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«Sexy» contre «perdante» : pourquoi Donald Trump met-il Sydney Sweeney et Taylor Swift dos à dos?

«Sexy» contre «perdante» : pourquoi Donald Trump met-il Sydney Sweeney et Taylor Swift dos à dos?

Le Figaro2 days ago
Alors que la publicité de la marque de vêtements American Eagle avec Sydney Sweeney fait polémique depuis plusieurs jours, le président américain a pris la défense de la jeune actrice tout en critiquant la chanteuse Taylor Swift.
Sous le feu des critiques depuis sa participation à une campagne publicitaire controversée pour des jeans de la marque American Eagle, Sydney Sweeney peut compter sur un soutien de taille : celui du président américain Donald Trump. Alors que la polémique enfle depuis plusieurs jours, l'actuel locataire de la Maison-Blanche a défendu l'actrice révélée en 2019 dans la série Euphoria via un message partagé ce dimanche 3 août sur son réseau social Truth. «Sydney Sweeney, une républicaine déclarée, a la publicité la plus SEXY qui soit, s'est-il extasié. Les jeans se vendent comme des petits pains. Vas-y Sydney!».
La publicité en question a provoqué un véritable tollé à cause de son slogan, «Sydney Sweeney has great jeans» (Sydney Sweeney a de super jeans), jouant explicitement sur les sonorités similaires, en anglais, des mots «jeans» et «genes» (gènes, en français). Depuis son lancement, le 23 juillet dernier, la campagne d'American Eagle est accusée de faire la promotion de l'eugénisme, Sydney Sweeney étant blonde aux yeux bleus, et de mettre en avant la suprématie blanche, note le média américain Today.
À lire aussi Pourquoi cette publicité avec Sydney Sweeney qui a des «super jeans» pose problème ?
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Sydney Sweeney inscrite sur les listes électorales républicaines
La polémique a repris de plus belle ce week-end après les révélations de The Guardian, qui a découvert que Sydney Sweeney s'était inscrite sur les listes électorales du Parti républicain, quelques mois avant la victoire de Donald Trump aux présidentielles de novembre 2024. Une aubaine pour le président des États-Unis, qui surfe sur ce scandale pour alimenter son discours politique. Interpellé par un journaliste sur le tarmac de l'aéroport international de Lehigh Valley, en Pennsylvanie, ce dimanche 3 août, il a encensé l'actrice ainsi que sa campagne publicitaire pour American Eagle. «Si Sydney Sweeney est inscrite au Parti républicain, je pense que sa publicité est fantastique», a-t-il plaisanté, avant d'ajouter, plus sérieusement : «Vous seriez surpris du nombre de personnes qui sont républicaines».
Sur son réseau social Truth, Donald Trump a ensuite mêlé à l'affaire une autre célébrité américaine qui n'a pourtant rien à voir avec la controverse : Taylor Swift. Le président des États-Unis ne pardonne pas à la pop star aux 180 millions d'albums vendus d'avoir apporté son soutien à son adversaire démocrate, Kamala Harris, aux dernières élections présidentielles. «Regardez la chanteuse woke Taylor Swift : depuis que j'ai alerté le monde sur ce qu'elle est, en disant sur Truth que je ne la supporte pas (JE LA DÉTESTE !), elle s'est fait huer au Super Bowl et elle n'est PLUS DU TOUT ATTRAYANTE. Le vent a clairement tourné — être woke, c'est pour les perdants, être républicain, c'est ce qu'il faut», s'est emporté Donald Trump sur Truth, mettant ainsi en opposition Taylor Swift, incarnation des valeurs progressistes qu'il exècre, à Sydney Sweeney, érigée en nouvelle figure du courant conservateur aux États-Unis. Les principales intéressées restent pour l'instant silencieuses. Le temps, sans doute, que les esprits s'apaisent.
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time9 hours ago

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Star Wars : il était précieusement conservé depuis 40 ans, le sabre laser de Dark Vador mis aux enchères à un prix délirant

Une pièce d'histoire pour les fans de la saga. Le célèbre sabre laser de Dark Vador, qui a servi à couper la main de Luke Skywalker dans l'épisode de Star Wars « Le Retour du Jedi » , a été exposé mercredi à Londres, avant d'être mis aux enchères à Los Angeles début septembre. Ce « Saint Graal » risque de coûter un bras à son futur acquéreur : il est estimé jusqu'à 3 millions de dollars (2,6 millions d'euros). L'une des « deux » armes « C'est tout simplement une pièce incroyable de l'histoire du cinéma », déclare Brandon Alinger, directeur des opérations de la maison de ventes Propstore, lors d'une présentation à Londres des lots les plus importants de la vente. L'arme a été maniée par Dark Vador lors de légendaires scènes de combat dans « L'Empire contre-attaque » (1980) et « Le Retour du Jedi » (1983). À voir aussi David Prowse, l'acteur derrière le masque noir, et le cascadeur Bob Anderson utilisaient en réalité deux modèles. L'un, sans lame, attaché à la ceinture du méchant, et l'autre, pour les scènes de combat, doté d'une lame en bois. 40 années chez un particulier américain C'est la version utilisée pour les combats, mais dépourvue de sa lame en bois, qui est mise en vente, après avoir été conservée pendant 40 ans par un particulier américain. « Quelqu'un (…) est venu nous voir et nous a dit : J'ai ça à vendre. Nous étions stupéfaits », a expliqué le fondateur de Propstore, Stephen Lane, comparant l'importance de cette pièce à celle des souliers rouges portés par Judy Garland dans « Le Magicien d'Oz ». Les experts ont authentifié l'objet en comparant ses bosses et rayures à celles visibles dans les films. « Regardez la grosse bosse à l'arrière, elle vient probablement de la lame du sabre laser de (l'acteur de Luke Skywalker) Mark Hamill », explique Brandon Alinger. Des pièces de collections Malgré sa valeur, l'objet est constitué d'une partie d'un ancien flash d'appareil photo, auquel ont été ajoutées des pièces de récupération, issues notamment d'une calculatrice. Parmi les autres pièces proposées lors de cette vente aux enchères qui se tiendra du 4 au 6 septembre, figurent le fouet, la ceinture et l'étui utilisés par Harrison Ford dans « Indiana Jones et la Dernière Croisade » (1989).

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