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Volley : les Bleues dominent la Bulgarie en Ligue des nations

Volley : les Bleues dominent la Bulgarie en Ligue des nations

Le Figaro18 hours ago
Déjà assurée du maintien, l'équipe de France s'est offert une quatrième victoire dans la compétition.
L'équipe de France féminine de volley-ball s'est offert une quatrième victoire en Ligue des nations, vendredi aux dépens de la Bulgarie battue en quatre sets (25-22, 21-25, 25-17, 25-22) à Chiba (Japon). Les Bleues, qui totalisent 14 points dans la compétition, sont désormais provisoirement neuvièmes au classement.
Cela sera néanmoins mathématiquement insuffisant pour espérer accrocher un déjà très peu probable Final 8 puisque la victoire des États-Unis plus tôt contre la République dominicaine les empêche définitivement de viser la 8e place. Mais les coéquipières de Helena Cazaute (18 points) avaient déjà atteint leur objectif en assurant leur maintien en VNL grâce au point grappillé face au Brésil deux jours plus tôt, à l'issue d'une défaite au tie-break.
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Iman Ndiaye précieuse au service
Désireuses de remporter un maximum de rencontres pour leur deuxième participation à la Ligue des nations, les Bleues ont évidemment savouré leur succès contre les Bulgares, qu'elles avaient battues il y a un peu plus d'un an pour la première victoire de leur histoire dans la compétition.
Dans une rencontre globalement dominée et plaisante, elles ont notamment pu compter sur les 18 points d'Iman Ndiaye, dont le service a été précieux. Il leur restera désormais une rencontre à disputer face à la Corée du Sud dimanche (04h00), sur la route d'un été qui les mènera fin août au Mondial en Thaïlande (22 août-7 septembre).
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« Le plus beau jour de ma vie » : comment Arthur, 7 ans, a récupéré le bidon de Tadej Pogacar
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Le Parisien

time8 minutes ago

  • Le Parisien

« Le plus beau jour de ma vie » : comment Arthur, 7 ans, a récupéré le bidon de Tadej Pogacar

La caravane publicitaire vient de passer ce mercredi après-midi dans le village de Cépet, à une bonne vingtaine de km de Toulouse (Haute-Garonne). Pour Arthur, 7 ans et demi, bien positionné pourtant devant un dos-d'âne qui freine les distributeurs, la pêche aux goodies n'est pas très fructueuse : un bob, un échantillon de lessive, une trousse de toilettes…, bref « cinq trucs seulement ». C'est, plutôt, la veille qu'il a décroché la timbale. Mieux, le Graal : le bidon de Tadej Pocagar , triple vainqueur de la Grande Boucle. « Le plus beau jour de ma vie », savoure le gamin aux lunettes bleues. Mardi après-midi, Arthur, fan de vélo, est, avec son papa Olivier (qui lui a transmis sa passion), du côté de la côte de Pech David , un mur de 800 m devant faire office de juge de paix lors de l'étape du lendemain. Il est prêt à dégainer son carnet d'autographes. En cette journée de repos pour les coureurs, le Slovène et ses équipiers sont venus en repérage. « On est arrivés à la montée. Et là, on voit passer Pogacar qui roule avec son téléphone portable à la main », raconte le petit Toulousain qui « passe en CE2 ». La séance vient de s'achever pour la star. Les véhicules de son équipe UAE s'apprêtent à rentrer à l'hôtel. Sur le toit de l'un d'eux trône le vélo du champion avec sa plaque de numéro « 1 ». « Mon papa a alors décidé de suivre la voiture mais à l'intérieur, il n'y avait pas Pogacar », poursuit Arthur. « Oui, on a fait une filature ! », se marre le chauffeur. La drôle de traque conduit le duo jusqu'à l'hôtel des UAE à proximité de l'aéroport. « On a attendu devant. Là, j'ai vu le coureur Nils Politt donner son bidon à un enfant. Je me suis dit : Peut-être que Pogacar va faire pareil avec moi . Il est alors arrivé. J'ai avancé jusqu'à lui. J'ai vu le bidon. J'ai tendu la main. Il me l'a donné. Je lui ai dit : Thank you ! », relate-t-il. Évidemment, il a ressenti « beaucoup d'émotions ». Il a vidé la relique qui contenait de l'eau. Et depuis, il est sur un petit nuage. Lors de la 11e étape jeudi, Arthur a remercié son bienfaiteur en fabriquant une pancarte en carton « Go Pogi » agrémentée d'une guirlande lumineuse. « C'est mon papa qui m'a aidé », souffle-t-il. Des encouragements qui n'ont pas vraiment porté bonheur au grand favori de l'édition 2025 qui a chuté à quelques km de l'arrivée. Un imprévu a priori sans gravité puisqu'il ne souffre que « d'égratignures ». Depuis « tout petit », le cœur d'Arthur bat pour « Pogi ». « C'est mon préféré. J'aime bien les personnes qui font du succès », explique celui qui a découvert la Grande Boucle le long des routes quand il avait 2 ans. Pour le moment, il ne fait que du judo, niveau ceinture jaune. « Mais moi, je veux faire du vélo ! », insiste-t-il. En attendant, il a démarré une collection de maillots de cyclistes qui donnent des couleurs à Pogacar : celui, arc-en-ciel, de champion du monde (offert par ses grands-parents) ou celui, plus classique, jaune de leader du Tour de France, tous les deux achetés dans le commerce. Son prochain défi : récupérer la tunique portée, pour de vrai, par son idole.

« Il n'est pas responsable, pas plus que les autres » : Fabien Galthié sur le choix de reconduire Léo Barré pour le dernier test de la France en Nouvelle-Zélande
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L'Équipe

time8 minutes ago

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« Il n'est pas responsable, pas plus que les autres » : Fabien Galthié sur le choix de reconduire Léo Barré pour le dernier test de la France en Nouvelle-Zélande

Fabien Galthié a dévoilé sa composition pour le dernier test du XV de France en Nouvelle-Zélande, samedi (9h05) et expliqué plusieurs de ses choix, revenant notamment sur la reconduction de Léo Barré à l'arrière, très autocritique après la déroute de Wellington samedi dernier. Fabien Galthié, sur la reconduction de Léo Barré après sa très dure autocritique : « C'est rare mais je trouve que cela est exemplaire. Assumer une défaite en équipe de France, c'est une forme d'honnêteté que l'on aime beaucoup. C'est un exemple, mais même de manière générale, car c'est rare que des gens se posent en responsables. Il n'est pas responsable, pas plus que les autres. Tout le monde peut faire mieux, et tout le monde le sait. Son dernier match avec nous avant la tournée était en Italie et il avait été désigné homme du match, mais il n'avait pas été reconduit contre l'Irlande au match suivant. Parfois, il y a des changements qui sont liés à du management des potentiels sur le moment. Léo Barré mérite de retrouver le numéro 15 dans la dynamique dans laquelle on est. Je suis certain qu'il fera un très bon match. » (Sur la titularisation de Joshua Brennan en troisième ligne) : « C'est un joueur en devenir. On le suit depuis un moment. Il a la capacité de jouer troisième ligne aile et, en fonction des besoins, on a construit une équipe dans laquelle trouver sa place. Il est polyvalent. Un peu comme Pierre Bochaton ou Cameron Woki. C'est le même profil : 4 ou 7. Il s'est imposé au Stade Toulousain et c'est un joueur que l'on a envie d'accompagner. Dans le combat, il a pris un carton jaune (rire). Il n'a pas pu donner tout ce qu'il avait mais c'était intéressant parce qu'il a bien compris, quand on lui en a reparlé, que les marges de manoeuvre étaient différentes à ce niveau-là. Et en même temps, ça l'a frustré. Il peut faire mieux. Prendre un carton pour sa première sélection, derrière son équipe encaisse 14 points. C'est un tournant du match très tôt pour nous. Mais c'est d'abord un très bon joueur de rugby avec des mains, plutôt costaud. » (Sur les attentes autour de la charnière Le Garrec-Hastoy) : « Je ne veux pas mettre trop de pression sur la charnière. La performance est toujours collective. Pour moi, la gestion technique et collective incombe à tous, chacun à son poste. J'attends qu'elle nous aide à prendre les bonnes décisions puisque ce sont eux qui touchent le plus de ballons. Après, cela dépend aussi de la qualité de ces ballons. On a besoin d'avancer, que ce soit devant la défense ou dans son dos, dans l'alternance. Mais elle n'est pas seule, elle aura besoin de Léo Barré (l'arrière) parce que nous jouons avec un deuxième dix et notre régulateur qui sera Gaël Fickou. J'ai besoin de trouver une bonne connexion. »

« La bagarre des coqs ne m'intéresse pas » : Jean-François Bourlart défend le modèle de l'équipe Intermarché-Wanty, plus petit budget du Tour de France 2025
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L'Équipe

time8 minutes ago

  • L'Équipe

« La bagarre des coqs ne m'intéresse pas » : Jean-François Bourlart défend le modèle de l'équipe Intermarché-Wanty, plus petit budget du Tour de France 2025

Jean-François Bourlart, le patron de l'équipe belge Intermarché-Wanty de Biniam Girmay, maillot vert du Tour de France l'an passé, revendique les vertus de son modèle économique et en accepte les limites. L'équipe belge Intermarché-Wanty est entrée dans l'histoire du Tour de France, l'an passé, grâce à son leader érythréen Biniam Girmay, premier Noir africain à remporter une étape (la 3e, le 3 juillet, avant de s'imposer sur la 8e et la 12e) et, surtout, le classement par points. « Ce maillot vert nous a apporté quelque chose d'incroyable, c'est là vraiment que ça s'est réveillé », résume Jean-François Bourlart (50 ans), le patron de l'équipe née à la fin des années 2000 (Vérandas Willems à l'époque) sur les bases d'un club amateur, de copains, avant de franchir tous les échelons pour accéder au World Tour en 2021, avec l'arrivée d'Intermarché. Son équipe possède le plus petit budget sur ce Tour, mais ça ne l'empêche pas de croire en son concept. « Comment vit votre équipe derrière les grosses écuries ?Plutôt bien. Il y a ceux qui essaient de rattraper les monstres et ceux qui essaient de survivre. Nous sommes dans cette deuxième catégorie pour l'instant. Ce n'est pas évident mais on avance. On a un budget de 17 M€ et on continuera à vivre avec ça. On ne fait pas de bêtises, on a un grand leader avec Biniam Girmay, quelques bons équipiers et des talents en devenir comme Louis Barré qui, à un moment donné, j'espère, arrivera à un haut niveau. C'est notre façon d'exister depuis toujours. La seule différence, aujourd'hui, c'est Biniam. Le maillot vert l'an passé et ses trois victoires d'étapes nous ont propulsés dans une autre dimension. Il aurait pu devenir plus riche et aller chez UAE ou dans d'autres grosses équipes, mais il a privilégié l'ambiance, le côté familial, un peu plus cool de notre structure. Vous ne faites pas de folies. Ce modèle économique semble vertueux, mais l'inflation des budgets ne risque-t-elle pas de le rendre caduc ? Évidemment. Nous aussi, on cherche un deuxième partenaire à associer à Intermarché. Nous étions persuadés que les victoires de Biniam sur le Tour, surtout son maillot vert, nous ouvriraient des portes. C'est un personnage atypique dans l'histoire du cyclisme, il aurait dû être une attraction. Finalement, non. On a eu des touches, on a des dossiers qui avancent, on a trouvé des partenaires techniques qui veulent mettre plus d'argent. Mais toujours pas de deuxième partenaire pour prendre la place de Wanty (le co-sponsor). Aujourd'hui, l'écart est de plus en plus grand avec les grosses équipes, qui tournent entre 40 et 60 M€ de budget. Il y a peut-être encore une ou deux équipes comme la nôtre. Les autres sont entre 20 et 25 M€. « Les grosses équipes instaurent un système, une grille de salaires que nous subissons » Y a-t-il un seuil sous lequel une équipe, aujourd'hui, ne peut pas vivre en World Tour ?J'estime le seuil vital à 20 M€. Nous, on est un peu trop bas. Mais tout dépend aussi des pays. Je me mets à la place de Manu (Hubert, le patron de l'équipe Arkéa-B & B Hotels) qui doit payer 150 personnes avec des charges sociales bien plus élevées que chez nous. En Belgique, avec une masse salariale de 10 M€ pour tes coureurs, on paye 1,5 M€ de charges sociales. En France, c'est près de 5 M€. Selon vous, pourquoi assiste-t-on à une telle inflation des salaires ?Tout vient des grosses équipes. Elles instaurent un système, une grille de salaires que nous subissons. Aujourd'hui, un bon équipier, chez nous, qui ne gagne pas de course mais qui est là pour protéger Biniam Girmay et l'amener au sprint, a vu son salaire multiplié par 3,5 en un an. C'est ce que demandent les agents. Sur quoi se base la relation avec un sponsor ? La confiance, la promesse de résultats, l'image de l'équipe ?Je n'ai jamais fait de promesses de résultats. Évidemment, si un jour on me met 40 M€ sur la table, je sais que ça sera pour essayer de trouver le nouveau Pogacar et donc pour gagner le Tour. On est lucides, nous restons une équipe avec un petit budget, et on se débrouillera ainsi. De temps en temps, on gagnera une belle course. Donc il n'y a pas de promesse. C'est pour ça que les sponsors restent si longtemps avec nous. Ils me disent toujours qu'avec nous, c'est du "under promise, over deliver " ("ne promettez pas trop mais donnez plus "). On ne promet rien, mais on réussit à faire mieux que ce qu'ils attendent de nous. On ne leur dit pas : "Donnez-nous 10 millions et vous allez voir, on va faire ci ou ça ", mais plutôt "investissez un peu dans notre projet, et si on est bon, on se revoit pour augmenter l'apport ". Comment définissez-vous l'identité de votre équipe, basée en Belgique, mais avec un sponsor français ?Thierry Cotillard (le patron du groupe Les Mousquetaires) était présent dès la première heure, mais la branche belge d'Intermarché s'en occupait car nous étions une équipe belge. Les Français sont arrivés il y a deux ans. Mais on a neuf nationalités différentes chez les coureurs, et quatorze dans le staff. On parle français, néerlandais, allemand, anglais, italien. Je ne veux pas parler d'une équipe belge en fait, plutôt d'une équipe du World Tour avec des sponsors d'un peu partout. La marque de vélo est allemande, la marque des vêtements est américaine, on a un co-sponsor belge Wanty, et un majeur international avec Intermarché. « Je ne veux pas être président de l'UCI ni celui de la fédération belge de cyclisme, je ne veux pas être vedette de la télévision, je veux juste réussir mon projet » On est loin de la guéguerre communautaire en père est wallon, ma mère est flamande. Nous sommes basés en Wallonie, à Tournai, mais nous ne sommes pas, comme en football, l'équipe d'une ville, Marseille ou le PSG. Nous avons bien plus de supporters, je pense, dans d'autres pays qu'en Belgique, notamment en France. Sans doute parce qu'à nos débuts sur le Tour, on allait dans toutes les échappées. Christian Prudhomme nous avait invités (en 2017) et, tous les matins, dans le bus, je disais : "Les gars, on a la chance incroyable d'être invités, il faut y être dans toutes. "Et tous les jours, on y était, à tour de rôle. Nous voir à l'attaque mais sans faire un résultat en a peut-être fait rigoler certains. Mais on s'en foutait. On a été réinvités l'année suivante, et on a fait pareil. L'année d'après (en 2019), on a été un peu meilleurs avec Guillaume Martin, 12e au général sans avoir l'air d'y toucher. Et puis il y a eu la première victoire, l'an passé, avec Biniam et le maillot vert. Cela vous donne-t-il plus de voix par rapport aux grandes équipes ?Pourquoi devrais-je être entendu ? Je ne veux pas être président de l'UCI ni celui de la fédération belge de cyclisme, je ne veux pas être vedette de la télévision, je veux juste réussir mon projet. Et franchement, que je sois entendu ou pas, la seule lumière qui me va, c'est celle de mon équipe. La bagarre des coqs ne m'intéresse pas. On a une vision bien précise du cyclisme, on avance dans ce monde en se faufilant entre tout ce qui est déjà écrit et figé. On essaie d'y mettre à peu notre touche, ça nous réussit plutôt pas mal. » À lire aussi Pogacar, la frayeur avant les hauteurs Le bal des punks Le Ventoux ouvert à tous et à toutes Abrahamsen, la force norvégienne

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