - Afrique du Sud (MT2) Le résumé de France - Argentine Nouvelle-Zélande - Afrique du Sud (MT1) Les Bleuets battus par l'Argentine dans le match pour la 3e place Le replay de France - Argentine (MT2) Le replay de France - Argentine (MT1) L'Italie termine 7e de sa Coupe du monde


Le Parisien
7 hours ago
- Le Parisien
Mercato Liverpool : Hugo Ekitike attendu ce mardi après un spectaculaire accord pour son transfert de Francfort
Ce n'est plus qu'une question d'heures pour voir Hugo Ekitike enfiler le maillot de Liverpool . Comme annoncé par la presse anglaise, nous pouvons confirmer que l'attaquant international Espoirs (5 sélections) va voyager ce mardi, direction la cité des Beatles, pour finaliser son transfert chez les Reds. Selon nos informations, les discussions avec Francfort se sont terminées sur un accord à 79 millions d'euros, auxquels s'ajoutent 13 M€ de bonus, soit un package maximum de 92 M€. Liverpool - son choix numéro un depuis le départ - est décidément très actif sur le marché des transferts puisque le champion d'Angleterre a déjà recruté le jeune attaquant allemand Florian Wirtz (22 ans), en provenance du Bayer Leverkusen, pour la modique somme de 135 millions d'euros. Après avoir passé sa visite médicale, ce mardi, l'ancien Parisien s'engagera pour 6 ans avec Liverpool. Il devrait ensuite prendre la direction de Hongkong où l'équipe d'Arne Slot a atterri, ce lundi, pour entamer son stage de 10 jours en Asie.