
Arthur Cazaux stoppé par Alex De Minaur au deuxième tour de Wimbledon
Depuis le début de la quinzaine, la musique préférée des Français à Wimbledon avait des airs de symphonie inattendue : celle des têtes de série tombant une à une sous leurs coups de baguette. Benjamin Bonzi avait ouvert le bal face à Daniil Medvedev (9e mondial), Valentin Royer s'était défait de Stefanos Tsitsipas (26e), et Arthur Rinderknech avait enchaîné avec un solo magistral contre l'Allemand Alexander Zverev (3e).
Mais ce jeudi, Arthur Cazaux (115e mondial), sorti des qualifications, n'a pas su trouver les bonnes notes pour rejouer la partition face l'Australien Alex De Minaur, tête de série n°11. Malgré un excellent début de match, le Montpelliérain s'est incliné en quatre sets (4-6, 6-2, 6-4, 6-0) sur le court numéro 2 au deuxième tour du Grand Chelem londonien. Au prochain tour, De Minaur, quart de finaliste l'an passé, affrontera le vainqueur de la rencontre entre le Tchèque Tomas Machac (23e) et le Danois August Holmgren (192e).
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Le Figaro
an hour ago
- Le Figaro
Coupe du monde des clubs : «Je ne comprends pas que les gens critiquent cette compétition», souffle le président du PSG Nasser Al-Khelaïfi
Le président parisien a fait le point devant les journalistes ce vendredi, à Atlanta, évoquant notamment le Ballon d'or mais aussi les critiques envers le Mondial des clubs. «Si Ousmane Dembélé ne gagne pas le Ballon d'or, il y a un problème», a déclaré le président du Paris-SG Nasser Al-Khelaïfi ce vendredi, à la veille du choc en quart de finale du Mondial des clubs contre le Bayern Munich, samedi (18h00). «Vu la saison qu'il a faite, une saison magnifique, aucun doute qu'il gagne le Ballon d'or», a dit «NAK» à la presse après un entraînement de l'équipe sur le campus de l'université de Kennesaw, au nord d'Atlanta (Georgie). «S'il ne gagne pas, il y a un problème. Il a tout fait», a insisté le dirigeant, en référence à l'influence prépondérante du joueur sur les champions d'Europe, avec notamment 33 buts et 15 passes décisives. «C'est sûr que c'est important pour le club. Mais le plus important c'est que tout le monde joue pour l'équipe», a ajouté M. Al-Khelaïfi. Les joueurs, le coach, tout le monde est motivé. Nasser Al-Khelaïfi Publicité Interrogé sur le Mondial des clubs nouveau format et sur le calendrier surchargé des joueurs, le président du PSG a assuré: «C'est sûr que quand vous organisez une compétition comme ça, il y a des choses de pas top, mais en général c'est magnifique, un nouveau marché pour le foot, pour la marque, tout le club. Je ne comprends pas que les gens critiquent cette compétition, avant les clubs et les joueurs ne jouaient jamais de Coupe du monde, (...) il faut penser de manière positive», a-t-il dit. «Il y a beaucoup de challenges financiers dans le foot», a souligné Nasser Al-Khelaïfi. «Les joueurs, le coach, tout le monde est motivé, on prend match par match pour aller le plus loin possible», a-t-il relaté.


Le Figaro
an hour ago
- Le Figaro
Luis Enrique avant PSG-Bayern : «Je n'ai aucun sentiment de revanche, c'est un test excitant pour nous»
En français la plupart du temps, Luis Enrique a répondu aux questions des journalistes vendredi, à la veille du quart de finale du Mondial des clubs, samedi, contre le Bayern. Le sentiment de revanche évoqué par les joueurs après la défaite en novembre à Munich : «Pour moi, c'est un peu différent. Je n'ai aucun sentiment de revanche. Revanche de quoi ? D'un match en phase de ligue ? Pas de revanche pour moi. C'est un match motivant parce que c'est un quart de finale d'une nouvelle compétition. Et c'est suffisant pour être motivé. Pas de revanche pour moi.» La défaite contre le Bayern en forme de déclic : «J'ai dit cela ? Je ne m'en souviens pas (rires). Je parle beaucoup avec vous (sourire). C'est facile de dire où je pense qu'il y a peut-être eu un déclic, mais pendant toute la saison, on a vu l'amélioration de l'équipe. En début de saison, il y avait un manque d'efficacité, surtout en Ligue des champions. On a vu l'amélioration. Je ne sais pas où a été le déclic mais je suis content de la saison et de la performance de l'équipe tout au long de la campagne.» À lire aussi Coupe du monde des clubs : «Je suis à 100% pour débuter», martèle Dembélé avant PSG-Bayern Publicité Ousmane Dembélé prêt à débuter : «Il a fait toute la semaine d'entraînement avec le groupe. Ces séances me donnent beaucoup d'informations et je suis content de voir Ousmane avec l'équipe. On verra. Ce n'est pas le moment de donner des informations à l'adversaire. On verra demain.» S'il a eu besoin de motiver les joueurs après cette longue semaine : «Ça a été très long (depuis le dernier match) pour être honnête. Il y a six jours, c'est beaucoup, surtout à ce moment de la saison, mais on a fait une très bonne semaine d'entraînement, on a bien fait le boulot, et je pense que l'équipe est prête à combattre. Ce sera un match difficile contre le Bayern, l'une des meilleures équipes d'Europe et de cette compétition. On peut voir un très beau match.» La mort de Diogo Jota : «C'est la pire nouvelle qu'on peut recevoir. Tout le monde du football est affecté. Je ne peux pas imaginer ce que ses proches et sa famille peuvent ressentir. On veut simplement leur transmettre notre soutien, mais il n'y a rien qui peut adoucir la peine. Il n'y a que le temps pour guérir cela. Évidemment, on est très tristes pour les joueurs portugais qui ont joué avec lui et ses coéquipiers. C'est la vie, il faut l'accepter, c'est dur.» Je ne pense pas qu'on aura autant le contrôle que d'habitude. Luis Enrique La clé du match : «On verra demain. On connaît très bien le Bayern, pas seulement parce qu'on les a joués, mais on connaît leur profil, leur coach, les joueurs… Ils sont similaires à nous en tant qu'équipe pour ce qui est de la volonté d'avoir le ballon et le comportement à la perte. Ce sera un match ouvert. Je ne pense pas qu'on aura autant le contrôle que d'habitude. Donc ce sera un match plus ouvert et potentiellement intéressant à suivre. C'est un test excitant pour nous. On veut le passer, avancer dans la compétition et on est motivés pour cela. On est conscients de leur niveau. On est sur une bonne dynamique sur les derniers mois et on veut continuer dans cette voie.» L'équilibre entre plaisir et efforts : «C'est facile et compliqué à la fois. En tant que coach, je transmets une idée formidable, que ce soit en club ou en sélection, je demande toujours un jeu basé sur le spectacle. Les gens ne vont pas au cinéma ou au théâtre pour s'ennuyer. Ils veulent s'amuser. Et dans le football, le basket ou les autres sports, on peut offrir un divertissement et du spectacle aussi. Il est donc question de savoir ce qu'on attend des uns et des autres. On démarre toutes les séances d'entraînement avec la même idée. 90% du temps, on s'entraîne avec le ballon. Évidemment, il y a le travail défensif, ce n'est pas aussi attractif. Mais chaque coach doit le faire en fonction de ses intérêts. Je suis de l'école barcelonaise, où tout tourne autour de la possession. C'est donc ce que j'essaie de transmettre. Toutes les équipes que j'ai entraînées depuis 10 ans ont essayé de faire la même chose. Certains managent leur équipe mieux que d'autres. Mais la clé a toujours été de gagner en jouant un bon football.» À lire aussi Coupe du monde des clubs : «Je ne comprends pas que les gens critiquent cette compétition», souffle le président du PSG Nasser Al-Khelaïfi Publicité La pelouse : «Pire que le match contre l'Inter Miami (qui s'est disputée dans le même stade, NDLR). J'espère que demain (samedi), ça peut s'améliorer avec l'arrosage. On verra.» Marquer l'histoire : «On veut tous aller le plus loin possible dans la compétition et être en position de soulever le trophée. Mais on n'est qu'en quarts de finale, on rencontre une équipe de notre niveau. On est sûrs d'être prêts. Ce sera aussi dur pour les deux équipes.» Il faut être imprévisible pour l'adversaire et prévisible pour toi-même. Luis Enrique Si le système actuel peut permettre au PSG de continuer à gagner : «Ce n'est pas une question de système. Ce n'est pas comme si on déterminait une formation et voilà, ça marche. Ce n'est pas ça. Il faut être imprévisible pour l'adversaire et prévisible pour toi-même. Ce n'est pas un système mais une idée collective de jeu. C'est plus compliqué que ça. On trouve notre motivation dans l'idée d'être imprévisibles. C'est ça la clé.» Bradley Barcola qui serait courtisé par le Bayern : «Qui sait ce qui peut arriver au mercato… Évidemment, on aime le fait que d'autres équipes apprécient nos joueurs, mais on s'appuie sur de jeunes joueurs, en particulier les joueurs français. Bradley Barcola a été un joueur clé pour nous cette saison. Il a été beaucoup critiqué à Paris. C'est sa deuxième saison au club. C'est arrivé à d'autres jeunes joueurs. Ça fait partie du processus de progression individuelle. Bien sûr, j'espère qu'il va rester à Paris pour de longues années. Et c'est ce qu'il veut aussi, je n'ai pas de doute là-dessus.» Propos recueillis en conférence de presse

L'Équipe
3 hours ago
- L'Équipe
« Ils me ressemblent : des bagarreurs, des gens qui donnent tout » - Guerschon Yabusele explique pourquoi il a choisi les Knicks parmi une foule de courtisans
Onze mois après les Jeux de Paris qui ont précipité son retour en NBA, l'intérieur des Bleus Guerschon Yabusele va plonger dans la folie new-yorkaise pour tenter de ramener un titre aux Knicks la saison prochaine après avoir été courtisé par de nombreuses franchises cet été. « Il manque la photo de mon dunk ! » L'oeil vif en détaillant la collection de clichés sportifs exposés au dernier étage du bâtiment de L'Équipe, Guerschon Yabusele y ajouterait bien l'une des actions iconiques des Jeux de Paris : ce sacré coup de marteau sur la tête de LeBron James en finale (défaite des Bleus 87-98). De passage dans la capitale pour la première fois depuis l'aventure olympique, l'intérieur (2,03 m ; 29 ans) la quitte dès samedi, direction New York, pour signer son contrat de deux ans et 12 millions de dollars avec les Knicks, qui ont décroché la timbale au milieu de nombreuses équipes intéressées par « L'Ours » après son come-back réussi en NBA avec Philadelphie (11 points et 5,6 rebonds en 70 matches). Sa « free agency » « C'est un peu le grand huit, il y a des loopings » « J'avais hâte de vivre la "free agency" (marché des agents libres) et sur le moment, je me suis dit "Vivement que ça se termine". C'était un peu le grand huit, ça monte, ça descend, il y a des loopings. Je me voyais dans une équipe puis dans une autre. Il faut prendre des décisions rapidement : quand on te fait une offre, elle ne dure pas des jours ou des semaines. D'où je viens, toute proposition, c'était un effet "Waouh". Je ne voulais pas me retrouver sans rien et devoir rentrer en Europe après un an. L'objectif, c'était déjà de trouver un contrat et quand tu as de bonnes équipes qui te veulent, c'est flatteur. Il y avait Houston, les (San Antonio) Spurs, et là j'ai directement pensé à Victor (Wembanyama) en me disant que ça pouvait être cool. Il y avait aussi Denver, je me disais que ça pouvait être pas mal non plus de jouer avec Nikola Jokic (sourire). Et puis New York, qui sortait de la finale de conférence (à l'Est, 2-4 contre Indiana), en pensant à leur style de jeu, ça pouvait matcher. » Son choix « A New York, ils me ressemblent : des bagarreurs » « J'avais eu une très bonne impression quand on a joué New York cette saison. Ils me ressemblent : des bagarreurs, des gens qui donnent tout sur le terrain. Par rapport à mon rôle, de joueur qui se bat, un rôle de chien, de bulldog, ça cochait toutes les cases pour aller là où je veux aller. Leur équipe, c'est un bon groupe de gars, qui montent depuis plusieurs années. Ils sortent d'une finale de Conférence. C'est une équipe destinée, ou du moins qui a la chance de pouvoir prendre le titre (leur premier depuis 1973). Je voulais être dans une équipe avec de l'ambition et qui a une histoire comme ça. Quand tu joues contre eux, l'ambiance est incroyable au Madison Square Garden : c'est quelque chose d'irréel, tu ne vis ça qu'à New York avec les fans, les célébrités au premier rang. Pouvoir y jouer avec le maillot des Knicks, j'ai hâte. » Ses ambitions « Si tu peux réussir à New York, tu peux réussir partout » Sur le plan individuel, j'ai du mal à prendre le temps de voir tout ce que j'ai fait. Ma femme me dit de profiter car je suis toujours dans l'après. Mais quand même, je suis très content, ce n'était pas un pari facile de partir de Madrid (il a joué au Real de 2021 à 2024) avec l'indemnité (1,7 million d'euros à donner de sa poche). Je peux souffler car je peux payer ça sans problème. À New York, je sais qu'ils sont revanchards cette saison, qu'ils veulent aller au bout. On dit toujours que si tu peux réussir là-bas, tu peux réussir partout, il y a cette pression-là avec les fans, l'histoire de la salle, c'est impressionnant. Moi, ça me motive, ça m'amuse : si je fais un mauvais match et qu'on m'envoie un ou deux trucs drôles sur moi, je vais en rire aussi. C'est dans les deux sens. C'était un peu la même mentalité à Philadelphie, ça s'est bien passé avec leurs fans, donc ça ne devrait pas trop mal se passer avec ceux des Knicks. Est-ce que c'est plus ouvert dans la conférence Est ? On m'a dit ça récemment et c'est vrai que quand je vois les blessures (*), il y a une ouverture. Mais on a déjà vu beaucoup d'équipes qui pensaient faire une grosse saison et puis... C'est la mentalité générale qui va compter, il faut qu'on soit connectés et je pense qu'il y a quelque chose à faire. » (*) Saison blanche probable pour Jayson Tatum à Boston (tendon d'Achille droit), Damian Lillard (ex-Milwaukee, tendon d'Achille gauche) et Tyrese Haliburton à Indiana (tendon d'Achille droit). À lire aussi Qui va animer le marché de l'été ? Superstar, paria et businessman : l'incroyable parcours d'Alex Rodriguez Des Knicks enfin «sexy» sous Mike Brown ? Les Bleues aux portes de l'enfer