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6 hours ago
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Une discussion « productive » a eu lieu entre Trump et Carney
Le président des États-Unis Donald Trump et le premier ministre du Canada Mark Carney Le premier ministre Mark Carney et le président Donald Trump ont eu une « conversation productive » jeudi à propos de la relation économique et de sécurité entre le Canada et les États-Unis. Les dirigeants ont convenu de se reparler bientôt, a précisé le Cabinet du premier ministre Marc Carney dans une déclaration. Les deux hommes ont « discuté de moyens à prendre pour renforcer le leadership du président » Trump, « dans l'optique de favoriser la paix et la sécurité à long terme en Ukraine et en Europe ». Ils ont aussi abordé les « difficultés, occasions et priorités communes actuelles sur le plan des échanges commerciaux dans le cadre d'une nouvelle relation économique et de sécurité entre le Canada et les États-Unis », selon le communiqué.


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6 hours ago
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De grands voiliers entrent dans Amsterdam pour un festival maritime
Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos De grands voiliers entrent dans Amsterdam pour un festival maritime (Amsterdam) De grands voiliers venus du monde entier ont défilé mercredi sur le canal de la mer du Nord jusqu'à Amsterdam, où les équipages ont été acclamés par la foule le long des quais. Agence France-Presse Ce spectacle a marqué le début de Sail Amsterdam, le festival maritime de la capitale néerlandaise qui durera cinq jours et célèbre les navires, les marins et le passé maritime de la ville. Les organisateurs attendent entre 2,3 et 2,5 millions de visiteurs. L'entrée des bateaux dans la ville d'Amsterdam est le moment crucial du festival, estime la capitaine du port, Milembe Mateyo. « Il y a beaucoup de médias, un nombre incroyable de bateaux qui veulent y assister, beaucoup de personnalités haut placées qui veulent y assister », a-t-elle affirmé auprès de l'AFP. « Une fois que cela sera terminé, je pourrai enfin dormir et profiter du reste du festival », a-t-elle confié. Le festival Sail Amsterdam, qui en est à sa 10e édition, s'inscrit dans le cadre des célébrations du 750e anniversaire de la ville. Cette année, une cinquantaine de grands voiliers et 700 navires historiques y seront présents. Le thème de cette édition est « Unis par les vagues », choisi au vu du contexte actuel de tensions dans le monde, a indiqué le président du festival, Arie Jan de Waard. « Il est important que nous nous connections par l'eau et à travers les cultures à bord des navires et des équipages qui se rassemblent ici à Amsterdam », a-t-il déclaré à l'AFP. Des milliers de spectateurs PHOTO RAMON VAN FLYMEN, AGENCE FRANCE-PRESSE Les organisateurs du festival attendent entre 2,3 et 2,5 millions de visiteurs. Le défilé a débuté à IJmuiden, sur la côte de la mer du Nord, où les premiers navires ont franchi les écluses géantes mercredi matin avant d'entreprendre le voyage de 25 kilomètres vers l'intérieur des terres. La flottille, qui s'étendait sur environ 10 kilomètres, comprenait des navires-écoles, des bateaux à vapeur et une multitude de bateaux de plaisance qui ont rejoint le cortège. Des milliers de spectateurs se sont massés le long du canal, des écluses jusqu'au port d'Amsterdam, où les grands voiliers ont été accueillis par des salves de canon et de la musique. Siep de Haan, 60 ans et fondateur de la parade nautique de la Fierté d'Amsterdam, a déclaré être devenu « accro » à l'évènement après avoir assisté à sa première édition il y a dix ans. « Nous adorons évidemment les parades de bateaux », a-t-il dit à l'AFP. M. de Haan reçoit des invités dans son appartement au bord de l'eau pour toute la durée de l'évènement. « Nous aimons donner aux gens l'occasion de voir cela, c'est incroyable », a-t-il conclu. « C'est toujours un évènement familial très agréable pour nous », a quant à lui déclaré Daniel Pop, 28 ans, qui se rend à Sail depuis l'enfance. « Nous irons peut-être sur l'eau plus tard dans la semaine avec un petit bateau pour voir les navires », a-t-il ajouté. Comme le veut la tradition, des habitants créatifs se sont adonnés à faire flotter des radeaux faits maison, assemblés à partir de planches de surf, de chaises ou de tout ce qui ne coule pas. L'évènement a été organisé pour la première fois en 1975 pour célébrer le 700e anniversaire d'Amsterdam. Il a eu lieu tous les cinq ans depuis, sauf en 2020, où il a été annulé en raison de la pandémie de coronavirus. Dans les prochains jours, les visiteurs pourront embarquer sur les grands voiliers, assister à un défilé des membres d'équipage dans le centre-ville et assister à des concerts au bord de l'eau. Dimanche, les navires quitteront la ville dans un deuxième grand défilé.


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7 hours ago
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Les camps palestiniens entament leur désarmement, conformément à un accord
Des combattants palestiniens se tiennent armés dans le camp de réfugiés palestiniens de Bourj al-Barajneh, dans la banlieue sud de Beyrouth, le 21 août 2025. Les camps palestiniens entament leur désarmement, conformément à un accord (Beyrouth) Des factions palestiniennes présentes dans les camps de réfugiés au Liban ont commencé jeudi à remettre leurs armes aux autorités, conformément à un accord conclu en mai visant à garantir le monopole des armes à l'État libanais. Agence France-Presse « Aujourd'hui marque le début de la première phase du processus de remise des armes à l'intérieur des camps palestiniens », a indiqué dans un communiqué le président du Comité de dialogue libano-palestinien, Ramez Damaschkieh. L'opération a commencé dans le camp de Bourj al-Barajneh à Beyrouth, où un premier lot d'armes a été remis à l'armée libanaise, a constaté un photographe de l'AFP. Un camion a transporté des armes et munitions placées dans des sacs du camp vers un stationnement voisin, où des militaires libanais étaient déployés. Des dizaines de combattants en treillis, armés de fusils, ont aussi été vus par l'AFP devant le siège à Beyrouth du Fatah, le mouvement du président palestinien Mahmoud Abbas. PHOTO ANWAR AMRO, AGENCE FRANCE-PRESSE Les forces de sécurité libanaises se déploient dans le camp de réfugiés palestiniens de Bourj al-Barajneh, dans la banlieue sud de Beyrouth, le 21 août 2025. L'émissaire américain, Tom Barrack, a salué une « étape historique vers l'unité et la stabilité » du Liban. Le premier ministre libanais, Nawaf Salam, s'est également félicité du début du processus, qui, a-t-il dit, « s'achèvera avec la remise de lots supplémentaires dans les semaines à venir depuis Bourj al-Barajneh et d'autres camps », selon un communiqué de son cabinet. Un responsable sécuritaire palestinien avait plus tôt précisé à l'AFP, sous couvert d'anonymat, que « le Fatah commencera à remettre ses armes dans le camp de Bourj, dans le cadre de la coordination avec l'armée libanaise ». « Démarche symbolique » En mai, M. Abbas s'était rendu à Beyrouth – sa première visite au Liban depuis 2017 – et y avait conclu avec le président libanais Joseph Aoun un accord prévoyant la remise aux autorités de toutes les armes présentes dans les camps palestiniens. Le Liban est en parallèle sous fortes pressions américaines pour désarmer le Hezbollah, après les lourdes pertes infligées au mouvement pro-iranien lors de sa guerre contre Israël l'an dernier. Le 5 août, le gouvernement a chargé l'armée de préparer un plan pour le désarmer d'ici la fin 2025. Une source sécuritaire du camp de Bourj el-Barajneh a estimé que « l'initiative du Fatah de commencer à remettre ses armes est symbolique, et découle d'un accord entre Aoun et le fils du président palestinien, Yasser Abbas, actuellement en visite à Beyrouth ». Cette démarche vise à « encourager les autres factions [palestiniennes armées] à suivre le même chemin », a ajouté cette source, soulignant que dans les camps, ces dernières « n'ont pas encore décidé de remettre leurs armes ». L'Autorité palestinienne n'exerce pas de contrôle sur ces autres factions, au premier rang desquelles figure le Hamas, le mouvement islamiste palestinien en guerre contre Israël à Gaza depuis octobre 2023. « Illégitimes » Le Liban accueille environ 222 000 réfugiés palestiniens, selon l'agence onusienne UNRWA, dont une majorité vit dans des camps surpeuplés échappant au contrôle de l'État. Le camp d'Aïn al-Hilweh, près de Saïda (Sud), est le plus grand du pays et abrite notamment des personnes recherchées par les autorités libanaises. La remise des armes devait initialement commencer à la mi-juin, mais, dans un entretien la semaine dernière à la chaîne saoudienne Al-Arabiya, M. Aoun avait imputé le retard à la guerre qui a opposé en juin l'Iran et Israël et à « des considérations internes à l'Autorité palestinienne ». Badie al-Habet, membre de la direction du Fatah à Beyrouth, a déclaré à l'AFP que la remise attendue jeudi concernait « les armes illégitimes détenues par des individus illégitimes ». Il a toutefois précisé que les armes du personnel de sécurité palestinien dans les camps n'étaient pas concernées. Les factions armées palestiniennes, dont le Hamas, ont tiré à plusieurs reprises sur Israël depuis le Liban lors du conflit qui a opposé Israël au Hezbollah avant un accord de cessez-le-feu conclu fin novembre. Le texte stipule que seule l'armée libanaise est autorisée à conserver des armes et qu'elle est la seule force, avec les Casques bleus de l'ONU, à être déployée dans le sud du pays. PHOTO HUSSEIN MALLA, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS Des Casques bleus de l'ONU patrouillent à la frontière libano-israélienne dans le village de Houla, au sud du Liban, le 20 août 2025. Israël poursuit néanmoins ses frappes contre le Liban et maintient ses troupes sur cinq positions stratégiques dans cette région. Le Hezbollah, de son côté, a affirmé qu'il résisterait à toute tentative de désarmement.