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Le projet fou de Donald Trump: organiser une soirée de combats UFC à la Maison Blanche

Le projet fou de Donald Trump: organiser une soirée de combats UFC à la Maison Blanche

Le Figaro19 hours ago
LE SCAN SPORT - Donald Trump a émis l'idée que des combats de MMA organisés par l'UFC, présidée par son ami Dana White, se tiennent à la Maison Banche à l'occasion du 250e anniversaire des États-Unis.
Une idée pour le moins farfelue. Afin de célébrer les 250 ans des États-Unis Donald Trump envisage d'organiser une soirée destinée à l'UFC (Ultimate Fighting Championship), probablement aux alentours du 4 juillet 2026. Ces combats de MMA se tiendraient directement sur la pelouse de la Maison Blanche.
Très proche de Dana White
Le milliardaire a soumis ce projet lors d'un discours. Il a lancé à la foule venue l'écouter : «Quelqu'un regarde-t-il l'UFC ? Le grand Dana White ? Nous allons avoir un combat UFC. Nous allons organiser un combat UFC, imaginez cela, sur le terrain de la Maison Blanche. Nous avons beaucoup de place là-bas».
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Dana White, le président de l'UFC, est proche du Républicain et l'a soutenu lors de sa deuxième campagne présidentielle victorieuse en 2024. En avril dernier, Trump et White s'étaient même retrouvés à Miami afin d'assister à un combat.
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Depuis trois jours, tous les coureurs du Tour de France ont été contrôlés. Olivier Banuls, le responsable des contrôles à l'ITA, détaille le travail mis en place sur l'épreuve qui débute ce samedi. Le Tour s'élance samedi matin et, comme chaque année, alors que les 184 coureurs ont été contrôlés avant le départ, une ribambelle de questions se pose concernant la lutte antidopage dans le cyclisme. Olivier Banuls, le chef des contrôles à l'International Testing Agency (ITA), l'agence responsable du programme antidopage sur le Tour, détaille le travail mis en place. Les contrôles sur le Tour « Sur le Tour, le budget (non divulgué) est défini à l'avance, mais on s'octroie aussi une flexibilité par rapport à notre programme initial. On teste évidemment le Maillot Jaune et le vainqueur de l'étape tous les jours. Mais on veut aussi pouvoir tester les athlètes quand on le veut (en aval et en amont des étapes). On n'a pas un nombre fixe quotidien. Si on veut faire 8 ou 10 contrôles par jour, on le fait. Si on veut en faire moins, c'est possible aussi. Il faut avoir cette flexibilité pour répondre à nos besoins (environ 600 échantillons seront prélevés sur le Tour 2025). Comme d'habitude, sur le Grand Départ, on a testé tout le monde pour assurer le suivi médical mais aussi récupérer des data. Ça implique une présence très importante sur le terrain avec environ 40 personnes entre le personnel de prélèvements et le staff de l'ITA. » Le travail en amont du Tour « On a évidemment aussi testé les athlètes en amont de l'échéance avec notamment environ 350 contrôles hors compétition lors du dernier mois. On a 1 300 coureurs dans le groupe cible (les athlètes qui doivent fournir un créneau d'une heure chaque jour entre 5 et 23h pour être contrôlables). Tous les coureurs World Team et Pro Team y sont. On a le programme antidopage le plus complet en termes de volume. En 2024, on a fait environ 7 000 contrôles dans le cyclisme professionnel (hommes et femmes). On représente 17 % du volume mondial en nombre d'échantillons prélevés dans le cadre du passeport sanguin (en comptant toutes les disciplines de l'UCI). Les moyens sont là pour lutter contre le dopage. » « On ne peut pas dire que le peloton est clean parce qu'on n'a pas de RAA (résultat d'analyse anormal), mais on ne peut pas dire non plus que notre travail n'est pas efficient car on n'a pas de positifs. » Le stockage des échantillons « On peut stocker les échantillons dix ans. Selon les cas, si on a de nouvelles informations, on peut décider d'activer les réanalyses plus vite. Dans l'affaire Aderlass (enquête sur les pratiques du médecin allemand Mark Schmidt), on en a fait sur 900 échantillons sur la base d'informations. Autre exemple, en 2024, on en a fait presque 500 sur des échantillons de 2015. Il faut tenir compte de l'aspect scientifique et de certaines limites qu'on peut avoir aujourd'hui. C'est pour ça qu'on prend beaucoup d'échantillons et qu'on les met en stockage long terme. On en a 1 690 stockés actuellement, dont 76 du Tour 2024. » Pourtant très peu de suspensions « On ne peut pas dire que le peloton est clean parce qu'on n'a pas de RAA (résultat d'analyse anormal), mais on ne peut pas dire non plus que notre travail n'est pas efficient car on n'a pas de positifs (19 cas révélés pour le cyclisme sur route en 2024 selon le Mouvement pour un cyclisme crédible). Il ne faut pas oublier l'aspect dissuasif de notre programme. Évidemment, on peut toujours s'améliorer et on est en constante amélioration pour attraper ceux qui potentiellement trichent. Ce n'est pas parce qu'il n'y a pas de suspension via les passeports (sanguin, endocrinien et stéroïdien) que ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas des cas anormaux traités. Aujourd'hui, des cas de passeports sont investigués par l'ITA (un processus complexe pour arriver à une suspension). On travaille sur des profils, sur des résultats analytiques atypiques, anormaux. On ne parle pas de plusieurs dizaines de cas mais on en a. On entend évidemment les critiques récurrentes (sur le manque de résultats). Nous, on reste focus sur notre objectif. On tient compte de tous les critères, facteurs de risque et évidemment de la performance. Plus le niveau de l'athlète est élevé, plus le suivi est important. C'est la règle de base. » À lire aussi Vingegaard a-t-il les armes pour rivaliser avec Pogacar ? Pogacar face à lui-même Que peut faire le peloton face à Pogacar, aussi offensif qu' imprévisible ? Evenepoel : «Suivre en dépassant ma limite»

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