
Marché Goodfood continue de perdre des abonnés à ses services
Marché Goodfood continue de perdre des abonnés à ses services
Marché Goodfood continue de perdre des abonnés, mais ceux qui restent commandent davantage.
Stéphane Rolland
La Presse Canadienne
Le spécialiste des menus prêts à cuisiner a recensé 76 000 abonnés au cours du troisième trimestre clos le 7 juin dernier. L'entreprise montréalaise comptait 84 000 abonnés il y a trois mois et 105 000 abonnés à la même période l'an dernier.
La société affirme que la valeur du panier commandé a toutefois atteint au sommet au cours du trimestre.
Goodfood a ainsi vu ses ventes reculer de 20 % à 30,7 millions par rapport à 38,6 millions à la même période l'an dernier. Elle a dévoilé un bénéfice net de 54 000 $, en baisse par rapport aux 307 000 $ à la même période l'an dernier.
Le président et directeur général de Goodfood, Jonathan Ferrari, a souligné, dans un communiqué mardi, que les marges brutes, à 44 %, étaient restées relativement stables.
L'action gagnait 0,02 $, ou 7,89 %, à 0,21 $ à la Bourse de Toronto vers midi.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


La Presse
an hour ago
- La Presse
L'action bondit de 30 % Le Groupe ADF obtient un important contrat au Québec
L'entreprise de Terrebonne fabriquera et livrera des structures d'acier pour un client dont le nom ne peut être dévoilé pour le moment. L'obtention d'un important contrat pour un projet d'infrastructure d'envergure dans le secteur de l'énergie au Québec a fait bondir de 30 % mercredi la valeur du Groupe ADF en Bourse. L'obtention d'un important contrat pour un projet d'infrastructure d'envergure dans le secteur de l'énergie au Québec a fait bondir de 30 % mercredi la valeur du Groupe ADF en Bourse. L'entente annoncée par le fabricant de charpentes métalliques de Lanaudière est d'une durée de cinq ans et doit générer entre 35 et 40 millions de dollars par année, avec possibilité de prolongation pour cinq ans de plus. Si la prolongation se concrétise, le contrat pourrait générer des revenus de près de 400 millions de dollars. Le carnet de commandes d'ADF s'élevait à 330 millions de dollars en date du début mai. L'entreprise de Terrebonne fabriquera et livrera des structures d'acier pour un client dont le nom ne peut être dévoilé pour le moment, une pratique courante lors des annonces de contrats par ADF. Les structures fabriquées par ADF seront installées dans différentes régions du Québec selon les besoins du client, indique à La Presse le chef de la direction financière d'ADF, Jean-François Boursier. Il ajoute qu'en fait d'annonce globale, il s'agit de l'un des plus gros contrats jamais décrochés par ADF, bien que les revenus totaux s'échelonneront sur une période beaucoup plus longue (10 ans). La production doit débuter dans les prochains mois à l'usine de Terrebonne et des investissements sont prévus dans de nouveaux équipements. La direction d'ADF prévoit aussi embaucher du personnel supplémentaire à son usine de Terrebonne pour soutenir le projet. « Nous sommes encore à évaluer les requis au niveau de l'embauche et des investissements, dit Jean-François Boursier. Le type d'équipement nous permettra d'automatiser la production des pièces requises afin de maximiser notre efficacité interne. » « C'est très encourageant, commente l'analyste Nicholas Cortellucci, de la firme Atrium Research, car ADF démontre sa capacité à se diversifier à l'extérieur des États-Unis et à signer un contrat récurrent à plus long terme, réduisant ainsi la cyclicité de ses activités. » Cet expert souligne qu'aux États-Unis, les incertitudes tarifaires rendent les clients plus réticents à travailler avec ADF malgré la conformité des produits de l'entreprise aux exigences de l'Accord Canada–États-Unis–Mexique (ACEUM). L'annonce du contrat coïncide aussi, dit-il, avec le mouvement « Acheter canadien », où les gouvernements et les entreprises cherchent à privilégier les fournisseurs canadiens. Nicholas Cortellucci ajoute que ce contrat assure à ADF des revenus prévisibles à long terme, réduisant ainsi le risque d'une baisse soudaine du chiffre d'affaires comme celle observée ces derniers mois. L'action du Groupe ADF s'est appréciée de 30 % mercredi pour clôturer à 10,30 $ à la Bourse de Toronto. Le titre avait reculé jusqu'à 5 $ en avril dans les jours suivant la grande annonce des droits de douane par Donald Trump dans la roseraie de la Maison-Blanche. Puisque le contexte tarifaire affectait la capacité du Groupe ADF à augmenter ses revenus, la direction avait annoncé en avril une réduction des heures travaillées à son usine de Terrebonne. La mise en place au printemps d'un programme de temps partagé a touché environ 120 employés à Terrebonne. Jean-François Boursier indique que les employés sont tous de retour à temps plein depuis le début de la semaine. En plus de son usine de Terrebonne, le Groupe ADF exploite une usine à Great Falls, dans le Montana, aux États-Unis. C'est la deuxième fois en deux mois que l'action du Groupe ADF prend 30 % en une séance. Le mois dernier, les investisseurs avaient propulsé le titre après avoir été rassurés concernant l'impact des droits de douane sur les activités de l'entreprise. La direction avait informé les marchés qu'ADF était exemptée des droits de douane lorsqu'elle achète de l'acier auprès d'aciéries américaines.


La Presse
2 hours ago
- La Presse
L'ajout de deux nouvelles stations fait du surplace
En 2024, CDPQ a publiquement annoncé que ces deux stations étaient techniquement possibles, mais qu'elles devraient être construites en même temps. Le projet d'ajouter deux nouvelles stations du REM au centre-ville-dans Griffintown et dans Bridge-Bonanventure-fait du surplace, a pu confirmer La Presse. CDPQ Infra affirme être toujours en négociation (depuis plus d'un an) avec Québec pour le financement de ces chantiers. « Nous sommes dans l'attente d'un retour du gouvernement pour les prochaines étapes », a indiqué Francis Labbé, porte-parole de CDPQ Infra, par courriel. « Il s'agit de constructions complexes puisqu'elles se feront sur une antenne en service et que l'une des deux sera sur viaduc. » « Des échanges ont encore eu lieu dernièrement », a-t-il ajouté. « La ministre a déjà signifié qu'elle voit d'un bon œil l'ajout d'une éventuelle station dans le secteur Bridge-Bonaventure, notamment en raison du potentiel d'achalandage et des projets de développement immobilier », a affirmé le cabinet de la ministre des Transports, Geneviève Guilbault, par écrit. « Depuis que la faisabilité technique du projet a été confirmée, les discussions entourant le financement sont en cours avec CDPQ Infra et les autres partenaires et elles avancent. » La station Griffintown – Bernard-Landry n'était pas initialement prévue dans le projet du REM. En 2020, un arrêt planifié près du bassin Peel a été abandonné, ouvrant la porte à l'édification de cette station. En train, moins de deux minutes sépareront cet arrêt de la gare Centrale. Elle devait être complétée pour 2024, puis pour 2027, avant que cette échéance saute à son tour, l'an dernier. La station Bridge-Bonaventure, au sud du canal de Lachine, a été demandée en 2022 par l'administration Plante, qui veut favoriser le développement du secteur du même nom. Un arrêt du REM est une « condition sine qua non » pour ce projet, avait affirmé Robert Beaudry, élu responsable de l'urbanisme au sein du comité exécutif de Valérie Plante. La station pourrait être construire juste à côté du Costco de la rue Bridge. En 2024, CDPQ a publiquement annoncé que ces deux stations étaient techniquement possibles, mais qu'elles devraient être construites en même temps « afin de réduire les répercussions sur le réseau en exploitation ».


La Presse
4 hours ago
- La Presse
L'action bondit de 30 % Le Groupe ADF soutire un important contrat au Québec
L'entreprise de Terrebonne fabriquera et livrera des structures d'acier pour un client dont l'identité ne peut être dévoilée pour le moment. L'obtention d'un important contrat pour un projet d'infrastructure d'envergure dans le secteur de l'énergie au Québec fait bondir de 30 % mercredi la valeur du Groupe ADF en Bourse. L'entente annoncée par le fabricant de charpentes métalliques de Lanaudière est d'une durée de cinq ans et doit générer entre 35 et 40 millions de dollars par année, avec possibilité de prolongation pour cinq ans de plus. Si la prolongation se concrétise, le contrat pourrait générer des revenus de près de 400 millions de dollars. Le carnet de commandes d'ADF s'élevait à 330 millions de dollars en date du début mai. L'entreprise de Terrebonne fabriquera et livrera des structures d'acier pour un client dont l'identité ne peut être dévoilée pour le moment, une pratique courante lors des annonces de contrats par ADF. Les structures fabriquées par ADF seront installées dans différentes régions du Québec selon les requis du client, indique à La Presse le chef de la direction d'ADF, Jean-François Boursier. Il ajoute qu'en fait d'annonce globale, il s'agit de l'un des plus gros contrats jamais décrochés par ADF bien que les revenus totaux s'échelonneront sur une période beaucoup plus longue (10 ans). La production doit débuter dans les prochains mois à l'usine de Terrebonne et des investissements sont prévus dans de nouveaux équipements. La direction d'ADF prévoit aussi embaucher du personnel supplémentaire à son usine de Terrebonne pour soutenir le projet. « Nous sommes encore à évaluer les requis au niveau de l'embauche et des investissements », dit Jean-François Boursier. « Le type d'équipement nous permettra d'automatiser la production des pièces requises afin de maximiser notre efficacité interne. » « C'est très encourageant, commente l'analyste Nicholas Cortellucci, de la firme Atrium Research, car ADF démontre sa capacité à se diversifier à l'extérieur des États-Unis et à signer un contrat récurrent à plus long terme, réduisant ainsi la cyclicité de ses activités. » Cet expert souligne qu'aux États-Unis, les incertitudes tarifaires rendent les clients plus réticents à travailler avec ADF malgré la conformité des produits de l'entreprise aux exigences de l'Accord Canada-États-Unis-Mexique (AEUMC). L'annonce du contrat coïncide aussi, dit-il, avec le mouvement « Acheter canadien », où les gouvernements et les entreprises cherchent à privilégier les fournisseurs canadiens. Nicholas Cortellucci ajoute que ce contrat assure à ADF des revenus prévisibles à long terme, réduisant ainsi le risque d'une baisse soudaine du chiffre d'affaires comme celle observée dans les derniers mois. L'action du Groupe ADF s'appréciait de 30 % mercredi après-midi à 10,30 $ à la Bourse de Toronto. Le titre avait reculé jusqu'à 5 $ en avril dans les jours suivant la grande annonce des droits de douane par Donald Trump dans la roseraie de la Maison-Blanche. Puisque le contexte tarifaire affectait la capacité du Groupe ADF à augmenter ses revenus, la direction avait annoncé en avril une réduction des heures travaillées à son usine de Terrebonne. La mise en place au printemps d'un programme de temps partagé a touché environ 120 employés à Terrebonne. Jean-François Boursier indique que les employés sont tous de retour à temps plein depuis le début de la semaine. En plus de son usine de Terrebonne, le Groupe ADF exploite une usine à Great Falls, dans le Montana, aux États-Unis. C'est la deuxième fois en deux mois que l'action du Groupe ADF prend 30 % en une séance. Le mois dernier, les investisseurs avaient propulsé le titre après avoir été rassurés concernant l'impact des droits de douane sur les activités de l'entreprise. La direction avait informé les marchés qu'ADF était exemptée des droits de douane lorsqu'elle achète de l'acier auprès d'aciéries américaines.